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Sur la côte landaise avec mes cousines

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Sur la côte landaise avec mes deux cousines.
L’été dernier (comme presque tous les ans depuis que j’étais adolescent), je passais mes vacances entre lycée et faculté chez un de mes oncles Paul et ma tante Madeleine qui habitaient sur la côte landaise.
Ils m’avaient vu grandir tout comme j’avais vu grandir leurs deux filles Géraldine et Claire, qui avaient sensiblement mon âge. Géraldine était majeure depuis l’an passé et l’autre venait de fêter ses dix-huit ans à la fin de l’année scolaire en même temps que sa réussite au bac’. Elles n’avaient pas tout à fait une année d’écart.
Mes journées étaient occupées entre des randonnées en vélo sur les petites routes du bord de mer ou des séances de voile au sein du club local. Cela me changeait de la vie confinée de la capitale où mes loisirs étaient restreints.
Mon oncle et ma tante tenaient un commerce de souvenirs et gadgets divers à la ville voisine et ils partaient de bonne heure le matin pour rentrer bien souvent vers 21 heures le soir. J’étais donc seul avec mes cousines pour le repas de midi qu’elles devaient préparer tout comme celui du soir.
Les deux cousines n’auraient jamais pu renier leur ascendance ibérique : très brunes de peau, elles avaient une longue chevelure noire et lisse qui descendait au creux de leurs reins... chevelure qu’elles portaient nattée en une longue tresse ou flottant au vent suivant leur humeur. Elles étaient jolies avec de formes menues de filles habituées au grand air et au sport dont la natation et la planche à voile. Si on ne le savait pas, on aurait pu les prendre pour des jumelles tant elles étaient semblables. Elles avaient un visage ovale avec de grands yeux noirs et un petit nez un peu busqué, des lèvres bien marquées qui leur faisaient une moue charmante.
Question relations féminines, j’avoue que mon ’’tableau de chasse‘’ n’était pas très garni.Au lycée, j’avais eu quelques flirts dont deux assez poussés qui s’étaient terminés par une étreinte à la sauvette dans un coin sombre, mais en fait j’avais réellement perdu mon pucelage avec une amie de ma mère. Nous n’avions que dix ans d’écart et j’avais entretenu avec elle une liaison torride de six mois qui s’était achevée après son déménagement à la fin de l’année scolaire. Elle était très libre et m’avait appris beaucoup de choses en la matière. Je comptais sur les deux mois passés pas loin de la plage de l’Atlantique pour accrocher de nouvelles conquêtes à mon palmarès...
Géraldine et Claire étaient, elles aussi, passablement délurées... Dès que j’étais arrivé pour les vacances, elles m’avaient en quelque sorte, mis au parfum : du matin au soir, elles déambulaient la poitrine nue en disant qu’ainsi elles se sentaient bien mieux qu’avec un soutien-gorge... mais surtout je ne devais pas en parler à leurs parents...
— OK... pas de soucis... Je sais que c’est la mode et vous auriez tort de vous priver. De plus, le jardin étant entouré d’une haie d’arbres, personne ne peut vous voir !

Claire avait ajouté :
— Ici on est tranquille... Nous n’avons pas d’importuns qui viennent tenter de nous draguer.— C’est sûr ! Le jardin est isolé des regards... mais moi, j’en profite !— Je vois ça... Il y a quelque chose qui pointe dans ton maillot... Si tu nous montrais comment t’es gaulé ?
— Tu crois que je vais me mettre à poil devant vous ?— Mais je vais en faire autant... N’est-ce pas Géraldine ?— Sûr... à poil tous les trois... la piscine nous fera du bien... Depuis le temps que j’ai envie de sentir pulser le jet contre ma chatte nue...— Oh... mes caresses ne te suffisent plus ?— Ce n’est pas la même chose...

Ainsi les deux sœurs étaient également des adeptes de Sapho...Sur le moment, je n’ai pas relevé la dernière réflexion de Géraldine, mais le soir dans mon lit, j’y repensai et immédiatement mon sexe se dressa sur mon pubis. Peut-être aurai-je une ouverture ? Je me promis de faire une tentative dès le lendemain...En effet, que voulait dire ma cousine en mettant en avant que les caresses de sa sœur n’avaient rien à voir... Mais à quoi faisait-elle allusion ? Serait-elle bisexuelle ? Avait-elle déjà fait l’amour avec un homme ? Après tout, elle était bien jolie et elle avait dû être courtisée plus d’une fois... Avait-elle répondu... Je me promis à ce moment d’en avoir le cœur net !
Le lendemain matin (et comme chaque matin), nous avons pris notre petit-déj’ ensemble. Géraldine et Claire portaient un long T-shirt sous lequel elles étaient très visiblement nues, car leurs tétons pointaient d’une manière outrageuse lorsqu’elles tiraient sur le tissu pour le tendre et n’agacer un peu... Et moi, je commençais à être en manque (si vous voyez ce que je veux dire)... C‘était trop tôt et je n’avais pas encore rencontré de filles avec lesquelles j’aurais pu flirter et plus encore, si bien que le manège coquin de mes deux cousines faisait dresser progressivement mon sexe dans mon boxer.
— Bon les filles, soyez un peu sérieuses... Je ne suis pas de bois... Vos agaceries depuis bientôt deux jours ne me laissent pas insensible.

