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Surpris et pris par...

Chapitre 13

Inceste
Au lendemain de cette veille de Noël riche en révélations et en sensations fortes, Jérémie et le reste de sa famille se levèrent dans les alentours des 10h pour prendre leur petit-déjeuner. À leur grande surprise, ils constatèrent que la collation du matin avait déjà été préparée et que Rosalie, qui était restée dormir chez eux, était déjà réveillée depuis un bon moment. 
— Comme je suis plutôt matinale et que je ne savais pas trop quoi faire, j’ai pris la liberté de préparer le petit-déjeuner. J’espère que cela ne vous ennuie pas. — Pas du tout, Rosalie. Bien au contraire, c’est une très délicate attention. Merci beaucoup.
Sur ces mots, les neuf convives mangèrent leur petit-déjeuner et allèrent ouvrir leurs cadeaux. Durant la période de l’Avent, Jérémie avait dépensé sans compter en cadeaux pour Rosalie et les femmes de sa famille. Il avait notamment fait le tour des sex-shops et avait acheté six exemplaires, tous de couleurs différentes, du plus gros gode-ceinture qu’il avait trouvé ainsi que des menottes, des bâillons-boules et divers autres articles de domination. Pour son père et son oncle, le jeune homme avait choisi de leur obtenir des bons d’achat dans un magasin de sport. 
En découvrant son attirail, Jennifer fut stupéfaite de la générosité dont avait fait preuve Jérémie. 
— Whaou ! Eh bien, on peut dire que tu nous gâtes avec tous ces joujoux. Regardez-moi ça : un gros gode-ceinture rouge, un bâillon-boule, un fouet, des menottes et même une cage de chasteté !
En voyant le bonheur de sa fille, Jacques crut bon de plaisanter. 
— Calme ta joie, Jennifer : c’est comme ça que les soumis fêtent Noël. Ils tendent le bâton pour se faire battre. 
Cependant, Jeanne ne l’entendait pas de cette oreille. 
— Ne commence pas, Jacques ! Jérémie a le droit d’offrir les cadeaux qu’il veut. Il savait que ces cadeaux nous plairaient et il a décidé de nous faire plaisir. Rien de plus normal. — Pardonne-moi, ma chérie, je voulais juste plaisanter. 
Jeanne lui répondit par un sourire et demanda aux autres invités ce qu’ils avaient reçu comme cadeaux. Les femmes lui répondirent avoir reçu de Jérémie le même kit que Jennifer, à la différence près que les godes-ceintures n’étaient pas tous de la même couleur. L’engin d’Alice était bleu foncé, celui de Zoé vert pomme, celui d’Emilie jaune pâle tandis que le gode-ceinture de Rosalie était blanc. Jeanne ouvrit à son tour le cadeau qu’elle avait reçu de son fils et y découvrit le même arsenal que les autres et un gode-ceinture noir. 
— Eh ben, dis donc, Jérémie, tu n’as pas lésiné sur le budget « cadeaux » cette année ! Ces godes sont vraiment impressionnants. — Je dois dire que j’ai mis des heures pour les trouver car je voulais les godes les plus gros. Je crois que j’ai réussi mon coup puisque ceux-ci font trente centimètres de long pour sept de large. 
À l’annonce de ces mesures, les femmes émirent un sifflement admiratif. Encouragé par cette lancée, Jérémie poursuivit. 
— Et ce n’est pas tout. Si vous regardez sur la base de vos godes, vous verrez que chacun a quelque chose d’écrit dessus. 
Jeanne et les autres femmes regardèrent à l’endroit indiqué par le jeune homme et constatèrent que leurs prénoms respectifs avaient été inscrits en lettres dorées. Émue par cette attention, Jennifer enlaça son frère et lui donna un baiser sur les lèvres pour le remercier. La jeune femme fut presque aussitôt imitée par Jeanne, Alice, Rosalie et ses deux cousines. 
Lorsque chacun eut finit de déballer ses cadeaux, Jennifer proposa aux femmes d’essayer leurs nouveaux jouets sur Jérémie. En entendant cette proposition, le jeune homme sourit jusqu’aux oreilles car il désirait plus que tout se faire prendre par ces monstrueux engins qu’il avait offerts à ses dominatrices mais Jeanne acheva de rendre cet espoir vain. 
