Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 39 J'aime
  • 8 Commentaires

Surpris et pris par...

Chapitre 11

Inceste
En ce jour ensoleillé du 27 août, les championnats nationaux de volleyball devaient se dérouler à Paris. Pour l’occasion, Jacques avait écourté son séjour à Marseille, délégant la responsabilité de son équipe à son adjoint afin de pouvoir accompagner Jeanne et Jérémie au centre sportif et soutenir Jennifer.
N’ayant eu que peu de temps à passer avec sa soeur depuis son retour de son camp de volley, Jérémie n’avait pas encore eu l’occasion de lui raconter ses vacances à Nice et la visite de leurs cousines mais il se dit qu’il se ferait un plaisir de lui relater tous ces évènements après les championnats, soit pour la consoler soit pour accroître sa joie.  
Les premiers matchs ne devant se dérouler que dans les alentours des 10h, Jérémie et ses parents s’étaient levés vers 9h afin de pouvoir prendre leur petit-déjeuner tranquillement, Jennifer ayant été contrainte de sortir de la maison avant eux en raison du planning de son équipe. 
Lorsqu’ils eurent fini leur collation, Jérémie fit la vaisselle tandis que Jacques et Jeanne se changeaient. Le jeune homme les imita peu après puis ils prirent tous trois la direction du centre sportif. En chemin, Jeanne fit part de son inquiétude de ne pas pouvoir trouver Jennifer à leur arrivée. 
— Ne t’en fais, ma chérie. Elle sait très bien qu’on vient la voir. Donc, si nous ne la trouvons pas, c’est elle qui nous trouvera. — Je sais mais il y aura quand même beaucoup de monde...— C’est normal : pour des jolies filles, tout le monde se déplace. Pour trouver Jennifer, il nous suffira juste de chercher la plus jolie d’entre elles. N’est-ce pas, Jérémie ?— Bien sûr, Papa. Maman, pas besoin de t’inquiéter : nous la trouverons aisément. 
Sur ces paroles rassurantes, Jérémie et ses parents poursuivirent leur chemin puis arrivèrent vers 9h45 à destination. Comme Jeanne l’avait pressenti, les gradins étaient noirs de monde et les nombreux fans encourageaient bruyamment les joueuses qui s’échauffaient. 
— Vous avez une idée d’où pourrait être Jennifer ?— Elle est sûrement dans les vestiaires avec son équipe, à l’heure qu’il est. — Jérémie, envoie-lui un message pour lui dire que nous sommes arrivés. 
Le jeune homme obtempéra et envoya un SMS à sa soeur en lui disant que lui et leur parents étaient arrivés. Il lui précisa également l’endroit exact où ils se trouvaient. 
— Voilà, c’est fait. J’espère qu’elle aura le temps de voir ce message avant de jouer son premier match. 
La prière de Jérémie fut exaucée près d’un quart d’heure plus tard. Sur l’écran de son téléphone, il vit qu’il venait de recevoir un message de Jennifer lui indiquant de la rejoindre dans le vestiaire numéro 13. Le jeune homme montra le SMS à ses parents et descendit les escaliers le menant aux vestiaires tandis que Jacques et Jeanne s’installaient dans les gradins. 
En parvenant devant la porte du vestiaire numéro 13, Jérémie frappa trois coups à la porte et il vit Jennifer lui ouvrir. 
— Entre seulement, Jérémie. Je vais te présenter aux joueuses. 
Le jeune homme suivit sa soeur dans le vestiaire et balaya l’assistance du regard pour la jauger. Parmi les joueuses présentes, il reconnut Fanny et Laetitia, les jumelles qui l’avaient dominé avec la complicité de sa soeur deux mois auparavant. Jérémie admira les volleyeuses durant quelques instants et il constata que Jennifer ne lui avait pas menti sur leur beauté : elles étaient toutes sublimes. Douze sublimes jeunes femmes auxquelles il pourrait potentiellement servir de « mascotte ». 
