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Sur le toit

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Cette histoire s’est déroulée dans les années 80 dans une grande ville du bord de la méditerranée. A cette époque, tout juste à 18 ans passés, plutôt timide et réservé, j’avais du mal encore à développer une relation autre qu’amicale avec les filles de mon âge. Cependant, j’étais plus qu’attiré par les femmes mûres autour de la quarantaine qui se rendaient compte de mon désarroi quand elles s‘adressaient à moi et surtout du regard que je portais sur elle.
Un regard qui en disait long sur mon envie de découvrir davantage ce qu’il y avait sous leurs robes, sous leurs jupes, la forme naturelle de leurs seins enveloppés dans la dentelle et derrière les tissus légers et transparents des robes d’été.
Il m’arrivait souvent depuis plusieurs années déjà, d’attendre patiemment quand des amies venaient rendre visite à ma mère, pour boire un café et papoter entre femmes, de m’installer dans un coin de la terrasse avec un livre à attendre de voir un bout de culotte ou un téton qui pourrait pointer à travers leurs chemisiers.
Parmi ces femmes, la voisine de l’immeuble Carine, belle brune, cheveux mi-courts, yeux verts, la quarantaine passée, un corps plus que bien conservé, fine qui donne envie à tous les hommes qui la croisent. Veuve qui voulait profiter de sa solitude sans hommes qui entraverait sa liberté puisque sa fille unique a déjà quitté la maison familiale pour ses études. - c’est ce que j’avais compris de leurs conversations entre femmes- Elle s’aventurait souvent à venir chez nous, sans grande manière, habillée plutôt légèrement avec une robe bleu clair à bretelles, plutôt longue et transparente qui laissait entrevoir une culotte blanche à dentelle, les seins libérés de tout soutien, ne pensant pas nécessaire de s’en faire davantage, comme je suis seul avec ma mère à la maison dans la journée.
Elle avait les seins de taille moyenne, en forme de poire qu’on voyait bien ballotter à travers le tissu de sa robe quand elle venait vers moi assis sur ma chaise fétiche : « Bonjour Manuel, comment ça se passe ces vacances, alors toujours pas de copine pour cet été ? » elle en profitait pour baisser en m’embrassant pour mon grand plaisir de voir sa paire tombante et l’aréole brune qui entoure des beaux tétons juste devant mes yeux. Cette vision qui m’amenait jusqu’à sa culotte à travers son large décolleté me faisait bander instantanément à me faire mal dans mon slip, n’ayant pas le courage d’ajuster la position de mon sexe devant elle.
Comme à chaque fois, elle jetait un coup d’œil discret sur mon entrejambe comme si elle voulait s’assurer que cela me produisait toujours de l’effet. Ce que je ne pouvais cacher. Elle repartait en me faisant un clin d’œil l’air de dire : « ça t’a bien plu petit cochon ».
Carine habitait le dernier étage de l’immeuble, un appartement de 2/3 pièces avec une belle terrasse qui donne sur toute la ville et qu’on ne pouvait voir qu’à partir de l’autre partie du toit à mi-hauteur au-dessus de la terrasse et où se trouve la réserve d’eau de l’immeuble.
Un jour dans l’après-midi, mon père me demanda d’aller vérifier l’état de la réserve d’eau qui semblait baisser. J’ai fait le nécessaire et je m’apprêtais à redescendre quand j’entendis deux voix de femmes dont l’une est celle de Carine, mais qui était plutôt haletante.
Il m’était déjà arrivé de voir Carine en maillot bronzer sur sa terrasse sur une chaise longue avec un verre à la main quand je montais à la demande de ma mère pour lui rendre un ustensile de cuisine ou lui demander un service, ce qui était courant entre voisins dans cette ville de méditerranée.
Je m’approchai du bord du muret et me cachai derrière, la tête juste sortie pour voir ce qui se passe en dessous.

