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Sur le départ

Chapitre 4

Retrouvailles

Hétéro
Je les vois encore. Comme s’ils étaient toujours là devant moi, à rebondir au rythme de mes assauts. Je peux encore les sentir contre ma peau. Je sais que j’ai été chanceux... Pourtant je ne peux pas m’empêcher de penser que je n’en ai pas assez profité.Même encore maintenant que je suis rentré, que j’ai retrouvé Solène et qu’elle exprime sa joie de me retrouver en me pompant allègrement le chibre, je ne peux m’empêcher de penser aux gros seins de Barbara. Et rien ne sert de se mentir, si je suis aussi excité, c’est en partie dû à ça.
Pourtant j’étais quand même plutôt fébrile après mon petit écart. J’ai passé un week-end entier à ruminer... Tout un week-end familial avec en arrière-pensées soit les gros seins de Barbara, soit Solène sur le pas de la porte.
Oui j’ai baisé une autre femme, oui elle avait une poitrine comme je n’en ai jamais tenu auparavant, oui mais en attendant il va falloir être prudent. Elle a ton numéro et vu comme vous vous êtes dit au revoir, vous allez vous réécrire à coup sûr... Il ne s’agirait pas de se trahir à cause de messages et de perdre Solène...
Deux jours entiers avec ça en tête, j’en deviens fou. J’ai couvert mes arrières en aspirant la banquette et mes vêtements pour retirer tous les cheveux de Barbara, et j’ai aussi remplacé les capotes manquantes. Le trajet du retour s’écoule comme au ralenti jusqu’à ce que finalement je me retrouve devant la porte. À cet instant, j’aurai voulu que le temps s’arrête. Je gonfle mes poumons et me lance. Il n’y a pas de raison que ça se passe mal.J’entre d’un pas assuré et lance d’une voix douce mais forte :
— C’est moi chérie, je suis rentré !— Rejoins-moi je suis dehors.
Je pose toutes mes affaires dans l’entrée et me dirige vers la porte-fenêtre du salon grande ouverte. À peine celle-ci passée, je me stoppe et reste figé. Solène est là, étendue sur le bain de soleil, totalement nue et le corps brillant de la crème dont elle s’est enduite.Je reste ainsi quelques secondes, c’est la première fois qu’elle pousse l’audace à se mettre totalement nue dans notre jardin.
— Bonjour chérie. Surpris ? J’espère que ça ne t’empêche pas d’aimer ce que tu vois !— Oh non, j’apprécie le spectacle ! Dis-je en reprenant un peu mes esprits. Tu es sublime.— Hum, merci. Le soleil m’a tellement manqué cet hiver que j’ai décidé d’en profiter.— Tu as raison. Et ta peau dorée me donne envie de te croquer toute entière.
Elle est tellement belle, allongée de tout son long, la peau légèrement dorée. Pas un morceau de tissu ne vient entraver le regard. Mes yeux glissent sur son corps en partant de la pointe de ses orteils, ils s’attardent en remontant le galbe de ses jambes sur le haut de ses cuisses. Son intimité n’est pas visible mais je la devine à ma portée, prête à être conquise. Je poursuis ma contemplation en passant rapidement sur son ventre plat de sportive pour ralentir sur sa poitrine ferme et volontaire. Ses seins si prompts à pointer attirent irrésistiblement mon regard. Je prends le temps de détailler leur rondeur et, en me concentrant un peu, je pourrais les sentir au creux de mes mains. Ses tétons en sont la parfaite terminaison : de leurs aréoles jusqu’aux mamelons, tout est beau et harmonieux. Je les quitte malgré tout quand la main de Solène les bouscule nonchalamment pour venir se glisser dans son cou pour remonter ensuite dans ses cheveux.Malgré la contemplation dans laquelle je suis tombé, je ne peux m’empêcher de dévier en imaginant Barbara sur le bain de soleil d’à côté. Je suis le plus heureux si...
— Hum hum... Tu m’entends ? Il semblerait que je t’ai perdu, dit-elle en riant.