— Les filles, je vous présente Jérémie, le jeune homme dont je vous ai parlé pendant qu’on était en camp. Vous constaterez vite qu’il est très serviable et très à l’écoute des besoins des femmes, Fanny et Laetitia pouvant en témoigner. C’est pourquoi je pense qu’il serait parfait dans le rôle de la mascotte. 
L’une des joueuses leva la main pour prendre la parole. 
— On veut bien te croire, Jennifer, mais si on ne voit pas comment il est en-dessous, ce sera difficile pour nous de juger s’il a la tête de l’emploi. — Très bonne remarque, Cindy. Dans ce cas, comme Fanny, Laetitia et moi savons déjà ce qu’il y a en-dessous, je vous invite toutes à lui retirer chacune un vêtement. 
Cette proposition de Jennifer reçut une clameur ravie de la part de ses coéquipières. Comme l’idée lui avait été inspirée par sa remarque, la jeune femme décida de laisser Cindy déshabiller son frère la première. La volleyeuse retira la jaquette de Jérémie. Une seconde joueuse que sa soeur lui présenta sous le nom de Karine lui ôta son T-shirt. Ce fut ensuite le tour d’une dénommée Gabrielle de lui retirer quelque chose. La joueuse décida de retirer la ceinture de son pantalon. Une volleyeuse prénommée Elodie prit ensuite le relais et retira une chaussure au jeune homme puis une cinquième fille lui retira son autre chaussure en se présentant sous le nom de Joanna. Les deux volleyeuses qui suivirent, Justine et Salome, lui ôtèrent chacune une chaussette puis une joueuse prénommée Marion se chargea de lui retirer son pantalon, ne laissant plus que son boxer comme ultime rempart à sa nudité. Alors qu’Alexandra, la neuvième et dernière joueuse devant ôter un vêtement à Jérémie, s’avançait vers le jeune homme sous les regards excités des joueuses, Jennifer décida de corser l’exercice pour cette dernière étape. 
— Attends un instant ! Pour que ce soit plus excitant pour nous toutes, tu vas lui enlever son boxer avec les dents. 
Sous les cris de joie des joueuses, Alexandra s’agenouilla aux côtés de Jérémie et logea habilement le tissu du sous-vêtement entre ses dents. La volleyeuse dut s’y reprendre à plusieurs fois et depuis trois angles différents pour réussir à faire tomber le boxer de Jérémie au sol, provoquant les rires de ses coéquipières à la vue de la petite verge du jeune homme. Cindy fut la première à commenter cette vision à la fois hilarante pour les joueuses et humiliante pour Jérémie. 
— Effectivement, il a tout de l’emploi. Qu’est-ce qu’on lui fait, capitaine ?
Jennifer consulta son téléphone. 
— On a rendez-vous sur le terrain avec le coach dans quinze minutes. Pour aujourd’hui, on va faire ça un peu à l’arrache pour ne pas trop se fatiguer. Afin qu’on puisse toutes avoir le même traitement, je vais chronométrer les prestations de notre mascotte. Est-ce que ça vous va, les filles ?
Les volleyeuses approuvèrent vigoureusement l’idée de Jennifer. 
— Parfait. Dans ce cas, toutes à poil et en file indienne. Jérémie, à genoux devant moi. 
Le jeune homme prit la position exigée par sa soeur tandis que celle-ci et les autres joueuses se déshabillaient. Jennifer sortit ensuite un chronomètre de son sac de sport et se positionna devant son frère, ses coéquipières en colonne derrière elle. 
— Léchage de moule : dix secondes chacune
Sur ces mots, Jennifer enclencha le chronomètre et le confia à Fanny qui se trouvait derrière elle afin de garantir le respect du temps imparti. La jeune femme plaqua le visage de Jérémie sur son sexe et le lui fit lécher. À la fin des dix secondes, Fanny remit le chronomètre à Laetitia et se laissa à son tour aller au plaisir de subir les coups de langue de Jérémie sur son calice avant de lui céder sa place. Les autres volleyeuses se succédèrent devant le jeune homme dans le même ordre que lorsqu’elles l’avaient dévêtu. 
