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La suppliciée

Chapitre 2

La punition

SM / Fétichisme
Non, François ne pouvait pas permettre ce genre de truc ! Pas pour une partie de carte perdue, quel qu’en fut l’enjeu et l’argent dû. Il ne pouvait pas… ce n’était pas possible. L’atmosphère était devenue étouffante pour elle. Maud aurait aimé au moins percevoir un bruit, un soupir, un signe qui la rassurerait. Mais rien de tout ceci, juste le minuscule bruissement des mains qui continuaient à glisser sur son corps huilé. C’était le souffle d’un homme entièrement couché sur elle qui la ramenait à sa triste réalité. Il ne se contentait plus de la masser avec les mains, c’était l’ensemble de tout son corps masculin qui participait à ce gigantesque massage. Cette chose dont elle se demandait… elle savait désormais avec justesse de quoi il s’agissait.
Ce garçon, homme, difficile d’apprécier, lui soufflait sur le visage, il se lovait littéralement contre… non… sur elle. Elle pouvait deviner parmi toutes les senteurs qui se diffusaient partout dans la pièce, elle parvenait discerner avec exactitude la fragrance qu’il employait en guise d’après-rasage ou d’eau de toilette. Et son truc qui trainait sur elle restait dur comme de la pierre, chaud comme une braise. Il s’était coincé entre ses deux seins que les mains rapprochaient, formant ainsi un couloir où cette… ce… machin coulissait parfaitement. Il arrivait maintenant à buter contre son menton lors de chacune de ses montées entre ses deux obus maintenus par l’homme.
Bien entendu elle se mettait à haleter sous cette caresse plus érotique que toutes les autres. Et l’autre sur elle qui se redressait, pressant de ses deux genoux sur le côté des nichons, pour garder dans ce corridor, la queue qui se promenait. Il lui avait saisi le chef, la boule de billard plutôt, d’une main et la forçait pratiquement à lever la tête. Elle savait bien ce qu’il voulait, mais mettait un point d’honneur à ne pas l’aider. Elle y serait parvenue parfaitement si soudain une troisième main n’avait faisait irruption sur son minou. Elle tentait de s’y soustraire. Mais ce n’était guère possible autant entravée qu’elle l’était.
Les doigts de cette intruse trouvaient aisément l’ourlet totalement glabre depuis le passage du rasoir. Et comme elle ouvrait la bouche pour leur demander de cesser. Ses paroles se trouvaient immédiatement bloquées par la queue qui profitait de l’occasion pour quitter l’abri des seins et s’engouffrait dans le bec ouvert. Évidemment elle ne pouvait plus proférer une parole. Tout au fond de son ventre un majeur ou tout autre doigt farfouillait entre les lèvres qui laissaient le passage. Ce phallus miniature s’insérait en elle et sous sa poussée rectiligne elle se sentait obligée de sucer le sucre d’orge géant qui lui, frémissait de l’arrivée de sa langue.
Elle avait l’impression que résonnaient dans la pièce les horribles bruits que faisait son ventre sous les allers et venues du micro pénis. Elle savait qu’elle était très humide et que désormais son corps, bien avant son esprit s’était rendu à ces deux-là qui en profitaient. Le petit jeu durait un long, très long moment et quand la bite entre ses lèvres tressautait, elle savait qu’elle n’aurait pas d’autre choix que celui d’avaler ce liquide chaud et gluant qui lui inondait le palais. Alors elle déglutissait tout bêtement en fermant les yeux, ce qui était le comble de la bêtise puisqu’elle portait un bandeau. C’était chaud, c’était acre, c’était… du sperme !
Les deux hommes ne bougeaient plus. Dans sa chatte le doigt qui naviguait avait lui aussi suspendu toute activité. Le masseur se retirait et soulageait par son départ, le corps de Maud du poids qu’il lui imposait. Elle pouvait donc à nouveau se sentir plus légère, respirer mieux. Le gout de la semence lui restait lui, collé aux narines. La mini bite qui ne bronchait plus en elle, se retirait lentement. Elle en éprouvait des frissons, le vide lui donnait une sensation d’envie perturbée. Mais elle se rassurait avec l’espoir que ce devrait être fini. Elle avait sans doute enfin payé sa dette.
