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Suite des aventures sexuelles débridées de Patrick.

Chapitre 9

Un véritable piège à filles.

Hétéro
LE HAREM DE PATRICK
27ème EPISODE

La sœur de Claire découvre la bite de Patrick
Le lendemain matin, prenant mon courage à deux mains, je les retrouve au salon. Claire est en peignoir et vient m’embrasser. Patrick, lui, est en short et torse nu. Il se lève en souriant pour m’embrasser et me dire :

— Bonjour, Stéphanie, bien dormi, tes rêves étaient agréables ?

Quel culot de me dire cela ! Je deviens toute rouge lorgnant son short où je sais que sommeille cette bête sauvage. La matinée s’écoule lentement et Patrick se montre galant avec moi; il me plaît de plus en plus. Nous déjeunons; et une fois fini, Claire m’annonce qu’elle va avec Claude emmener les enfants à une fête organisée par une copine de classe, me laissant seule avec Patrick pour l’après-midi.
Patrick s’est installé dans le divan, je m’approche de lui et m’assieds à ses côtés; au bout d’une demi-heure, je n’y tiens plus et me lâche complètement, j’ai envie de lui ! Je n’en reviens pas de ce que j’ai vu cette nuit et je ne peux plus me retenir, complètement folle de désir. Je me blottis dans ses bras et l’embrasse à pleine bouche. N’en pouvant plus, je me plaque contre lui, nous nous serrons très fort l’un contre l’autre et nous embrassons à en perdre la respiration.
Haletants, nous nous séparons et je lui dis que je désirerais aller plus loin. Il n’y voit, bien sûr, aucun inconvénient, me disant que ma sœur l’avait prévenu.
Nos langues s’enlacent et se frottent dans nos bouches, sa main caresse mon dos puis mes fesses à travers ma jupe. Je gémis et me presse contre son ventre. Je ressens la raideur de son sexe déjà tendu. Son autre main se pose sur mon sein bien ferme qu’il caresse à travers la veste du tailleur. Après cette longue étreinte; nous nous séparons et nous nous sourions. Je lui avoue :
— Tu me plais beaucoup, mais je veux que tu saches que pour moi c’est une véritable redécouverte. Cela fait un moment que mon mari ne me touche plus, mais j’en ai sincèrement très envie avec toi, refais-moi découvrir les câlins d’un bel amant.

Il déboutonne ma veste de tailleur et découvre un tout petit débardeur qui dévoile mon nombril. Il glisse sa main sous mon débardeur et saisit mon sein droit enveloppé d’un très fin bonnet de soutien-gorge au travers duquel il frotte mon téton durci. Il embrasse mon cou, ma gorge, la naissance des seins tout en continuant à me peloter. Je m’offre en ronronnant comme une chatte. Ma jupe remonte sur mes superbes cuisses qui sont légèrement entr’ouvertes. Il caresse la partie de ma cuisse offerte à sa vue, puis glisse le bout de ses doigts sous l’ourlet qui borde ma jupe.
Je continue de lui sourire et me déplace légèrement de telle façon que l’accès à ma féminité lui soit facilité. Je l’embrasse et je laisse remonter sa main sous ma jupe. Je l’enlace, écartant mes jambes davantage; m’offrant à lui.
Il me soulève dans ses bras et me porte sur le lit de ma chambre. Je me mets à rire; nerveuse et excitée. Il s’allonge contre moi et dégrafe mon soutien-gorge. Il se retrouve face à deux superbes globes à la peau claire, surmontés de deux tétons roses dressés et durs au centre de petites aréoles. Il pose sa main câline sur l’un des globes et sa bouche sur le deuxième téton. Il suce, lèche, aspire. Il continue à sucer mon sein tandis que sa main descend et caresse mon ventre. Je gémis de plus en plus. Sa main poursuit sa descente sur ma culotte puis sur la chair nue de mes cuisses.

Je me mets à le caresser et il en profite pour saisir l’une de mes mains, l’amène lentement vers son pantalon et la pose sur une énorme bosse. Je frémis, je descends la fermeture éclair, et me mets à le caresser et à prendre la mesure de son organe en le palpant ainsi que ses bourses à travers son slip. Pour m’encourager, il me suggère:
— C’est bien, chérie, tu es très douée et j’adore la douceur de ta main !— J’aimerais te retirer ton slip, Patrick. — Vas-y, Stéphanie.
Il retire son pantalon, je descends lentement son slip et sa queue bien tendue en jaillit se dressant fièrement devant moi. Je pousse un "Oh !" de surprise tout en regardant fixement son fier attribut, retire complètement son slip.
— Tu sais, c’est la deuxième queue que je découvre dans ma vie. Avant, je n’avais vu que celle de mon mari. Mais ta queue est nettement plus... fabuleuse !

