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Surpris et pris par...

Chapitre 8

Inceste
Alice fut de retour aux environs de midi. Jeanne et Jérémie l’aidèrent à ranger ses différents achats et à la préparation du dîner. Ils mangèrent vers 13h. Le repas fini, les deux femmes décidèrent de s’accorder un café. Pendant qu’Alice préparait les cafés, Jeanne fit discrètement signe à son fils de monter dans sa chambre en lui disant qu’elle devait parler à sa soeur seule à seule et Jérémie obtempéra sans discuter. 
Seul dans sa chambre, le jeune homme commençait à s’ennuyer. Il tenta d’abord de faire passer le temps en écoutant de la musique mais le coeur n’y était pas. Il prit alors le parti d’aller écouter discrètement la conversation de Jeanne et Alice. 
Jérémie descendit lentement les escaliers afin de ne pas être trahi par leurs grincements et se dirigea vers la porte de la cuisine sur la pointe des pieds. Comme la porte était entrouverte, il put entendre sans difficulté ce que les deux soeurs se disaient. À leurs voix et au bruit de pages qui se tournaient, le jeune homme comprit que sa mère faisait part à sa tante de sa condition au moyen de l’album photo qu’elle avait emporté avec elle pour le voyage. 
— Je dois dire que je suis plutôt surprise. Je n’aurais jamais pensé que Jérémie puisse avoir un fantasme de ce genre. Et encore moins que tu puisses l’assouvir. — En réalité, ce n’est pas avec moi qu’il a assouvi ce fantasme. — Avec qui, alors ?— Avec Jennifer. — Quoi ?! Sa soeur ?! Comment ça se fait ?— Elle l’a surpris un soir en train de se masturber sur un photomontage qu’il a fait d’eux. D’abord choquée, Jennifer lui a demandé pourquoi il avait cette image et c’est là qu’il lui a tout expliqué. Comme il lui semblait sincère, elle a décidé de lui donner ce qu’il voulait, histoire d’essayer, mais elle y a pris goût et elle est officiellement devenue sa maîtresse. — Une sorte de jeu entre frère et soeur, si je comprends bien. Jusque là, je peux comprendre, mais toi, tu es leur mère, alors comment ça se fait que tu aies décidé de dominer ton fils à ton tour ?— Jennifer est venue me parler de leur situation. D’abord, j’ai été très surprise d’entendre ça. J’ai donc décidé d’en parler avec Jéremie en lui demandant s’il tenait vraiment à être le soumis de sa soeur. Je lui ai même donné une chance de tout arrêter. Il lui suffisait simplement de me le dire. Malgré cela, il s’est entêté à vouloir continuer. J’ai donc prévenu Jennifer de sa décision et elle m’a proposé d’assister à leurs ébats pour me faire une idée de leur relation. J’y ai assisté un soir et Jennifer m’a proposé de me laisser essayer de dominer Jérémie. J’ai accepté par jeu ou par curiosité et j’y ai pris goût moi aussi. C’est depuis ce soir-là que Jérémie est aussi devenu mon soumis. — Bon, d’accord, mais est-ce que ça plaît vraiment à Jérémie d’être ton esclave en même temps que celui de Jennifer ?— Oui, je lui ai même posé la question à plusieurs reprises. À chaque fois, il m’a répondu que c’était un plaisir pour lui. — C’est peut-être un plaisir pour lui en ce moment mais tu penses vraiment que vous lui rendez service, Jennifer et toi, en le traitant ainsi ? Il aura peut-être un jour envie d’avoir d’autres rapports avec les femmes, si tu vois ce que je veux dire. — Je ne pense pas qu’il puisse réellement espérer attendre autre chose de la part des femmes que ce que nous lui donnons, sa soeur et moi. Si tu le voyais nu, tu comprendrais toi aussi que Jérémie n’aura aucune chance de satisfaire une femme, sexuellement parlant. — Ça me fait de la peine pour lui. Est-ce que vous l’avez offert à d’autres personnes ? — De mon côté, seul Jacques a pu le prendre mais c’était en notre présence, à Jennifer et moi. En ce qui concerne Jennifer, je sais qu’elle a laissé un certain Matthieu ainsi que deux de ses coéquipières de son équipe de volley le prendre. — C’est allé plus loin que je ne le pensais. Ça fait quand même pas mal de personnes au courant de la situation de Jérémie. — Et la liste pourrait encore bien s’allonger. — Comment cela ?— Il faut que je t’avoue une chose : pendant que tu es allée faire les courses, j’ai pris Jérémie. Je lui ai également dit que j’avais remarqué la façon dont il te regardait et je lui ai demandé si tu lui plaisais. — Et qu’est-ce qu’il a dit ? 
— Que ce serait un plaisir pour lui de se faire prendre par tes soins. 
Alice parut un instant choquée d’entendre de tels propos sortir de la bouche de sa soeur mais elle reprit vite contenance. 
— Très bien. Je veux bien essayer de faire ça avec Jérémie mais j’aimerais être seule avec lui pour cette première fois. — Aucun souci. Je comprends tout à fait. Je vais m’absenter cet après-midi pour vous laisser seuls. Si tu as besoin de matériel, il y a ce qu’il faut dans ma chambre. — Inutile. J’ai mon propre équipement. 
