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Sur mon balcon.

Chapitre unique

Hétéro
Printemps 2020, en pleine crise sanitaire, les rencontres se font rares, mais j’ai réussi à avoir un date via une appli mobile bien connue. Comme à mon habitude, c’est un homme plus âgé que moi, la trentaine, brun et un peu musclé comme j’aime, mais surtout très grand, un bon mètre quatre-vingt-dix. Après s’être échangé nos numéros pour se retrouver plus facilement, il m’a envoyé quelques photos de lui. Les photos de son profil sur ADOPTE un MEC m’ont déjà dévoilé un homme très charmant, mais cette photo plus privée m’a avait ouvert l’appétit. Pas de dickpic, mais une photo prise devant son miroir où il se tient debout en boxer. Ça me montre un très beau torse bien dessiné, et même au repos, la forme de son boxer laisse deviner un beau membre...
On a donc rapidement convenu d’un rendez-vous, d’une rencontre supposée charnelle, chez moi. Habituellement, je ne préfère pas pour une première, mais comme bars et restaurants étant fermés, c’est plus simple ainsi. Je lui donne mon adresse et dis de venir vers 19h pour qu’on prenne l’apéro ensemble. L’horaire me laisse le temps de me préparer, je me suis habillée avec une robe printanière qui m’avait déjà donné le surnom de Cerise de Groupama par mes collègues... Cette robe a des baleines intégrées qui me permettent de bien mettre ma poitrine en valeur sans avoir besoin de sous vêtements. J’ai quand même mis un tanga et je me suis chaussée d’une paire d’escarpins beige claire qui je trouve matche plutôt bien avec la robe.
Arrivé en bas de chez moi, il m’appelle pour me prévenir de son arrivée et sa voix me plaît beaucoup. Je me dirige fissa pour le rejoindre en bas de la résidence pour lui ouvrir le portail. Il attend dans sa voiture et ne me voit pas arriver. Je monte côté passager, je lui lâche un « Coucou » et on se claque la bise. Son parfum me plaît. Cela le perturbe quelque peu comme approche. La grille s’ouvre entièrement et je le guide vers les places "invités". On descend de voiture et il est bien grand. Mes talons ne compensent pas mon mètre soixante-cinq. Mais ça renforce son côté viril et dominant sur moi. Il me complimente:
— Je te trouve magnifique Maeva.— Merci c’est gentil.
Je suis sûre que je rougis un peu. On se dirige vers mon bâtiment et on prend l’ascenseur. Mon appartement est au dernier étage et donc la montée dure un moment. Il y a clairement une certaine tension sexuelle qui se dégage. Je le regarde en levant la tête vers son visage et lui fais de même en baissant sa tête.D’une main sur moi, il me pousse vers l’arrière de la cabine et me maintient plaquée contre la paroi avec sa grande main sur mon ventre et ma hanche. Avec son autre main, il me prend le côté de la tête en passant dans mes cheveux et me la bascule en arrière pour m’embrasser, je me laisse faire et je mets également une main dans ses cheveux. On arrive à mon étage et en même temps que l’ascenseur s’arrête, on fait retomber la pression. Une fois chez moi, je lui propose à boire:
— Tu veux une bière ?— Oui si tu en as au frais, ça me va bien. — Bien sûr, j’ai ça.
Je prends deux bouteilles et je nous dirige sur le bacon. On s’installe côte à côte sur le rebord du transat et on papote un peu en même temps qu’on se rafraîchit.
— Je n’aurais jamais cru que tu me rencontres aussi vite et chez toi en plus.— Oui j’avoue, d’habitude je ne fais pas ça, je donne plutôt rendez-vous dans un bar pas loin. Mais là...—... Là on ne peut pas oui... et tu rencontres beaucoup de mecs ?— Dès que j’en ai envie, quand j’ai des envies.
Puis on se rapproche l’un de l’autre, je mets ma main sur sa cuisse.

