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3 à la suite...

Chapitre 1

Hétéro
Prologue
Je m’appelle Rowan, j’ai 33 ans. Je suis en couple avec Christelle, 33 ans également, depuis plus de 10 ans, et nous vivons heureux ensemble depuis, calmement. Notre vie sexuelle, très épanouie à nos débuts, s’est assagie au fil des ans et de la routine qui s’est installée progressivement. Les aléas de la vie de couple. Christelle a 2 sœurs beaucoup plus jeunes qu’elle : Barbara, 24 ans et Amandine, 23 ans. Si je les ai connues gamines sans intérêt, puis petites pestes adolescentes, mon regard a changé sur elles au fil des années et de leurs formes qui se développaient. Je les ai vues devenir de vraies petites femmes et je dois avouer que j’apprécie de plus en plus chacune de nos rencontres familiales. Barbara et Amandine ont très vite pris conscience de leur charmes et de l’effet qu’elles pouvaient provoquer sur les hommes en général et sur moi en particulier. Bien sûr, il ne s’est jamais rien passé d’équivoque mais elles ne manquent jamais de jouer de leurs regards ou de leurs sourires en ma présence. Des petits gestes discrets et soi-disant involontaires ou des petits sous-entendus glissés dans les conversations ont permis d’installer un petit jeu de séduction entre nous qui n’est pas pour me déplaire. Et puis, il parait que des sœurs adorent se mettre en concurrence, surtout quand il s’agit de plaire à un homme…
La mise en place
Nous sommes vendredi soir, je suis seul à la maison. Christelle a une réunion importante avec de gros clients ce soir et m’a prévenue que cela se prolongerait par un diner d’affaires dans un restaurant de la capitale. Elle aussi, quand elle veut séduire, elle sait y faire et elle a plus d’une fois remporté des marchés intéressants grâce à ses sourires, ses décolletés généreux et ses diners bien arrosés. Je ne suis pas de nature jalouse et j’ai pleinement confiance en elle, donc ce genre de soirée ne me dérange pas le moins du monde. Je m’installe confortablement dans le canapé et m’apprête à regarder un bon film tranquillement quand soudain quelqu’un sonne à la porte. C’est pas vrai ! Qui peut bien venir me déranger en soirée comme ça, surtout à l’improviste. Je me dirige énervé vers l’entrée avant de me calmer très rapidement en ouvrant la porte : il s’agit de Barbara, l’une de mes 2 charmantes belle-sœur. Elle est en larmes…
« Oh Rowan, je suis contente que tu sois là ! » dit-elle avant de fondre en pleurs sur mon pallier.Un peu abasourdi par la scène, je m’approche d’elle et l’enlace en essayant de la calmer : « Mais qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi es-tu dans un état pareil ? ».Comme seule réponse, elle enfonce sa tête dans mon épaule et pleure de plus belle. Les seuls mots que j’arrive à distinguer sont : « J’en ai marre… j’en peux plus… ».« Allez rentre, on ne va pas rester comme ça devant l’entrée ».Je l’invite donc à me suivre et la fait s’asseoir dans le canapé. Je coupe le téléviseur et je vais lui chercher une boite de mouchoirs et un verre d’eau. Quand je reviens, elle semble déjà se calmer un peu. Je lui tends ce que je lui ai apporté et je m’assieds dans le fauteuil en face d’elle :« Merci… Christelle n’est pas là ? » dit-elle.« Non, diner d’affaires. Elle ne rentrera certainement pas avant minuit, désolé ».« Ah… mais bon, toi tu es là… c’est déjà ça ».« Si tu m’expliquais ce qui te mets dans un état pareil, encore un garçon ? ».
