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Surpris par mon beau-père

Chapitre 1

Travesti / Trans
J’ai vingt ans au moment des faits et cela fait déjà deux, trois ans que je pratique le travestissement quand j’ai l’occasion et que je suis seul à la maison. Je vis avec ma mère qui m’a élevée seule, et avec mon beau-père qui partage la vie de ma mère depuis cinq ans. Ils finissent toujours assez tard le travail, donc au fur et mesure des mois, j’ai mes habitudes les mercredis après-midi ou les vacances scolaires et tout autre moment où je me sais seul à la maison au moins jusqu’à 18h. Si j’ai commencé cette envie par emprunter des tenues et le maquillage de ma mère les premières fois, j’ai réussi au fil du temps à me faire une petite garde-robe dissimulée au milieu de mes affaires.
Malgré cette habitude qui est de plus en plus naturelle pour moi et une homosexualité encore inavouée, mais qui s’est dessinée avec le temps et me parait de plus en plus évidente, je ne suis jamais passé à l’acte pour autant. Ce n’est pas mon profil sur un site dédié sur lequel je discute de temps en temps depuis deux ans qui a offert une opportunité, car c’est surtout des quinquagénaires et sexagénaires qui viennent discuter. Même si certains sont très agréables avec qui j’ai tissé des liens d’amitié virtuelle, il n’y a jamais eu l’envie d’accepter autre chose ou une rencontre. Ma mère m’ayant eu très jeune, la plupart d’entre eux étaient de la génération de mes grands-parents, donc il était plutôt difficile d’avoir envie de rencontrer l’un d’entre eux.
Ce jour-là, on est mardi et je n’ai pas de cours à la fac, donc forcément en me levant le matin, j’enfile d’abord une petite nuisette pour aller déjeuner. Je pus ensuite faire en petite tenue les tâches ménagères que ma mère m’avait demandé de faire la veille. Après avoir fini, je prends ma douche et je me prépare comme j’aime. Je choisis une robe courte et moulante blanche, des bas blancs accrochés à mon porte-jarretelles, bien maquillé avec faux cils, faux ongles et bijoux pour finir par enfiler mes talons dans la chambre. Je me sens vraiment moi quand je suis comme ça.
Mais il y a une info très importante sur ce mardi que je n’ai pas su et qu’il aurait été bien que je sache. Car aux alentours de 15h, alors que je discute sur mon ordi dans un tchat, j’ai également mes écouteurs et de la musique dans les oreilles. Je n’ai pas entendu mon beau-père rentrer, il avait posé son après-midi au travail, ayant quelques choses à régler. Tout d’un coup, le temps que je comprenne qu’il me parle derrière la porte. C’est trop tard, la porte s’ouvre et il ne finit même pas sa phrase en me voyant. Il y a un blanc de quelques secondes qui donnent l’impression de durer des heures. Je suis incapable de dire un mot, estomaqué par cette situation malaisante. Il finit par briser ce lourd silence.
— J’imagine que tu ne t’attendais pas à me voir ? Je te laisse !
Il referme la porte sans faire aucune réflexion, je reste la tête dans mes mains à mon bureau plusieurs minutes, au maximum de la dépression, tellement on broie du noir pendant ces quelques minutes. Puis il frappe à la porte pour me demander s’il peut rentrer et malgré mon silence, il rentre quand même et il s’assit sur le lit.
— Bon maintenant c’est fait, donc autant qu’on en parle et ne t’inquiète pas, je ne te juge pas. J’imagine que ta maman ne le sait pas sinon elle me l’aurait dit, je pense. Ca fait longtemps que tu le fais ? — trois ans à peu près.— Ah oui quand même, tu l’as bien caché alors !! C’est parce que tu aimerais être une fille ou c’est plus du fétichisme ? — Je ne sais pas, mais j’ai eu envie d’essayer et j’ai bien aimé le faire, donc j’ai continué.— Ben en tout cas, c’est réussi, on ne serait pas dans ta chambre, je ne t’aurais pas reconnu. Tu es aussi belle que ta maman, la ressemblance est troublante. Tu comptes en parler à ta mère ? Tu sais que tu peux, en plus, elle est ouverte ta mère.— ben je sais pas pourquoi tu vas lui dire toi ?— non je préférai que ça vienne de toi, moi je ne lui en parlerai pas. Sinon alors tu aimes plus les hommes ou pas forcément ?— Je pense oui, mais je ne sais pas encore, mais je ressens une attirance pour les hommes.— Jolie comme tu es, tu ne trouves pas de copain, c’est que tu cherches pas je pense, sinon tu trouverais c’est sûr. — C’est pas facile de parler de ça ouvertement pour trouver un copain.— Si ça peut te rassurer, beaucoup d’hommes aiment ça, quelques années avant de connaître ta mère, j’avais eu une aventure avec un trav qui était très sexy et féminine comme toi. Parce que je te dis, tu es canon comme ça.— C’est vrai, tu as déjà eu une aventure comme ça toi ?— oui, mais ne le dis pas à ta mère, je lui ai jamais dit ! Tu me fais penser à elle quand je te vois. Mets-toi debout que je te vois mieux.