— Tu as une belle vue d’ici sur le parc, et tu domines presque toute la ville en plus. — Oui j’aime bien, et toi tu apprécies la vue ?
Il plonge son regard dans ma poitrine.
— Oui beaucoup.
Et il me reprend langoureusement la bouche, puis le cou, et finis dans mon buste... Je fonds... Je m’allonge et lui fais de même sur moi. On continue de s’embrasser et il pose sa main sur ma cuisse, il remonte vers mon ventre en passant sous ma robe puis me caresse la poitrine. Je lui prends sa main pour la faire redescendre vers le bas-ventre pour lui faire comprendre que je veux autre chose. Il me caresse d’abord par dessus la culotte puis ensuite passe ses doigts en dessous, mais sans vraiment s’insérer en moi. Moi je caresse son membre par-dessus son short, je le sens légèrement et lentement se gonfler. Puis il me demande:
— Je peux te goûter ?— Bien sûr avec plaisir.

Il se redresse et me prend par les hanches pour me rapprocher au bord du transat, je fais remonter ma robe au niveau de mon ventre pour lui laisser libre accès. Il se met à genoux devant moi et me soulève les cuisses en m’écartant en même temps. Il déplace mon tanga sur le côté et vient me manger, alors qu’il ne m’avait même pas encore vraiment doigtée, il insère tout de suite sa langue dans mon antre et la déplace délicatement en moi. Il se débrouille très bien et m’amène presque à l’orgasme, mais il s’arrête juste avant... un peu frustrant...Il se relève et se dirige vers moi pour m’embrasser, je vois que son sexe était bien bandé et pousse sur son short. Pendant qu’il m’embrasse, je chope son membre d’une main et il me dit:
— Tu la veux ?
Sans répondre de vive voix, je le fais en lui descendant son short au niveau des genoux. Je découvre donc enfin son membre sans tissus et il est très beau et bien dressé. Je remarque également qu’il s’est rasé. Son sexe est large, je le prends en main et sa dureté me laisse penser que son excitation est à un bon niveau. Je fais descendre ma main pour le décalotter et faire apparaître son gland, lui aussi bien large comme j’aime. Je passe un léger coup de langue sur son frein et ça le fait frémir. Je le branle doucement d’une main et je m’occupe de ses boules lisses avec ma bouche. Puis avec ma langue, je remonte le long de sa verge et je fais le tour de son gland et enfin je le prends en bouche. Je l’entends lâcher un « putain » qui je pense justifie son plaisir.
Je le suce et le branle un peu même temps et il me laisse gérer, il profite de ce moment. Et je me régale aussi. Au bout d’un moment, je lui dis que j’ai envie de baiser maintenant. Je me retire du balcon et rentre dans l’appartement juste un instant pour revenir avec ma boîte à malice où se trouvent entre autres des préservatifs. A mon retour, il est adossé sur la rambarde opaque, son short n’est plus là, et son membre toujours bien dressé. Alors je m’approche de lui et je lui retire son t-shirt pour le mettre totalement à nu et je l’embrasse un peu partout sur lui et il me prend la tête dans ses mains et m’embrasse. Je redescends vers sa queue et m’apprête à lui enfiler une capote que je prends dans la boîte, une xl évidemment, mais il me la prend des mains.
— Suce-moi encore un peu avant.
Je prends alors le coussin de la chaise longue que je pose par terre devant lui et me mets à genoux dessus. Il est obligé de plier un peu les jambes pour se mettre à ma hauteur, il prend sa queue en main pour me la diriger en bouche et avec son autre main derrière ma tête, il me la fait gober et m’impose un peu son rythme, il me baise la bouche. J’ai ma main gauche sur sa fesse et la droite en dessous des boules que je malaxe délicatement en même temps. Après un petit moment de va-et-vient dans ma bouche, assez énergique, il sort sa queue et se forme un filet de bave entre moi et son joujou. Malgré cela, il me relève et ça n’entache pas son envie de fourrer sa langue à nouveau dans ma bouche, bien baveuse...