Je me suis toujours bien entendu avec mes belles-sœurs et je suis devenu un peu comme un confident, un grand frère. Barbara a une vie sentimentale compliquée. Elle aime jouer avec les garçons et cela lui a déjà joué de vilains tours. Ses histoires ne durent jamais très longtemps et je l’ai déjà vue plus d’une fois en larmes à cause d’une histoire mal terminée. Mais ce soir, je la vois bouleversée comme jamais.« Non, rien à voir. C’est Amandine… on s’est encore disputée… » me répond-elle entre 2 gorgées d’eau.« C’est pas la première fois ».« Oui, je sais. Mais ici, c’est parti en vrille comme jamais… ».« Raconte… »
Barbara me raconte alors son début de soirée. Un anniversaire fêté en famille chez sa mère. Barbara et Amandine sont encore aux études et vivent donc encore chez leurs parents. Mes beaux-parents, que je n’apprécie pas du tout, sont très portés sur la bouteille et presque chaque évènement familial se termine en beuverie, avec toutes les dérives habituelles auxquelles l’abus d’alcool conduit généralement. Et comme de fait, ce soir encore, l’alcool a coulé à flot. Tout serait parti d’une réflexion de Barbara à propos du dernier ex d’Amandine. Le ton est monté, les noms d’oiseaux ont volés et Amandine est partie de chez elle en claquant la porte. Problème : elle a pris sa voiture sans dire où elle allait, complètement saoule et elle ne daigne pas répondre au téléphone.« Juste avant de partir, elle a dit qu’elle en avait marre de tout et qu’on aurait bientôt plus à se soucier d’elle… » termine Barbara avant de repartir en larmes.« Tu crois qu’elle serait prête à faire une connerie ? »« J’en sais rien, je n’en plus de cette ambiance pourrie à la maison. Mais bon, c’est ma sœur ; même si c’est vrai qu’on se dispute constamment, je n’ai pas envie de la perdre… »Je me lève pour la rejoindre dans le canapé et l’enlace à nouveau pour la réconforter.« Bon calme toi. Tu peux rester ici aussi longtemps que tu veux, tu ne me déranges pas. De mon côté, je vais essayer de la joindre pour voir où elle est. »« Elle ne te répondra pas… » balbutie-elle.« On ne sait jamais, je me suis toujours bien entendu avec Amandine ».« Forcément, tu te montres toujours gentil avec nous… et tu es bien le seul » me répond-elle en ponctuant sa phrase d’un petit sourire. On dirait qu’elle se calme un peu, c’est déjà ça.
Je lui sers un autre verre et pars dans la cuisine pour essayer de joindre Amandine. Après plusieurs appels laissés sans réponses, elle décroche enfin. Commence alors une longue conversation pendant laquelle je remarque qu’en effet, elle est bien éméchée. A force de négociations, j’arrive à lui soutirer l’endroit où elle se trouve et lui promet de venir l’y rejoindre pour discuter. Je rejoins Barbara dans le salon. Elle a allumé le téléviseur et ne me vois pas arriver. Pour la 1e fois de la soirée, je profite d’un peu de calme et je prends la peine de l’examiner. Cheveux mi-longs, blonds, yeux émeraudes, visage aux très fins, j’ai toujours été fasciné par sa beauté naturelle. Niveau goûts vestimentaires, elle a toujours l’art de porter des choses d’apparences toutes simples mais qui lui vont à ravir et qui mettent ses charmes en valeur. Ce soir, elle porte une robe légère avec un joli décolleté appétissant, qui donne un bel aperçu de sa poitrine, certes un peu légère mais très à mon goût. Une des bretelles est sur le point de glisser et elle ne semble pas porter de soutien-gorge. La robe doit s’arrêter au dessus du genou mais affalée comme elle est dans le canapé, le tissu est remonté plus haut que la mi-cuisse ce qui me donne l’occasion de profiter de ses jolies jambes. Il se dégage d’elle comme une aura sensuelle qui m’attire. Me voilà seul à la maison, avec une jeune fille bouleversée qui est loin de me laisser indifférent. Des idées coquines commencent à me venir à son sujet lorsqu’elle tourne la tête vers moi pour me voir debout dans l’encadrement de la porte :« Alors ? » demande-t-elle.Son interrogation me sort de mes rêveries.« J’ai pu la joindre, je sais où elle est. Je vais jusque là pour essayer de la calmer. »« Tu vas me laisser seule ? » me questionne-t-elle l’air un peu boudeur.« Je n’en ai pas pour longtemps, elle est tout prêt. Et vu son état, je préfère aller la chercher. Mais t’inquiète pas, fait comme chez toi, installe toi confortablement, je vais revenir ».« Ok. Tu n’aurais pas quelque chose de plus fort ? » me dit-elle en me montrant son verre vide.En réponse, je lui montre le bar où se trouvent toutes nos bouteilles :« Je crois que tu as de quoi faire… mais n’abuse pas quand même ».
