Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 47 J'aime
  • 4 Commentaires

Surpris et pris par...

Chapitre 7

Inceste
Les examens se rapprochant à grand-pas, Jérémie avait obtenu de Jeanne et Jennifer la faveur de ne pas être pris par elles pendant cette période afin de pouvoir réviser. Dans cette situation, le jeune homme avait retrouvé le droit de rester habillé lorsqu’il était à la maison et les tâches avaient de nouveau été réparties de façon équitable entre les quatre membres de la famille. 
En ce mois de juin caniculaire, les conversations au sein de la famille se portaient essentiellement sur les vacances. Jeanne avait proposé à son époux et à ses enfants de se rendre à Nice pour rendre visite à sa soeur Alice. Souhaitant se reposer du voyage qu’il avait entrepris avec sa classe, Jacques avait préféré rester à la maison durant cette période tandis que Jennifer voulait rester le plus possible à Paris avant de prendre le chemin de son camp de volleyball. Il fut donc décidé que seuls Jeanne et Jérémie se rendraient à Nice durant deux semaines. 
Ces formalités réglées, Jeanne appela sa soeur pour lui signifier qu’elle et Jérémie viendraient lui rendre visite dans le courant du mois de juillet en lui expliquant les raisons empêchant Jacques et Jennifer de se joindre à eux. La conversation entre les deux soeurs dura quelques minutes puis Jeanne raccrocha. 
— C’est officiel : Jérémie et moi irons chez ma soeur durant les deux dernières semaines de juillet. Il ne nous reste plus qu’à acheter les billets de train. — Très bien. N’oublie pas de passer le bonjour à ta soeur de ma part lorsque tu seras arrivée. 
Sur ces mots, Jeanne et Jacques sortirent de la maison pour se rendre au guichet le plus proche afin de prendre les billets tandis que Jérémie et Jennifer allèrent chacun dans leur chambre pour réviser leurs cours. 
Au bout d’un quart d’heure, alors qu’il était au beau milieu de ses révisions, Jérémie entendit sa soeur frapper à la porte de sa chambre. Le jeune homme lui fit signe qu’elle pouvait entrer et Jennifer s’assit sur son lit. 
— Besoin d’un encouragement pour tes révisions ?— En ce qui me concerne, ça ira. Et toi ?— Moi, volontiers. C’est pour ça que je suis venue. — Si Maman et Papa nous surprennent, ils vont vouloir leur part et je n’aurai plus le temps de réviser. — Ne t’en fais pas : Maman vient de m’appeler. Il y a eu un bug informatique au guichet et ils ne peuvent plus imprimer de billets pendant une heure. Elle et Papa ont décidé de se prendre un café en attendant. Ils n’en sauront rien et je veux profiter de tes talents une dernière fois avant que Maman et toi ne partiez pour Nice. 
Comprenant ce que sa soeur désirait, Jérémie se dévêtit tandis que Jennifer en faisait autant. Lorsqu’ils furent tous les deux nus, les deux jeunes gens s’allongèrent sur le lit. 
Alors qu’il s’apprêtait à lécher le sexe de sa soeur, le jeune homme fut surpris de voir son visage repoussé par Jennifer. 
— Attends. Je veux avoir du plaisir autrement pour une fois. Je reviens. 
La jeune femme sortit de la chambre de Jérémie et revint quelques secondes plus tard, son gode-ceinture à la main et le tendit à son frère. 
— Pour aujourd’hui, ta mission est de m’enfoncer ce gode dans chacun de mes orifices et de tout faire pour me faire jouir. Si tu réussis, tu auras peut-être droit à une récompense. — Tu ne préfères pas que je fasse ça avec ma bite ?— Non. Premièrement, ta bite est beaucoup trop petite pour pouvoir me donner du plaisir. Deuxièmement, même si elle était assez grosse, je ne voudrais pas risquer de tomber enceinte. 
Vaincu par les arguments de sa soeur, Jérémie se saisit du gode-ceinture et commença par l’enfoncer dans le vagin de Jennifer qui émit un ronronnement de plaisir. Le jeune homme fit aller et venir l’engin dans la grotte d’amour de sa soeur à différentes allures afin de lui procurer un maximum de plaisir. 
Au son des gémissements de Jennifer, Jérémie en conclut qu’il se débrouillait bien et décida de changer de voie. Il retira le gode du sexe de sa soeur pour le replonger dans son arrière-train. Ne connaissant pas le degré d’habitude de la jeune femme d’être prise par cet endroit, le jeune homme décida de faire pénétrer l’engin le plus doucement afin de ne pas lui faire mal. 
Constatant qu’il était parvenu à insérer une bonne partie du gode dans l’orifice de sa soeur sans lui arracher un seul cri, Jérémie décida d’accélérer son mouvement, la faisant gémir de plaisir. Le jeune homme poursuivit sa tâche jusqu’à ce que Jennifer lui fasse signe de s’arrêter. 
