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Sur ordonnance du médecin

Chapitre 5

Inceste
Ce texte a été publié car, au moment de sa publication, son auteur était certifié. Cependant il ne respecte pas les exigences d'XStory. Ceci implique que l'auteur a, depuis, perdu sa certification et les avantages qu'elle procure.
Il était près de midi, quand après une nuit assez tumultueuse, Laura et son fils ouvrirent les yeux.Son corps et son cœur étaient gonflés d’amour en le regardant allongé près d’elle et bien qu’elle se soit offerte à lui sans aucune retenue une bonne partie de la nuit, elle appréhendait la suite et le retour à leur domicile. Elle venait de passer sa deuxième nuit d’amour avec lui et aujourd’hui plus qu’hier, elle ressentait une étrange impression et il lui fallait à présent digérer ce phénomène. Ils avaient fait un pas l’un vers l’autre, un grand pas qui était maintenant leur secret commun et bien malgré elle, elle sentait qu’une gêne s’installer en elle.Il fallait qu’elle lui parle, mais comment aborder son fils, quand depuis hier après-midi, celui-ci était devenu son amant !Se levant elle alla jusqu’à la fenêtre et le front collé à la vitre elle dit :
— On dirait que la tempête est finie !— Cela te rassure Maman ! — Oui bien sur mon fils. J’ai horreur de ce vent et de la neige quand elle tombe en rafale et je serais moins inquiète pour le retour.— Je suis là Maman !
Il venait de murmurer ces mots d’une voix presque inaudible et elle vit son fils lui sourire pour la première fois depuis qu’il s’était levé.
— Crois-tu tu que l’on pourra vivre avec un si lourd secret mon chéri ! — Oui bien sur Maman.— Mon chéri, as-tu bien saisi ce que je viens de te dire ! Je suis ta mère, je crains qu’un jour quelqu’un se doute de ce qu’il y a entre nous deux. Tu imagines le scandale !— Mais oui j’ai bien compris Maman, et comme je t’ai répondu hier, ce sera notre secret et jamais personne ne saura rien.— Tu parles de « notre secret », mais penses-tu que tu pourras tenir ta langue avec tes copains ! Crois-tu que les choses soient si simples ! — Je ne sais pas Maman si elles sont simples ou non. Ce que je sais, c’est qu’autant je suis bavard sur certaines choses, pour ce qui nous concerne, je saurai être un tombeau.
Elle baissât la tête en faisant semblant de réfléchir, mais depuis qu’elle était réveillée elle avait pris la décision d’arrêter net leur liaison incestueuse.
— Tu sais chéri, ce sera beaucoup plus compliqué que tu penses de vivre une histoire comme la nôtre.— Maman ! Il ne tient qu’à nous de la vivre simplement. Nous pouvons quand même essayer non !
Par la réponse et la spontanéité de son fils, elle sentit que sa volonté commençait à fléchir et dans un ultime sursaut, elle lui dit :
— Et si cela ne marche pas mon trésor, crois-tu que nous arriverons à faire marche arrière sans en souffrir mutuellement ?— Je t’aime, tu m’aimes et la nuit dernière, autant toi que moi en avons joui fortement, alors pourquoi ça ne marcherait pas ! — Cela va changer beaucoup de choses entre nous.— Que voudrais-tu que ça change dans notre vie Maman, puisque nous nous aimons et ne pourrons que nous aimer encore plus.
Surprise par sa réponse, elle le regardât ravie des révélations qu’il venait de lui faire
Malgré son jeune âge, il sentait qu’il lui fallait faire quelque chose, sinon la folle nuit d’amour qu’ils venaient de passer, risquerait bien d’être la toute dernière, et ça il ne le voulait pas. Se levant, il contourna la table et se dirigeât vers elle pour la prendre par le cou.
— Maman je t’aime de toute façon, et peu importe la manière.
Il se mit à l’embrasser avec fougue sur la joue, sur le front, dans le cou. Elle se sentit frissonner entre ses bras et ils restèrent enlacés l’un à l’autre. Ni mère, ni fils, ni amants, seulement deux êtres au monde qui s’aimaient éperdument.