Elle se lève, entame une démarche vers moi que je trouve particulièrement féline et viens me susurrer à l’oreille : « Allez, pars sauver la jeune princesse… et traine pas trop si tu ne veux pas que je vide ton bar ».Elle finit sa phrase par un baiser déposé à la limite de mes lèvres, ce qui a le don de me troubler.Je reprends mes esprits, attrape mes clés et prend ma voiture pour rejoindre Amandine. Avant de démarrer, je me retourne une dernière fois vers la maison et marque un temps d’hésitation. Ce n’est pas tous les soirs que j’aurais l’occasion de me retrouver seul ainsi avec Barbara chez moi, surtout dans cet état là. Je pourrais peut-être en profiter pour… non, pas question ! Je me reprends, démarre le moteur et prend la route des falaises, là où m’attends Amandine.
Et d’une…
20 petites minutes plus tard, me voilà arrivé au sommet du chemin des falaises qui s’apparente plus à un sentier qu’à une route carrossable. J’aperçois alors dans la lumière de mes phares, la voiture d’Amandine et une silhouette aux courbes féminines qui se tient debout juste devant. Je me gare et laisse mes phares allumés car il n’y a aucune autres source lumineuse aux alentours. Je descends et rejoins Amandine qui se tient debout, une bouteille d’alcool presque vide à la main, le regard fuyant vers le large. Elle aussi porte une robe légère. Si je trouvais celle de Barbara simple mais sensuelle, celle d’Amandine est beaucoup plus sexy. Elle porte une longue robe rouge écarlate qui laisse son dos complètement nu, laissant presque deviner le début de ses fesses. Sur le côté, une fente laisse entrevoir presque toute sa jambe :« Pas peur d’attraper froid ? » lui dis-je.Elle se retourne vers moi pour me faire découvrir la vue avant qui est à la hauteur de celle de l’arrière. Je me fais en effet accueillir par un décolleté plus qu’indécent qui ne doit pas s’arrêter bien loin du nombril. Amandine, jolie brune au regard noir, a une poitrine beaucoup plus généreuse que ces 2 sœurs et ce soir, dans cette tenue et dans la lumière de mes phares, je trouve ses seins particulièrement désirables. Décidément, mes belles-sœurs ont décidé de ne pas épargner mes sens ce soir.
« J’ai de quoi me réchauffer t’inquiète » me répond-t-elle en me montrant sa bouteille d’alcool bien entamée ; « Et si c’est pour me faire des réflexions désagréables sur ma tenue, j’y ai déjà eu droit, merci ! » achève-t-elle sur un ton dur.« Si tu veux mon avis sur ta tenue, elle te va à ravir. Même si elle est peut-être un peu trop sexy pour un souper familial ».« Je vois qu’on t’a déjà tout raconté ! » lâche-t-elle sèchement.« Calme toi, tu veux ? Si je t’ai rejoins ici, ce n’est pas pour m’embrouiller avec toi. » lui dis-je tout en m’approchant d’elle.« Je voulais juste me sentir belle… » répond-t-elle beaucoup plus douce, l’air triste et mélancolique. On dirait qu’elle aussi va se mettre à pleurer.Je me rapproche encore, je la prends dans mes bras et la serre contre moi. Vu la légèreté de sa robe, je ne peux faire autrement que placer mes mains dans son dos et entrer directement en contact avec sa peau, ce qui me trouble un peu. Je lui demande doucement : « Qu’est ce qui se passe ? ».« Il y a une semaine, j’ai voulu passer à l’improviste dire bonjour à mon mec et je l’ai trouvé au lit en train de se faire monter par une pouf… Rien ne tourne jamais comme je veux, j’en ai marre, je me sens si seule… » m’explique-t-elle.« Je comprends mieux. L’alcool aidant, les réflexions de ta sœur ont fait mouche et tu ne l’as pas supporté… »
« Tu me trouves jolie ? » me demande-t-elle alors sans transition.« Euh… oui, bien sûr ».« Tu parles ! T’as hésité avant de répondre ! » s’énerve-t-elle en relevant la tête pour s’écarter de mes bras.« Mais non, c’est juste que je ne m’attendais pas à cette question. Tu deviens une belle femme, je t’assure ». Ma réponse semble la calmer un peu.« Alors pourquoi j’ai tant de mal à garder les hommes près de moi ? » m’interroge-t-elle.« Tu sais, faut pas toujours essayer de comprendre les mecs. L’origine du problème ne vient probablement pas de toi. »« Alors je dois pas être un bon coup ! »« Je te demande pardon ? » dis-je alors.« Oui… ca fait la 5e fois qu’un de me mec me trompe ou me quitte pour un plan Q. C’est pas normal, c’est que je ne dois pas les satisfaire suffisamment niveau sexe ».« C’est peut-être que tu as l’art de tomber sur de vrais connards. Les garçons de ton âge ne sont pas toujours très doués pour remarquer la perle qu’ils tiennent entre leurs mains ».
