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Surpris en mauvaise posture

Chapitre 1

Inceste
— A vendredi soir.— Sois sage !— Promis, bisous !
Et c’est ainsi que je vis Stéphanie rentrer dans son VTC, qui s’éloigna rapidement pour la conduire à l’aéroport. Une fois par trimestre, son entreprise organisait une revue de portefeuille à Paris, et en tant que responsable commerciale, elle était tenue d’y assister.Stéphanie est ma deuxième épouse, et je suis son second mari. Nous avons tous les deux eu une vie et des enfants avant. Pour ma part, deux grands garçons de 24 et 25 ans, et pour Stéphanie, un garçon de 21 ans, Théo, et une fille de 19 ans, Léa.
Me voici donc à la maison, tout seul pendant une semaine. Les premiers temps, j’angoissais un peu à cette idée, mais j’ai eu le temps de m’y habituer, et au final, maintenant, j’attends ces pauses avec impatience, même s’il ne me viendrait jamais à l’esprit de l’avouer à mon épouse. Notre vie est agréable, et je n’en changerais pour rien au monde, mais parfois, un peu de distance fait du bien. Si ces pauses étaient arrivées au début de notre relation, je me serais inquiété. Nous faisions l’amour partout et tout le temps, et je n’aurais pas imaginé une semaine sans sexe. Et, idiot que je suis, je pensais que cela resterait ainsi pour le reste de notre vie. L’approche de la cinquantaine permet de voir qu’on peut se tromper quand on est plus jeune.
Je ne dis pas que nous ne faisons plus l’amour, mais c’est quand même beaucoup plus rare. Comme dans une vieille blague, on est "MMS" : Matin midi et Soir, puis mardi mercredi samedi... puis Mars, Mai, Septembre. Nous n’étions pas encore à "Mes Meilleurs Souvenirs", mais je craignais de voir ce jour arriver. Et quand finalement nous faisions l’amour, c’était de plus en plus "plan plan". Je ne cherche pas à expliquer cela, ou à trouver un responsable, c’est juste que c’est arrivé. Je suis persuadé que certains couples arrivent à entretenir la passion, cela n’a pas été notre cas. L’amour est toujours là, puissant, intense, mais dans notre couple, la libido semble s’atténuer avec le temps.
Je n’irais pas jusqu’à dire que je suis frustré côté cul, mais parfois un peu. C’est pour cela que quand j’ai l’occasion de mater un porno pour accompagner une branlette, je ne me prive pas. Encore une chose que je n’avouerai pas à Stéphanie. Elle a une sainte horreur du porno. Bien sûr, je lui ai promis que je n’en regardais plus, oui, quand j’étais plus jeune cela m’arrivait, mais maintenant qu’elle était dans ma vie, je n’en avais plus besoin. Mais qui est dupe de ce genre de promesse ? Elle a juste fait semblant de me croire, j’ai fait semblant de m’y tenir.
C’est pour cela que ce lundi, après son départ, après ma première demi-journée de télétravail, je me suis posé sur le canapé, devant le grand écran de la télé. J’ai zappé rapidement pour voir ce que me proposaient les programmes, puis Netflix et cie... et rapidement, j’ai ouvert un site de vidéos sur mon téléphone, j’ai recherché une vidéo qui me tentait, et je l’ai castée sur la télé. C’était une vidéo où une femme qui semblait avoir une vingtaine d’années se faisait prendre par deux hommes. L’excitation est arrivée très vite, et j’ai baissé mon pantalon pour commencer à me branler.
Parfois, un événement important peut se jouer à très peu de choses. Quelques minutes dans une vie. Par exemple, si le bruit des clés dans la serrure avait eu lieu 10 minutes plus tôt, tout se serait bien passé. 10 minutes plus tard aussi, j’aurai fait ma petite affaire et tout serait terminé. Mais là, non, il a fallu que j’entende les clés dans la serrure au moment où j’avais mon pantalon baissé, mon sexe dans la main, et sur la télé, une vidéo où une jeune femme prodiguait une fellation passionnée à son amant (je me demandais où était le deuxième homme promis dans la vidéo ?).
Autre chose aurait pu changer le cours de cette histoire. Habiter une maison plus grande par exemple. Mais non, il a fallu qu’on habite une petite maison de ville, où l’entrée donne directement dans le séjour sans séparation.
Avec le recul, une dernière chose aurait pu tout changer. Par exemple, le fait de garder la télécommande à la main, mais non, il a fallu que je la laisse de l’autre côté de la table basse, assez loin pour ne pas être manipulée facilement.
Quand j’ai entendu le bruit des clés, mon sang n’a fait qu’un tour. Cela ne pouvait pas être Stéphanie, si elle avait raté son vol, elle m’aurait prévenu. Cela ne pouvait pas être mes enfants, qui d’une part vivent loin de nous, et d’autre part n’ont pas les clés. Théo ne rentrait jamais entre midi et deux. Il ne restait plus que Léa... Les clés étaient déjà en train de tourner dans la serrure, et je n’avais que quelques instants pour cacher ce que je pouvais. Je savais que je ne pourrais pas à la fois remonter mon pantalon, cacher mon érection, et éteindre la télé. J’ai fait au plus vite, j’ai remonté mon pantalon, jeté une couverture sur moi et je me suis précipité pour attraper la télécommande...
— Salut Julien, je passe en coup de vent, j’ai oublié mon...