— oooOooo —
François regardait ses deux amis qui prenaient plaisir à diner avec eux. Ça faisait bien deux mois qu’ils les pressaient de venir pour… tenter sa brune. Il en rêvait de la voir se faire prendre par un autre homme. Mais il était inutile d’engager une conversation avec elle, sur le sujet de l’échangisme. Elle ne voulait absolument pas en entendre parler. Elle avait quarante ans, comme lui. Ils vivaient pratiquement heureux depuis leur rencontre, dix-huit ans plutôt. Ses formes s’étaient amplifiées, elle s’était un peu arrondie, mais elle gardait ce charme des femmes épanouies qui plaisaient tant aux hommes.
Lui aurait bien qu’elle aimé osa, mais il n’en parlait plus, de peur de l’entendre encore dire non ! Alors, un jour avec ses deux amis, l’un d’eux, Clément sans doute, ayant émis l’idée que Maud lui plaisait, François s’était mis en tête de la voir prise par l’un des deux et il en rêvait depuis ce soir-là. Une autre fois, en jouant à la belote, il s’était aussi aperçu que sa compagne était opiniâtre au jeu et qu’elle s’accrochait toujours de toutes ses forces, pour ne pas perdre. Il avait donc échafaudé, à l’aide de ses deux complices, cette histoire de poker. Bien entendu, son épouse avait plongé des deux pieds dans la nasse.
Le repas avait été un vrai régal et les deux margoulins ne quittaient pas les formes de Maud des yeux. Dès qu’elle se déplaçait l’un et l’autre portaient leurs regards sur ce derrière qu’elle dandinait si bien. Elle avait une étrange manière de se déplacer, sans s’en rendre compte, elle faisait le jeu de son mari. Bien sûr que les deux là n’avaient pas été difficiles à convaincre. La partie de poker, truquée, ne laissait aucune chance à la femme brune. Maud s’était prise au jeu et comme prévu par François, elle s’était engouffrée dans la brèche, puis avait perdu pied comme il l’avait si bien calculé.
De plus il la connaissait parfaitement bien et il savait qu’elle accepterait tout, à partir du moment où il s’agirait d’une dette d’honneur, elle qui reportait à la mairie les billets de dix euros qu’elle trouvait parfois, dans la rue. En deux heures, après le diner, elle était ferrée et prise au piège des trois lascars. Ils en avaient longuement discuté auparavant et Alain et Clément connaissaient leur affaire. Il suffisait qu’ils amènent l’épouse de François à perdre, et même perdre beaucoup. Ensuite il savait lui, qu’elle ne saurait pas refuser le deal.
Clément tenait une sorte de club privé, dans lequel il se passait parfois des soirées très chaudes. Ils avaient tous décidé qu’une de celles-là ferait l’affaire et que Maud serait l’attraction de quelques habitués, de quelques privilégiés. Ainsi ce soir après avoir donné ses instructions, François assistait à un somptueux spectacle. Celui de Sa Maud entièrement nue, à la merci de deux grands garçons. L’idée de la raser lui était venue comme ça, mais il se demandait comment demain, elle allait prendre sa nouvelle tête ! Il avait seulement insisté sur la non-violence de la chose.
Voir sa femme aussi nue que dans son salon, c’était déjà un spectacle en soi. Mais la regarder se laisser attacher et caresser de la sorte, avait quelque chose d’hallucinant. La dizaine d’hommes et de femmes qui constituait le groupe de voyeurs dans lequel il s’était glissé, voir leur réaction, les écouter juger de la chose, les entendre parler de « cette belle salope » sur scène avait un côté jouissif au possible et il bandait comme jamais. Ses deux potes pas très loin de lui, en profitaient aussi largement en palpant les femmes placées tout près d’eux.

En fait, le club était ce soir, plus libertin que privé, mais personne ne perdait une miette du fabuleux parcours de cette femme tondue pour le plaisir de son mari. François était idéalement placé et voyait face à lui cette fente qu’il parcourait si souvent, cette entaille qui lui donnait un immense plaisir chaque fois qu’il le désirait. À vrai dire Maud ne lui refusait jamais de faire l’amour, dans n’importe quelle position, n’importe où, à leur domicile bien évidemment. Il avait aperçu les traces laissées par cette envie que les deux jeunes invités avaient su si bien distiller.