Lorsque toutes les joueuses eurent profité des cunnilingus de son frère, Jennifer reprit le chronomètre qu’Alexandra lui tendait et prononça la prestation suivante. 
— Léchage de cul : dix secondes chacune. Alexandra, tu commences. 
Jennifer fit démarrer le chronomètre tandis qu’Alexandra se faisait lécher le postérieur par Jérémie. Au terme du temps imparti, Alexandra céda sa place à Marion qui ne manqua pas de frotter son fessier contre le visage du jeune homme afin de ressentir davantage de plaisir. La volleyeuse laissa ensuite Salome profiter des compétences de Jérémie puis les joueuses se succédèrent dans l’ordre inverse de celui qu’elles avaient adopté pendant les cunnilingus, laissant Laetitia, Fanny et Jennifer se faire lécher en dernier. 
Après s’être fait lécher le postérieur par son frère, Jennifer instaura la troisième prestation. 
— Troisième et dernière prestation : la sodomie : 30 secondes chacune. Je précise qu’on peut y aller à fond parce qu’il a l’habitude. 
Sur ces mots, les volleyeuses s’équipèrent chacune d’un gode-ceinture puis se positionnèrent en file indienne derrière Jennifer qui fut la première à enculer Jérémie. À la fin du temps imparti, la jeune femme céda sa place à Fanny qui ne se priva pas d’agrémenter ses coups de reins par des fessées appuyées, provoquant l’hilarité de ses coéquipières. Ce fut ensuite au tour de Laetitia de prendre le jeune homme et à l’instar de sa jumelle, la volleyeuse décida de donner des claques sur les fesses de Jérémie. Les neuf autres joueuses se suivirent ensuite dans le même ordre que pour la mise à l’air du jeune homme. 
Lorsque toutes les joueuses furent passées, Jennifer consulta à nouveau son téléphone. 
— Il nous reste cinq minutes pour nous rhabiller et rejoindre le coach sur le terrain. Alors, est-ce que notre mascotte vous plaît ?
Les joueuses répondirent à l’unisson par l’affirmative. 
— Très bien. Dans ce cas, nous aurons d’autres occasions de nous amuser tous ensemble et d’en profiter plus longtemps. 
Sur ces mots, Jérémie et les volleyeuses se rhabillèrent puis le jeune homme reprit la direction des gradins tandis que les filles se dirigeaient vers le terrain. 
Lorsqu’il retrouva ses parents dans les gradins, ceux-ci l’accueillirent avec des sourires lourds de sous-entendus. 
— Tu as fait plutôt long avec Jennifer. Je suppose que vous aviez beaucoup de choses à vous dire puisque vous ne vous êtes pas vus depuis notre départ pour Nice. — Ne sois pas idiote, ma chérie. Si Jérémie a fait aussi long, c’est qu’il s’est fait prendre par Jennifer et ses copines. J’ai pas raison ?— Oui, Papa, c’est juste. Je suis même devenu leur mascotte. — Dans ce cas, il ne nous reste plus qu’à espérer qu’elles gagnent avec une mascotte comme toi. 
Leur conversation fut interrompue par la voix du speaker qui annonçait l’entrée des joueuses sur le terrain. L’équipe de Jennifer allait se mesurer à une formation bordelaise. Le commentateur présenta les joueuses des deux équipes puis l’arbitre du match appela les deux capitaines auprès de lui en leur demandant de choisir un côté de la pièce qu’il lancerait. Le tirage au sort se révélant favorable à Jennifer, la formation parisienne fut la première à servir. 
La partie débuta plutôt bien pour les Parisiennes avec six points marqués d’affilée puis les Bordelaises se reprirent et revinrent à deux longueurs. Les deux entraîneurs ne cessaient de faire tourner leurs effectifs afin de faire jouer toutes leurs joueuses. Seules les deux capitaines demeurèrent sur le terrain pendant tout le set. Le duel entre ces deux formations tenant ses promesses, le premier set ne fut terminé qu’au bout de quarante minutes de jeu, remporté par les Parisiennes sur le score de 25 à 23.