Sur ces mots, les deux femmes quittèrent la table pour laver leurs tasses et Jérémie s’empressa de regagner sa chambre sans être vu par Jeanne et Alice. Décidant de faire comme s’il n’avait rien entendu de l’échange entre les deux soeurs, le jeune homme s’occupa en lisant un magazine sur l’informatique qu’il avait pris de son domicile parisien. 
Une vingtaine de minutes plus tard, il vit sa mère sur le pas de sa porte. 
— Oui, Maman ?— Je voulais juste te dire que je m’absente pour l’après-midi. Ta tante m’a recommandé un salon de massage dans la région et je compte y faire un tour pour voir comment c’est. Tu seras donc seul avec Alice. — D’accord, Maman. J’espère que ce salon sera à la hauteur de tes attentes car tu le mérites après tous les efforts que tu as fournis depuis notre départ de Paris. — Tu es un bon garçon. J’espère aussi que ce sera aussi bien que me l’a dit Alice. 
Sur ces mots, Jeanne sortit de la chambre de son fils et quitta la maison. Sa mère partie, le jeune homme se replongea dans sa lecture. Cette replongée fut de courte durée car quelques minutes plus tard, Jérémie vit que sa tante se tenait devant sa porte. 
— Oui, Tata ?— Il fait plutôt chaud aujourd’hui. Comme nous avons la maison pour nous tous seuls, je me demandais si tu ne souhaitais pas piquer une tête dans la piscine avec moi. — Bien volontiers, Tata. Je me change et je te rejoins. — Parfait. Je t’attends au bord de la piscine. 
Alice se retira tandis que Jérémie enfilait son maillot de bain. Le jeune homme alla retrouver sa tante quelques minutes plus tard au bord de la piscine. En voyant le corps de sa tante dénudé sur une chaise longue, Jérémie éprouva un mélange de surprise et d’excitation. 
Percevant son trouble, celle-ci lui sourit en lui expliquant qu’elle pratiquait le bronzage intégral. 
— Tu es sûre que personne ne va nous voir ?— Ne t’inquiète pas pour ça. Tous les voisins sont partis en vacances. Viens plutôt me mettre un peu de crème solaire. N’aie pas peur d’insister sur certaines parties de mon corps. N’hésite pas non plus à te mettre plus à l’aise si tu en éprouves le besoin. 
Sur ces mots, Jérémie se saisit du tube de crème solaire et en badigeonna d’abord le visage et le cou de sa tante. Le jeune homme étala la crème sur ses épaules puis, parvenu à la hauteur de ses seins, il ressentit une puissante érection qui forma une bosse sur le tissu de son maillot de bain. Décidant en première instance de ne rien laisser paraître, il continua de recouvrir la poitrine d’Alice de crème solaire mais cette dernière ne manqua pas de remarquer la réaction de son neveu. 
— Mets-toi seulement plus à l’aise. Comme ça, nous pourrons pratiquer le bronzage intégral à deux. 
Souhaitant faire plaisir à sa tante, le jeune homme ôta son maillot de bain et le laissa tomber au sol. Alors qu’il allait poursuivre ce qu’il avait commencé, Jérémie fut stoppé net par un éclat de rire d’Alice. 
— Ta mère ne m’a pas menti : il n’y a pas grand-chose dans ton caleçon. 
Désarçonné par les propos de sa tante, le jeune homme décida de jouer l’innocence. 
— Ma mère ? Comment aurait-elle pu te raconter ça puisqu’elle n’a plus vu ma queue depuis des années ?— Inutile de jouer au plus fin avec moi : ta mère m’a tout raconté au sujet de ta soumission. Ta soeur qui te surprend en train de te branler et t’encule, Matthieu, les filles du volley, elle m’a tout raconté. Elle m’a également confié que je te plaisais. Au vu de ta petite queue toute dure, je constate qu’elle ne m’a pas menti là-dessus non plus. Aussi ai-je eu dans l’idée que nous nous amusions un peu tous les deux cet après-midi si cela te tente toujours. 
Surpris par la tournure des évènements mais heureux de pouvoir satisfaire une autre femme de sa famille, Jérémie ne se fit pas prier pour répondre. 
— Oui, bien sûr, Tata. Ce serait un plaisir. — Très bien. Commence par finir de me mettre la crème solaire. 
Sur ces mots, le jeune homme badigeonna les seins d’Alice de crème puis poursuivit sur son ventre et ses cuisses. Lorsqu’il eut fini de lui en mettre sur les pieds, sa tante se retourna et lui demanda de lui en mettre sur le dos. Jérémie obtempéra en opérant le même parcours. Parvenu à hauteur du fessier de sa tante, le jeune homme fit exprès de mettre plus de crème que de raison afin de pouvoir s’y attarder plus longtemps. 
— Mon cul te plaît, apparemment. Ne t’en fais pas, tu vas y avoir droit. — Merci, Tata, j’ai vraiment hâte d’y être. 