Carine était assise à califourchon sur sa chaise longue qu’elle avait mise à plat pour l’occasion, toute nue. Face à elle, une autre femme, blonde, même type de cheveux mi-courts, un corps aussi agréable à regarder que celui de Carine. Les deux femmes avaient les mains croisées mutuellement sur leur sexe pendant qu’elles chuchotaient des mots difficiles à entendre, mais entrecoupés d’un halètement que ni l’une ni l’autre ne parvenait à retenir.
Carine était face à moi et je voyais son amie de dos. J’avais reconnu une de ses amies, Sabrina, qui venait parfois chez nous, la quarantaine aussi, très belle femme blonde aux yeux bleus, plutôt grande, discrète, avec une poitrine bien proportionnée pour son corps fin.
Elles étaient à l’ombre avec une petite brise de fin d’après-midi d’été qui rafraichissait un peu l’air. Je voyais les seins de Carine qui pointaient très fort, leur auréole réduite au maximum tellement ses tétons poussaient en avant. La tête en arrière, les yeux fermés à apprécier les caresses de son amie.
Les doigts de sa partenaire étaient à l’intérieur de sa chatte avec le pouce en appui sur son clitoris. Je la voyais alterner la caresse sur le clitoris pour s’arrêter et faire rentrer et sortir les quatre autres doigts du sexe humide de Carine. Le pouce prenait appui sur la base du clitoris, accompagnée d’un léger frottement vers le haut, alors que le mouvement des doigts frottait en même la paroi supérieure du vagin grand ouvert. C’était à cet instant que Carine ne pouvait s’empêche de pousser un petit soupir de bien-être à ce que je voyais.
Je n’avais jamais vu une chatte d’aussi près ni dans cet état de toute évidence avant ce jour d’été. J’avais vu des revues de femmes nues, des photos de chattes épilées, mais jamais en vrai.
— Oui. Oui... continue comme ça, fouille-moi avec tes doigts ma petite salope... chuchotait Carine en arrêtant de s’occuper de la chatte de Sabrina pour se malaxer un sein avec une main et s’appuyant à l’arrière avec l’autre.

Sabrina avança alors sa tête et commença à téter à pleine bouche le téton bien tendu de l’autre sein de Carine tout en continuant à lui enfoncer ses quatre doigts au plus profond de sa chatte qui dégoulinait de mouille de plus en plus. Je voyais les lèvres de sa chatte se refermer et s’ouvrir avec le mouvement des doigts et brillait de mouille ramenée vers l’extérieur.
Au même moment, ne pouvant me retenir davantage, j’ai sorti mon sexe bien tendu depuis un moment, pour commencer à me masturber au même rythme que celui que donnait Sabrina à ses doigts. J’avais la sensation de partager le plaisir que prenait Carine, je m’imaginais le téton dans la bouche en le léchant et l’aspirant à mon tour, tellement j’ai fantasmé à le voir pointé dans cet état.
— Oui, vas-y plus fort, je vais jouir, tu vas voir ce qui t’attend salope, quand ce sera ton tour ... oui oui ... enfonce-toi encore plus profond encore oui l là là continue... ah ah.

Je n’ai pu m’empêcher d’éjaculer instantanément plusieurs giclées puissantes contre le muret face à moi en voyant Carine trembler de tout son corps, quand un jet de mouille est sorti de sa chatte comme si elle éjaculait elle aussi. La mouille coulait sur ses cuisses bien écartées puis elle a bombé son torse et ses seins en avant pour s’écrouler en arrière et s’allonger sur sa chaise longue.
Ma jouissance était tellement forte que je n’ai pu m’empêcher de lâcher un ‘ah’ assez audible à mon tour qui a fait ouvrir ses yeux à Carine juste avant de s’étendre sur sa chaise et moi de baisser la tête immédiatement derrière le muret, mais j’étais persuadé qu’elle avait eu le temps de me voir...
Quelques minutes passent, assis derrière mon muret, puis j’entends à nouveau quelques chuchotements, mais un peu plus audible que la dernière fois :
— A mon tour de m’occuper de toi ma chérie, laisse-moi me mettre en dessous de toi et donne-moi ta chatte, j’ai envie de goutter ta cyprine aujourd’hui.

Je m’aventure à lever la tête et regarder ce qui se passe. Je vois les deux amantes tête-bêche, Carine couchée sur le dos et Sabrina à quatre pattes, ses fesses face à moi et Carine qui lui lèche lentement et doucement la chatte de bas en haut jusqu’à l’anus.
— Ah oui, lèche-moi comme une chienne, c’est ça oui, bouffe-moi la chatte comme tu aimes...

