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Surprenant revirement

Chapitre 3

Gay
Je pompe Serge depuis cinq bonnes minutes quand soudain, il se mit à accélérer la cadence avec sa main. Ma nuque empoignée, je ne pus que suivre le mouvement tant bien que mal. On dirait pas mais sucer une bite aussi grosse est très fatigant pour la bouche, mais je ne peux me résoudre à arrêter, c’est vraiment trop bon comme sensation. La main de Serge se contracta, je compris que le moment était venu alors j’augmentai encore plus la vitesse de mon acte jusqu’à sentir (à nouveau) la substance chaude tant attendue emplir ma bouche et s’insinuer dans ma gorge. Il y en avait tellement que cette fois-ci, je dus me retirer pour ne pas m’étouffer avec tous ce sperme. Mais, même en m’étant dégagé, Serge continuait de cracher comme une fontaine. Là, je ne sais pas ce qui m’a pris mais, au lieu de me relever, je suis resté bien sagement devant cette queue en train de jouir afin de me recevoir la semence sur le visage. J’étais encore en train d’avaler le trop-plein tandis que Serge me couvrait de son jus.Finalement, la bite de Serge se tarit. Il retrouva ses esprits avant de constater mon état. Alors que j’étais encore tout habillé, mon visage suintait de foutre visqueux, le contour de mes lèvres en était parsemé et ma bouche peinait encore à engloutir cette offrande.— Pardon mais... Woaw ! C’était vraiment incroyablement bon ! T’es vraiment un roi pour pomper...Un sourire pointa sur mon visage, savoir que je venais de satisfaire correctement mon partenaire me procurait une douce sensation de plaisir et de satisfaction. De mon côté, je bandais comme un diable. Ma queue n’en pouvait plus de cette fellation, il fallait absolument faire quelque chose.Serge et moi, nous ôtâmes nos vêtements afin de nous retrouver aussi nus que des vers. Il vit alors que j’étais bandé au point que le moindre geste aurait suffi à me faire jouir. Il m’installa sur son lit en position assise et vint s’asseoir en tailleur derrière moi. Sa main vint saisir mon membre pour l’astiquer légèrement. Comme prévu, il ne fallut pas longtemps pour que je sente une vague de chaleur grimper en moi comme un torrent de lave, je ressentis alors le plus intense, le plus puissant et le plus déchaîné des orgasmes me prendre tout entier. Je sentis à peine ma bite lorsqu’elle cracha sa jouissance entre les mains de Serge, et je ne pus me retenir de pousser un long râle de plaisir tant la sensation était forte.C’était incroyable. Quelques mouvements masturbatoires avaient suffi à me procurer le meilleur orgasme de ma vie, en quelques secondes à peine. Je me tournai vers Serge et l’embrassai fougueusement en nous faisant basculer sur son lit. Nos corps se frottèrent l’un à l’autre et nos sexes respectifs se caressaient de long en large au rythme de nos baisers. Je sentis d’ailleurs le membre de Serge qui recommençait à gonfler contre le mien ; la séance d’avant ne semblait pas lui avoir suffi. D’un regard langoureux, il se saisit de la petite bouteille transparente posée sur sa table de nuit.— Ça te tente ?— Tu veux dire la... enfin de... me faire prendre ?— Oui... après on n’est pas obligés... on peut se sucer toute la nuit si tu préfères...— Non, enfin... oui c’est bien aussi mais... je voudrais essayer...— Pour tout te dire, moi aussi...Dans un état presque idyllique, je me positionnai à quatre pattes sur le lit de Serge, le cul cambré, prêt à recevoir pour la toute première une queue en moi. Serge attrapa la bouteille, en versa sur ses doigts, et l’apposa à l’entrée de mon trou. Le liquide visqueux et froid me rappelait cet autre liquide chaud et mille fois plus agréable à ressentir. J’avais peur, peur d’avoir mal et de me sentir mal à l’aise ; mais j’étais aussi tellement excité et désireux de connaître cette sensation que je ne pus me résoudre à interrompre cet acte.Je sentis un doigt de Serge appuyer contre ma porte ; aidé par le gel, il ne fut pas dur de faire pénétrer ce doigt à l’intérieur. Mon premier doigt me fit l’impression d’avoir la respiration coupée pendant un instant, puis vint une impression de détente totale dans tous mes muscles. Je sentais parfaitement le doigt de Serge glisser entre les contours de mon trou, c’était divin. Comme un signe d’invitation, je tournai la tête vers mon compagnon pour lui lancer un regard provocateur, afin de signifier que j’étais prêt à le recevoir...Rien, que vide, une absence de tout puis tout d’un coup, je l’ai senti. Le gland de Serge se frotta contre mon cul, comme pour tasser le terrain, ses mains attrapèrent fermement mes hanches, ses jambes se positionnèrent pile derrière moi. Comme pour une ultime permission, Serge vint m’embrasser dans le cou.— Tu peux y aller, je suis prêt... fis-je.
C’est alors que je sentis la queue de Serge pousser contre mon trou, au début tout doucement, puis de plus en plus fort, jusqu’à provoquer une dilatation de ma cavité. Le gland de Serge fut comme aspiré par mon cul qui se referme immédiatement dessus. Une vague incandescente suivie d’une sensation de vertige prit place en moi. A mesure que Serge faisait glisser son sexe en moi, je m’abandonnais à lui. Il fallut une bonne dizaine de minutes pour que la queue de Serge se fasse une place dans mon cul ; malgré l’excitation, la douleur se faisait sentir. Il faut dire que la grosse bite de Serge était déjà dure à avaler alors à recevoir. Voyant mon inconfort, Serge prit sur lui de rajouter du gel lubrifiant afin de faciliter le glissement. C’est déjà mieux, je sens que je peux plus profiter du plaisir que de la douleur. Après presque quinze minutes de préparation de terrain, Serge commença à accélérer le mouvement. Ça y est, je me faisais baiser pour de vrai.Chaque coup de queue m’envoyait encore plus haut que le précédent, ma bite avait re-durci et mon corps tout entier était en ébullition totale. Chaque coup de reins quant à lui, était plus fort et plus ferme que l’autre. Si bien que, au bout d’un moment, mes hanches suivaient le mouvement toutes seules, s’empalant sur le phallus déchaîné de Serge. Je me cambrai encore plus jusqu’à avoir le visage contre la couette, afin de profiter au maximum de ces coups de queue. Voyant mon approbation, Serge se sentit de me filer une fessée sur le cul, fessé qui me fit échapper un cri de surprise. Mais ce cri laissa place aux gémissements, que j’arrivais à maîtriser jusqu’à maintenant, des gémissements semblables à ceux d’un chien... Non ? D’une chienne... oui c’est ça, une véritable chienne en rut que j’étais...
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