J’attrape le beau membre en érection, j’ai mon visage tout près de l’énorme braquemart. Je l’observe, le caresse, le branle doucement. Ma main n’en fait pas le tour tellement il est gros, mes deux mains ne le couvrent pas sur toute la longueur. C’est impressionnant.
J’apprécie la beauté du membre en érection, la lourdeur du sexe raidi, soupesant les grosses boules, le branlant avec douceur. Je serre très fort le long tuyau de chair, lui donnant plus de fermeté, c’est un vrai bout de bois comparé à celle de mon mari qui bande mou. La tête sur son épaule, je regarde le monstre que je tiens en main, mes yeux écarquillés fixent le gros gland dilaté.
Je regarde sa queue comme on regarde une glace délicieuse qu’on s’apprête à déguster. Ma gourmandise est visible, l’envie est patente. J’approche ma tête de son engin et passe ma langue tout doucement autour du gland; lui lèche la hampe en lui malaxant les couilles. J’ai oublié ma réserve et m’active. Je l’astique, en fais le tour avec ma langue, dirige le gland vers ma bouche et l’introduis doucement.
— Ça ne rentrera pas, me dis-je. Impossible.
Je le ressors, y retourne, le ressors, le branle. Enfin, j’ai le gland dans la bouche. Je me gave de bonheur, essayant de le faire entrer au plus profond dans ma gorge tout en masturbant le reste de sa verge, mais l’engin est si gros qu’il ne peut aller bien loin, occupant pleinement ma bouche offerte qui bave généreusement... Je le branle de plus en plus vite pendant qu’il met sa main sur mon clitoris et le caresse tellement bien qu’il me fait jouir. Il s’en aperçoit.
J’ai son gros mandrin dans ma main droite, c’est agréable de le masturber, je descends son prépuce décalottant un gland violacé, je remonte ma main et recommence de plus en plus vite. Je m’active bien dix minutes, mais n’arrive pas à le faire jouir; ce n’est pas de ma faute, il aime ce que je lui fais; seulement, il est drôlement résistant. Je continue un peu. Il me demande de le sucer. J’ouvre très grand ma bouche pour essayer à nouveau d’avaler son sexe. J’arrive à en prendre une partie. Finalement, je préfère lui lécher la queue de haut en bas m’arrêtant un peu à son gland. Je ressens les pulsations de sa bite. Je décide de le faire jouir et le reprends en bouche au moment même de son premier crachement. Il se met à jouir tellement fort que je me fais surprendre par ce fabuleux jet.
— Tiens ! Avale ma crème ! s’exclame-t-il.