Sans gaspiller plus de paroles, le jeune homme acheva d’étaler la crème sur le corps de sa tante. Celle-ci le remercia et l’invita à s’assoir à ses côtés. Jérémie accepta l’invitation puis Alice se mit à lui palper les bourses, ce que le fit gémir de douleur. 
— Pas très résistant non plus, à ce que je vois. Tant pis, on va essayer autre chose. 
Sur ces mots, Alice ordonna à Jérémie de se coucher sur le sol. Le jeune homme obtempéra et sa tante s’agenouilla au-dessus de lui, son fessier orienté vers son visage de façon à pouvoir faire un soixante-neuf. Sans attendre, Jérémie se mit à lécher le postérieur d’Alice avec dévotion tandis que celle-ci le masturbait de deux doigts. 
Le jeune homme s’appliqua ainsi à concentrer ses coups de langue sur le petit trou de sa tante jusqu’à ce qu’il sente la jouissance l’envahir. Ayant retenu la leçon que sa mère lui avait inculquée, Jérémie délaissa le fessier d’Alice pour la prévenir qu’il allait jouir. 
— Alice ! Je vais jouir !
Pour toute réponse, Alice serra ses testicules de toutes ses forces, le faisant crier de douleur et faisant retomber du même coup la jouissance. 
— Tu jouiras quand je l’aurai décidé. En attendant, continue de me lécher le cul, j’adore ça. 
Jérémie obéit à l’ordre de sa tante tandis que celle-ci recommençait à le masturber. Environ dix minutes s’écoulèrent avant qu’Alice ne décide de changer de position. Son neveu toujours couché au sol, elle s’assit sur son visage, son sexe collé à ses lèvres. 
Sans qu’Alice n’ait à le lui demander, le jeune homme lui lécha servilement la chatte, la faisant gémir de plaisir. Jérémie s’appliqua durant quelques minutes à procurer du plaisir à sa tante puis celle-ci décida de passer à autre chose. Elle se releva et ordonna à son neveu de se mettre à quatre pattes sur la chaise longue. Le jeune obéit sans discuter tandis qu’Alice sortait un gode-ceinture de sous la chaise longue. 
En voyant sa tante s’équiper de l’engin, Jérémie fut aussitôt impressionné par ses dimensions. Le gode-ceinture d’Alice lui paraissait être long d’une trentaine de centimètres et large de dix centimètres au moins. En guise de lubrifiant, Alice badigeonna le petit trou du jeune homme de sa salive et enfonça son sextoy centimètre par centimètre afin de pouvoir profiter au maximum de cet instant où elle sodomisait son neveu. 
Constatant son gode-ceinture enfoncé jusqu’à la garde dans l’arrière-train de Jérémie et l’absence de cris de douleur, Alice comprit qu’elle pouvait pilonner le jeune homme sans ménagement. Dès les premiers coups de reins de sa tante, Jérémie n’eut de cesse de hurler son plaisir et d’encourager Alice à le baiser plus fort, tout heureux d’être pris par un engin de ce calibre. 
De son côté, Alice ne se faisait pas prier pour accéder à la requête de son neveu et accélérait le rythme de ses coups de reins à chaque gémissement de son neveu jusqu’à en être épuisée. 
Il devait s’être écoulé une bonne vingtaine de minutes avant qu’Alice, emporté par la fatigue ne retire son gode-ceinture et ne s’asseye sur la chaise longue. 
— Tu as été un très bon garçon. Je vais donc te récompenser comme il se doit. Allonge-toi sur mes genoux. 
Jérémie obtempéra et Alice se pencha légèrement vers l’avant de façon à lui présenter un sein aux lèvres. Sans se poser de questions, le jeune homme se mit à téter le sein offert de sa tante tandis que celle-ci le masturbait. 
Au bout de quelques instants, il s’arrêta de téter le sein d’Alice pour lui signifier qu’il allait jouir. Contrairement à la première fois, au lieu de lui serrer les bourses, sa tante accéléra son mouvement et le jeune homme vit son propre sperme maculer son ventre. 
Avec la permission d’Alice, Jérémie se nettoya de sa semence en plongeant dans l’eau de la piscine et la rejoignit sur une chaise longue. 
— Alors, ça t’a plu d’être dominé par ta tante ?— Oui, Tata. J’ai vraiment adoré te lécher le cul et te téter le sein. En plus, aucune femme ne m’a jamais procuré autant de plaisir en m’enculant. Tu as vraiment le plus gros gode que j’aie jamais vu. — Que de compliments. Moi aussi, j’ai adoré t’enculer avec mon gros gode. J’en ai des plus petits mais tu es le premier homme à supporter le gode que j’ai utilisé. Bon, sur ce, je te propose que nous attendions tranquillement le retour de ta mère en bronzant un petit peu. Si tu veux, tu peux même me téter le sein. — Bonne idée, Alice. 
Sur ces mots, Jérémie téta la poitrine de sa tante tel un nourrisson accroché au sein nourricier et tous deux attendirent le retour de Jeanne en sachant qu’ils n’allaient pas s’ennuyer durant ces vacances. 
[ à suivre ]
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