C’est Géraldine qui releva ma réflexion :
— Oh le pauvre chou... Il est en manque... Venez dans ma chambre, je sens que la matinée va être chaude...— Oh oui... j’ai envie de tes caresses...— Bon je vous suis... On verra bien ce qui se passera... Vous ne me faites pas peur...

Claire ajouta :
— Je passe par la chambre des parents, j’ai quelque chose à y prendre...— A tout de suite... Je sens qu’on va bien s’amuser !

Le lit de Géraldine était en désordre, mais cela ne nous gênait pas... Celui de sa sœur ne valait pas mieux... Elle fit passer son tee-shirt par-dessus ses épaules et m’apparut entièrement nue... son pubis avait été débarrassé de toute pilosité tout comme le dessous de ses bras ! Seule subsistait l’ombre de ses poils qui transparaissait au travers de sa peau !
— Viens mon beau cousin... On va bien s’amuser ! Je pense que tu sais comment est faite une femme et comment la faire jouir ?— Oh... je n’ai connu qu’une vraie maîtresse... Les deux autres n’ont fait que passer... Mais je pense que tu vas achever mon éducation ? Ou du moins la compléter ?— Pour ma sœur et moi, c’est un peu pareil... Les parents veillent au grain, mais heureusement il y a les membres du club de planche à voile, du moins ceux qui ne sont pas en couple, et nous nous faisons sauter dans le club house quand tout le monde est parti.— Et avec ta sœur, tu as su trouver une complice ? Vous faites des parties avec plusieurs partenaires ?— Oui... je n’aurais jamais cru qu’elle soit autant demanderesse... ça va faire trois ans que nous baisons ensemble, bien sûr à l’insu de nos parents. Elle a même été dépucelée par mon copain de l’époque...

C’est à ce moment que Claire nous a rejoints :
— Je vois que vous n’en êtes qu’aux préliminaires... Vous m’avez attendue ?— Oui, car je savais que tu aurais déniché des beaux jouets dans la chambre de parents.— Oui... Il y a quelques nouveautés...— Montre-nous...

C’est ainsi que j’ai découvert que mon oncle Paul et sa femme Madeleine devaient, eux aussi, être de fieffés coquins. Mais passons...Nous avions mieux à faire entre mes cousines et moi-même. J’ai répondu favorablement à l’invitation de Géraldine :
— Montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue... ma craquette est un peu en manque ces jours-ci et ce n’est pas Claire qui pourra me satisfaire !— Oh... t’en as jamais assez... Je t’ai bien fait jouir hier soir... Heureusement que les parents ont découché !— Assez parlé... Montre-moi et fais-moi jouir... après je m‘occuperai de toi.

Géraldine s’est allongée en travers de son lit, les pieds posés sur le sol, elle a ouvert ses cuisses en me disant qu’elle était prête. Sa chatte suintait déjà et son bourgeon saillait au sommet de ses lèvres vaginales qu’elle ouvrait de ses mains. Cette chair rose au milieu d’une tache brune m’excitait comme jamais et j’y posai ma bouche : quel parfum suave, un peu musqué (plus fort que celui de ma maîtresse précédente). Je m’empressai de goûter, dardant ma langue entre les replis des lèvres du sexe de ma cousine qui ne cessait de m’encourager :
— Oh oui... c’est bon... Continue... Ah... tu vas me faire jouir rien qu’avec ta langue... Oui... je viens... Oui... c’est booonnnn !

Et Géraldine referma ses cuisses entre lesquelles elle emprisonna ma tête pendant qu’elle jouissait, expulsant une cyprine abondante que je tentais d’étancher. Si j’avais donné satisfaction à ma cousine, j’avais envie d’autre chose... Je bandais comme un cerf en rut et c’est Claire qui s’est exclamée :
— On ne va pas te laisser ainsi... Viens me baiser... Je t’attends... Regarde ma chatte, elle bave d’envie... En plus comme t’es bien gaulé, tu vas me faire du bien.

Que faire... Obéir bien évidemment... Baiser une de mes cousines, cela ne me gênait pas...
— OK ! Mais laisse-moi aller chercher quelque chose dans ma chambre...— Une capote ? Mais t’es dingue... Je prends la pilule donc pas de crainte à avoir... En plus c’est bien meilleur quand le mec décharge au fond de la chatte !— Si tu le dis...

Claire était allongée sur le lit de sa sœur et me tendait les bras... elle semblait vouloir que je la prenne à la missionnaire donc, je me suis placé entre ses jambes. Le sexe dressé sur mon pubis, je me suis rapproché du sien et après avoir musardé entre ses lèvres, je l’ai embrochée sèchement. Heureusement que sa chatte était lubrifiée, car j’avoue avoir été un peu violent !
— Tu la voulais ? Tu la sens bien ?— Oui... Baise-moi ! Pas besoin de chercher, on a ce qu’il faut à la maison !

