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Surpris et pris par...

Chapitre 5

Inceste
À son réveil le lendemain, Jérémie se rendit dans la cuisine afin de prendre son petit-déjeuner en compagnie de sa mère et de sa soeur. Lorsqu’il entra dans la pièce, le jeune homme fut surpris de n’y trouver que Jeanne. 
— Maman, où est Jennifer ?— Aucune idée. Tout ce que je sais, c’est qu’elle est allée préparer le terrain pour la journée qu’elle compte te faire passer. Elle va sûrement te contacter dans la matinée pour te dire où tu dois aller et quand. — Très bien, Maman. Je vais donc attendre que Jennifer me contacte. 

Sur ces mots, Jérémie mangea sa collation et après avoir fait la vaisselle, passa l’aspirateur dans la maison sous le regard ravi de Jeanne. Lorsqu’il eut fini ses tâches ménagères, le jeune homme décida d’attaquer le résumé de ses cours de la veille. 

Environ une heure plus tard, Jérémie entendit sa mère l’appeler. Il accourut aussitôt en se disant qu’elle avait envie de lui donner sa punition du matin pour une tâche mal exécutée. En entrant dans le salon, il fut surpris de voir sa mère en sous-vêtements, allongée sur un canapé en position ventrale. À la vue du fessier rebondi de Jeanne, le jeune homme sentit honteusement sa verge se durcir. 

— Ah, te voilà ! Depuis quelques jours, je ressens des douleurs un peu partout. C’est pourquoi j’aurais besoin que tu me fasses un massage. Tu trouveras la crème dans la salle de bains. — Oui, tout de suite, Maman. 

Jérémie se hâta de gagner la salle de bains et de revenir au salon avec le tube de crème. Sur injonction de sa mère, il commença par en mettre sur le cou et les épaules de Jeanne puis il commença à masser. Le jeune homme poursuivit son oeuvre jusqu’à ce que la crème soit totalement étalée puis il en remit sur le dos de sa mère et reprit à nouveau la même tâche. En arrivant à la hauteur des fesses de Jeanne, Jérémie eut un moment d’hésitation qui se traduisit par un contact moins appuyé sur cette partie de son corps. Sentant le trouble de son fils, Jeanne le rassura. 

— N’aie pas peur, masse-moi le cul comme tu as si bien massé mes épaules et mon dos. 

Encouragé par ces paroles, Jérémie remit un peu de crème sur le postérieur de sa mère et le massa avec la même application qu’au début de son oeuvre. Le fait de sentir le fessier rebondi Jeanne sous ses mains procurèrent une puissante érection au jeune homme mais il préféra ne pas s’y attarder plus que de raison de peur d’être réprimandé. 

Jérémie remit à nouveau un peu de crème sur les jambes de sa mère et s’appliqua à les masser. Lorsqu’il eut fini de lui masser les pieds, Jeanne se redressa, lui signifiant que le massage était terminé. Au même instant, le jeune homme entendit son téléphone sonner. 

— Ce doit être ta soeur. Va vite voir. 

Jérémie se dépêcha de gagner sa chambre et consulta sa messagerie. Comme Jeanne l’avait supposé, un message de Jennifer apparut sur l’écran de son téléphone. 

« Retrouve-moi à 16h dans la salle de gym de la fac. J’ai deux personnes à te présenter. Je pense qu’elles vont te plaire. Ne sois pas en retard comme la dernière fois. »

Le jeune homme revint au salon pour faire part à sa mère du message qu’il avait reçu. 

— C’est bien Jennifer. Elle veut que je la retrouve à la salle de gym de la fac à 16h. — 16h... Il est actuellement 14h30. Étant donné qu’il te faudra une trentaine de minutes pour aller là-bas depuis ici, ça nous laisse donc encore une heure ensemble. D’ailleurs, à ce propos, je tiens à te dire deux choses : la première est que tu m’as fait un excellent massage. La deuxième est que je t’ai vu bander quand tu m’as massé les fesses. — Je suis désolé, Maman. Une érection ne se contrôle pas et tes fesses sont tellement belles...— Ne t’excuse pas. Je ne vais pas te punir pour ça. Bien au contraire, je compte t’accorder une petite récompense. En tant que maîtresse, je sais aussi respecter un travail bien fait. Assieds-toi sur le canapé, je reviens.

Jeanne sortit de la pièce et revint quelques secondes plus tard un bocal à la main. Elle ouvrit le bocal et le plaça devant Jérémie. 

— Toi et moi, on va remplir ce bocal. 

Comprenant à sa mère voulait en venir, le jeune homme la remercia et la laissa se saisir de sa verge. Jeanne caressa la verge de son fils de sa main droite tandis que de la gauche, elle lui massait les bourses. 

Au bout de quelques minutes, Jérémie sentit le mouvement de sa mère sur son sexe s’accélérer et peu habitué à l’exercice, le jeune homme finit rapidement par éjaculer dans le bocal que Jeanne lui avait mis à disposition. 