En revanche, il n’avait pas demandé une éjaculation dans sa bouche, ça c’était un plus que le type s’était octroyé. Ce qui était fait ne pouvait plus être défait, alors inutile de crier ou de se fâcher. Mais elle n’aimait pas quant à de rares occasions, il s’était libéré dans cet orifice, elle n’appréciait pas du tout de devoir avaler… lui en parlerait-elle demain ? De quoi du reste, demain serait-il fait, sa duplicité risquait bien de lui couter cher ? Valait-elle le plaisir qu’il prenait en ce moment ? Tout n’était qu’histoire d’interprétation sans doute ! Et puis, qui ne risque rien n’a rien non plus, alors !
Elle était d’une beauté stupéfiante. Toujours allongée sur la couche, Clément s’était avancé vers elle. Bien sûr elle ne voyait rien donc pas question qu’elle le reconnaisse. Il lui avait avoué avoir longtemps fantasmé sur les jolies doudounes de Maud. Elles étaient désormais à portée de ses paluches fébriles. Sans se faire prier, sans un regard bien inutile il est vrai, vers l’assemblée que la lumière interdisait de voir de l’estrade, il s’emparait d’un téton et le pince légèrement. Immédiatement la femme s’était crispée, arrêtant sa respiration, pensant que celui-là allait lui faire mal. Mais François qui lui aussi s’était avancé sur la scène calmait d’un geste les ardeurs de son complice.
— oooOooo —
Devant elle, de la salle des bruits singuliers montaient maintenant d’un peu partout. Depuis quelques minutes, personne ne l’avait touché, alors lorsqu’un bout de sein était happé par une main elle se cabrait. Mouvement instinctif d’autodéfense ; juste par crainte d’une douleur qui finalement ne venait pas. La personne qui lui caressait la poitrine s’évadait désormais plus bas, sur son nombril, éprouvant la douceur laissée par le rasoir. L’emplacement de son triangle était ensuite visité par cette chose chaude et câline qui parcourait le chemin entre nichons et chatte, sans brusquerie. Celle-ci semblait plus habile ou elle en voulait sans doute plus que les précédentes.
Au lieu de se contenter de frôler les lèvres sur toute leur longueur, elle les écartait délicatement remontait entre elle pour appuyer sur le capuchon rose qui camouflait pour un temps encore, le clitoris de la dame. Cette caresse réservée d’ordinaire à son mari, Maud la ressentait comme une atteinte à sa dignité. Elle se gardait cependant de faire une remarque. Se remémorant la phrase : « qui paie ses dettes s’enrichit ». Elle pensait, sans en être absolument certaine que c’était finalement peut-être François qui la tripotait. Et puis si ce n’était pas lui, et qu’il ne disait rien, et bien tant pis !
Après tout, il avait le pouvoir d’arrêter tout ceci et ne le faisait pas. Alors, pourquoi être plus royaliste que le roi ? Une autre idée lui trottait dans la tête depuis quelques minutes ! Il devait certainement être complice de ceci. Personne n’aurait osé lui raser le crâne sans qu’il ait donné son aval, c’était impensable. De quoi allait-elle avoir l’air demain ? Le chapeau avait cédé et son bourgeon était en érection, par suite des petits ronds que traçait le bout du doigt sur son pic. Sa poitrine se soulevait de nouveau, elle savait bien que cette fois elle n’allait plus pouvoir lutter. L’envie qui s’emparait d’elle était hors-norme, trop violente pour passer inaperçue. Et puisque son mari ne manifestait aucun trouble à voir les attouchements dont elle faisait l’objet, alors elle se délitait dans l’horreur bienfaisante d’un moment de frisson.