— Tu t’es plutôt bien débrouillé. Tu as réussi à me faire jouir. Par conséquent, je vais te récompenser. Tu as le choix entre trois possibilités. Un : on se fait un soixante-neuf. Deux : je m’assieds sur ton visage et tu me lèches le cul. Trois : je t’encule. 
La réponse sortit presque d’elle-même de la bouche de Jérémie tant ce qu’il venait de faire avec sa soeur l’avait excité. 
— Je veux que tu m’encules. — Parfait. 
Jennifer s’équipa du gode-ceinture et se positionna derrière son frère qui écarta ses fesses autant qu’il le pouvait pour lui faciliter l’accès à son petit trou. La jeune femme ne se fit pas prier pour répondre à cette invitation muette mais ô combien explicite. 
Son engin enfoncé jusqu’à la garde dans le rectum de son frère, Jennifer entama une longue série de puissants va-et-vient, ses cuisses butant à chaque coup de reins sur l’arrière-train de Jérémie. 
Au bout de près de vingt minutes, elle se retira et consulta sa montre. 
— Maman et Papa devraient rentrer bientôt. Merci à toi pour cette agréable pause que tu m’as offerte dans mes révisions. — C’était un plaisir. 
Sur ces mots, Jennifer et Jérémie se rhabillèrent et se replongèrent dans leurs révisions. Lorsque Jacques et Jeanne revinrent avec les billets de train à destination de Nice, eux et leurs enfants dînèrent léger et chacun retourna vaquer à ses occupations. 
Un mois plus tard, Jennifer et Jérémie avaient fini leurs examens et attendaient avec impatience le courrier leur annonçant leurs résultats. Jeanne avait promis à son fils qu’en cas de réussite, elle le récompenserait lorsqu’ils seraient chez Alice. Jacques, quant à lui, avait assuré à Jennifer qu’il lui paierait tout ce qu’elle voudrait pendant une journée si ses résultats venaient à être positifs. 
À la mi-juillet, les courriers à la fois tant attendus et tant redoutés arrivèrent au domicile de Jennifer et Jérémie. Entourés de leurs parents, les deux jeunes gens ouvrirent les enveloppes et en sortirent les feuilles de notes. En voyant la mention « Réussi » inscrite sur leurs fiches, frère et soeur exultèrent et montrèrent fièrement à Jacques et Jeanne les résultats qu’ils avaient acquis. 
— Je suis fier de vous, les enfants ! Je pense que vous avez bien mérité de passer des vacances tranquilles avant d’attaquer la nouvelle année. — Je suis ravie de pouvoir annoncer à votre tante que vous avez réussi vos examens. 
D’un commun accord, la famille se rendit le soir même dans un restaurant asiatique pour y fêter l’heureuse nouvelle et le départ de Jeanne et Jérémie le lendemain. Lorsqu’ils eurent fini leur repas, Jacques et Jennifer décidèrent d’aller boire un verre dans un bar tandis que Jeanne et Jérémie avaient pris le parti de rentrer à la maison pour être en forme en vue du voyage qui les attendait. 
Le 17 juillet fut le jour J pour la mère et le fils. Afin de pouvoir profiter un maximum de la journée, ils s’étaient levés de bonne heure et avaient pris leur petit-déjeuner le plus calmement possible pour ne pas réveiller Jacques et Jennifer qui étaient rentrés tard la veille. 
Vers 8h, ils prirent le train en direction de Nice et arrivèrent sur place aux alentours des 11h. Jeanne et Jérémie prirent ensuite un bus en direction du domicile d’Alice. À 11h30 précises, Jeanne sonna à la porte de sa soeur qui les accueillit chaleureusement en leur posant des questions banales au sujet de leur santé et de leur vie professionnelle ou étudiante. 
En contemplant distraitement le corps de sa tante, Jérémie éprouva immédiatement un désir fou d’être pris par elle. Avec ses longs cheveux blonds qui tombaient en cascade derrière ses épaules, son visage rond aux yeux bleus pétillants et sa lourde poitrine qu’on pouvait deviner sous le top qu’elle portait, Alice était une femme sublime qui assumait très bien sa fin de trentaine. Le jeune homme tâcha pourtant de ne rien laisser paraître, se disant qu’il ne s’agissait que d’un fantasme passager qui ne changerait jamais de statut. 
Alice guida ses visiteurs jusqu’à leurs chambres et Jérémie fut surpris de constater qu’il occuperait la chambre de l’une de ses cousines. 
— Zoé n’est pas là ?— Non, elle est partie en Espagne avec Emilie et des amies. Vous pourrez donc occuper leurs chambres durant votre séjour. — Et Laurent n’est pas là non plus ?— Non, il a été mandaté par son entreprise pour un voyage professionnel au Japon pendant un mois. Il n’y aura donc que nous ici pendant deux semaines. — Très bien. Encore merci de nous accueillir chez toi pour ces deux semaines. — C’est la moindre des choses. Je suis juste navrée que Jacques et Jennifer n’aient pas pu venir à cause de leurs occupations. 