Carine écarta alors de ses deux mains les fesses de Sabrina et absorba à pleine bouche les lèvres roses bien gonflées, la chatte épilée avec une toison blonde bien taillée en petit V au-dessus du clitoris. On dirait qu’elle lui aspirait la chatte en sa totalité. Puis elle arrêta un moment, écarta le plus possible les lèvres, me donnant une vue des plus excitantes sur la grotte de Sabrina dilatée qui ne demande qu’à être pénétrée. Elle écarta aussi les fesses pour montrer son anus bien ferme et les sillons fins et qui me donnait envie d’y enfoncer doigt pour le dilater davantage. Je me suis toujours demandé si Carine avait fait exprès de m’offrir cette vue détaillée du cul de son amie ; j’ai eu la réponse plusieurs années plus tard.
Carine continua à lécher le clitoris de Sabrina tout en lui donnant quelques claques sur les fesses à lui faire pousser des gémissements des plus excitants à entendre : « oh oui encore, c’est bon ça... »
— Vas-y mets-moi un doigt dans le cul oui, je ne veux pas jouir tout de suite, oui continue à me bouffer la chatte. Oui, oui c’est bon ... doigte-moi le cul comme une salope.

Je voyais Sabrina, la belle blonde toujours bien sur elle, presque la plus BCBG de toutes les femmes que j’ai rencontrées comme une chienne à 4 pattes en train de se faire nettoyer le derrière par son amie et qui prenait son plaisir de cette situation et dans cette position en plein air. Alors Carine lui enfonça un doigt dans le cul puis deux autres dans la chatte tout en gardant sa bouche collée contre son clitoris. Sabrina recula sa tête en arrière, surprise par la prise simultanée de sa copine.
— Oh oui, oh oui, continue... je savais que tu sais t’y faire en chatte, oui lime-moi le cul en même temps. Je vais jouir, continue, je n’en peux plus.

A ce moment, Carine enfonça complètement sa main à l’intérieur du vagin de Sabrina qui poussa un petit cri de surprise et commença des mouvements de rotation de sa main en poussant de plus en plus vers le fond du ventre son amie. Elle compléta le mouvement avec deux doigts enfoncés profondément dans le l’anus, appuyait vers le bas comme si elle cherchait à gratter sa main à travers la fine paroi qui sépare les deux orifices.
— Oui, oui, défonce-moi, ouvre-moi la chatte, défonce-moi, oui oui ... je ne sais plus où j’en suis, je vais jouir ah ah aaaah...

De toute évidence, mon excitation n’avait pas mis beaucoup de temps à me donner à nouveau de me caresser. Mon sexe à nouveau dressé comme jamais, dans ma main, je frottais mon gland dans la paume en suivant bien les gestes de Carine. Ma deuxième jouissance accompagnait celle de Sabrina, avec plusieurs contractions que je ressentais fortement depuis mon anus jusqu’à la base de mon sexe. Plusieurs jets de sperme bien blanc en quantité que je n’avais jamais eu l’occasion de voir en aussi peu de temps. Je sentais mes couilles complètement vidées et contractées avant de se relâcher à leur tour, une fois les jets finis.
Sabrina se jeta en avant pour se défaire de la prise de Carine qui retira sa main, laissant l’ouverture béante de la chatte à l‘air et l’anus dilaté et ouvert de son amante. Je voyais la mouille de Sabrina qui coulait le long de ses cuisses, tellement sa jouissance était forte, puis elle s’allongea sur sa copine qui commença à lui masser doucement les fesses.
Je regardai le visage de Sabrina, yeux fermés, couchée le long du corps de Carine, les bras tombant le long de la chaise avec un sourire doux, la bouche entrouverte qui montrait son état de relâchement et de bien-être après cette jouissance. Il s’en suivit un moment de silence, quelques éclats de rire des deux femmes, rires qui m’ont toujours donné l’impression de partager un des plus grands secrets du plaisir que peuvent avoir les femmes à travers ce corps si étrange et pourtant si proche du mien. Ce moment est resté longtemps comme la plus belle découverte du plaisir que pouvaient avoir les femmes.
Finalement, j’étais revenu ce pour quoi j’étais à cet endroit, rappelé à la réalité par la voix de mon père qui me criait de notre balcon deux étages plus bas :
— Alors Manuel, c’est pour aujourd’hui ou pour demain...— Eclat de rire étouffé de Carine, j’étais cuit pour de bon !

Suite à venir... si intérêt et plaisir à lire
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