J’en avale une partie. Mais comme il éjacule en longs jets très copieux, ma bouche est de nouveau pleine de sperme avant que je ne puisse retirer son sexe. Quand j’arrive à le sortir, je reçois sur mon visage une giclée de semence épaisse et odorante, j’en ai partout. Cela me coule au bord des lèvres et dans le cou jusqu’entre les seins. Je crois étouffer. J’en avale encore avant de pouvoir recracher le reste. Je n’ai jamais vu une éjaculation pareille, aucune comparaison avec les quelques gouttes qui suintent de la queue de mon mari.
Malgré cette jouissance, il ne débande même pas !!!!!!!Arrive le moment que je redoute, il veut me baiser; il me retourne sur le dos, et se couche sur moi; j’écarte les jambes, et il vient poser sa bite juste à l’entrée de mon vagin. Il commence à entrer un peu son gourdin. Il me fait mal, je le lui dis. Il sait qu’il a une grosse queue et pratique avec douceur. Il force un peu; heureusement que je suis très excitée. Je suis très mouillée et cela l’aide beaucoup. Il s’enfonce encore un peu et je sens son gland forcer mon vagin.
Soudain, il me retourne, se mettant sur le dos en me laissant l’initiative, j’essaie de m’introduire ce membre que je crois trop imposant pour mon fourreau. Perdant toute raison; je m’assieds sur son gourdin, m’empalant sur la verge qui petit à petit s’enfourne dans mes entrailles. Je gémis et pousse un cri de douleur, mais j’ai perdu la raison, car inexorablement je laisse l’engin dévaster mes muqueuses, sentant que je ne peux même plus essayer de me retirer, trop obnubilée par ce que je suis en train d’accomplir.
Patrick donne un coup de reins pour pénétrer cette chair qui s’offre à lui et soudain je m’affale dans un cri de plaisir, empalée jusqu’à la garde sur sa phénoménale verge. Il reste sans bouger un moment, c’est bizarre comme impression, je suis remplie comme jamais et pourtant je sens le plaisir monter, à tel point que c’est moi qui commence les allers-retours. Il m’accompagne et je sens un long jet de cyprine dans mon con. Je jouis comme jamais inondant son corps...
Je l’entends rire et me mets à rire également. Il me soulève, et se retire avec douceur; presque totalement, seul, son gland est toujours dans ma chatte, puis il agrippe mon cul de ses deux mains et d’un violent coup de reins; il m’enfonce sa bite jusqu’au bout ! Je hurle de plaisir. Il recommence, je hurle de plus belle, je n’ai jamais joui si fort. La taille de son sexe me rend folle, m’élargissant les entrailles, je jouis encore une fois, à bout de force.Ses mouvements se font plus doux, mais je sens deux doigts s’introduire dans mon cul, le reste de ses mains tenant toujours mes fesses. Il reprend son pilonnage dans ma chatte tout écartelée, je crie de jouissance, je lui demande d’arrêter, je n’en peux plus.
Il semble ne plus m’entendre, submergé par le désir; il me caresse les seins, m’attire à lui et m’embrasse, il me prend la bouche avec violence, je suis une poupée dans ses bras et il me travaille dans toutes les positions pendant près de vingt minutes. Soudain, sa verge grossit encore, il va jouir.Il se retire brutalement de mon ventre, et sa semence s’étale sur mon corps; un jet m’arrive dans le cou, d’autres sur mes seins et enfin sur mon ventre, je ne les compte plus, je ne pensais pas qu’un homme pouvait produire autant de foutre. Il passe ses doigts dans son sperme puis me les porte à la bouche; je goûte sa semence et trouve le goût légèrement salé.
Il s’est redressé à genoux sur le lit, bandant toujours; c’est un cas rare, je n’ai jamais vu cela, il faut dire que je n’ai que mon époux comme comparaison et avec lui en dix minutes tout est dit.Patrick s’adresse à moi:
— Maintenant ton cul va bouffer ma bite !
Je m’écrie:
— Patrick, je suis vierge de ce côté-là et tu es si gros, je ne pourrai jamais accepter ton gourdin !
J’ai peur, je tolère qu’on enfonce quelques doigts dans mon petit trou, mais cela s’arrête là. Et je ne veux pas que la première bite qu’on m’y enfonce soit monstrueusement grande. Mais je suis épuisée... J’abandonne la partie.
Il me tourne sur le ventre et me dit de me mettre à quatre pattes en levrette. Sa bite est posée sur mon cul. Il le mouille avec sa salive, étale de la mouille et du sperme sur mon anus et enfonce son majeur tout entier, puis un deuxième doigt. Il les fait aller et venir, puis tourner dans mon cul. Je sens un troisième doigt s’y introduire. La sensation est très étrange, je ne ressens ni plaisir ni douleur, mais c’est spécial.
Mon trou s’élargit et Patrick tente d’y introduire son gland. Je l’entends souffler fort et mon sphincter se referme sur sa queue, il grogne, et essaie d’enfoncer son pal dur comme une barre de fer plus profondément. Mais je suis si tendue que je ferme le passage. Je sens le corps de Patrick se tendre également. Il appuie sa verge de toutes ses forces faisant pénétrer le gland dans mon petit trou.
La douleur est terrible, je crie et le supplie d’arrêter. Sa bite progresse doucement, mais sûrement, dans mon anus; elle me déchire, mais s’enfonce toujours davantage. Je pleure, mais il ne peut le voir. Il veut rentrer tout entier, de ce fait il se penche sur moi et s’appuie de tout son poids sur mon corps, ses mains me caressent maintenant les seins.
— Putain, que tu es serrée !— Oui, mais tu es si gros, si long, si dur !...— Tu sais, je ne suis même pas rentré à moitié encore !