« Ca s’est gentil, tu t’es toujours montré très gentil avec moi. J’aurais bien aimé… » elle interrompt sa phrase tout en se rapprochant pour se coller à moi, nos corps sont l’un contre l’autre, ses lèvres à quelques centimètres des miennes. Elle poursuit alors en murmurant : «… j’aurais bien aimé rencontrer un garçon comme toi ». Je ne sais quoi répondre et nous restons là, yeux dans les yeux quelques minutes, sans dire un mot. La chaleur de son corps collé au mien et la proximité de son visage commencent à faire naitre des envies au niveau de mon bas ventre.« Tu pourrais peut-être me rendre service » dit-elle pour rompre le silence.« Euh… oui, pourquoi pas. Dis toujours ».« Tu pourrais m’évaluer ? ».Vu l’objet de la discussion, j’ai peur de comprendre alors je joue l’innocent :« De quoi tu parles ? »« J’aimerai que tu m’essayes pour me dire si je suis un bon coup ou pas ».On ne peut être plus clair et j’avais donc bien compris. Je sens la situation m’échapper, tout pourrait basculer très vite.« Tu es saoule, tu ne sais pas ce que tu dis. Je suis ton beau-frère, on ne peut pas… »Elle pose alors un doigt sur mes lèvres pour m’interrompre :« Ivre ou pas, j’ai envie de toi et ça date pas d’aujourd’hui ! Et avant d’être mon beau-frère, t’es un mec ; donc tu as tout ce qu’il faut pour m’évaluer ». Elle souligne alors sa phrase en posant sa main droite sur la bosse qui a commencé à se former dans mon pantalon.
Seuls au milieu de nul part, collé corps à corps contre une jeune fille magnifique et désirable, qui plus est vêtue d’une robe à damner un saint, il était difficile pour moi d’essayer de suivre ma bonne conscience et de refuser ses avances. Alors quand elle approche encore un peu son visage pour poser ses lèvres sur les miennes, je réponds à son baiser et nos langues s’entremêlent fiévreusement. Mes mains se reposent sur son dos nu et commencent à caresser sa peau. Puis, l’une d’entre elles se glisse dans la fente latérale de sa robe pour rencontrer très vite l’élastique d’un string en dentelle que je devine. La 2e main l’imite de l’autre côté et je commence alors à palper ses fesses sous le tissu de sa robe, tout en continuant notre baiser. Les mains d’Amandine ne restent pas inactives. Elle a tôt fait de défaire mon pantalon et de sortir ma queue, qui a déjà pris une belle taille, et commence à me masturber délicieusement. Mes lèvres quittent les siennes pour descendre vers son cou, je sens la jeune fille bouillir de désir et prête à se faire cueillir. Elle halète et soupire déjà comme si aucun mec ne l’avait touchée depuis des mois.
