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Le surmembré

Chapitre 2

Hétéro
Récits d’un jeune montréalais surmembré: le bizutage de Sarah
C’était exactement un mois après ma nuit avec Kelly. Clairement, je ne suis pas prêt d’oublier cette soirée, sans aucun doute la plus fantasmatique que j’aurai à vivre dans mon existence, mais qui sait, je suis encore jeune. Nous n’avions pas gardé contact elle et moi. Minuit moins quart, vendredi, je m’apprête à aller au lit après une longue journée au travail, une session au gym et une soirée a regarder des matchs des séries éliminatoires au hockey avec mon colocataire. Les quelques bières consommées tout en restant paresseusement enfoncé dans le sofa ont tôt fait d’accélérer mon processus d’endormissement.
Alors que je place mon portable sur le comptoir de cuisine pour le charger pour la nuit, un texto apparaît. Un numéro inconnu. ’’Allo Sam!’’. ’’Allo, c’est qui?’’. ’’C’est Kelly...tu te souviens de moi j’espère!’’. ’’Oui bien sûr’’.
Mon portable sonne alors, c’est elle qui m’appelle. Elle m’explique qu’elle est avec une bande de copines à l’appartement de l’une d’elle. J’ai peine à l’entendre tellement la cacophonie règne derrière elle. Musique, voix, cris, rires, la fête semble bien enracinée là où elle se trouve. Elle m’explique qu’elles ont ’’besoin’’ de moi ce soir, qu’elle aimerait que je vienne les rejoindre. J’essaie d’en savoir plus, ses propos sont un peu décousus mais surtout volontairement flous. Devant mon hésitation, elle me laisse savoir qu’elle est avec son équipe de cheerleaders de l’équipe de football de l’université, que les filles m’attendent et qu’elles comptent sur moi.
J’enfile une veste, enfin le printemps est arrivé sur Montréal et la température est agréable, je n’ai qu’à marcher une vingtaine de minutes pour me rendre à l’adresse indiquée par Kelly. Tout en marchant, j’ai le sentiment que cette bouffée d’air frais revigorante me sera essentielle pour la suite des choses, je n’ai alors aucune idée de ce qui m’attend, j’imagine une tonne de scénarios.
Arrivé sur place, Kelly m’attend dehors sur le trottoir en face de l’immeuble. Elle est nerveuse. Elle m’explique en détails qu’elle et son équipe de meneuses de claque sont sortis ce soir dans un club de danseurs nus au centre-ville pour l’initiation d’une nouvelle venue dans leur groupe. C’est Sarah, une jeune étudiante de première année qui a été recrutée. Par les années passées, le bizutage des nouvelles s’en tenait à cette soirée au bar de danseurs mais cette fois, la situation a ’’évolué’’. Kelly me raconte, avec une certaine gêne, que durant la soirée, dans le cadre de son initiation, le recrue devait avouer ses fantasmes sexuels aux autres filles. Une des leurs a dit a Sarah, à la blague, que le bizutage impliquait la réalisation de ce fantasme ce soir. Sarah ne s’était pas opposée, au contraire, elle était plutôt volontaire, à la surprise de toutes. L’idée a été montée en épingle très rapidement, Kelly a pris l’organisation en main. J’étais la personne ressource toute indiquée pour Sarah selon Kelly! Elles m’averti que les filles s’impatiente là-haut et sont toutes très fébriles, voire un peu hors contrôle par la tournure des événements.
