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Ma surprenante amie

Chapitre 2

Trash
Corinne commence à gémir et à respirer de plus en plus fort et moi, je suis de plus en plus excitée.
Je défais l’agraffe du devant de soutient gorge pour libérer ses deux gros obus. Ils sont magnifiques. Bien ronds, bronzés avec de beaux tétons bruns d’environ 2 cm de diamètre et bien dressés. Je les empoigne et les lèche avec avidité. Le vin aidant, je deviens très cochonne.
— Tes nichons sont incroyables Corinne. Si doux et fermes…— C’est bon… t’arrêtes pas, ça m’excite.
Je pose ma main sur ses fesses, les masse quelques instants et la dirige vers sa chatte que je devine mouillée. Elle me surprend en enserrant ma main entre ses cuisses, comme une Sainte-Nitouche, avant que j’aie pu me rendre à destination.
— Quoi? Tu veux pas que je te caresse?— Oui, je veux. Même que je n’attends que ça depuis longtemps. Mais j’aimerais passer sous la douche avant, je me sentirais mieux… Si tu n’y vois pas d’inconvénient…
Je suis un peu abasourdie par sa demande, surtout que tout était bien enclenché. Mais au moins, elle a envie de moi. Et ça m’excite encore plus.
— D’accord beauté, pas de problème. Suis moi.
Je la prend par la main et nous nous dirigeons vers la salle de bain. Elle se colle derrière moi , je sens ses gros nibards s’écraser dans mon dos et elle attrape mes gros nichons. Elle les malaxe fermement. Elle lèche mon oreille droite et murmure :
— Je vais te baiser ma belle cochonne. Tu t’en souviendras longtemps… Tu vas voir comme je suis salope…
À cet instant, mon bas ventre et ma chatte s’enflamment. Même la mouille qui s’écoule de ma fente ne peux réussir à éteindre le feu que ma cochonne de Corinne, d’habitude si discrète sur ce sujet, vient d’allumer. Je pousse un long soupir, doublé d’un gémissement.
Pendant que ses mains explorent mon corps tout entier, et que sa langue s’enfonce dans mon oreille, ce qui passe près de me faire défaillir, je bafouille quelques indications sur l’emplacement des choses qu’elle aura besoin pour sa douche. Je n’ai plus connaissance de ce que je dis. Tout ce que je sais c’est que ça finit par :
— … et tu as un peignoir de bain dans l’armoire…
Elle est toujours derrière moi et caresse mon cul d’une main, tandis que son autre main se balade sur ma chatte détrempée.
— Mais tu es toute mouillée, dis-moi. Je t’excite?— Oui… vraiment beaucoup…— Ça t’excite si je te dis que je vais bientôt bouffer ton cul et ta chatte?— Oui…— Je vais t’enfoncer ma langue dans ton petit cul et dans ta chatte bien brûlante…— Oui…
Et sans crier gare elle me laisse là, chancelante, les jambes molles, et se dirige dans la salle de bain et referme la porte. La salope m’a allumée et pas juste un peu. Il faut que je me touche avant d’exploser, tout de suite!
Je décide donc d’aller à la douche moi aussi, mais au deuxième étage. Un peu d’eau pas trop chaude me remettra les esprits en place.
Je fais couler l’eau et entre dans la douche. Ses mots résonent encore dans ma tête. Elle va me baiser… je vais m’en souvenir longtemps… Je vais voir comme elle est salope… Elle va enfoncer sa langue dans mon cul…
Peut-être est-elle une sado-masochiste et qu’elle va me torturer? Ça m’est égal. Elle pourrais me fouetter, me flageller, tout ce que je veux, c’est de jouir entre ses doigts et sentir sa langue en moi.
Je savonne mes gros seins et les masse. Une de mes mains descend à ma chatte et je me doigte furieusement le clito. Mon autre main descend entre mes fesses et j’enfonce deux doigts, bien lubrifiée de savon, dans mon anus. Je ne suis pas longue à venir. J’essaie de réprimer mon cri de jouissance, mais j’y parviens mal. Et tant pis si elle m’a entendu. Probablement qu’elle se touche elle aussi en ce moment. Je suis trop excitée. Je sens la mouille couler le long de mes cuisses.
Je me fais jouir encore deux fois avant de bien me laver, en insistant sur la chatte et le cul pour être bien fraîche pour ma cochonne d’amie.
Je sors de la douche, mon cœur bat à tout rompre. Je m’enroule dans une grande serviette et me rend dans ma chambre prendre quelques sex toys dont un gode ceinture. Elle veut baiser, on va baiser!
La douche m’a fait du bien, mais tout à coup, je suis un peu nerveuse à la pensée qu’elle a peut-être changé d’idée et je me trouve ridicule dans mon accoutrement. J’aurai l’air d’un conne si j’arrive en bas avec mes godes plein les bras et qu’elle sort de la salle de bain toute habillée et prête à partir.
Je prend le risque. Avec ce qu’elle m’a dit à l’oreille…
Je me retrouve au salon. Corinne n’a pas encore terminée sa douche.
Je ne sais trop comment m’installer. Finalement, je m’assois sur le canapé. Est-que je me mets nue? Ou je sors seulement les nichons? Je me couche, je m’assois, je me caresse? Quoi qu’il en soit, je suis mouillée… encore…
La douche s’arrête. La déesse apparaîtra bientôt. J’empoigne mes seins, les porte à ma bouche et je lèche mes tétons bien dressés. Ma respiration s’accélère encore plus. J’entends s’ouvrir la porte de la salle de bain. Je recouvre mes seins et je sens mon cœur battre dans mes tempes.
La voilà! Vêtue d’un peignoir de bain blanc, ses cheveux noirs sont mouillés et un peu ébouriffés. Je remarque ses yeux bleus, profonds, ses lèvres pulpeuses sur lesquelles se promène sa langue, j’entrevois ses seins gros et fermes par le décolleté du peignoir qu’elle a délibérément créé. Il ne lui manque que le mot « sexe » écrit en rouge sur son front. Elle est à couper le souffle.
Jamais je n’ai vu Corinne dans cet état… et elle m’excite terriblement. Elle pose sur moi un regard de salope qui me fait dire, qu’effectivement, je me souviendrai de cette baise. Mais pour l’instant, je dis quoi? Bonjour?
Heureusement, c’est elle qui parle la première.
— Salut toi…— Hey, beauté…
Comme hypnotisée par son regard et son léger sourire en coin, j’ouvre ma serviette, descend mes fesses au bord su coussin du canapé, monte mes talons près de mes fesses et j’écarte mes cuisses au maximum. Ma chatte bien lisse est ouverte et mon petit trou doit être bien visible lui aussi.
D’une main je caresse mon entrecuisse déjà bien humecté et de l’autre, je prends un des mes nichons que je porte à ma bouche pour lécher le téton bien dur. Je gémis doucement.
Elle s’approche tout en me regardant dans les yeux, telle une lionne qui s’avance vers sa proie. J’en tremble presque. Elle s’agenouille entre mes cuisses, prend la main qui caresse ma chatte et lèche, puis suce mes doigts pleins de mouille.
Suite bientôt...
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