Qui que ce soit qui la doigte, celui-là savait ce qu’il faisait. Sa connaissance des femmes était quasi parfaite. En quelques mouvements, elle arrivait au bord de l’orgasme, mais l’autre-là, calmait le jeu. Elle se berçait en balançant son visage à droite et à gauche, sans plus se formaliser de ce que les uns et les autres voyaient ou pensaient. Son corps la trahissait, son corps ne lui appartenait plus et l’espace d’une seconde, elle se disait qu’elle aimait cette nouvelle manière d’être l’objet des attentions de ces gens invisibles. Dans ses souvenirs remontaient les demandes déjà anciennes, de François pour des jeux à trois ou à quatre.
Serait-ce ce qui avait motivé son arrivée dans cette pièce ? Aurait-il osé mettre sur pied cette mascarade pour qu’elle soit prise au piège ? Elle ne voulait pas y croire, pas encore… mais c’était pourtant ce qui faisait tilt dans sa caboche. Si c’était cela, il allait pouvoir s’en mordre les doigts et même autre chose. Elle avait envie de faire l’amour maintenant, l’autre avait su ouvrir les vannes, faire fi de ses dernières réticences. Avec sa façon si bizarre de la titiller, de lui caresser le berlingot, elle mouillait abondamment, et cela non plus, il n’était pas possible de le dissimuler. Les doigts la fouillaient à plusieurs, entrant et sortant de sa chatte comme le ferait une bite.
Elle geignait toujours, quand son visage était stoppé dans ses balancements, qu’un sexe bien dur se frottait sur sa bouche. Elle ne cherchait même plus à faire semblant. Ses mâchoires se désolidarisaient pour s’ouvrir en grand et le nœud en profitait pour explorer la grotte dentée qui se prêtait si bien à son arrivée. Elle tétait du mieux qu’elle pouvait, la position n’avait rien de facile, alors qu’un pouce entrait en exploration de son fondement. Son ventre était en feu, volcan d’où s’échappait un peu de lave claire. La fellation semblait convenir à celui dont la queue se satisfaisait de cette bouche.
Limée lentement par les doigts et prise par le gosier, elle se laissait aller à imaginer ce qui allait surement se passer. Elle n’avait jamais pensé que cela soit possible, bien qu’elle ait déjà regardé et admiré ces actrices qui étaient capables de se faire prendre devant, derrière, et de sucer en même temps. Elle se disait que c’était peut-être ce qui l’attendait. Mais loin de la craindre, cette vision du sexe, de sa position d’esclave, l’amenait à s’humidifier de plus belle ! Elle était émoustillée au-delà du possible. François, son mari n’était pas venu, et ne viendrait plus la sauver ? Eh bien ! Qu’il ne s’en prenne qu’à lui après tout !
Quand enfin les bruits tout autour d’elle lui donnaient une idée exacte de ce qui se tramait alentour, elle se mettait à gémir pour de bon, sans se faire prier. C’était le moment que choisissait une bonne queue pour s’enfoncer en elle, remplaçant avantageusement les doigts qui la masturbaient. Il était temps, grand temps ! Quelques secondes de plus et elle aurait joui sur les doigts qui la frottaient depuis un trop long moment. C’était bigrement bon et apaisant, cette queue qui bougeait en elle. Le type devait être debout entre ses cuisses parce qu’elle ne sentait aucunement son poids.
La bite dans sa bouche la rendait folle, elle tentait d’échapper à une nouvelle aspersion de son palais mais rien n’y faisait. Celui qui se faisait tailler une pipe la maintenait de manière à ce qu’elle ne puisse pas y couper. Plus bas, dans son ventre, le phallus qui la pénétrait allait de plus en plus vite. Et elle savait, elle sentait qu’il allait éjaculer. Cependant celui-là sortait rapidement, pratiquant le coït interrompu, il s’épanchait sur son ventre en larmes chaudes. Elle déglutissait le sirop de corps d’homme, puis elle devait encore nettoyer consciencieusement la quéquette qui mollissait très rapidement.