Après avoir nettoyé le gland de son fils avec le couvercle du bocal, Jeanne referma le récipient et consulta l’horloge qui trônait dans le salon. 

— Il est 15h. Il nous reste donc trente minutes pour nous divertir. Tu veux t’échauffer un peu avant d’aller voir ta soeur ?

Jérémie hocha vigoureusement la tête et sa mère ôta son string avant de se rassoir sur le canapé et lui faire signe de placer sa tête entre ses cuisses. Le jeune homme s’exécuta prestement et lui prodigua un cunnilingus dans lequel il y mit autant de dévotion qu’il le pouvait. 

En entendant sa mère gémir de plaisir, il put en conclure qu’elle appréciait le moment qu’il lui faisait passer. Jérémie était de ravi de pouvoir procurer autant de satisfaction à Jeanne mais il souhaitait passer à une étape plus excitante de l’échauffement qu’elle lui avait proposé. Au risque de se faire rabrouer, le jeune homme décolla ses lèvres du sexe de sa mère et la regarda en lui demandant timidement si elle voulait bien le sodomiser.

— Pas tout de suite, Jérémie. Pour aujourd’hui, il faut que ton postérieur soit en bon état pour ta soeur mais je te promets de remettre ça dès que possible. 

Jérémie n’insista pas et continua de lécher le calice maternel jusqu’à ce que Jeanne répande son nectar dans sa bouche et ne lui fasse signe de se relever. 

— Il est déjà 15h25 ! Dépêche-toi de t’habiller et de prendre le bus pour aller retrouver Jennifer.

Sans discuter, le jeune homme s’empressa de se vêtir et sortit en courant de l’appartement pour prendre le bus qui l’emmènerait vers son lieu de rendez-vous. 

À son arrivée à la salle de gym, Jérémie fut accueilli par Jennifer qui lui indiqua le chemin des vestiaires en lui disant de s’y déshabiller et de la rejoindre dans la salle. Le jeune homme s’exécuta et alla rejoindre sa soeur. 

En entrant dans la salle, Jérémie fut surpris de constater la présence de Rosalie, la photographe qui avait couvert sa séance avec sa mère. Le jeune homme aperçut également deux autres filles aux côtés de sa soeur, qui lui semblaient être jumelles au vu de leur grande ressemblance physique. 

— Salut, Jérémie. Tu connais déjà Rosalie, la photographe qui va suivre notre séance. Je te présente Laetitia et Fanny, deux jumelles qui font partie de mon équipe de volley. 

Jérémie fut rapidement fasciné par la beauté des deux jumelles. Avec leurs longs cheveux blonds qui leur tombaient sur les épaules et leur grande taille, on aurait dit des mannequins. En scrutant leur anatomie, le jeune homme releva tout particulièrement leurs poitrines généreuses et leurs sexes épilés. Dans cet accoutrement, les deux filles lui faisaient penser aux actrices porno qu’il adorait voir dominer leurs partenaires masculins. 

— Hum... Mignonne, la petite bite toute dure qu’il nous montre ton soumis. On lui plaît, on dirait. 

Cette réflexion de Laetitia coupa cours aux rêveries de Jérémie qui regarda le sol, craignant la réaction de sa soeur. 

— Je lui avais dit que vous lui plairiez. Bon, sur ce, passons aux choses sérieuses. Rosalie, est-ce que la matériel est prêt ?— Oui, Mademoiselle.— Appelez-moi Jennifer. — Très bien, Jennifer. Souhaitez-vous que je fasse aussi des vidéos ?— Comme bon vous semble, du moment que la séance est bien couverte. — D’accord, Jennifer. Comptez sur moi. 

Tandis que Rosalie se préparait à immortaliser la scène qui allait se dérouler, Jennifer ordonna à son frère de se coucher et envoya Laetitia et Fanny chercher un filet de volleyball. Lorsque les deux jumelles furent revenues avec le filet, les trois jeunes femmes l’enroulèrent autour du corps de Jérémie et en accrochèrent l’extrémité à un crochet prévu à cet effet, maintenant le jeune homme suspendu à un mètre du sol. 

Après avoir vérifié la solidité de leur oeuvre, les trois jeunes femmes allèrent chercher des cravaches qu’elles avaient posées contre une paroi, à l’abri du regard de Jérémie. 

— À vous l’honneur, les filles. N’ayez pas peur de le frapper assez fort ; il adore ça. 

La première à frapper le postérieur de Jérémie fut Fanny. La jeune femme donna quelques coups sur le fessier du jeune homme et céda sa place à sa jumelle qui gratifia le jeune homme de cinq autres coups. Lorsque vint son tour, Jennifer s’accorda le luxe d’administrer une dizaine de coups de cravache à son frère en prenant soin d’espacer les coups afin de permettre à Rosalie de capturer un maximum d’instants de cette séance. 

En voyant le derrière de Jérémie virer au rouge, les trois volleyeuses décidèrent de libérer le jeune homme de son entrave. Tandis que Laetitia et Fanny s’appliquaient à dérouler le filet après l’avoir décroché, Jennifer s’équipait de son gode-ceinture. 