— Non, pas aujourd’hui. Je veux que Jérémie soit en forme pour le concours au club. — Mais, Maman, on ne sait même pas si j’ai été sélectionné ou pas.— Moi, si. J’ai reçu un message du club ce matin qui me disait que toi et moi participerions au concours du 31 décembre. Et comme cadeau de Noël, je voulais t’annoncer cette nouvelle. — Super ! Je suis trop content. — J’en suis ravie mais je tiens à te dire qu’il n’y aura plus rien de sexuel entre nous jusqu’au concours. Et interdiction de te masturber. — Pas de problème, Maman. — Hum... Je veux quand même m’en assurer. 
Sur ces mots, Jeanne se saisit d’une cage de chasteté et y enferma la verge de son fils, provoquant les rires de l’assistance. Jérémie et les autres s’attelèrent ensuite à ranger le sapin et les emballages puis vers midi, Rosalie rentra chez elle en compagnie de Laurent, Alice et de leurs deux filles. 
Durant les six jours qui suivirent, Jérémie s’habitua peu à peu au port de la cage de chasteté et parvint à renoncer à la masturbation en évitant de penser aux différentes scènes qu’il avait vécues tout au long des derniers mois. Comme sa mère l’avait promis, ses talents ne furent pas sollicités durant cette période. 
Le 31 décembre au soir, Jeanne finit par retirer à son fils sa cage de chasteté et ils dînèrent léger en compagnie de Jacques et Jennifer. Vers 20h, Jérémie et sa mère quittèrent leur domicile pour se rendre au club. 
Le concours ne devant commencer que dans les environs de 21h, Jeanne et Jérémie savaient qu’ils arriveraient sur place avec trente minutes d’avance, le temps qu’il leur fallait pour mettre au point leur stratégie. 
À leur arrivée dans l’enceinte du club, ils furent accueillis par le réceptionniste et Jeanne lui présenta le message qu’elle avait reçu. Le réceptionniste les guida ensuite dans l’arrière-salle et les fit entrer dans une petite chambre avant de retourner à son bureau. 
En examinant la chambre, Jeanne et Jérémie furent impressionnés par l’équipement dont elle disposait malgré sa petite superficie. En effet, la pièce ne devait pas faire plus de quinze mètres carrés mais elle contenait tout de même un lit double posé contre le mur opposé à l’entrée ainsi qu’une commode à deux tiroirs positionnée dans un coin. En les ouvrant, ils découvrirent des bâillons-boules, des menottes ainsi que de la ficelle et des godes-ceintures. 
— Ils ne sont pas aussi gros que celui que tu m’as offert. Ça devrait donc aller pour toi. — Bien sûr que ça ira. Laisse-moi t’avouer que j’ai pu tester un exemplaire des godes que je vous ai offerts. Comme il rentrait en moi comme dans du beurre, j’ai décidé d’en acheter six comme celui-là et d’y faire inscrire vos prénoms. — Petit coquin ! Je regrette presque de ne pas avoir essayé mes nouveaux jouets sur toi. 
Sur ce dernier échange, Jeanne et Jérémie poursuivirent leur exploration. Placée contre un mur sur leur gauche, une croix de Saint-André les impressionnèrent grandement par sa taille et les attaches prévues pour les poignets et les pieds disposées sur ses branches et son bas. Un autre détail les surprit : à droite de la croix, contre un mur, un fouet avait été posé. 
— Voilà quelque chose que nous n’avons jamais fait. J’espère que ça jouera pour toi parce que, moi, je t’avoue que ça me ferait peur à ta place. — Ne t’en fais pas, Maman : pour 1000 euros, je peux endurer n’importe quoi ici. 