C’était là qu’une bouche se mettait en devoir de finaliser ses dernières envies, en la léchant d’une façon telle qu’elle en hurlait de bonheur. La langue étrangère était passée partout où le sperme de son baiseur était étalé. Elle faisait le ménage, s’assurant qu’il n’en restait plus une seule goutte. Ensuite, entre ses cuisses, ils étaient plusieurs à venir se finir, à la prendre, mais dans aucun de ces assauts elle ne retrouvait la jouissance que le premier avait su lui donner. Puis elle restait allongée, toujours retenue à la table par les pieds et les mains alors qu’autour d’elle, les cris de femmes et les soupirs d’hommes qu’elle ne verrait jamais persistaient à lui donner l’impression qu’une partouze géante avait lieu. Elle finissait par s’endormir…
— oooOooo —
Clément n’insista pas quand son ami lui retint le bras. Ils avaient décidé qu’il n’y aurait pas de violence. C’était aussi bien de respecter sa parole. Ça ne l’empêchait nullement de la caresser cette belle cochonne qui restait sans voix. Bon Dieu qu’elle lui donnait une trique d’enfer. Et ces bon-sang de nibards, comme il y avait si souvent songé. Il les trouvait peut-être encore mieux qu’en rêve, finalement ! Puis à force de la tripoter, cette salope mouillait comme une chienne. Elle ne protestait même pas quand il enfonça deux doigts dans sa chatte. Encouragé par son immobilisme, il commençait des mouvements qui conduisaient ses doigts plus bas dans la raie de ses fesses. Là, son pouce trouvait un abri formidable, d’autant que lubrifié par le minou dégoulinant, il s’enfonçait sans qu’elle crie.
Sentir ses doigts entre la paroi fine qui séparaient les deux conduits lui donnait d’étranges idées. Il la sauterait bien là sans préambule. Mais Alain était là lui aussi. Son sexe s’enfilait dans le bec de la femme rasé. Il la pistonnait comme s’il s’agissait d’un second sexe et Clément voyait de temps en temps, le bout de langue rose qui enlaçait le gland de son ami. Il avait, quant à lui, écarté la chatte à la recherche du clitoris. Quand son index, près avoir navigué dans la caverne humide le décapuchonnait, Maud sautait en l’air et elle gémissait.
François debout de l’autre côté, sous la lampe lui aussi assistait à ce spectacle inouï de sa femme dont ses amis se servaient. Il bandait comme un taureau, nu comme tous ceux qui étaient présents dans la pièce. Sa queue tendue n’avait besoin d’aucune sollicitation manuelle pour rester raide comme un piquet. Maud était en transe, de cela il est certain. Sa femme qui se laissait toucher, qui faisait un fabuleux pompier à son ami, il n’aurait pu rêver mieux… Alors quand Clément se mettait en devoir de la tringler, il écoutait ses cris, il adorait ses soupirs. Puis l’autre crachait dans sa bouche ; elle l’essuyait de la pointe de sa langue.
Les giclées de sperme de Clément sur le ventre et le minou de son épouse était un régal. Il n’en pouvait plus. Alors quand son pote sortit d’entre les cuisses de Maud, il s’y précipitait. Il avait beau la ramoner du mieux qu’il pouvait, il n’arriverait plus à la faire jouir à nouveau, la barre était trop haute. Ensuite, c’était hagard qu’il laissait faire les quelques hommes qui eux aussi présents demandaient à profiter de l’aubaine. Aucun ne la prenait sans préservatif, ce privilège étant réservé à ses seuls amis et lui. La soirée tirait à sa fin, les sexes masculins, un à un, pareils à des chandelles s’éteignaient. Alors seules quelques femmes se gougnottaient encore dans de petits coins tranquilles et peu éclairés.
Déliée, Maud se trouvait dirigée vers la salle de bain. Elle prenait sa douche, se frottant comme pour laver les impuretés de son corps. Dans la glace, avec effroi, elle voyait cette image d’une femme longiligne, encore bien faite, mais totalement chauve. Son corps aux seins lourds et fermes ne montrait aucune trace de l’affront que venait de lui faire subir les hommes de la salle. Elle se disait qu’elle l’avait bien voulu aussi, alors inutile de pleurer ou de se plaindre. Elle ne jetait aucun coup d’œil à ces mecs dans la salle, en se rendant à leur voiture. François l’attendait ! Leur retour se ferait en silence !
Demain, l’heure des comptes sonnerait, et qui vivrait verrait…
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