Sur ces derniers mots, Alice informa sa soeur et son neveu qu’elle sortait acheter de quoi préparer le dîner. Jeanne se proposa pour l’aider mais sa soeur insista pour qu’ils prennent possession de leurs chambres et se remettent du voyage. Jérémie et sa mère défirent donc leurs bagages et s’installèrent confortablement de leur nouveau chez eux. 
Alors qu’il écoutait de la musique sur son téléphone portable, Jérémie vit sa mère entrer dans sa chambre. Le jeune homme enleva ses écouteurs et demanda à sa mère ce qu’elle lui voulait. 
— Tu te souviens que je t’ai promis de m’occuper personnellement de toi lorsque j’en aurai l’occasion ?— Oui. — Il se trouve que je l’ai maintenant. — Maintenant ? Mais si Alice nous surprend...— Ne t’en fais pas. Connaissant ta tante, elle va être très indécise en choisissant ses ingrédients. Nous avons donc tout le temps de nous amuser avant son retour. — Dans ce cas, avec plaisir. — Très bien. On va chacun se changer dans sa chambre et tu me rejoins dans cinq minutes. 
Sur ces mots, Jeanne quitta la chambre pour aller se changer. Jérémie se dévêtit en toute hâte et alla rejoindre sa mère, son petit sexe tout endurci par l’excitation qu’il éprouvait à l’idée de se faire prendre à nouveau par elle. 
En entrant dans la chambre, le jeune homme trouva sa mère trouva entièrement nue sur son lit. Jérémie constata que Jeanne ne s’était pas encore équipée de son gode-ceinture. Il en déduisit qu’elle ne le sodomiserait pas tout de suite. 
— Te voilà, Jérémie. J’aime toujours autant voir ton petit zizi tout dur. Il m’inspire beaucoup. Ne sois pas timide, approche. 
Jérémie rejoignit sa mère sur le lit et celle-ci plaqua doucement son visage contre son sexe. Le jeune homme se mit à lécher la chatte de sa mère avec dévotion, la faisant gémir de plaisir. Jeanne laissa son fils s’occuper de son calice durant quelques minutes puis décida de changer de position. Elle fit signe à Jérémie de s’allonger puis s’assit sur son visage avant de jouer avec sa ridicule petite verge. 
De son côté, le jeune homme s’appliqua à passer sa langue sur le fessier de sa mère qui s’amusait à le masturber tout en faisant rouler de temps en temps ses petites bourses entre ses doigts. 
Au bout de quelques minutes, excité par ce qu’il faisait, Jérémie finit par éjaculer dans la main de Jeanne sans la prévenir tandis que celle-ci le branlait. Furieuse, la mère de famille se releva et gifla son fils de sa main couverte de semence. 
— Tu sais que ce n’est pas très élégant de jouir dans la main de sa maîtresse sans prévenir ?— Je suis désolé, Maman. — Tu peux être désolé mais ça ne suffira pas. Il va falloir que je te punisse. Commence par te nettoyer la figure pendant que je m’équipe. 
Le jeune homme obéit aux instructions de sa mère tandis que celle-ci mettait son gode-ceinture et sortait une cravache de son sac de voyage. Jeanne ordonna à son fils de se mettre à quatre pattes sur le lit. Jérémie obtempéra et reçut une dizaine de coups de cravache sur son postérieur. 
Jeanne reposa ensuite la cravache à terre et se positionna derrière son fils pour le sodomiser. La mère de famille commença par enfoncer lentement son engin dans l’arrière-train de Jérémie avant d’entamer une longue série de va-et-vient à rythme progressif. 
Le jeune homme put profiter des coups de reins de sa mère durant près d’une dizaine de minutes avant que celle-ci ne se retire et ne repose son gode-ceinture sur le lit pour lui signifier que leur rapport était terminé. 
— Alors, ça t’a plu d’avoir été puni par ta mère ?— Oui, Maman. Ça m’a fait beaucoup de bien et j’espère que nous aurons l’occasion de remettre ça durant ces vacances. — Ne t’en fais pas ; je vais tout faire pour ça. À ce propos, j’ai remarqué la façon dont tu regardais Alice. Elle te plaît, n’est-ce pas ?— Oui, Maman, elle me plaît beaucoup mais je pense que ce ne sera qu’un fantasme passager qui ne se réalisera jamais. — N’en sois pas si sûr, Jérémie. J’ai pris avec moi les moyens de la convaincre de te prendre. 
Sur ces mots, Jeanne sortit l’album photo illustrant leurs rapports sadomasochistes incestueux et le montra aux yeux éberlués de son fils. 
— Je vais tout lui expliquer en insistant bien sur le fait que tu as choisi cette situation et que tu es heureux ainsi. Je suis sûre qu’elle sera ravie de contribuer à ton bonheur si je lui dis qu’elle te plaît. — Ce serait un plaisir pour moi d’être pris par elle mais quand est-ce que tu comptes lui dire pour nous ?— Juste après le repas. — D’accord, Maman. J’espère que ça se passera bien. — Ça va bien se passer, ne t’en fais pas. 
Sur ces mots, Jeanne et Jérémie sortirent leurs dernières affaires de leurs valises puis attendirent patiemment le retour d’Alice.
[ à suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live