Je le tiens par la queue et je le fais venir s’assoir sur le transat. Même assis, il est presque aussi grand que moi...Il fait passer les bretelles de ma robe qui ne demandait qu’à tomber par dessus mes épaules. Il me saisit les seins et me les tient serrés l’un à l’autre et y plonge la tête pour me lécher partout sur la poitrine. Puis il descend sur le ventre, alors je monte une jambe et la pose à côté de lui pour m’avancer près de sa bouche, et il me prend l’entrejambe d’une main: il m’insère son pouce en moi et son majeur, me masse autour de l’anus et il me lèche en même temps. Il s’allonge complètement et m’accompagne en même temps pour que je sois toujours près de sa bouche. Alors je me mets à califourchon sur lui, au niveau de sa tête. Il enfonce bien sa langue en moi, c’est exquis et il m’emmène jusqu’à l’orgasme. Je me retourne, mais je me remets sur sa tête pour entamer un petit 69 et j’en profite du coup pour lui enfiler une capote, lui de son côté, il en profite pour retirer complètement mon tanga. Je le reprends en bouche et je déroule la capote en même temps sur son sexe.
J’ai rarement l’occasion d’en dérouler sur autant de longueurs, je me relève et me retourne à nouveau puis m’installe sur son entrejambe, face à lui. J’ai envie de lui en moi. Je prends son sexe en main, le dirige vers le mien et le frotte entre mes lèvres. Ma première jouissance m’a rendue très humide, et je suis donc prête à la recevoir en moi. La longueur de sa queue m’oblige à me redresser un peu pour le recevoir. Je le prends en moi doucement et je redescends tout mon poids sur lui. Je le sens vraiment bien, j’ai toute sa longueur en moi. Il est fier de sa queue, il sait très bien qu’elle est bien au-dessus de la moyenne et il en joue:
— Ca va ? C’est la première fois que tu as aussi gros en toi ?
Je profite de mon jeune âge pour lui faire croire que oui.
— Oui, elle est énorme ta queue.
Dans les faits, j’en ai vu d’autres. Mais en général sur des blacks ou au moins des métisses. Mais sur un bel homme blanc comme lui, non c’est plus rare effectivement. Il met les mains derrière sa tête comme pour me dire qu’il me laisse gérer. Je m’allonge sur lui, pour poser ma poitrine sur son torse et je mets mes mains sur ses épaules comme pour avoir une prise. Je commence de légers va-et-vient. Très rapidement, le rythme ne le convient plus, alors il me relève et met ses mains sur mes hanches. Je ne suis pas la nana la plus fine du monde, mais il arrive presque à faire le tour de ma taille avec. Il me maintient bien et commence à me faire accélérer la cadence. En plus de la vitesse, je décide d’augmenter l’amplitude, je pose alors mon pied gauche à côté de lui vers ses hanches pour prendre appui et il me tient par la cheville. Je suis toujours chaussée de mes talons.
— Vas-y Maeva, vas-y baise-moi.
Je me déhanche sur son membre avec encore plus de fougue. Tellement qu’à deux reprises, je fais ressortir son sexe du mien, à chaque fois, je m’empresse de le remettre aussitôt en moi. Ses mains remontent sur le long de mon corps, l’une s’arrête sur ma poitrine et l’autre continue jusqu’à mon cou puis sur mes lèvres et rentre deux doigts dans ma bouche et je simule une fellation. A un moment, je me calme un peu et repose ma jambe comme au début.
— Putain t’es déchaînée toi, et moi qui m’attendais à une petite fille toute sage. Tu es rassasiée là, beauté ?— Non je veux que tu me baises à ton tour !