Soudain, à peine le temps de me rendre compte de ses intentions, Amandine s’accroupit pour mettre son visage à hauteur de mon sexe, tout en continuant ses caresses habiles. Elle commence alors à lécher le bout de mon gland, puis, en alternance, dépose des petits baisers mouillés tout le long de ma queue. Après quelques minutes de ce jeu délicat, elle plonge son regard dans le mien, ouvre la bouche et y introduit d’un geste décidé quasi l’entièreté de mon sexe en une fois. Je réalise à peine ce qui est en train d’arriver. Ma belle-sœur, cette jeune fille que j’ai connue toute gamine, qui s’asseyait parfois sur mes genoux et que j’ai vu grandir, est en train de me faire l’une des meilleures fellations de ma vie. A la voir bouffer ma queue avec avidité comme elle le fait, c’est à se demander comment ses mecs précédents ont pu ne serait-ce qu’envisager aller voir ailleurs. Le traitement qu’elle me fait subir est un vrai délice.
Sentant monter le plaisir, je décide de mettre fin à ses attentions avant le point de non retour. A mon tour maintenant de m’occuper d’elle. Je me retire donc de sa délicieuse bouche et l’invite à se relever. D’elle-même, elle se dirige alors vers le capot de sa voiture pour s’y appuyer. Elle me fait face et porte ses mains derrière son cou pour défaire le nœud qui retient les pans supérieurs de sa robe. Se dévoilent alors 2 magnifiques seins aux tétons bien rouges et bien tendus. Pris d’une folle envie de les embrasser, je m’approche d’elle mais elle me fait barrage en tendant une jambe vers moi, me faisant comprendre que la demoiselle a envie de jouer. Elle porte sa main à sa bouche et se lèche sensuellement l’index. Elle fait de même avec l’autre main puis commence à se titiller les tétons et à se caresser les seins en se léchant les lèvres. Mais quelle allumeuse ! Un vrai volcan en éruption cette fille ! Elle se retourne ensuite et se couche face vers l’avant sur le capot de sa voiture. De ses 2 mains elle relève le tissu de sa robe pour me dévoiler un superbe cul toujours contenu dans un string minuscule en dentelle noire qui met ses 2 globes fessiers encore plus en valeur. Tournant la tête de côté pour de nouveau plonger son regard dans le mien, elle retire d’elle-même son dernier rempart en le faisant glisser le long de ses jambes. Elle accompagne ce geste d’un sourire des plus coquin, sourire qu’elle souligne en continuant de jouer avec sa langue sur ses lèvres humides. Une vraie pose de salope en rut. Une fois le string disparu, j’ai une vue imprenable sur son petit abricot. N’y tenant plus, je m’approche d’elle et conduis directement une main vers son entrejambe. Sans ménagement, je lui enfonce un doigt dans une chatte humide comme jamais et bouillante d’excitation. Un 2e doigt le rejoint bientôt.
Des soupirs et des râles s’échappent alors de sa bouche, pendant que mes doigts s’activent dans sa chatte dégoulinante. J’alterne les va-et-vient rapides et les caresses internes plus douces. De mon pouce, j’essaie en même temps de titiller son clitoris qui semble très réactif. Je reste à l’écoute des bruits qu’elle fait pour calquer mon rythme sur le sien. Je la sens monter en puissance dans les affres du plaisir et commence à attraper des crampes au poignet. Sentant son orgasme proche, je ne faiblis pas et je suis récompensé quelques secondes plus tard par des cris plus intenses et des mouvements saccadés de son bassin qui trahissent le plaisir ressenti :« Putain, que c’est bon, j’ai la chatte en feu ! Vient y mettre ta queue pour me calmer, j’ai trop envie ! Prends-moi !! ».Comment refuser une telle invitation ? Je pousse donc mon bassin vers l’avant et mon sexe dur comme jamais vient se mettre là où mes doigts se trouvaient il y a quelques instants encore. L’excitation de la demoiselle rend la pénétration facile et agréable, ça rentre tout seul.