Jeanne voulut dire à son fils qu’elle admirait son courage mais elle préféra ne rien dire afin de ne pas perdre de vue son rôle de dominatrice. Elle et Jérémie s’assirent sur le lit et mirent au point leur stratégie. Ils convinrent tous deux que le jeune homme devrait simplement adopter un langage non verbal donnant envie à ses futurs dominateurs ou dominatrices de le prendre. Avant de quitter la chambre pour rejoindre les autres maîtres et maîtresses, Jeanne voulut s’assurer que son fils avait bien compris leur plan jusque dans les moindres détails. 
— Tu as bien tout compris ?— Oui, Maman. Je dois simplement prendre une posture qui donne envie de me dominer et affronter les perversions de chaque maître et maîtresse de la meilleure façon possible. — Très bien, je vois que tu as compris. Pour t’encourager, je vais te faire une offre : si tu gagnes, nous utiliserons l’argent pour t’acheter de quoi avoir un meilleur équipement. Est-ce que tu acceptes ma proposition ?— Oui, mais qu’entends-tu par « meilleur équipement » ?— Tu le sauras si tu gagnes. 
Sur ces dernières paroles, Jeanne quitta la chambre pour rejoindre les autres dominateurs et dominatrices dans l’arrière-salle, laissant son fils seul avec ses interrogations. Depuis sa chambre, le jeune homme entendit des voix, dont deux masculines. Il en déduisit qu’il aurait en tout cas deux hommes à satisfaire. Jérémie repéra également deux voies féminines et reconnut celle de sa mère. Le jeune homme en conclut que ces cinq personnes faisaient connaissance. 
Au bout de quelques minutes, Jérémie entendit une sixième voix, masculine, qui semblait s’adresser aux cinq autres personnes présentes dans l’arrière-salle. Au vu des quelques mots qui lui parvenaient distinctement, le jeune homme comprit qu’il s’agissait d’un membre du personnel du club qui expliquait aux maîtres et maîtresses les modalités du concours. Lorsque l’employé eut fini son speech par les mots « Amusez-vous bien », il reçut une salve d’applaudissements puis Jérémie entendit des bruits de pas qui se dirigeaient vers sa chambre. Après s’être dévêtu en vitesse, il s’agenouilla au sol et attendit l’entrée de son visiteur. 
Un homme dans la cinquantaine écarta le rideau qui faisait office de porte et se présenta devant lui. En le détaillant de plus près, Jérémie estima la taille de son premier dominateur comme étant égale à la sienne. Ses cheveux poivre et sel coupés court et ses yeux gris semblaient lui donner un air strict et autoritaire et sa carrure athlétique ne faisait rien pour atténuer cette impression. 
— Bonsoir, esclave Jérémie. Je me nomme Georges et j’espère que tu seras à la hauteur de mes attentes. — Je ferai selon vos désirs, Monsieur. — Parfait. Dans ce cas, commence par me déshabiller. 
Jérémie se releva et décida de commencer par retirer sa chemise à Georges puis de finir par son caleçon afin de lui donner le temps d’avoir une érection aussi dure que possible. Lorsqu’il ôta le dernier rempart à la nudité de son dominateur, le jeune homme fut immédiatement impressionné par la taille de sa verge qu’il estima être d’une vingtaine de centimètres au moins. 
— Ça commence bien pour toi, esclave Jérémie. Tu as réussi à me faire bander en un temps record. Maintenant, occupe-toi de moi. 
Sans se faire prier, Jérémie entoura d’un geste lent mais sûr de sa main droite la base du sexe de Georges et le mit en bouche. Tandis qu’il suçait son dominateur aussi bien qu’il le pouvait en le masturbant doucement, le jeune homme posa sa main gauche sur ses bourses et les caressa mais cette initiative ne fut pas au goût de Georges qui lui ordonna sèchement de les lâcher et de le sucer jusqu’à la garde. 
Soucieux de bien faire, Jérémie obtempéra sans discuter et s’appliqua à s’occuper de la verge de son maître comme celui-ci le lui avait demandé. Cependant, ayant mal estimé sa taille de son os, le jeune homme la recracha par peur de s’étouffer. 
— Il ne me semble pas t’avoir dit de t’arrêter. Pour la peine, je vais te punir. Dix coups de fouet pour t’apprendre la discipline. 