— Tu as raison mon chéri ! Et puis comme on dit : qui ne risque rien n’a rien. Viens, j’en ai trop envie.
Et sur cette conclusion elle s’accrochât à son fils lui en lui caressant le visage.
— Je suis à toi mon fils, aime moi fort !
Au contact de la main se déplaçant sur ses fesses, sa peau s’électrisa. Chaque muscle de son corps se tendit, son ventre se liquéfia, les pointes de ses seins se dressèrent. Il explora sa cuisse et ses caresses se firent plus insistantes.
— Retourne-toi, lui dit-il !

Posant sa main sur sa hanche il se mit à la caresser doucement. Ses yeux toujours rivés aux siens, il fit coulisser la main jusqu’à ce que ses doigts découvrent le clitoris gonflé par l’envie. Essayant sans succès de réprimer un gémissement, elle se mordit les lèvres lorsqu’elle les sentit glisser contre sa peau et frôler son clitoris avant qu’il se mette à le lui masturber.
— Oui, continue chéri !!!! lui dit-elle en tendant son ventre contre le sien.

Sans ménagement, il l’attrapa par les hanches et la souleva pour la poser sur la table.Elle se mit à gémir au moment où il lui écartât les jambes et que ses doigts glissèrent en elle pour la fouiller. Tout son corps se mit à trembler. Sentant l’orgasme s’approcher à vive allure, elle voulait encore plus, alors elle offrit son ventre à son fils.
— Encore mon chéri, encore...

Ressortant ses doigts, il arrêta de bouger. Elle lui mordit la lèvre inférieure quand les doigts englués se posèrent sur ses seins, agaçant les pointes tendues entre le pouce et l’index. Il lui faisait presque mal, mais au lieu de grimacer ou de se dégager, elle appuya sur ses paumes pour que surtout il ne les enlève pas. Elle en voulait davantage et plus fort. Impatiente, elle glissât les mains entre leurs deux corps et très fortement elle serrât enfin sa verge entre ses doigts. Sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, elle l’enfonçât avec tellement de force au plus profond d’elle-même, qu’elle criât de bonheur lorsque le gland percuta son utérus. C’était diaboliquement agréable, hélas, il se retira au moment où elle allait jouir.
Elle pensât avec regret qu’il allait s’arrêter là, mais la forçant à descendre de la table, il l’attrapât par le bras et quelques secondes plus tard, elle se trouvât collée contre la fenêtre, ses seins écrasés contre la vitre glacée. Le contraste entre la température du verre et celle de sa peau la fit gémir. Chaque parcelle de son corps désirait sentir ses mains sur elle et son ventre en feu désirait sa queue aussi longue que grosse.
— Écarte les jambes lui dit-il !

D’être ainsi traitée, elle lui obéit et sans aucune hésitation. Il prit ses hanches à pleines mains et l’attirant à lui, il la pénétra une nouvelle fois avec force.
— Tu aimes ma façon de t’aimer ! lui murmura-t-il, en prenant le lobe de son oreille entre ses dents. Tu aimes la sensation de tes nichons collés contre la fenêtre et te faire baiser et en déguster chaque minute !— Oh oui j’aime mon chéri ! Continue, baise moi fort, baise ta Maman.

Il se pencha, lécha son oreille et la mordit brièvement, puis s’inclinant légèrement, il attrapa son clitoris entre ses doigts et se mit à le masser et à le pincer doucement. La chaleur envahissait sa colonne vertébrale, s’enroulant dans ses hanches et entre ses jambes, elle se penchât un peu plus et reculant un peu, elle collât ses fesses contre le ventre de son fils. Les mains appuyées contre la fenêtre, son corps entier se mit à frémir, plein de l’orgasme qui la prenait, la laissant le souffle coupé. Quand enfin ça s’arrêta, pressant son érection contre ses fesses, il se retira et la tourna vers lui et baissant la tête il lui embrassât le cou, la mâchoire, la lèvre inférieure. Libérant une main en la descendant vers son sexe elle commençât à le masturber, il était lourd, long et parfait dans sa paume.Alors laissant ses fesses glisser contre la vitre elle se mit à genoux et avant de prendre la verge entièrement dans sa bouche et la glisser jusqu’au fond de sa gorge, elle lui dit :
— Je vais te faire jouir si fort que tu oublieras qui tu es !