J’imagine la scène de son point de vue. Son beau-père en train de mater un porno. Le genre d’images qu’on ne veut pas avoir en tête. Elle s’est arrêtée net dans sa phrase, sa bouche un "O" et ses yeux se sont agrandis pendant qu’elle réalisait ce qui se passait.
— Ah ben ça va, tu t’emmerdes pas quand Maman n’est pas là !— Attends, je vais t’expliquer ! (sérieusement ? Comme s’il y avait quelque chose à expliquer...)
J’ai pris la télécommande et je voulais arrêter ça. Je voulais arrêter de voir cette jeune femme hyper-bien foutue en train de se faire brouter le minou par un mec imberbe et musclé (mais où est donc le deuxième homme ?)
— Attends, dit-elle. Tu peux laisser quelques minutes ? J’aime bien cette actrice.
Je crois que c’est à ce moment que tout a basculé. Au moment où je pensais que j’avais touché le fond de la piscine, l’univers me rappelait que je nageais en fait juste au-dessus de la fosse des Mariannes. Léa s’est assise sur le canapé et s’est mise à regarder la scène, comme si c’était un programme télé normal.
— Tu peux t’asseoir, tu n’es pas obligé de rester debout, tu sais ?
Je me suis à mon tour assis (effondré ?) sur le canapé, ne comprenant plus ce qui se passait. A l’écran, la jeune fille se faisait maintenant prendre par derrière par l’apollon (toujours tout seul, y aurait-il eu publicité mensongère ?), et semblait fortement apprécier les coups de boutoir qui lui étaient prodigués. Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé. Probablement pas plus de quelques secondes, mais j’ai eu l’impression que c’était des heures. Les images à l’écran m’excitaient fortement, et la présence de ma belle-fille à côté en train de regarder la même chose ne suffisait à me calmer. Ma bite était serrée dans mon jean, et je ne pouvais pas contrôler mon érection.
Le silence entre nous était pesant. Les seuls bruits qui nous accompagnaient étaient les râles des deux (et non trois) acteurs, même pas une musique d’ascenseur pour accompagner tout ça. J’avais les yeux rivés sur l’écran, sur cette actrice parfaite, sur ses seins parfaits (et probablement refaits), sur sa chatte parfaite, sur la bite parfaite de l’homme, qui entrait et sortait à un rythme régulier et semblait coulisser comme un piston dans un moteur. L’excitation du porno se mélangeait au malaise de la situation. Je ne savais plus où j’étais, je ne savais plus quoi faire. J’avais envie de sexe et en même temps je fantasmais de m’enterrer sous terre pour attendre deux ou trente générations que la honte ait disparu. Je me tournai alors vers Léa pour mettre un terme à tout ça, et là, je restai coi. Elle avait remonté sa jupe, et elle avait une main sous sa culotte. Elle était juste en train de se caresser à côté de moi !
Il y a peu de choses qui m’excitent autant que de voir une femme se caresser, je ne sais pas pourquoi. Mais là... j’ai réalisé à quel point elle ressemblait à sa mère, avec un corps de vingt ans de moins. Je pensais déjà que j’étais au maximum de l’émoi, mais j’étais loin d’imaginer que cela pouvait aller encore beaucoup plus haut. Je suis resté hypnotisé par le mouvement de ses doigts. Sentant que je la regardais, elle me dit sans tourner sa tête.
— Ça ne te dérange pas au moins ?— N... N... Non, pas du tout.— Si tu veux faire pareil, ne te gêne pas surtout, ça ne me dérange absolument pas.
Je regardais de nouveau l’écran, au moment où une porte s’ouvrait, et où Apollon numéro 2 entrait dans la pièce (enfin !). Il était aussi musclé et imberbe que son collègue. Il était déjà nu comme un ver, monté comme un âne, et bandait comme un taureau. Sans la moindre forme de présentations, il présenta sa bite devant la bouche la miss au corps parfait, qui la suça avidement. Elle était maintenant prise en sandwich, une bite dans la chatte, une autre dans la bouche, et ses mouvements étaient imprimés par ses deux compères qui semblaient s’en servir pour leur propre plaisir.
— Eh bien, elle prend cher ! dit Léa, tout en enlevant son T-shirt, laissant apparaître un soutien-gorge noir, qui laissait deviner des seins fermes.
J’avais ma salive, et j’avais l’impression que les boutons de mon jean allaient exploser. Léa continuait à se caresser.
A l’écran, l’homme qui était derrière l’actrice sortit son sexe de celui de la jeune femme, et commença à l’appuyer sur son petit trou. Le caméraman fit un gros plan pendant que la verge rentrait petit à petit dans son anus.
— Ah... ça je n’ai jamais essayé.— La sodomie ?— Oui.— Ta mère adore ça... — Sérieux ?— Oui. On ne fait pas ça systématiquement, mais cela lui procure à chaque fois des orgasmes assez intenses.
Je tournai la tête vers Léa. Elle me regardait droit dans les yeux, le regard interrogateur. Je baissais les yeux, et je manquai de m’étrangler de surprise. Pendant que sa main droite caressait son bouton, sa main gauche avait écarté sa culotte, et elle me montrait une chatte parfaitement épilée. Voyant qu’elle avait capté mon attention, elle revint à la charge.— T’es vraiment sûr que tu veux pas te mettre à l’aise ?
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