“Le fantasme de Sarah, tu l’auras deviné Sam, est d’être prise par...un très gros membre. J’espère que tu n’es pas insulté que je t’ai sollicité, tu vas voir, Sarah est vraiment très mignonne”
Tout va très vite dans ma tête, je suis un peu sous le choc, je suis Kelly dans l’escalier intérieur, nous montons jusqu’au troisième, la porte du logement est déjà entrouverte. Mon accompagnatrice me précède dans l’appartement, je ressens alors un stress énorme, huit jeunes femmes me regardent, me dévisagent. Certaines sont tout sourire d’autres sont aussi mal à l’aise que moi. Chose sûre, je suis en présence de huit superbes étudiantes toutes plus délicieuses les unes que les autres. Les bouteilles de champagnes et de vin vides ornent la table de cuisine, les comptoirs et le mobilier du living. Une magnifique brunette m’offre un choix de champagne, vin, bière ou alcool fort. Seul des shooters pourront me calmer un peu, j’en agrippe un, puis deux, puis trois, puis quatre. Le volume de la musique augmente, les filles se mettent à crier, à m’encourager. L’une d’elle retire même son gilet et se retrouve en soutiens-gorge, une autre l’imite, c’est splendide. Est-ce Sarah? Je n’en ai aucune idée, c’est la foire totale. Je passe la prochaine demi heure à faire la fête avec les filles, plusieurs d’entre elle viennent me parler, certaines dansent en plein milieu du salon, je dois me pincer.
Je n’ose pas demander qui est Sarah, je présume qu’elle m’observe et prend un moment avant de donner son approbation, c’est quand même très légitime! À un moment, Kelly quitte la pièce et se dirige dans le couloir avec une des cheerleaders, c’est forcément elle. Kelly ne m’avait pas menti, elle est effectivement très mignonne. Elle est d’une grandeur moyenne, mince et athlétique, comme toutes les filles ici d’ailleurs! Son petit visage délicat à la fois à l’allure sage et aguicheur est surmonté d’une chevelure d’un roux très délicat, presque blond. Ses sourcils du même coloris me confirment qu’il ne s’agit pas d’une teinture. Pendant qu’elle tourne le coin du couloir, j’ai tout juste le temps de remarquer les délicates démarcations de son thong sous sa courte jupe ajustée.
Les autres filles me regardent alors toutes avec un petit sourire complice pendant que l’intensité de la fiesta ne ralenti pas d’un cran. Une des deux étudiantes en soutiens-gorge vient s’asseoir à côté de moi et m’aborde directement pour me parler de ma bite, sans aucune gêne. Nous parlons de sexe sans détour, elle est très avenante, se colle à moi et pose sa main sur ma cuisse en la flattant doucement. Je n’ai alors aucune hésitation à fixer ses superbes seins qu’on peut presque voir en entier à travers le fin tissus semi-transparent de son soutiens-gorge. Posés sur ce corps athlétique, Il sont énormes! Elle en est fière, ça saute aux yeux. J’en viens à me demander et espérer que ce soit elle Sarah. Je laisse finalement aller ma main, elle touche sa cuisse et remonte lentement vers sa poitrine si invitante, Kelly surgit au bout de la pièce et lance: "Amélie!"
Mon flirt du moment se lève alors et me tend la main pour que je la suive. Elle m’amène dans la dernière pièce au bout du couloir, c’est un très grand appartement, elles sont certainement plusieurs d’entre elles à habiter ici. Kelly nous précède dans la chambre. Tout semble être planifié et réglé au quart de tour. C’est une pièce convertie en mini salle d’entraînement, une série de petits équipements de musculation et des poids libres occupent la périphérie. Au centre, le spectacle qui s’offre à moi est saisissant.
Sarah est couchée sur un banc d’exercice, sur le dos. Elle ne porte que son soutiens-gorge et sa petite culotte, tous deux fait d’un fin tissu d’un blanc éclatant et légèrement orné de délicates dentelures. Une barre d’haltère avec d’énormes charges est placée sur des supports juste au-dessus de sa tête. Ses deux poignets y sont attachés chacun avec une étoffe rouge. Je m’approche lentement d’elle tel un vautour qui a répéter sa proie affaiblie. Je la touche tout d’abord doucement puis assez rapidement, la pelote sans gêne. Elle me fixe dans les yeux, son regard n’a rien de celui d’une proie mais est plutôt excité, anticipatif, voire affamé. Je lui agrippe les seins par dessus son soutif sous le regard approbateur de Kelly et Amélie qui se tiennent debout juste à la hauteur de la tête de la jeune initiée de part et d’autre, elles ont visiblement été désignées comme maîtresses du jeu ou accompagnatrice, je ne sais trop.