Se penchant sur la bite humide et palpitante, elle la glissa dans sa bouche, pendant que de ses mains elles continuaient à le branler frénétiquement et à masser ses parties génitales.Ben se mit à trembler et à gémir de plus en plus fort
— Oh putain, Maman !!!"
Etre appelée « maman » pendant les rapports sexuels, était puissant pour elle. Elle le sentit se crisper et gémir profondément alors que sa verge allait et venait dans sa bouche. Les mains de son enfant accrochées à ses cheveux, elle releva les yeux, elle le vit fermer les siens, il était sublime dans son abandon.
— Tu aimes quand Maman te suce mon chéri ?— J’adore, mais je crois que je ne tiendrai pas longtemps.— Tu vas jouir ?— Oui ça vient.— Viens mon chéri, jouis dans ma bouche.
Dans la seconde même où la semence envahissait sa bouche, elle l’entendit gémir de plaisir et lorsque le premier jet de sperme arriva, elle reculât la tête pour qu’il jaillisse directement sur sa langue. Elle ne voulait pas l’avaler tout de suite, elle avait besoin de le goûter, de le sentir. Alors, elle continua à le caresser, à le sucer, tandis qu’il se déversait au fond de sa gorge, jusqu’à ce qu’elle sente son corps se détendre et que le sperme s’arrête de jaillir. La bouche pleine de sa semence, elle en tira une folle montée d’adrénaline et de plaisir et les yeux rivés à ceux de son fils, elle avala jusqu’à la dernière goutte.Ils reprirent leurs souffles dans une ivresse bien réelle qui les fit douter de l’intensité du moment qu’ils venaient de vivre. Elle restât à genoux, anéantie par la violence de cette jouissance si irrépressible.Ben respirait fort.
— Oh mon Dieu, maman, c’est la première fois qu’on me suce. C’était incroyable.
Tenant toujours la bite entre ses mains, elle lui dit.
— Jamais tu ne débandes chéri ! Regarde il est toujours aussi gros. — J’ai tellement envie de toi Maman chérie.— Moi aussi j’ai encore envie de toi mon trésor.

Elle lui avait donné son corps, l’avait sucé, branlé et maintenant elle avait envie d’aller encore plus loin avec lui : c’était entre ses reins qu’elle voulait qu’il jouisse. Elle tenait toujours le sexe sans une main, elle se relevât et lui dit en le ramenant jusqu’à la table.
— Suis moi, j’ai encore envie que tu me fasses l’amour chéri. Je ne sais si tu t’en rappelles chéri, mais hier quand tu as glissé ton doigt dans mon anus, tu m’as terriblement excitée. J’ai terriblement envie que tu me baises, disons plutôt que tu me mettes ta grosse queue dans mon anus.— Tu le faisais avec Papa ?— Oui bien sur chéri, mais son sexe était beaucoup moins gros et long que le tien.— J’ai en tellement rêvé Maman. — Mais s’il te plaît chéri, tu vas doucement sinon tu vas me déchirer complètement l’anus. Si je te dis, « arrête », tu arrêtes compris ! — Oui j’ai bien compris.— Mais avant je veux que tu me lèches mon petit trou, ça aidera pour la pénétration. Tu veux bien !
Elle n’avait jamais été grossière, mais aujourd’hui, de parler de « sodomie », de se faire « baiser », « la queue » et non « le sexe » de son fils, l’excitait au plus haut point
— Oh oui Maman, j’en tellement envie de lécher ton corps de partout.

Se tenant face à la table, elle écartât ses cuisses et se penchât en avant en collant ses seins sur le bois rugueux, offrant ainsi ses fesses entre ouvertes au regard émerveillé de son fils.
— Embrasse-moi, lèche ma chatte et mon anus mon amour.