Durant le temps-mort, les deux coaches n’eurent de cesse d’abreuver leurs joueuses de conseils et de plans tactiques. Le second set débuta avec les Bordelaises au service. Un peu assommées par la perte de la première manche, elles laissèrent peu à peu l’équipe de Jennifer prendre le dessus et l’emporter par le score plus sec de 25 à 16. 
Au terme du second temps-mort, les Parisiennes commencèrent à servir pour la troisième manche. Ayant retrouvé un peu de moral, les Bordelaises y prirent progressivement le large, menant la formation de Jennifer sur le score de 18 à 14. Loin d’être découragées par le sursaut d’orgueil de leurs adversaires, la jeune femme et ses coéquipières s’encouragèrent brièvement et réussirent à marquer sept points à la suite, passant à trois longueurs devant les Bordelaises. Les points suivants furent beaucoup plus disputés mais au bout du huitième point, Jennifer plaça un smash imparable au milieu du camp adverse, signant le gain du troisième set et du match sur le score de 25 à 22. 
Égayées par cette victoire, les Parisiennes se congratulèrent entre elles puis allèrent serrer la main de leurs adversaires. 
— Apparemment, tu es une superbe mascotte, Jérémie. Elles ont gagné assez aisément. Bon, je vais aller voir Jennifer. On a fait un pari sur ce premier match pendant que vous étiez à Nice. Là aussi, elle a gagné. Je vais donc aller voir ce qu’elle veut comme prix. 
Sur ces mots, Jacques se leva des gradins et descendit vers les vestiaires pour y retrouver sa fille. Celle-ci l’attendait en bas des escaliers. 
— Ah, te voilà, ma chérie. Super, ton smash à la fin. — Merci, Papa, mais tu n’as pas oublié notre pari ?— Bien sûr que non. Un pari est un pari. Bon, que veux-tu que je fasse pour toi ?— Je vais te le dire mais pas ici. Il ne faudrait pas quelqu’un nous entende. Je connais un endroit où on pourrait aller pour être un peu tranquilles. 
Jacques suivit Jennifer jusqu’à la sortie du centre sportif puis la jeune femme s’éloigna de la foule pour s’enfoncer dans la forêt avoisinante et finit par s’arrêter à un sentier forestier peu fréquenté. 
— Qu’est-ce que tu veux me dire, Jennifer ? Pourquoi tu m’as amené ici ?— Tu n’as toujours pas compris, Papa ? Ce qu’on a fait tous les deux pendant que Jérémie et Maman étaient à Nice, ça m’a énormément manqué pendant que j’étais en camp. Je ne peux plus attendre. Je me suis donnée à fond exprès pour ça. Je veux que tu me prennes. — Non, Jennifer, on ne peut pas. — Comment ça, « on ne peut pas » ? Tu me disais que Jérémie te prenait Maman parce qu’elle passait tout son temps à le dominer et que tu en avais assez de cette situation. Tu m’as convaincue quand tu me disais que le fait que nous couchions ensemble ne serait pas si grave puisque j’avais déjà commis un inceste avec Jérémie et que Maman en faisait de même. Alors, pourquoi tu ne veux pas me faire plaisir maintenant ? Tu as dit tout ça juste parce que tu voulais te tirer un coup avec moi, c’est ça ? Quelle idiote j’ai été ! Tu ne pensais pas un mot de ce que tu m’as dit !— Calme-toi, ma chérie. Je pensais chaque mot de ce que je t’ai dit et je le pense toujours. La seule raison qui m’empêche de te prendre, c’est le fait que Jérémie et ta mère sont là maintenant et qu’il nous serait difficile de leur cacher notre relation. — Ça ne fait rien et puis tu l’as dit toi-même : l’inceste fait désormais partie intégrante de la famille. Ils finiront par le savoir à un moment donné. Alors rien ne t’empêche de me baiser ici mais si tu ne veux pas leur dire tout de suite, nous n’aurons qu’à leur dire que nous avons négocié pendant une demie heure sur un bijou que je veux que tu m’offres. 