Mon engin est gonflé à bloc, dire que je suis à l’étroit dans mon pantalon serait un euphémisme. Mes doigts glissent lentement sur le mince triangle blanc qui composent le devant de son thong. Le bassin de Sarah fait déjà des mouvements de va-et-vient irrépressibles, elle échappe déjà de discrets gémissements. Alors que je tasse légèrement le tissu pour caresser son clitoris et la préparer à ce qui s’en vient, Amélie lance d’un ton autoritaire:"non, pénètre-la directement." Sur ces paroles, la petite rouquine pousse un petit gémissement aigu et son bassin s’active davantage, approuvant la directive.
J’abaisse mon pantalon et mon boxer d’un seul trait. Amélie est la première à réagir d’un "Wow"suivi d’un ricanement d’incrédulité. Sarah redresse la tête pour mieux voir, ses yeux s’écarquillent, sa bouche reste ouverte, béante pendant quelques secondes puis elle laisse échappé quelques jurons témoignant à la fois stupéfaction et crainte . Kelly, elle, reste de glace, affichant un large sourire de satisfaction et de fierté contemplant son coup fumant.
Je m’assoie face à la jeune meneuse de claque les pieds posés au sol de part et d’autre du banc, elle est ainsi à ma merci. Je place ses jambes au-dessus de mes cuisses et, comme j’aime particulièrement faire à ce stade, je plaque ma queue sur son ventre pour lui démontrer jusqu’où elle sera traversée. Mon gland dépasse nettement son jolie petit nombril. Elle se relève la tête nerveusement pour constater, puis, résignée, se recouche en fermant les yeux et en murmurant: "oh my god, c’est quoi cette chose". Encouragé par la bénédiction d’Amélie, je place mon gland contre son orifice après avoir écarté son string et pousse mon phallus dans le vagin humide de la jeune initiée. Malgré l’évident manque d’espace entre ses petites lèvres, je force ma bite en elle. Son dos se cambre et tout son corps se tortille alors qu’elle laisse échapper un puissant et long cris. Elle est empalée par un pénis beaucoup plus volumineux que celui qui meublait ses fantasmes.
Son con, au départ si serré autour de ma queue, se relâche quelque peu, ses gémissements, eux, ne ralentissent pas, elle crie à chacun de mes mouvements vers l’avant. Ma bite fraie son chemin un peu plus profondément en elle millimètre par millimètre à chaque introduction. Je lève alors momentanément les yeux du corps magnifique que je suis en train de baiser pour constater que Kelly tient la main de Sarah, comme une grande sœur qui veut la rassurer. Amélie, elle, regarde la scène avec une excitation évidente, elle fixe le point de coït sans broncher, sa main droite effleure ses seins. Elle s’avance alors et d’un geste brusque, elle tire vers le bas le soutiens-gorge de Sarah, exposant à tous ses magnifiques petits seins. Elle prend quelques secondes pour les caresser au passage, puis ses mains descendent lentement vers le bas-ventre. Elle écarte encore davantage le triangle de la petite culotte, exposant plus clairement le pubis de la jeune étudiante. Sa chatte est complètement rasée d’il y a quelques jours, on y distingue une légère repousse dorée.
Amélie, de ses doigts agiles, se met à peloter le clitoris de Sarah, sa main est à quelques centimètres de mon membre. Ce manège à pour effet de détendre Sarah et lentement, ses petites lèvres s’adapte de mieux en mieux à la largeur du phallus qui s’engouffre en elle. Ça a aussi pour effet collatéral de m’exciter terriblement! J’exerce une certaine retenue dans mes élans car je sens toujours une résistance qui m’empêche de la prendre sur toute ma longueur. La jeune cheerleader commence a apprécier de plus en plus, ses gémissements se font davantage distinctifs d’un plaisir grandissant, aidée par les habiles caresses de la meneuse de jeu.
