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la supportrice

Chapitre 1

Hétéro
Un samedi soir, il est vingt heures, je suis assis dans une tribune au stade du Roudourou pour regarder un match de football avec mon voisin qui m’a invité. Je n’y connais rien au football, mais mon voisin a vraiment insisté et je n’ai pas refusé son invitation pour lui faire plaisir.Un but marqué, beaucoup de mouvements dans les tribunes, mon genou heurte légèrement celui de ma voisine. Je m’excuse, elle ne me répond pas, mais quelques instants plus tard son genou se frotte sur le mien, cela cesse un instant et de nouveau ce genou vient se frotter au mien.
Je me tourne directement vers elle, assez jeune un peu plus de vingt ans je pense, cheveux blonds avec racines noires, de jolis yeux marron, une robe noire à mi-cuisses, je me pose une question, que me veut-elle, j’ai soixante ans, cheveux blancs rien de spécial. Nous jouons chacun notre tour à chercher le genou de l’autre.
La mi-temps arrive, elle et son compagnon quittent leurs places pour se rendre vers le coin buvette ; w.-c.. Je peux mieux la regarder : des chaussures à talons compensés très hauts et ce qui me semble être un collant semi-opaque, sa robe noire très serrée lui moule une paire de fesses bien rondes et pour descendre son déhanchement est prononcé par les hautes marches.
Le match reprend, ils n’ont pas regagné leurs places, ils reviennent avec plus de cinq minutes de retard, elle s’installe et sa cuisse se colle à la mienne. Je tourne la tête vers elle, je remarque comme de petites perles blanches sur ses lèvres pour lui faire comprendre, je passe ma langue sur les miennes. Elle fait de même et ouvre sa bouche, je me rends compte qu’elle est pleine de sperme. Je la vois déglutir plusieurs fois et elle me montre sa bouche au fur et à mesure qu’elle avale le sperme, ni son ami, ni mon voisin ne se rendent compte, trop absorbés par le match.
Nous continuons, nos cuisses se frottent et se collent l’une à l’autre, un moment plus tard je remarque que sa robe est remontée un peu plus sur ses cuisses, me laisse voir qu’elle porte des bas et non un collant. Je pose ma main sur sa cuisse, cela me permet de pouvoir avoir le contact entre mes doigts et la chair de la sienne. Cela me donne une érection qui se développe de plus en plus.
D’une main, elle remonte un peu plus sa robe sur sa cuisse m’offrant une plus grande surface de chair au contact de mes doigts. Je sens la présence de sa main sur la mienne, elle me glisse un petit carton dans la mienne. J’attends un instant avant de regarder discrètement ce qui est écrit dessus. Un numéro de téléphone avec un petit mot “demain libre de 13 h à 18 h. Marie-Noëlle." Le hasard fait que lors du retour vers le parking, elle se trouve avec son ami juste devant nous, elle me remarque et tortille du cul comme une chienne en chaleur. Je suis incapable de dire ce que dit mon voisin, mon érection est repartie de plus belle et j’ai les yeux rivés sur ses fesses.
— Bonjour Marie-Noëlle, c’est votre voisin de stade, comment allez-vous ? — Très bien merci j’espérais ton appel, tu habites où et tu t’appelles comment ?— Je suis tout simplement Michel, j’habite à Saint-Martin, qu’est-ce qui t’attire chez moi ? — J’aime beaucoup les hommes mûrs, je t’expliquerai plus tard pourquoi. Je suis à cinq kilomètres de chez toi, je peux venir te voir ?— Aucun problème, voilà mon adresse.

Vingt minutes plus tard, j’entends arriver une voiture et on sonne. Marie-Noëlle est devant moi, la même robe que la veille, mais sans son blouson de cuir qui me cachait sa poitrine qui veut déborder de cette robe. Sans un mot elle m’enlace et m’embrasse fouillant ma bouche avec sa langue et ses mains attaquant directement ma ceinture et elle baisse mon pantalon. Elle quitte ma bouche pour se reculer un peu et devant mon regard stupéfait elle retire sa robe, elle est nue à part ses bas. Marie-Noëlle à genoux devant moi me dévore la queue comme une morte de faim.
— Donne-moi ton sperme, tu l’as vu hier au soir comme j’aime avaler.
Marie-Noëlle ralentit un peu ses succions pour prendre le temps de se servir de sa langue sur ma hampe fièrement tendue. Elle me lèche aussi les couilles et le gland avant de l’engloutir entièrement, elle prend mes couilles dans une main et les malaxe assez rudement, ce qui déclenche ma jouissance. Dans un grand cri, je lui remplis la bouche de nombreux jets de sperme. Elle se relève et me présente sa bouche remplie de mon foutre, elle va déglutir cinq ou six fois pour tout avaler avant de me montrer sa bouche vide.