Pendant que Claire nouait ses jambes sur mes reins pour me maintenir contre elle, Géraldine commenta :
— Oui... Il me semble que nous avons trouvé un bon étalon...— Oh oui... et on va en profiter... T’es d’accord ?— Bien sûr... mais je ne suis pas inépuisable... faudra me laisser des moments de repos !— T’inquiète... Quand tu seras HS, on se fera plaisir ensemble comme d’habitude ! Maintenant... baise-moi !

Décidément j’étais tombé sur deux filles très chaudes... Je n’aurais jamais cru cela d’elles les années passées... Elles cachaient bien leur jeu ! Ou peut-être n’avais-je pas fait attention les étés précédents...Pendant que je baisais Claire, Géraldine s’était emparée d’un gode vibrant que sa sœur avait ramené de la chambre parentale... Après l’avoir lubrifié dans sa bouche, je voyais comment elle l’avait introduit dans son sexe où elle le faisait aller et venir.
— Tu vois... Comme tu ne m’as pas baisée, je me fais plaisir ainsi !— Mais ma belle... Tu ne perds rien pour attendre... J’ai les couilles pleines et des réserves...— C’est parfait ! En attendant, baise ma sœur ! Ca va faire une semaine qu’on n’est pas allé faire de la planche à voile... alors...— Si je comprends bien, elle est en manque d’une vraie bite !— Oouuiii ! Et moi aussi !

Mais c’était assez difficile de maintenir un semblant de conversation et des activités sexuelles dans la chatte accueillante de Claire... d’autant qu’elle m’avait entraîné dans un changement de position où couché sur le dos, c’est elle qui montait et descendait sur ma bite, cherchant son plaisir alors que je retenais le mien.
— Mais qu’est-ce tu attends... Je sais que tu te retiens ... Vas-y... lâche-toi !— Tu l’auras voulu !

Nous avons laissé éclater notre jouissance... et Géraldine a joui peu de temps après nous... Il ne s’était guère écoulé plus d’un quart d’heure depuis que nous avions quitté la cuisine... et j’étais prêt à remettre le couvert avec Géraldine qui n’attendait que cela !

Désormais chaque matin, je baisais mes deux cousines, peu importait l’ordre... jusqu’au jour où Géraldine entama la conversation suivante :
— Tu nous fais bien jouir et on profite bien de ta queue vaillante, mais avec Claire, on voudrait te demander quelque chose...— Quoi encore ? Je pense qu’on a presque épuisé les différentes positions... Je vous ai même baisées toutes les deux en même temps si vous vous en souvenez ?— On ne voudrait pas passer pour des salopes auprès de nos copains... avec toi, nous n’avons rien à craindre...— Qu’est-ce que vous avez encore en tête ?— Avec Géraldine, nous en parlons depuis quelques jours ! On voudrait que tu nous ouvres la voie arrière pour qu’on se rende compte de ce que cela fait !— Mais je ne l’ai jamais fait !— Alors c’est l’occasion... On a lu pas mal de revues et les témoignages des filles qui y ont goûté sont éloquents : elles ont apprécié !— Oui, mais là, il faudra que tu te couvres par mesure d’hygiène... et que nous, on fasse le nécessaire pour nous vider de tout ce qui indésirable.— Vous êtes bien documentées...— Oh oui... on ne pense qu’à cela depuis que tu es arrivé... Ta bite semble d’un bon diamètre et elle est infatigable.— OK... Je suis d’accord... Par qui vais-je commencer ?— Avec Géraldine bien sûr... c’est elle l’aînée ! D’ailleurs, elle était tellement certaine que tu serais intéressé qu’elle est déjà prête...— Oui... regarde, mon cul est tout propre et j’ai mis du gel dans mon sphincter ! Il suffit que tu te couvres et tu pourras entrer dans mon cul !
Effectivement lorsqu’elle se mit en position, je vis que l’anneau plissé de Géraldine débordait de gel translucide et semblait m’appeler. Je bandais à moitié et c’est Claire qui acheva de faire dresser ma bite avant de dérouler un préservatif pour la couvrir...
— Tu peux y aller franchement... Depuis une semaine, je mets un Plug pour dormir et ainsi je me prépare...— Décidément... vous êtes deux belles coquines... En plus de baiser avec votre cousin, vous voulez qu’il vous sodomise !— On ne sera jamais mieux servies que de cette manière...

C’est ainsi que j’ai sodomisé Géraldine et le lendemain c’était au tour de sa sœur cadette...
La veille de mon départ, Géraldine a voulu que je la sodomise une dernière fois et Claire s’est glissée sous le corps de sa sœur pour lui laper la cyprine qui suintait de la chatte. Que c’était bon d’avoir deux cousines aussi chaudes !
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