Il remet alors ses mains sur mes hanches et se redresse, je passe mes bras autour de son cou. Il me soulève tout en restant toujours bandé en moi et me repose sur le dos près du bord. Il me lève les cuisses et j’enlace mes jambes autour de lui et je me défais de mes escarpins qui tombent au sol. Il me met de puissants coups et je sens bien ses couilles me fouetter. Vu qu’on a inversé la position, je m’amuse à mon tour à lui mettre des doigts en bouche, mais lui décide plutôt de me les mordiller. Il augmente bien la cadence en se tenant à mes cuisses, je me caresse en même temps le clito et un second orgasme se déclenche...
— Qu’est-ce que t’es belle quand tu jouis ! On continue ?— Bien sûr oui.
Il sort son sexe et le tapote sur mes lèvres, je suis trempée. Il me dit de me retourner et j’obéis en me mettant à quatre pattes. Il me rapproche du bord pour avoir ma croupe au plus près de lui. Il s’insère en moi et me prend tout de suite sans me ménager et j’ai l’impression que son défi est de me faire jouir à nouveau très rapidement... Ses va-et-vient sont rapides et je sens qu’il y met toute sa longueur. Il me met à nouveau deux en bouche que je lèche. Il se calme un peu et ressort ses doigts et fait glisser son majeur le long de mon dos et continue de descendre sur ma raie et tourne un peu autour de mon anus comme pour me tester. Je ne dis rien et je laisse faire. Alors il prend l’initiative de me l’insérer et je ne m’y oppose pas. Son autre main passe en dessous moi et me caresse le clito, quant à sa verge, elle reprend un bon rythme de croisière.
— Vas-y c’est bon t’arrête pas.
A ces paroles, ses coups de reins s’accélèrent et son doigt prend également de la vitesse dans mon petit orifice et le met de plus en plus profond. La pression commence à monter. Il se retire et me fait basculer pour être à nouveau face à lui, il me lève les jambes et m’insère trois doigts et me stimule le clito avec son pouce. Il me doigte avec entrain et il me fait jouir de plus belle et je squirt un peu sur lui... Je tremble et ferme les yeux... Je suis partie loin là...Toujours les jambes levées, il se remet à genoux sur le transat et met sa queue entre mes cuisses et « se branle » avec, j’ouvre les yeux et je vois qu’il a retiré la capote. Je comprends qu’il va jouir à son tour, mais une bonne queue comme ça je veux lui faire plaisir.
— Viens dans ma bouche, viens dans ma bouche !
Mais trop tard: une giclée, puis une deuxième se libère de son bel outil, je reçois de bonnes doses de son jus sur la poitrine et le ventre.Il me redescend une jambe et passe sur le côté tout en gardant son sexe en main dirigé vers moi. Boom troisième jet, non contrôlé, je pense, un peu moins intense aussi, qui m’arrose sur l’épaule un peu le visage. Puis je le prends enfin dans ma bouche, un dernier petit jet arrive à s’échapper et j’avale son doux liquide chaud. Il retire sa queue et vient m’embrasser.
— T’es trop bonne !
Avec mes doigts, je reprends un peu de son sperme de mon buste et l’apporte à ma bouche
— Trop bonne et cochonne, j’adore.
Puis il me lèche le corps, là où il s’est déversé, il se sert de sa langue pour en récupérer au passage et vient m’en apporter en bouche. Je prends sa tête en main pour bien l’embrasser et jouer un moment avec son foutre entre nos langues...Ensuite, il se relève et ramasse sa bière pour se rafraîchir un peu. Je vois que son sexe est encore bien bandé et je suis toujours excitée par lui. Je suis collante devant par sa semence et dans le dos aussi sur le coussin du transat avec la sueur. Puis l’inconfort commence à se ressentir.
— Viens on va au salon.
Il m’aide à me relever. On ramasse nos affaires respectives, et je prends aussi la boîte de capotes, lui prends les bouteilles. On entre et je m’assois sur le canapé. Il me propose:
— Tu veux qu’on prenne une douche à deux ?— Pas tout de suite, viens !