En voyant le regard plein de malice de sa fille, Jacques décida de se prendre au jeu. 
— Tu as raison, Jennifer. Au point où on en est, je n’ai pas à me soucier de ce que ta mère et Jérémie pourraient penser. Si ça tourne mal, on n’aura qu’à faire comme tu as dit. 
Sur ces mots, le père de famille se laissa déshabiller par sa fille qui émit un ronronnement de gourmandise à la vue de son impressionnante verge et se dévêtit à son tour. La jeune femme s’agenouilla devant Jacques et lui plaqua délicatement le sexe sur le ventre pour pouvoir lui lécher les bourses plus facilement. 
Jennifer passa ensuite sa langue le long de la hampe de son père avant de la prendre en bouche. Ravi par la technique de sa fille, Jacques lui caressa amoureusement les cheveux en l’encourageant à continuer. Père et fille jouèrent à ce petit jeu durant quelques minutes puis Jennifer exprima son souhait de passer à l’étape suivante. 
La jeune femme s’allongea sur le sol et invita son père à la pénétrer. Voulant savourer chaque instant de cette relation incestueuse et clandestine, Jacques enfonça son sexe centimètre par centimètre dans celui de sa fille qui gémit de plaisir. Lorsque sa verge fut immiscée jusqu’à la garde dans la grotte d’amour de Jennifer, le père de famille entama une série de puissants va-et-vient, ce qui eut pour effet de rapidement faire grimper l’excitation de la jeune femme. 
En constatant que Jacques s’était retiré, Jennifer comprit tout de suite ce que celui-ci désirait. Elle se mit à quatre pattes et écarta ses fesses pour l’inviter à visiter son petit trou. Séduit par cette invitation, le père de famille ne se fit pas prier pour introduire sa queue dans ce sombre conduit offert. 
À nouveau, Jacques prit le temps de s’enfoncer lentement dans le corps de sa fille afin de pouvoir profiter de chaque instant puis, lorsque ses testicules butèrent sur le fessier de la jeune femme, il se mit à la sodomiser violemment, lui arrachant des gémissements d’extase. 
Endurant, le père de famille de famille put soutenir le rythme pendant près d’une dizaine de minutes avant de sentir la jouissance le gagner. 
— Jennifer ! Je vais jouir !
Sur ces mots, Jacques se retira du fessier de sa fille tandis que celle-ci s’était à nouveau allongée au sol pour l’inciter à jouir sur ses seins. Le père de famille se masturba durant quelques secondes puis trois jets de sperme maculèrent la poitrine de Jennifer. 
Lorsqu’ils se furent remis de leurs émotions, Jacques sortit un mouchoir de la poche de son pantalon puis le tendit à sa fille pour qu’elle s’essuie. Après s’être rhabillés, Jennifer et son père regagnèrent le centre sportif pour y retrouver Jeanne et Jérémie. 
— Eh bien, vous avez fait plutôt long pour discuter de votre fameux pari. — Disons qu’il m’a fallu négocier avec Papa pendant des heures pour qu’il accepte mon prix. 
En prononçant ces deux derniers mots, la jeune femme jeta un regard complice à Jacques. 
— Bon, je vais aller retrouver mes coéquipières pour manger. Merci à vous d’être venus me voir et à tout à l’heure. — À tout à l’heure, ma chérie. 
Lorsqu’ils furent à nouveau seuls, Jeanne décida d’interroger son époux sur le pari qu’il avait fait avec Jennifer. 
— Alors, c’est quoi le prix que Jennifer t’a demandé ?— Tu le sauras bien assez vite. 
Jeanne et Jérémie se regardèrent en se demandant ce que cette obscure réponse de Jacques pouvait bien signifier. 
[ à suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live