Ben s’agenouilla derrière elle et se penchant, il commença à lui lécher les lèvres gonflées et dégoulinantes. Elle se mit à se tortiller et à grogner alors que la langue de son fils plongeait entre ses pétales roses flottants et quand le bout de la langue forçât son petit trou plissé, elle se mit à gémir de bonheur en remuant son fessier de façon incontrôlable et obscène.
— Baise moi chéri ! glisse ta grosse queue en moi pour bien la graisser de ma mouillure et après tu pourras me sodomiser.
Posant ses deux mains sur les hanches de sa mère, il s’enfonça en elle et se mit à la baiser frénétiquement.
— Mon Dieu comme c’est bon mon chéri ! Comme ta queue est dure et bonne. Je t’en prie baise moi plus fort, je veux te sentir bien au fond.— Maman ! Si je continue je vais jouir dans ta chatte. C’est ce que tu veux, ou préfères tu entre tes reins ?— Dans mon cul chéri, mais va doucement je t’en supplie.

Écartant les lobes fessiers de ses deux mains il plaçât le gland violacé et gonflé, devant le petit trou plissé et il commença à forcer l’entrée de son énorme bite doucement. La douleur fut si forte pour Laura, qu’elle se mit à lui pincer les cuisses.
— Aïïïïe !!!! Arrête un instant chéri, laisse mon anus s’habituer à ta queue.
Puis glissant une main sous son ventre, elle se mit à caresser son clitoris permettant ainsi à la douleur de s’atténuer. Il attendit un instant, puis recommença à pousser doucement, jusqu’à ce que le gland, sous la lente pression commence à s’enfoncer dans l’anus.
— Je te fais mal Maman ! Tu veux que j’arrête ?— Non surtout pas. Oui j’ai mal, mais c’est supportable. Je te veux sentir ta grosse queue en moi, mais t’en prie va doucement.
Il recula, avança de nouveau et cette fois le sphincter s’ouvrit. Alors continuant la pression, il s’enfonça entre les reins de sa mère, jusqu’à ce que son pubis se colle à son anus.Elle avait accueilli l’intrus charnu et avait même reculé contre lui, voulant que la bite rigide la pénètre au plus profond d’elle-même. Elle avait craint la douleur, craint de souffrir le martyre, au lieu de cela, tout son corps s’était mis à trembler alors que la verge s’enfonçait en elle et elle s’était mise à jouir, attendant son prochain mouvement, la prochaine poussée violente dans ses entrailles. Elle pensait qu’elle aurait crié pour arrêter l’envahisseur, lui dire qu’elle était sa mère, à la place elle venait d’avoir l’orgasme le plus massif de sa vie. Il accéléra son mouvement et elle aussi augmenta sa poussée contre son corps qui battait. L’humidité coulait entre eux alors qu’ils se donnaient l’un à l’autre et à cet instant, elle sut qu’elle ne pourrait plus jamais se passer de cette pratique
— Maman, je vais jouir. Je vais jouir dans ton anus.— Oui chéri, tu vas jouir dans « le cul » de maman. Jouis bébé, jouis en moi, remplis-moi de ton sperme.— Je viens maman !
Passant une main entre ses cuisses, elle attrapât les bourses de son fils entres ses doigts et se mit à les serrer doucement en remuant ses fesses contre son ventre
— Oh mon Dieu baise-moi mon amour, je veux sentir ta grosse queue cracher en moi bébé. Ohhhhhh Ahhhhhhhhh oh mon Dieu comme c’est bon, Maman jouis aussi.....
A bout de force, Ben s’allongea contre le corps de sa mère.
— Je l’ai fait, maman. Je t’ai sodomisée, chuchota-t-il, la bouche collée à son cou.
Elle contracta son sphincter alors que le sexe commençait à se ramollir.
— Je n’arrive pas à croire à quel point j’aime la sensation de ta grosse bite à cet endroit. J’espère que tu prévois de me le faire régulièrement."— C’est quand tu voudras Maman !
Laura ne put s’empêcher de gémir.
— Ohh, mon chéri ! ce serait « top ». Et combien de fois crois-tu que tu pourrais le faire ?— Tous les jours.