Rassuré par notre conversation posée et calme que l’on vient d’avoir avec en plus ses aveux, je ne ressens plus de stress. Donc assez naturellement, je me lève de ma chaise pour lui montrer. Je fais un petit tour sur moi-même, espérant même un mot gentil ou un petit compliment de sa part. Car au-delà d’avoir toujours été quelqu’un de gentil avec qui je n’ai jamais eu aucun conflit en cinq ans. C’est aussi un bel homme pour lequel j’ai déjà fantasmé quelquefois quand je m’imaginais passer du bon temps avec un homme.
— J’adore vraiment, tu es bien foutu dans cette petite robe, elle te va très bien !! Avec des talons hauts comme ça, tu dois me rattraper ou me dépasser. Fais voir !! Ben regarde, on fait la même taille.— Oui, j’aurai pas besoin de lever la tête pour te faire la bise pour une fois.— t’es magnifique en tout cas. (il glisse doucement sa main sur ma cuisse, relevant légèrement la robe au-dessus de mes bas, alors qu’il est toujours debout devant moi). Ah oui, mais tu as mis un porte-jarretelles avec tes bas. J’adore.— Merci.

Je suis rouge comme une tomate sur le coup et j’ai honte par rapport à mère, car j’apprécie le moment. Et ce n’est pas la petite caresse sur les fesses qui suit qui me calme la bouffée de chaleur que j’ai. Avec ce qu’il me dit derrière, je vois l’accident venir et j’en ai envie, en plus, c’est horrible.
— Regarde l’effet que tu me fais (mettant sa main au niveau de son sexe pour me montrer la bosse) il faut pas que je reste là, ça va mal finir.— Ah oui belle bosse, ça donne envie de mal finir !! — Surtout si tu me dis ça !! Il faut vraiment que l’on arrête là ! — Oui ça serait mieux c’est sûr (mais trop envie de goûter ma première fois, je passais ma main pour caresser cette bosse)— Pas si novice que ça on dirait.— Ca fait longtemps que j’espère, donc je craque là.— j’en peux plus, viens, je vais t’apprendre, ça sera notre petit secret. Tiens regarde, elle est toute à toi, fais-toi plaisir.

Il m’attire sur le lit et sort sa bite que je commence à caresser et masturber doucement. Puis je me penche sur lui pour la lécher doucement d’abord et je débute des va-et-vient à pleine bouche. Mon plaisir personnel de pouvoir exprimer enfin mes envies est plus fort que la honte par rapport à ma mère de me faire mon beau-père. J’essaie de m’appliquer tout en suivant ses conseils tout en appréciant ses mains baladeuses sur mes fesses. Il nous mit en position 69 sur le lit et il fit découvrir l’anulingus. Et franchement waouh, que c’est bon et agréable quel lâcher-prise cette pratique peut offrir, car si je ne me sentais pas près à plus que la fellation au départ. Là j’ai chaud et je suis encore plus excité de recevoir ce plaisir inattendu et tellement bon. Mais malgré tout, on n’ira pas plus loin et quand arrive pour lui le moment de jouir, il me prévient et comme me sent pas le prendre en bouche, je le finis à la main et ma housse de couette est bon pour la machine.
— Humm... Alors tu as ta réponse, je pense, tu m’as l’air d’aimer ça.— Oui, je suis sûr effectivement que la pratique ne m’a pas repoussé, bien au contraire, mais on est horrible par rapport à maman.— Non, mais là c’est exceptionnel, je t’ai rendu service pour t’aider à te découvrir, c’est notre secret. Si on le dit jamais à personne, elle ne le sera pas et on lui fera pas de mal comme ça.— Oui bien sûr.— Par contre, ne tarde pas trop à lui dire, ça sera mieux pour toi qu’elle le sache, tu pourras mieux t’épanouir et tu la connais, elle t’accompagnera. Tu n’aurais dû garder ça pour toi depuis tout ce temps.

Après avoir discuté un peu, on a pris chacun la douche de notre côté et on a passé une soirée identique à n’importe quelle autre comme s’il ne s’était rien passé...
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