Il s’approche et pose les bouteilles sur la table au passage.
— Tu bandes toujours, je suis sûr que tu veux plus ?— En forme pour continuer ?— Oui, viens...
Il s’approche de moi et je m’empresse de reprendre goulûment son gland en bouche et je le branle énergiquement à deux mains. Ensuite, je le fais s’assoir tandis que moi je me relève. Je prends un préservatif et du lubrifiant. Je lui déroule sur sa verge et j’applique le lub en le branlant.
— Je t’ai fait mal tout à l’heure ? Tu veux que j’y aille moins fort peut-être ?— Non non ne t’inquiète pas.
Je m’installe sur lui de face. Une jambe repliée posée à côté de sa cuisse et en appui avec mon pied sur le canapé de l’autre. Je reprends une noisette de liquide et je m’en enduis sur l’anus et rentre un doigt pour en mettre un peu en moi. Là il comprend que je veux qu’il me prenne par cet accès de mon anatomie intime.
— Aaah Maeva, c’est un très beau cadeau que tu m’offres là. — Tu y as mis un doigt tout à l’heure, je me doute que tu veux plus que ça. — Oui, mais c’est pas le même calibre là.
Il prend sa queue d’une main pour me la diriger vers mon orifice et son autre main me serre au niveau de la hanche. Je descends légèrement en y faisant rentrer péniblement son gland et je me mords les lèvres. Avec sa main sur ma hanche, il écarte bien les doigts et son pouce atteint mon clito qu’il stimule doucement. Je me laisse redescendre pour y insérer une bonne partie de sa verge. La largeur de son engin ne peut m’empêcher de lâcher un long gémissement synchronisé avec ma descente.
Il reste en moi sans bouger et on s’embrasse tandis que ses mains me caressent tout le corps de haut en bas à plusieurs reprises. Puis sur le dernier aller-retour, ses mains continuent plus bas pour me soulever les fesses en me prenant sous les cuisses. Il me relève lentement, sa queue ressort lentement de moi et s’arrête pour ne pas y faire quitter également son gland... Il me fait redescendre en me reprenant les hanches et je pousse à nouveau un gémissement en basculant ma tête en arrière. Il recommence l’opération sauf qu’au lieu de me faire redescendre doucement, c’est lui qui me met un coup de reins puissant.
— PU-TAIN. — Ho désolé, tu m’excites trop. — Non c’est bon. Très bon même, j’adore ta queue. — T’es au top également. Heureusement que j’ai déjà joui une fois, t’es tellement serrée que je tiendrais pas longtemps sinon.
Il me tient toujours les hanches et me fait remonter encore. Il me dit de ne pas bouger, reprend du lubrifiant et en remet tout autour de son barreau et également autour de mon anus aussi. Puis je redescends avec plus de facilité maintenant.
— Vas-y baise-moi. — J’aime que tu me parles comme ça. — Baise-moi le cul.
Du coup, sur ces paroles qui doivent certainement l’exciter, il hausse le rythme. Il passe une main derrière moi et agrippe mes cheveux, il fait basculer à nouveau ma tête en arrière, son autre main est collée à ma joue, et son pouce rentre dans ma bouche. Je ne suis plus guidée par lui, c’est à moi de gérer, j’essaye de garder la cadence qu’il m’a inculquée. J’ai les mains sur son torse que je griffe. Je ne peux plus simplement me contenter de gémir, je crie...
— OUI OUI OUI.
Je ne peux plus garder cette position et cette allure. Alors il me bascule sur la méridienne et se retire de moi. La chaleur de cette baise effrénée a dû dissiper au fur et à mesure le lubrifiant à tel point que lors de son retrait, la capote s’est retirée quasi entièrement de sa verge. Je lui retire et je lui dis d’en reprendre une sur la table. Il s’exécute et s’empresse de la mettre. Moi restant sur le côté, il vient se mettre à genoux derrière mes fesses. Je suis encore relativement bien ouverte, alors il ne prend pas la peine de lubrifier à nouveau. Il prend quand même soin de rentrer son gland avec une certaine délicatesse, mais passé ce cap, une main sur une cuisse, l’autre sur mon épaule, il fait rentrer sa verge d’un coup.