— Pardon mon amour, tu disais ?— Oh rien d’extraordinaire, seulement que tu m’avais terriblement manqué... Que nos ébats à ton départ m’ont laissée avec un feu intérieur qui n’attendait que toi... Tu vois rien qui ne puisse t’intéresser...
J’ai envie d’elle. Chaque jour de ma vie, j’ai envie d’elle. Comment pourrait-il en être autrement malgré mon infidélité toute nouvelle. Pourquoi prendre le risque de perdre une telle beauté ? La folie... La folie d’un instant volé à la vie. Le visage de Barbara n’est qu’un voile fugace que je balaie de mon esprit.
— Oulala non attends tu as toute mon attention. Je suis tout à toi ! Mes yeux ne t’ont pas quitté depuis mon retour. Je me plierai en quatre pour combler tes désirs.— Ah oui ? Tu devrais dire que ton sexe commence à se déplier pour combler mes désirs... il semble même être à l’étroit.
En effet, perdu dans ma contemplation, je n’ai pas senti le début d’érection que cette dernière commence à me provoquer... autant dire qu’à travers mon short ça n’a pas pu échapper au regard gourmand de Solène.
— Tu ne veux pas te rapprocher qu’on puisse se dire bonjour ?— Oh pardon, je crois décidément que tu m’as complément déboussolé.
Je parcours les quelques mètres qui nous séparent encore, et avant même que je me penche pour l’embrasser, sa main vient se poser sur mon entre-jambe.
— Salut toi, tu m’as beaucoup manqué pendant ces deux jours !— Tu lui as beaucoup manqué aussi...— Oh alors ne retardons pas plus longtemps nos retrouvailles !
Sans plus attendre, je me retrouve avec le short en bas des chevilles. Je suis un peu pris au dépourvu comme depuis le début de nos retrouvailles et je n’ai pas le temps de dire ou faire quoique ce soit qu’elle s’est déjà redressée, ses mains s’affairant sur mon chibre tendu et mes bourses.
— Woh on dirait vraiment que tu as un manque à combler... mais tu es sûr de vouloir faire ça ici ? Nos voisins pourraient nous voir.— Ne me fait pas croire que ça t’inquiète... et aucun risque, je crois qu’ils n’ont pas été là du week-end.— Ce sont nos voisins, pas des inconnus. Je ne sais pas ce que ça me ferait de les voir nous mater... Mais je crois que pour le moment ça m’excite.— Bien sûr que ça t’excite. T’en as la bite déjà bien dure mon chéri.
Tout le long de notre conversation, elle ne cesse de m’astiquer le chibre sur toute la longueur, tantôt d’une main tantôt des deux. Elle libère une main seulement pour venir caresser mon gland ou mes bourses glabres. Autant vous dire que ses caresses couplées à la situation me font un effet bœuf.
— Et les bourses bien pleines on dirait. Dit-elle en me les soupesant. J’ai entendu dire qu’il n’était pas bon pour la santé d’un homme de se promener comme ça...— Hum Je te fais confiance pour prendre soins de moi alors.
Je n’ai pas eu à en dire plus pour voir ma queue disparaître dans sa bouche. Elle ne m’a pas menti, je lui ai vraiment manqué. Elle alterne les succions et les léchages de tige avec rythme. Sa langue me fait fondre. Elle sait s’en servir que ce soit pour l’enrouler sur mon gland ou laper mes couilles.Je lui passe la main dans les cheveux et tout en refermant mes doigts sur eux, j’accompagne le geste et la parole.
— Oh c’est parfait, vas y accélère ! Prends la bien au fond.
Elle se laisse guider avec plaisir. Ses mains viennent trouver prises sur mes fesses et nous voilà partis dans une baise orale dont elle a le secret. Au rythme saccadé de ses bruits gutturaux, mon gland vient frapper le fond de sa bouche.Je ne tarde pas à sentir sa salive couler sur ma peau. C’est le signal. Elle est prête. Elle va y aller... Et ça ne manque pas.Après deux ou trois va-et-vient de plus, ses mains poussent sur mes fesses, son cou se tend et la gorge profonde peut commencer. Mon gland se fraie un passage petit à petit dans sa gorge étroite. Quel plaisir de le sentir ainsi pris au piège.