Laura éclata de rire. Elle remua son beau cul arrondi tout en continuant à lui malaxer les bourses
— Je pensais plutôt une ou deux fois par semaine. — Une fois ou deux par semaine ! Même pas en rêve Maman chérie, ce sera tous les jours. Ne m’as-tu pas dit que j’étais « ton homme » !— Oui mon amour, tu es mon homme, alors pourquoi ne pas recommencer tout de suite !
Le simple fait d’avoir le sexe de son fils toujours dans son anus, elle ne pouvait contrôler la jouissance qui arrivait au galop
— Tu ferais mieux de me baiser vite, sinon je vais jouir sans toi, bébé. Je t’en prie continue, défonce-moi encore chéri, j’ai trop envie de toi.
Ben recula et enfonça profondément son sexe dans le canal de sa mère.
— Ohhhh, je ne peux y croire, je vais encore jouir mon chéri. Ohhhhhh."
Elle écartât elle-même ses monticules soyeux et musclés et s’empalât ainsi profondément.
— Maman, oh, maman je jouis........
Il sentit le liquide commencer à monter, prit conscience de ce chatouillement spécial dans son aine alors que le sperme chaud se déversait entre les reins de sa mèreOutre, de s’être faite baiser, à la pensée que son propre fils la défonçait et la sodomisait comme une chienne en chaleur, elle se mit à trembler et à remuer ses fesses sur la virilité épaisse qui la remplissait, déclenchant de nouveau un autre orgasme aveuglant dans sa chatte et son rectum. Il fut si puissant, qu’elle glissât sur le sol entraînant son fils avec elle et perdit connaissance. C’est dans son lit et sous les caresses de son fils qu’elle sortit de son inconscience et lorsqu’il se pencha pour l’embrasser, c’est avec un immense bonheur qu’elle ouvrit la bouche pour que les deux langues puissent s’entrelacer.
— J’aimerais être réveillée tous les jours par tes caresses et tes baisers mon chéri. Tu m’as tuée.— Je t’aime tellement Maman.— Moi aussi je t’aime mon chéri. Je t’aime comme une maman et comme une femme aimant son « homme ». Je suis à toi et quand nous serons enfin chez nous, je veux que tu partages mon lit, notre lit.— J’ai hâte de rentrer à la maison et de te faire l’amour tous les jours.— Je dois aller aux toilettes, chéri. Tu m’as tellement remplie qu’il va y avoir du sperme de partout.
Il posa ses deux mains sur les fesses de sa mère quand elle revint s’allonger contre lui et elle pressât son ventre contre le sien, ce qui eut pour effet de réchauffer ses ardeurs.
— Crois-tu pourrais encore me baiser ?— Tu veux voir !
Tremblante de désir et impatiente que son fils lui prouve qu’il avait encore envie de la posséder, elle souda sa bouche à la sienne, quand le bruit d’une voiture s’arrêtant devant leur chalet les fit sursauter.
— Merde !— C’est qui ?— La doctoresse ! J’avais oublié qu’elle devait passer cet après-midi. Bordel, elle aurait pu attendre encore un peu, j’avais encore envie que tu me baises.— Nous sommes complètement nus, tu vas lui ouvrir ?— Détends-toi et file sous la douche laver cette belle bite, elle va certainement vouloir t’ausculter et ça va certainement m’énerver. — Tu es jalouse ?— Tu ne peux t’imaginer à quel point.
Et lui prenant son sexe entre les mains, elle lui dit :
— Ce que je tiens dans mes mains est maintenant à moi, alors personne ne touche. Tu as compris !
Éclatant de rire, il lui répondit en posant sa main sur son pubis et en glissant deux doigts dans son vagin :
— Ce que je caresse est maintenant à moi, alors personne ne regarde, et encore moins ne touche. Tu as compris !— Oui mon amour, tout est à toi. Je ne suis qu’à toi et tu n’es qu’à moi.
Et ils s’embrassèrent comme des fous.