Je suis restée sans voix. Je me sens tellement pleine que je pensais qu’il m’avait introduit sa queue en entier. Patrick s’engage dans mon rectum encore plus loin et je me mets à crier de douleur et de plaisir. J’ai l’impression que l’on m’enfonce une barre de fer chauffée au rouge dans le ventre et je m’évanouis presque.
— Chéri, tu me laisses m’habituer, hein ?

Il ne répond pas, se contentant de légers mouvements de sa queue dans mes entrailles.Progressivement, je commence à m’habituer à ce pieu de chair dans mon orifice et je me mets à onduler d’avant en arrière, sentant sa queue aller au plus profond de mes entrailles à chaque fois.
— Tu commences à aimer ça, hein ?

Passant ses mains sous mon corps, Patrick me saisit alors par les seins et se met à me donner de grands coups de reins, faisant coulisser son membre le plus loin possible.
— Tu es vraiment étroite ! T’as vraiment un cul de vierge !
J’ai glissé ma main sous moi pour me branler le clito car je sens que je vais jouir, et tout d’un coup, il s’écrie :
— Ah, ça y est Stéphanie, je suis au fond de ton cul !

Je sens ses couilles buter contre ma chatte et il s’immobilise. De le sentir en entier en moi me clouant de douleur déclenche mon orgasme et je jouis en hurlant.Puis Patrick reprend de nouveau ses va-et-vient, me labourant l’anus de son engin d’amour avec des coups de plus en plus forts, de plus en plus amples et de plus en plus rapides. Il se déchaîne désormais dans mon cul en me traitant de tous les noms.
Chaque poussée de sa queue dans mes reins me tord de douleur, mais aussi de plaisir. Son sexe continue à remplir mon cul, la douleur s’atténue et je me détends. Je sens son énorme bélier aller et venir dans mon anus avec force et chaque fois, il l’enfonce jusqu’au bout.
Après ses deux premières jouissances, il a l’éjaculation paresseuse et l’on voit que c’est un athlète avec beaucoup d’endurance. Je me suis fait encore besogner une vingtaine de minutes et connais un nombre incalculable d’orgasmes avant qu’il ne rende les armes.
Il "dé-cule" et à peine la queue sortie de mon petit trou, je me retourne et la prends à deux mains.
— Viens, vite... Donne-moi ta semence, donne-moi tout.....
Ma demande le libère, il se vide aussitôt... Du sperme est projeté sur la moquette, sur les draps, sur mes mains, sur mon visage, sur mon ventre. Comment peut-il cracher une telle quantité de liquide alors qu’il jouit pour la troisième fois en moins de deux heures ?Je commence à comprendre ce que veut dire Claire en affirmant que Patrick est très spécial. Mais ce n’est pas Dieu possible, il est toujours aussi gros, et n’a pratiquement pas débandé!Je réalise enfin que cet étalon, vu ses capacités et vu son outil exceptionnel, ne peut être l’homme d’une seule femme, et comprend mieux le comportement de "son harem". Je le supplie:
— Patrick, mets-moi enceinte, s’il te plaît !— Je suis ton serviteur, si tu veux on recommence tout de suite et cette fois, je te remplis l’abricot !
Et comme il est un homme de parole, il passe à l’acte.Tout le monde est rentré à la maison. Claire vient me voir et me demande d’un regard rieur.
— J’espère que tu as bien utilisé le gros jouet de Patrick et qu’il t’a réconciliée avec la gent masculine; sacré étalon, hein ?.....
Je rougis de la tête aux pieds et m’exclame.
— Tu savais ce qui allait se passer n’est-ce pas ? Pour répondre à ta question, je ne savais pas ce que c’était que faire l’amour avant Patrick, mon mari ne lui arrive pas aux chevilles. Et je comprends mieux que vous vous partagiez un tel homme.— Eh oui ! me rétorque Claire; en accord avec Patrick, Claude et moi avons préparé cette sortie pour vous laisser seuls sachant que tu allais passer à la casserole avec notre maître queux !
Bienvenue dans le « Harem de Patrick »
Nous explosons de rire.J’ai quitté mon mari quelques mois plus tard et ai emménagé maintenant pas bien loin de ma famille avec ma ravissante petite fille, fruit de nos étreintes torrides et répétées.
Fin de la saga : Le harem de Patrick
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