À l’annonce de la sentence, Georges poussa Jérémie vers la croix de Saint-André et lui attacha les poignets et les pieds. Le dominateur ouvrit ensuite un tiroir de la commode et en sortit un bâillon-boule qu’il plaça sur la bouche du jeune homme avant de se saisir du fouet. 
Dès le premier coup, Jérémie dut se faire violence pour ne pas pleurer tant le fouet lui faisait mal. Après le dernier coup, Georges libéra le jeune homme de ses entraves et lui enleva son bâillon-boule. 
— Pendant le temps qu’il nous reste, je vais visiter ton petit cul. Mets-toi à quatre pattes sur le lit. 
Jérémie obtempéra et Georges prit place derrière lui pour enfoncer d’une seule poussée sa verge turgescente. Constatant la facilité avec laquelle son sexe était entré dans le sombre orifice du jeune homme, le dominateur entama une série de puissants coups de reins, finissant par être rapidement gagné par la jouissance. 
En se retirant de son postérieur, Georges ordonna à Jérémie de se mettre à genoux devant lui. Le jeune homme obéit à son injonction et il se masturba quelques instants avant d’éjaculer dans sa bouche. 
— Avale et nettoie-moi : j’ai d’autres soumis à voir, moi. 
Jérémie se dépêcha d’ingurgiter la semence de son dominateur et le suça jusqu’à faire en disparaître toute trace de son sexe. 
— Beau travail, esclave Jérémie. 
Sur ces mots, Georges sortit de la chambre sans attendre la réponse du jeune homme. Jérémie s’agenouilla à nouveau au sol mais n’eut pas le temps de s’interroger bien longtemps sur ce comportement puisqu’une seconde personne se présenta à lui. Cette fois, il s’agissait d’une femme d’environ une trentaine d’années. En voyant ses longs cheveux noirs et ses yeux verts pétillants qui embellissaient son visage au teint mat, le jeune homme eut du mal à croire que cette belle jeune femme qu’il supposa être d’origine hispanique puisse être une dominatrice. Il admira pendant quelques instants sa poitrine généreuse et ses longues jambes. 
— Bonsoir, Jérémie. Je m’appelle Gabriella et j’ose espérer que ta première séance ne t’a pas trop usé pour que tu puisses me servir convenablement. — N’ayez crainte, Madame. Je suis toujours prêt à servir une maîtresse. — Je préfère « Mademoiselle » : ça fait plus jeune et ça me convient mieux. — Très bien, Mademoiselle.
Sur ces dernières paroles, Gabriella se coucha sur le lit et fit signe à Jérémie de l’y rejoindre. Le jeune homme obtempéra et sa dominatrice lui présenta ses pieds. 
— J’ai beaucoup marché aujourd’hui et mes pieds me font mal. J’aurais besoin d’un massage. 
Devenu expert dans cette discipline, Jérémie se saisit délicatement de l’un des pieds de Gabriella et commença par en masser les orteils avant de redescendre vers le talon. Le jeune homme répéta ce circuit jusqu’à ce que sa dominatrice ne lui présente son autre pied. Jérémie s’attela à nouveau à masser aussi bien qu’il le pouvait et ne cessa son oeuvre que sur ordre de Gabriella. 
— Merci, Jérémie. Tu es un très bon masseur. Tu vas maintenant avoir le privilège de me faire du bien sous la ceinture. 
La jeune femme retira son string, laissant à Jérémie le plaisir d’admirer son sexe intégralement épilé. Séduit, le jeune homme plaça son visage entre les cuisses de Gabriella et lui lécha le calice tout en y déposant de temps en temps un baiser d’adoration. 
À force d’embrasser et lécher le sexe de sa dominatrice, Jérémie parvint à faire jouir celle-ci qui repoussa gentiment son visage et lui recommanda de se mettre à quatre pattes au pied du lit. Le jeune homme adopta la posture exigée tandis que Gabriella sortait une paire de menottes et un gode-ceinture d’un tiroir de la commode. 