— Si elle te pose des questions, que vas-tu lui dire ! — La vérité, que la vérité trésor. Vois-tu après lui avoir téléphonée hier au soir, je ne t’ai pas tout raconté et je ne le ferai pas, ce sont nos secrets entre elle et moi, mais je veux qu’elle sache que je suis allée jusqu’au bout. Et ce que je veux surtout, c’est qu’elle me fasse une ordonnance pour la pilule, car vois-tu, avec ta fameuse idée de vouloir coucher avec moi, je n’ai aucune envie de tomber enceinte. Tu as réveillé le volcan qui dormait en moi et maintenant tu as intérêt à assumer. Tout compte fait, faire ce voyage sera la meilleure chose qui me soit arrivée depuis près de dix ans.
La sonnette se mit à sonner...
— Oui deux secondes, j’arrive ! Allez, file dans la salle de bains.
Ils se sourirent tous les deux et Laura se pencha pour faire tourbillonner sa langue autour du bout de la bite ramollie. Puis cul nu, elle se dirigea vers sa chambre pour récupérer la culotte qui traînait sur le lit et passa le tee short de Ben sur ses épaules, lui faisant quasiment une minijupe et elle alla ouvrir la porte.
— Bonjour Docteur.— Valérie et non docteur Laura.— Oui c’est vrai, excusez-moi Valérie. Entrez !
La première chose que la Doctoresse remarqua, ce fut le survêtement et le boxer de Ben qui traînaient près de la table et quand Laura s’en aperçût, elle se mit à rougir comme une pivoine.
— Excusez le désordre, lui dit-elle en les ramassant et en allant les poser sur son lit qui ressemblait plus à un champ de bataille qu’à un lit.— Mais vous n’avez pas à vous excusez et surtout ne soyez pas embarrassée : Je comprends.
Et s’approchant au plus près de Laura, elle lui demanda :
— Alors comment va votre fils ! Tout s’est bien passé, vous avez réussi à finir les examens comme je vous l’avais demandé ?
Encore une fois, Laura ne put s’empêcher de rougir
— Ne répondez pas Laura.
Laura ne savait vraiment plus où se mettre et encore moins la regarder. Alors prenant son visage entre ses mains, la doctoresse lui dit :
— Je l’ai su en entrant. Vous êtes complètement épanouie et croyez-moi, je suis ravie pour vous. Disons pour vous deux.— Je l’ai fait Valérie, je l’ai fait. Je vous avoue qu’hier au soir après notre conversation téléphonique, j’étais décidé à franchir le cap, mais une fois face à lui mon corps refusât le contact avec lui et s’il n’avait pas osé me forcer, je crois que je n’aurai jamais fait le premier pas. Maintenant, je peux vous répondre que je suis vraiment très heureuse et tout comme vous, je ne regrette rien. Je ne vous remercierai jamais assez d’avoir été aussi dure avec moi.
Elle se sentit soulagée de lui avoir ouvertement avoué qu’elle avait fait l’amour avec son fils.
— D’arriver comme ça à l’improviste, j’espère que je ne vous ai pas dérangés.— Hier au soir quand je vous ai appelée, vous alliez faire l’amour avec votre fils et bien quand vous êtes arrivée nous allions de nouveau faire l’amour. — Je suis vraiment désolée.
La doctoresse tenait toujours le visage de Laura entre ses mains, alors elle posa sa bouche sur la sienne.Laura fut tellement surprise qu’elle ne tentât même pas de la repousser, encore moins de garder la bouche fermée elle sentit la langue forcer sa bouche. Alors elle s’abandonna dans un baiser langoureux.Elle n’avait jamais été embrassée par une femme et quand les doigts inquisiteurs de la doctoresse écartèrent sa culotte et se glissèrent entre ses lèvres trempées, elle ne put se retenir de gémir.
— Que faites-vous lui dit-elle en essayant de repousser les doigts.— Laisse toi faire mon ange, je veux que tu jouisses.— Non il ne faut pas, Ben est juste à côté. Vous vous imaginez s’il ouvrait la porte !— Chut, tais-toi. — C’est la première fois avec une femme.— Depuis le premier jour, j’ai envie de sentir ta mouillure sur mes doigts, alors laisse toi aller.