L’état dans lequel cette salope m’a mis ne laisse plus place à la délicatesse. Je pose mes mains de chaque côté de ses hanches pour mieux la saisir et entreprend des allées et venues régulières et rythmées dans sa grotte du plaisir. Ses cris reprennent de plus belle et Amandine ne parvient plus à aligner des phrases cohérentes :« Ah oui, vas-y… prend… aah… prends moi bien. Oui, plus profond, comme… aah… comme ça… »« Tu la sens bien ma queue, salope. Hein ? »« Oh ouuiii… j’adore me faire… monter comme çaaahhh… Putain, tu me déf… défonces… trop bon, viiiii… »Mes pénétrations sont de plus en plus intenses, j’accélère mon rythme en continu, je la défonce tellement que j’ai parfois l’impression de buter contre le fond de son vagin. Mon endurance m’étonne moi-même mais cette salope est tellement chaude qu’elle parviendrait à donner la trique à un mort. Mes coups de butoirs la plaque contre sa voiture, ses seins s’écrasent sur le capot. Je sens le plaisir arriver à la base de ma queue. Je la préviens que je vais cracher et que je vais me retirer :« Pas question ! » dit-elle en parvenant à se cambrer pour se relever.« Ne me prive… aaah… pas du meilleur !! Explose… hummm… sur… moi… mes seins !!! ».Je me retire alors de sa chatte dégoulinante de plaisir. Elle se retourne et s’agenouille à nouveau mais pour prendre ma queue entre ses 2 gros seins. Pour terminer notre ébat en beauté, ma belle-sœur m’offre ma première branlette espagnole… le pied !! Je ne contrarie pas la belle et je jette mes forces dans des derniers coups de rein qui m’achèvent et nous conduisent tous les 2 vers des orgasmes simultanés et violents, lorsque des jets de mon foutre viennent s’écraser sur le cou et le visage de ma divine partenaire.
Quelques minutes sont nécessaires pour reprendre nos esprits. Je tends des mouchoirs à Amandine qui s’essuie le visage et réajuste sa robe. Ensuite, tous deux assis dans l’herbe, Amandine se place entre mes jambes et pose sa tête contre mon torse pendant que je l’enlace tendrement. C’est elle qui rompt le silence en 1er :« Alors, verdict ? »« Grande distinction ! Avec les félicitations du jury ! », ma réponse la fait rire.« Tes mecs sont des idiots. Tu es une vraie bombe affamée de sexe, un super coup. Je ne vois pas du tout ce qu’ils ont été chercher ailleurs ».« Merci pour ta franchise. Faut dire qu’aucun d’entre eux n’avait réussi à me mettre dans un tel état d’excitation… c’était si bon, si fort.».« Ils n’ont certainement pas réussi à découvrir tous tes talents. Faut savoir où mettre el doigt pour déclencher la furie féminine… » ma dernière réflexion la fait encore rire et cette fois je l’accompagne.« Faut penser à rentrer maintenant, je vais te raccompagner chez toi » dis-je enfin.« Et ma voiture ? » me demande-t-elle.« On verra demain, je te laisse pas prendre le volant dans cet état. Elle ne risque rien ici de toute façon ».« Cool… ca veut dire qu’on se verra demain alors ! » dit-elle en se retournant avant de déposer un baiser plus tendre sur mes lèvres.« On verra comment se passera demain, allez : en voiture ! ».
Un quart d’heure plus tard, je m’arrête devant la porte des beaux-parents.« Merci d’être venu me rejoindre, » dit-elle d’une voix redevenue toute douce, « j’aurais pu… »« Tu m’as déjà largement remercié par ta prestation, n’en parlons plus ».Nous échangeons un dernier baiser avant qu’elle quitte l’habitacle. Une fois dehors debout à côté de la portière ouverte, je la vois se trémousser dans la pénombre. Je me demande ce qu’elle fabrique quand je la vois me tendre son string :« En souvenir d’une chaude soirée… en espérant qu’il y en aura bien d’autres, beau-frère chéri » et elle me dit définitivement au revoir cette fois par un clin d’œil coquin qui laisse présager des rencontres prochaines très intéressantes.Quelques minutes plus tard, je me gare dans mon allée, il n’est pas loin de 23h. Voilà presque 1h30 que je suis parti de chez moi. Je vérifie mon GSM et découvre un message de Christelle qui me signale que, le diner se prolongeant, elle ne sera certainement pas rentrée avant 2h du matin. Bonne affaire ! J’ai encore une 2e belle-sœur à gérer, installée dans mon salon. En espérant qu’elle n’ait pas vidée tout mon bar !
A suivre...
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