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Suite et fin week end triolisme avec Blacky

Chapitre 3

Inceste
"Tu vas venir avec moi et je vais te laver" me dit Alain.
J’étais encore plus surprise, pourquoi tant de gentillesse.
Nous sortîmes de la grange et nous rentrâmes dans la maison, il me prit la main comme une petite fille pour me diriger vers la salle de bains.
J’étais toujours nue, alors il me mit sous la douche, se déshabilla et rentra sous la douche avec moi, il fit couler l’eau, me rinça de tout le sperme que j’avais sur le corps et le visage, puis me savonna comme une enfant et me rinça à nouveau.
"S’il vous plait je suis fatiguée et mon anus est très meurtri, je voudrais dormir". dis-je
"C’était mon intention de te laisser te reposer, c’est toujours difficile la première sodomie avec un cheval."
Il m’essuya et me dirigea vers une chambre. Je me mis de suite au lit, exténuée
"Dors bien. A tout à l’heure". Je m’endormis aussitôt.
Je ne sais pas combien de temps s’écoula, mais dans mon sommeil, je sentis un doux baiser et des caresses sur mon corps. Puis, je sentis que quelqu’un m’ouvrait les jambes et se couchait sur moi. Je voulais me débattre.
"Chut ce n’est qu’un rêve, tu dors ma chérie" Une main fouillait mon vagin et rentra plusieurs doigts à l’intérieur, je n’osais plus bouger.
"Je t’aime ma chérie, si tu savais, depuis toutes ces années que je fantasme de te baiser enfin".
Je ne connaissais pas cet homme, mais sa voix douce et ferme et ses chuchotements me disaient quelque chose. Un admirateur, un amoureux transi ?? Non, je ne crois pas.
Puis, il prit son sexe dans sa main et le frotta sur mon clitoris et subitement il me pénétra dans le vagin. "Je mourrais d’envie de te pénétrer, ma petite fille chérie, depuis tout ce temps".

Quelle horreur, je venais de réaliser que cet homme qui était couché sur moi, m’écrasait de tout son poids avec son sexe en moi, n’était rien d’autre que mon père.
Ma mère l’avait chassé de chez nous, quand j’étais une enfant, car elle l’avait surpris une nuit dans mon lit en train de se masturber devant moi, pendant que je dormais. Elle avait pris peur qu’il aille plus loin. Je ne l’avais plus jamais revu depuis.
Maintenant, j’étais en train de subir un rapport incestueux de mon père.
Je me débattais encore plus fort mais il était trop fort. Je criais, il mit sa main sur ma bouche, pendant qu’il se démenait sur moi, j’étais en train d’être violée par mon père.
"Cela fait vingt ans que j’attends, je vais te prendre de toutes les façons. Bois cela, pour te détendre."
Il m’ouvrit la bouche et me versa un liquide dans ma bouche. Il me releva les jambes pour mieux me pénétrer encore.
"J’ai pris la petite pilule miracle, cela va durer un bon moment, bientôt tu vas devenir très docile"
Il m ’envoyait de sacrés coups de butoir, son sexe n’était pas très long, mais très très épais.
Je sentis une douce torpeur m’envahir. Il me retourna et me redressa en me mettant un coussin sous le ventre. Puis il me pénétra à nouveau comme un démens dans cette position.
"Putain, que tu es bonne, je vais t’exploser ta petite chatte ma chérie", les coups étaient tellement rapides et violents que je me retrouvais à la tête du lit et pourtant je ne criais pas.
Il se retira brusquement de mon vagin. "Ton cul est trop beau, tu as supporté la bite d’un cheval tu supporteras la mienne et j’en meurs d’envie". Il m’encula d’un trait, mon anus était encore endolori, j’en pleurais.
"Arrêtez, j’ai encore mal". Mais cela l’excita encore plus et il se déchaîna dans mes fesses.
"Putain, tu es trop bonne, je n’ai jamais autant bandé de ma vie, je vais ralentir un peu pour ne pas exploser, on ne sais jamais".
Il fit des mouvements profonds, mais moins puissants, Il me redressa pour me sodomiser en levrette. Ses mouvements étaient brusques et lents. Il se retira d’un coup, prit un gode que je n’avais pas vu et l’introduisit avec quelques difficultés dans mon anus. Le gode devait être énorme, car j’eu à nouveau mal.
"Voilà, tu as à nouveau le sexe de Blacky dans le cul pour le diamètre. Tu vas le garder jusqu’à ce que nous ayons terminé." Il se mit debout devant le lit. Viens te mettre à genoux devant moi, c’est un autre de mes fantasmes : baiser ta bouche, j’avais failli le faire pendant que tu dormais, enfant dans ton petit lit .
Sans force, je m’agenouillais devant lui, le gros gode dans mon cul. Il prit son épaisse queue entre ses doigts et me la mis de force dans la bouche, puis il me pris la tête entre ses deux mains et projeta son bassin en avant, j’avais supporté la queue de Basile entièrement dans ma bouche, celle de mon géniteur était beaucoup moins longue, mais tout aussi épaisse. Il se servit de ma tête et de mon bassin pour baiser ma bouche rapidement, je faillis vomir. Des larmes coulaient sur mon visage, je suffoquais.
Il respirait de plus en plus fort, je sentis qu’il allait bientôt exploser.
"Tu es trop bonne, je vais tout te donner, garde ta bouche ouverte". Il se retira de ma bouche, se branla un peu, puis commença à gicler sur ma langue en grognant comme une bête, il me força à reprendre son sexe en bouche complètement, et tout en continuant de grogner fortement, il jouissait sans discontinuer".
Je ne voulais pas avaler son sperme et le recrachais aussitôt.
"Oh, tu n’aimes pas le sperme de ton père ? Pourtant tu acceptes celui de tous les autres. Tu seras ma maîtresse officielle maintenant. La prochaine, fois, plus besoin de te droguer un peu, tu seras consentante, je sais où tu vis".
Pauvre de moi.
Fantasmant vôtre
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