Son clitoris n’avait jamais été autant sollicité que depuis ces deux jours et à peine la Doctoresse le touchât, ce fut comme un feu d’artifice qui éclatât dans son ventre. Alors accrochant ses deux bras à son cou, elle se mit à jouir jouir si fort qu’elle dut lui mordre l’épaule, pour que son fils ne l’entende pas crier. Jamais elle n’aurait supposé un seul instant qu’elle puisse ressentir autant de plaisir sous les caresses d’une femme.
— Vous êtes terrible Valérie. — C’était bon ?— Bon n’est vraiment pas le mot approprié, je dirais plutôt « divin ». Bien que je n’aie jamais caressé une femme, j’aimerais beaucoup vous rendre la pareil, mais Ben doit s’impatienter et se demander ce que nous faisons.— Peut-être reviendrez-vous en vacances ici Laura, et si tel était le cas, ce serait bien que nos deux enfants fassent connaissance et que nous deux puisions faire plus ample connaissance.— Ce serait vraiment très bien. Je vous promets de réfléchir sérieusement à votre proposition.
Et sans plus aucune retenue, elle posa ses lèvres sur celles de la doctoresse et glissât sa langue dans sa bouche pour un baiser langoureux.
— Hum !!!! c’est délicieux. Et maintenant, si je m’occupais un peu de se malade pour voir comment il va !— Croyez-moi Valérie, il va très bien. Je vous assure qu’il a très bien réagi aux traitements que je lui ai fait subir, lui dit-elle en riant aux éclats.— Ça te dérangerait si je lui fais un check up ?
Acceptant le « tutoiement » avec plaisir, elle répondit :
— Si tu n’étais pas Docteur, je te dirais carrément « non ». — Tu es déjà possessive de ton fils, preuve que tu es vraiment amoureuse de lui, comme je le suis du mien. Je te promets de ne faire que mon métier et si tu le désires tu pourras rester près de nous. Allez, va me chercher ton homme que je m’occupe de lui.— Valérie, je peux te poser une question qui me taraude depuis l’autre jour !— Oui bien sûr.— Quand tu m’as donné l’ordonnance pour m’occuper de mon fils, avais-tu idée de me faire coucher avec lui ?— Franchement non ! En fait lorsque j’étais au chevet de ton fils, je lui ai demandé s’il préférait que ce soit moi ou sa maman qui lui fassent les tests. Et sans aucune hésitation, il m’a répondu : Maman. Alors je me suis amusée à lui poser des questions assez indiscrètes et Il ne m’a fallu pas plus d’une seconde, pour comprendre qu’il était raide dingue de toi. Après, c’est lorsque tu m ‘as téléphoné la deuxième fois que je me suis aperçue en t’écoutant, que c’était toi qui commençais à le désirer, mais tu ne voulais l’accepter. Alors j’ai décidé de vous aider tous les deux.— Au départ, j’étais très en colère après toi, la preuve, j’étais décidée de tout arrêter, mais aujourd’hui, je ne te remercierais jamais assez. Autre chose ! je ne voudrais pas tomber enceinte, pourras-tu me faire une ordonnance pour prendre la pilule !
La phrase à peine finie, Valérie glissât une main dans son attaché case pour prendre une ordonnance, qu’elle lui tendit
— Figures toi que j’y avais pensé et je l’avais préparée depuis ton coup de téléphone. Je n’ai plus qu’à mettre ton nom.— Tu pensais vraiment que j’allais le faire !— A 99% ma chérie.
Comme une gamine, Laura se mit à sauter de joie et après avoir de nouveau bécoté la bouche de Valérie, elle appela son fils.......
Note de l’auteur :Je sais que certains diront : encore un fils avec un gros sexe... En ce qui concerne mon fils, je peux vous assurer que c’est bien le cas, mais je n’avais jamais prêté attention jusqu’à ce fameux jour. Qu’il soit tombé dans les eaux glacées du fleuve est totalement vrai. Cependant, ce n’est pas la doctoresse qui s’est allongée nue contre son fils, mais bien moi contre le mien. De l’avoir senti bander contre mon ventre est tout aussi réel et j’avoue sans aucune honte que par la suite, je me suis donnée beaucoup de plaisir en revivant sa bandaison contre mon ventre et que je m’en donne très souvent alors que je suis seule dans mon lit.Phrase hors charte retirée par l’admin
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