C’est à ce moment qu’Amélie, avec son ton strict me dit:"maintenant défonce-la, défonce la petite salope". Instinctivement, la main droite de Sarah agrippe fermement la barre d’exercice au-dessus d’elle et Kelly lui enlace la gauche de ses deux mains, anticipant la suite. Je suis tétanisé par tout ce scénario et, comme si un arc réflexe venait de prendre contrôle de mon bassin, j’assène un puissant coup de rein à la jeune esclave couchée devant moi. Mon bas ventre frappe contre l’intérieur de ses cuisses, ma verge entre enfin sur toute sa longueur, percutant le fond de son utérus. L’intensité du gémissement de Sarah n’a d’égal que mon degré d’excitation. Sous les encouragements d’Amelie, je la saute ainsi, enfonçant ma queue rudement et complètement à chaque passage.
L’étudiante cambre son dos sur le banc et se recroqueville autant qu’elle le peu pour tenter de diminuer la profondeur de pénétration, je glisse mes mains sous ses petites fesses et la ramène vers moi, rendant ses efforts vaincs. Elle n’a pas d’échappatoire, résignée, elle n’a pas d’autre choix que de se laisser embrocher ainsi. Amélie jubile devant ce spectacle, de toute évidence, elle vit un fantasme par personne interposée. "La jeune recrue voulait une grosse queue, elle est servie". T’aimes te faire transpercer par cette bite monstrueuse, hein petite garce?". Amélie n’arrête pas de commenter, souvent dans un dessein d’humiliation, elle est franchement émoustillée.
Je suis sur le point d’éclater, de tout relâcher. Kelly, remarquant le tout, et souhaitant que tout s’arrête au plus vite, par compassion pour Sarah de qui elle tient toujours la main, m’encourage: "vas-y Sam, décharge tout, tu peux venir maintenant". "Tu prends bien la pilule Sarah?". Cette dernière acquiesce d’un subtil mouvement de tête. Kelly reprend alors:"Éjacule, vas-y, éjacule".
Amélie ne l’entend pas ainsi, elle a d’autre projets pour Sarah. Voyant que je suis au bord de l’éruption, elle s’approche de moi et me pousse carrément pour m’extirper de la chatte de sa désormais esclave. Elle me demande de m’approcher, d’enjamber la jeune femme et de me placer debout juste au-dessus d’elle, mes jambes de part et d’autre, pendant qu’elle redresse le banc d’exercice de sorte que Sarah se retrouve assise a quarante-cinq degrés, les mains toujours ligotées, mon dard à quelques centimètres de son visage. Amélie, désormais impliquée concrètement, empoigne mon membre de sa petite main et s’amuse à s’en servir pour asséner de petits coups sur le visage de sa jeune soumise pendant que Kelly s’est reculée de quelques pas et regarde la scène, muette. Elle étale mon phallus turgescent sur le visage de Sarah, l’image est saisissante, le mince visage de la rouquine disparaît presque complètement derrière le cylindre de chair. Ses jolie yeux noisettes sont à peine visibles de chaque côté de mon gourdin. Amélie me regarde alors tout sourire: "putain c’est presque ridicule comme ta bite est énorme!"