Collée contre moi, sa bouche dévore la mienne, elle enfonce sa langue pour la mêler à la mienne. Je ne reste pas inactif, je caresse ses seins à pleines mains, ce qui semble lui plaire, elle se colle et se frotte encore plus. Je fais glisser mes doigts sur ses tétons pour les pincer, sa bouche se décolle de la mienne.
— Ho oui j’aime plus fort !
Ce qui m’encourage à étirer et pincer plus fort ses tétons, sa bouche à nouveau quitte la mienne pour laisser fuser des gémissements et plus je pince fort plus ses gémissements augmentent. Je décide donc de planter mes ongles dans la chair tendre de ses tétons. Un grand cri fuse entre ses lèvres, ses bras s’enroulent autour de mon cou et Marie-Noëlle est secouée de spasmes.
— J’ai joui comme une folle, c’est la première fois que ça m’arrive avec mes seins. Je ne regrette pas de t’avoir choisi rien que pour cela, je suis trempée.
Sans lui répondre, je la pousse vers le canapé et écarte les cuisses pour goûter sa mouille abondante sur ses cuisses et dans sa chatte. Ma langue la fouille un long moment, récupérant sa cyprine à chaque passage puis elle remonte pour lécher son clito qui se développe sous mes caresses. Plus je lèche, plus il se développe, devient comme un petit doigt raide, je continue de lécher tout en introduisant deux puis trois doigts dans sa chatte et les utilise comme un gode. Il faut peu de temps pour que Marie-Noëlle ne connaisse un nouvel orgasme.
Je la laisse alanguie, récupérer de ses jouissances et j’en profite pour me déshabiller. Je m’allonge sur le canapé à ses côtés, ma queue fièrement dressée symbole de ma virilité. Marie-Noëlle met un certain temps avant de relever, à la vue de ma queue érigée comme un cierge, elle se positionne au-dessus de moi dans une position bizarre une jambe genou plié sur le canapé et son autre jambe le pied posé sur le sol. Elle se laisse descendre doucement, ma queue disparaît lentement, absorbée par sa chatte jusqu’au moment où ses lèvres intimes reposent sur mes couilles.
— Tu es bien monté, ta queue est la plus belle que j’ai vue, elle me remplit la chatte entièrement.— Tu vas voir elle va te donner encore une nouvelle jouissance plus forte.
Elle pose ses mains sur mes épaules et commence à monter et descendre lentement à chaque fois que mon gland heurte son utérus un long gémissement se fait entendre puis elle accélère un peu plus, plus ses gémissements augmentent. Sa jouissance commence et cela désunit ses mouvements qui deviennent désordonnés, alors je lui saisis les hanches et tel un pantin désordonné, je la fais danser sur ma queue.
Sa chatte laisse couler sans arrêt un flot de cyprine qui arrose mon bas-ventre et mes couilles et se répand sur le canapé. Ses cris augmentent, elle secoue la tête de tous côtés. J’essaie de la faire danser le plus vite possible avant de l’immobiliser comme soudée à moi le temps que ma queue tapisse son utérus de mon foutre. Elle s’écroule sur moi, nos corps trempés de sueur collent l’un à l’autre et nos respirations sont saccadées. Nous restons un long moment pour récupérer.
— Je crois qu’une bonne douche s’impose ?— Je crois aussi, tu m’as tuée, je n’ai jamais joui aussi fort de ma vie.— Tu ne m’as pas expliqué pourquoi tu m’as choisi l’autre jour.— J’ai appris que mon copain me trompait avec ma propre sœur, j’ai décidé de me venger et quand nos cuisses se sont touchées, je me suis dit pourquoi pas essayer un homme mûr pour voir.— Et tu es déçue ?— Bien au contraire, j’ai envie de renouveler l’expérience. C’est moi qui ai lâché autant de jus sur ton canapé ?— Bien sûr que c’est toi, moi je me suis lâché dans ta chatte.— Et pas une petite dose vu ce qui coule de ma chatte.
Après une bonne douche et une boisson fraîche, Marie-Noëlle regarde sa montre.
— Il est déjà dix-huit heures, je n’ai pas envie de rentrer maintenant, j’ai encore envie de jouir.— Alors, reste cette nuit avec moi.— J’appelle Marc pour lui annoncer que je ne rentre pas ce soir, je suis complètement folle.— C’est bon il a gobé mon mensonge.— Tu es vraiment une petite salope, mentir pour te faire baiser comme une petite chienne.— Je suis ta chienne pour cette nuit, je t’appartiens entièrement, tu feras ce que tu veux de moi.
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