Lorsque les deux jumelles eurent fini de dépêtrer le jeune homme, Jennifer ordonna à son frère de se coucher sur le dos. Jérémie s’empressa de s’exécuter tandis que les trois jeunes femmes chuchotaient entre elles pour se répartir les rôles. 

Dès qu’elles eurent fini de délibérer, les trois volleyeuses se dirigèrent vers Jérémie. Tandis que sa soeur le sodomisait puissamment, le jeune homme sentit une paire de fesses recouvrir son visage et une main en train de s’amuser avec son sexe. Sans hésiter, il se mit à lécher avec dévotion le magnifique fessier qui lui recouvrait la figure tout en savourant le traitement qu’il subissait de la part de Jennifer. 

Les trois jeunes femmes s’amusèrent ainsi avec lui jusqu’à ce que chacune ait pu profiter de ses dispositions. Lorsqu’elles en eurent assez, Jennifer et les jumelles regardèrent Jérémie toujours allongé sur le sol, des étoiles plein les yeux de s’être fait dominer par le trio.  

— Qu’est-ce qu’on fait ? On le fait jouir ou pas ?— Personnellement, je trouverais plus excitant de le frustrer en lui disant de se rhabiller de suite. À toi de décider, Jennifer. — Jérémie a été très sage et il nous a apporté beaucoup de satisfaction. En tant que maîtresse, je récompense toujours un travail bien fait. On va le faire jouir. 

Sur injonction de Jennifer, les trois volleyeuses logèrent habilement la verge de Jérémie entre leurs seins et le masturbèrent d’un mouvement synchronisé jusqu’à ce que trois jets de sperme ne viennent maculer leurs poitrines. 

Sans qu’aucune des trois filles n’ait à dire quoi que ce soit, Jérémie les remercia en leur embrassant les pieds et leur lécha les seins jusqu’à faire disparaître toute trace de sa semence. 

Après avoir été nettoyée par son frère, Jennifer alla s’enquérir de la séance auprès de Rosalie. 

— Rosalie, avez-vous bien pu filmer ou photographier comme vous le souhaitiez ?— Oui, Jennifer, aucun souci. Je pourrai vous livrer une vingtaine de photos et une vidéo d’ici demain. — Parfait. Merci beaucoup, Rosalie. 

Alors que la photographe se préparait à s’en aller, une idée perverse traversa l’esprit de Jennifer. 

— Rosalie, permettez-moi de vous offrir un petit cadeau pour vous remercier. — Inutile de me remercier ; je n’ai fait que mon travail. — J’insiste. Je conçois que cela n’a pas dû être facile pour vous de devoir observer la scène sans pouvoir y participer. Je tiens donc à vous offrir les services de mon soumis pour vous récompenser de votre ardeur. 

La photographe adressa un sourire reconnaissant à Jennifer et ôta pantalon et petite culotte. Comprenant ce que Rosalie désirait, Jérémie positionna entre les cuisses de la jeune femme et lui lécha ardemment le sexe sous le regard hilare de sa soeur et des jumelles qui félicitaient Jennifer pour son idée.

Le jeune homme lécha le calice de la photographe jusqu’à ce que celle-ci répande son nectar dont il prit le temps d’apprécier la saveur. 

Lorsque les trois volleyeuses et la photographes furent sorties de la salle, Jérémie regagna le vestiaire après avoir rangé le filet. 

À sa sortie du vestiaire, le jeune homme retrouva sa soeur et ils cheminèrent ensemble jusqu’à leur domicile tout en parlant de leur programme du lendemain.

— Demain, on est dimanche. Comme mes copines et moi, on t’en a pas mal fait baver, Maman et moi t’accorderons cette journée de repos dont nous profiterons pour regarder les photos prises par Rosalie. Lundi matin, Papa va revenir de son voyage et Maman lui parlera de la situation pendant que nous serons en cours. Espérons que sa réaction ne sera pas trop dure à notre égard. Sinon, j’ai parlé avec Laetitia et Fanny. Elles m’ont dit qu’elles avaient beaucoup apprécié cette séance d’aujourd’hui et qu’elles espèrent que tu deviennes la mascotte de notre équipe. — La mascotte ? Mais je ne sais pas danser, moi ! — Je ne parle pas de ce genre de mascotte. Je pensais plutôt à un rôle de vestiaire. Nous féliciter quand on gagne, nous consoler quand on perd...— En gros, faire du bien à toute ton équipe. — Exactement. — Si toutes les joueuses sont aussi belles que toi, Fanny et Laetitia, ce sera très excitant. — Ne t’emballe pas ; ce n’est qu’une idée. J’en parlerai avec les autres joueuses dès lundi après l’entraînement. Et oui, toutes les joueuses de mon équipe sont sublimes. 

Sur ces mots, Jérémie et Jennifer continuèrent de cheminer jusqu’à leur domicile sans piper mot, attendant avec impatience et inquiétude à la fois la réaction de leur père par rapport à la relation qu’ils entretenaient. 

[ à suivre ]
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