Elle se met alors à me branler doucement, le processus d’éjaculation s’amorce sans retour arrière possible, je suis presque en transe tellement l’excitation est puissante. Sarah se tourne alors vers sa maîtresse et demande:"j’aimerais qu’il viennent sur mon ventre et mes seins svp, pas dans mon visage. "Amélie accélère la cadence avec son poignet, elle place mon gland juste au niveau du menton de l’initiée."Il va tout décharger sur ta face petite garce". Au même moment où Amélie prononce ces mots, j’explose. Le jet initial s’éjecte avec une vitesse folle, s’étalant directement dans sa chevelure dorée. La meneuse de claque se tourne la tête de côté pour éviter la suite, une deuxième déjection se répand sur son oreille et son cou. Amélie, de sa main libre, empoigne la chevelure de sa future coéquipière et lui retourne la tête face à ma queue juste à temps pour qu’une troisième salve de sperme lui tartine une grande ligne blanche du menton jusqu’au front. La maîtresse de jeu maintient son emprise fermement même si Sarah demeure bien en place, maintenant résiliée à tout recevoir. Sous l’action de la main d’Amelie, mon pénis continue à cracher tout le foutre accumulé. Jet après jet, le jolie minois à ma disposition se tapisse du liquide blanchâtre et gluant en une succession impressionnante de lignes verticales qui bientôt, se rejoignent et se disséminent pour ne former qu’une vaste couche uniforme. L’éjaculation enfin terminée, Amélie me regarde, yeux ronds, bouche béante: "Wow, je pensais que ça ne s’arrêterait jamais, merde tu parles d’un facial monstrueux! Pauvre petite, on ne la reconnaît même plus tellement son visage est souillé. Ma petite Sarah, ta face est toute recouverte de glaçage comme un gâteau d’anniversaire pour souligner ton adhésion parmi nous! Bravo". La nouvelle membre de l’équipe esquisse alors un petit sourire prenant bien soin de garder les lèvres hermétiquement fermées.
"Oh attends, tu n’as même pas sucer sa grosse bite!" Sans attendre l’approbation de Sarah, Amélie, sans aucun dédain, lui passe deux doigts sur les lèvres pour racler le foutre s’y trouvant. "Je vais au moins te libérer les lèvres pour que tu n’aies pas trop de sperme dans la bouche, tu ne pourras pas dire que je n’ai jamais rien fait pour toi". Puis, tout en ricanant, elle agrippe ma verge encore dure et plaque mon gland contre sa commissure. Décidément, cette Amélie est infatigable! La rouquine n’entrouvre la bouche que très légèrement mais sa maîtresse profite de la brèche pour pousser mon pénis tout au fond de sa bouche. La petite soumise suce doucement ma bite, du moins la partie qui peut entrer dans sa cavité buccale. Pendant que mon engin ramolli lentement entre ses douces lèvres, je contemple ce superbe faciès. Son mascara a commencé à couler et se mêle à la flaque de sperme formant de minces courants noirs à travers le liquide blanc visqueux. Les yeux fermées, elle continue sa tendre fellation, la bouche grande ouverte pour accueillir mon large phallus. Elle continue ainsi pendant un long moment, sous les encouragements d’Amelie et aussi de Kelly qui s’est rapprochée, jusqu’à ce que mon pénis retrouve son état de flacidité complet.
C’est à ce moment que toutes filles entrent dans la pièce en criant et scandant un chant de bienvenue, Kelly était allé les chercher. Je me recule alors et me rhabille illico. Les filles s’attroupent autour de Sarah sans trop s’occuper de ma présence, l’une d’elle lui essuie le visage avec une serviette, la fête continue. Je me dirige vers le salon pour quitter sans tambour ni trompette lorsqu’Amélie me rejoint. "Tu quittes déjà? T’as aimé ça ce soir? J’espère que tu as aimé mes interventions." Je pouvais lire dans ses yeux son désir pour moi, son envie de subir le même sort qu’elle avait fait subir à la jeune recrue. Je la voyais tourner autour du pot et cela m’amusait beaucoup. Son fantasme de grosse queue était juste là devant elle et elle ne pouvait pas le laisser filer ainsi, sans rien faire. Ce n’est pas tous les jours qu’une aussi jolie jeune femme avec un corps si magnifique soit si clairement, presque sauvagement intéressée.
Je décide alors d’inverser les choses et de la faire passer de son rôle de maîtresse à celui de soumise. Je sentais que c’est ce qui l’allumait. "Donne-moi ton numéro de portable et prépare-toi, je vais t’appeler", lui dis-je. Aussitôt, elle prend dans ma poche de jeans mon IPhone et entre elle même ses coordonnées dans mes contacts. Elle esquisse alors un large et satisfait sourire puis se retourne sans dire un mot et part rejoindre ses copines. Je quitte à mon tour et en tout marchant jusque chez moi, mon cerveau bouillonne en pensant à toutes les possibilités qui s’offrent désormais à moi avec cette petite dévergondée d’Amélie.
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