Elle finit par me recracher après quelques secondes. À peine a-t-elle repris son souffle qu’elle recommence, les mains toujours fermement arrimées sur mon cul. Mon chibre disparaît d’abord aux trois quart. Mais elle n’en reste pas là. Après quelques mouvements de gauche à droite, je finis par rentrer entièrement. Je sens sa langue bouger le long de ma tige et venir de sa pointe lécher mes couilles.Ça y est, le passage est fait, elle ne s’échappera pas avant que je ne sois au bord d’exploser. Elle exécute des aller-retours d’une efficacité diabolique. Elle alterne les stops avec ma verge bien plantée au fond de sa bouche et les embrassades de gland. Elle le stimule en permanence, ne me lançant pas le temps de reprendre mes esprits. Elle accélère le rythme sans crier gare et j’essaie de penser à autre chose mais la seule chose qui me vient, c’est l’image de Barbara à califourchon sur moi dans la voiture... Ça ne calme en rien mon état.Les gargouillis de sa salive me ramène à Solène et sa bouche, sa langue, sa gorge. Je me contracte pour me retenir le plus longtemps possible. Elle m’emmène dans mes derniers retranchements.
— Oooh putain si tu continues, tu vas m’achever.— ...
Son regard s’est planté dans le mien, tout mouvement en arrêt, ma bite toujours prise en otage par sa gorge. Elle me laisse à peine 10 secondes de répit avant de bouger à nouveau. Lentement... Très lentement, elle se retire centimètre par centimètre. Son regard ne décroche pas du mien. Cette lenteur apparente s’accompagne de coups de langue invisible destinée à mon chibre uniquement. Je grogne sous le joug de cette douce sensation.Quand il ne lui reste plus que mon gland en bouche, elle se stoppe et accentue sa succion. Je peux voir ses joues se creuser par à-coups. Elle me pompe, gonflant mon extrémité de sang et d’un plaisir enivrant.
— Han je ne vais pas tenir... Vas-y achève moi !
Sans plus attendre elle reprend de rapides vas-et-vient en caressant mes couilles d’une main et en empoignant ma bite de l’autre. Elle pompe et caresse. Divine. Je me contracte. Tout mon corps se contracte. Elle sent mon plaisir sur le point d’exploser. Elle se stoppe sur mon gland pour le sucer puissamment tout en agitant sa langue. Sa main accélère ses aller-retours de sa bouche jusqu’à ma garde.J’atteins le summum du plaisir dans un long râle. Ma tête bascule en arrière. J’en oublie tout ce qui m’entoure. Peu importe que nous soyons dehors, je jouis bruyamment dans la bouche de Solène. C’est tout ce qui m’importe. Je me vide. Je lâche de longs jets de sperme chaud à chaque secousse. Elle déglutit avant de relâcher mon sexe enduit de salive et vient déposer comme un point final un baiser sur mon gland
— Oooufff... C’est tellement bon, je ne m’en lasserai jamais.— Heureusement, j’y mets tout mon cœur. Le jour où tu n’y as plus goût, tu me le brise. Répond-elle en s’essuyant la bouche de son pouce avant de le lécher.— Oh ne dis pas ça !
Je suis son geste des yeux avant de chercher à croiser son regard. Mais je remarque un bref instant qu’elle ne semble plus avec moi. Elle est comme absorbée par autre chose derrière moi. Je suis sur le point de me retourner quand elle me retient par les hanches.
— Où est-ce que tu crois aller comme ça ? Tu te souviens de ce que tu m’as dit avant de partir en week-end ?— Que si je ne devais pas partir, je t’allongerai sur la table pour te bouffer la chatte le temps que je bande de nouveau...
J’ai juste le temps de finir ma phrase qu’elle s’étire de tout son long sur le bain de soleil.
— Huuuum comme tu le vois, je suis déjà allongée, alors ne perdons pas plus de temps.
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