— Huuuum, j’te sens bien là...— C’est si bon Maeva, j’adore te prendre comme ça. — Alors, vas-y continue.
Il décompose ses mouvements de façon à se reculer lentement et avance en moi d’un coup fort. A chaque coup de reins puissant, le canapé se déplace également de quelques centimètres qui s’accompagnent d’un fort gémissement de ma part. Sa course est finalement stoppée par le buffet. Dans cette position, il est bien loin en moi, il prend beaucoup de place, mais je me fais finalement bien aux mensurations de son sexe. C’est tellement agréable, tellement jouissif...Il sort sa queue de moi.
— Ho merde !— Quoi ?!— Cest la capote qui a pas tenu...
Je me retourne et regarde. Elle s’est fendue sur la longueur, elle ne tient encore finalement que par l’anneau à la base de la verge...
— Je suis vraiment désolé. — Non bah c’est pas de ta faute... mais tu me coûtes chère en capote toi...— J’en reprends une, on continue ?— Elle a dû craquer quasi dès le début... maintenant que c’est fait... Ou on continue sans ? Tu veux ?— Puisque tu me le proposes, volontiers oui.
Je lui retire à nouveau ce qu’il reste de la capote et le branle sauvagement quelques instants. Il me fait mettre à genoux sur le canapé face au dossier. Il saisit mes fesses pour les descendre vers lui. Il se met debout en dehors du canap derrière moi et rentre une fois encore sa queue dans mon fion ouvert et humide, il rentre sans forcer maintenant. Il s’agrippe à mes hanches et il y va à bon train. Je me caresse en même temps, à la recherche d’un ultime orgasme. Un moment après, il monte un pied sur le canap, puis le deuxième. Il est désormais comme assis sur moi, jambes pliées, et se tient à mes épaules pour maintenir un certain équilibre et prendre appui.
— Putain, j’adore ton cul. C’est vraiment meilleur sans capote, y a pas à dire. — Carrément oui. Défonce-moi bien maintenant !— OK beauté, j’accélère, accroche-toi.
Il démarre donc des mouvements bien amples et rapides, tandis que moi, j’ai abandonné mes caresses pour m’agripper au dossier. A chaque mouvement, je sens également ses bourses me taper. Il me laisse mes épaules et prend mon cou à deux mains en légère strangulation, je me sens en totale domination, mais c’est si bon d’être prise ainsi. Je me sens vraiment chienne et le laisser me fourrer sans latex rajoute évidement en sensation.
— C’est trop bon putain !— J’vais jouir...— T’arrête pas, c’est trop bon. — J’vais jouir Maeva !— Viens en moi, t’arrête pas.
Suite à ces paroles, il redescend derrière moi en gardant un pied sur le canapé et il relève mon corps. Il me serre un sein d’une main et le cou de l’autre. Sa cadence de marteau piqueur prend un niveau de plus. Avec un gémissement fort, je sens dans mon cul qu’une puissante décharge chaude se déverse au fond de moi... Il reste bien en moi et m’embrasse la nuque. Il se recule de quelques centimètres et repousse violemment en moi, un nouveau gémissement me fait comprendre qu’un deuxième jet est expulsé, sa queue coulisse encore quelques va-et-vient sans difficulté, son sperme aide à la glisse et il doit commencer à dedander... Je me décale en arrière en le poussant pour que mes fesses ne soient plus au-dessus du canapé et l’épargner un minimum. Il se retire enfin et j’entends le fluide tomber sur le carrelage... Je vais encore avoir du ménage à faire moi, mais vaut mieux ça que le tissu du canapé...
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