Lorsqu’elle se fut équipée de l’engin, la dominatrice attacha Jérémie au pied du lit à l’aide des menottes et s’accroupit derrière lui. Contrairement à son premier dominateur, Gabriella prit tout son temps pour enfoncer son gode-ceinture dans le postérieur du jeune homme. Comprenant que Jérémie était habitué à ce genre de pratiques, la jeune femme décida de le pilonner avec force en agrémentant ses coups de reins par des fessées appuyées jusqu’à en être épuisée. 
Après en avoir terminé avec lui, Gabriella détacha Jérémie et rangea les menottes et le gode-ceinture à l’endroit où elle les avait pris. 
— Tu as été un serviteur génial, Jérémie. Je suis sûre que ta maîtresse doit être contente de toi. — Merci, Mademoiselle. 
Gabriella lui sourit et sortit de la chambre. Durant les deux heures qui suivirent, Jérémie fut confronté à un homme âgé d’une quarantaine d’années du nom de François qui s’était contenté de lui demander de lui prodiguer une fellation et avait fini par jouir sur son visage et à une femme dans la cinquantaine prénommée Gertrude qui lui avait fait vivre un véritable calvaire en l’attachant à la croix de Saint-André pour le fouetter durant toute la durée de leur entrevue. 
Vers 23h30, l’employé du club qui avait accueilli les maîtres et maîtresses à leur arrivée annonça la fin du concours et invita les candidats à les rejoindre. Lorsqu’il retrouva sa mère, Jérémie afficha un large sourire. 
— Alors, comment ça s’est passé pour toi, Jérémie ?— À part les coups de fouet de Gertrude qui ont bien failli me faire pleurer, plutôt bien. Et toi ?— De mon côté, je me suis bien amusée. J’ai seulement regretté de ne pas avoir pu emmener le gode-ceinture que tu m’as offert à Noël. — Ça ne fait rien. Tu pourras l’essayer sur moi. — Je n’y manquerai pas, Jérémie. — Merci, Maman. Alors, qu’est-ce que tu leur as fait, aux autres soumis ?— Avec le premier, j’ai commencé doucement en lui demandant de me lécher la chatte et le cul. Je l’ai ensuite enculé. Comme il était plutôt docile, je lui ai mis une bonne note. Avec le deuxième, j’ai été un peu plus dure. Après lui avoir demandé de me lécher les orifices, je l’ai attaché à la croix de Saint-André et l’ai fouetté. Comme il n’arrêtait pas de crier, je lui ai mis un bâillon-boule dans la bouche pour ne plus l’entendre. Je n’ai pas voulu m’attarder davantage et je suis sortie en lui mettant une sale note. Le troisième ne m’a pas semblé trop mauvais mais j’ai trouvé qu’il prenait trop d’initiatives pour un soumis. Il me proposait toujours de me lécher les orifices ou de me laisser le sodomiser. On a fait tout ça ensemble mais je lui ai quand même mis une note assez moyenne pour son manque de docilité. — Ces bâillons-boules sont très efficaces parce que je n’ai rien entendu. En tout cas, j’ai passé une excellente soirée ici. 
Jeanne et Jérémie prirent quelques verres au bar du club puis restèrent avec les autres dominateurs et dominatrices et leurs candidats jusqu’au compte à rebours final. Après avoir souhaité la bonne année à tout le monde et s’être renseignés sur la façon dont le gagnant du concours serait informé de sa victoire, mère et fils sortirent de l’établissement pour se diriger vers leur domicile.
Epilogue : 
Deux mois après le concours au club, une bonne nouvelle arriva dans la famille de Jérémie. Jeanne ayant obtenu une promotion, Jacques avait décidé de l’emmener dîner dans un restaurant gastronomique de Paris pour fêter l’évènement, laissant Jérémie et Jennifer seuls dans l’appartement. 
D’un commun accord, frère et soeur décidèrent de profiter de cette soirée à leur façon. Dès que leurs parents les eurent quittés pour se rendre au restaurant, Jennifer s’empressa de gagner sa chambre en indiquant à Jérémie de l’y rejoindre cinq minutes plus tard. 
Au bout de ce laps de temps qui lui parut être une éternité, le jeune homme rejoignit sa soeur dans sa chambre. En la voyant allongée sur son lit, entièrement nue, Jérémie sentit son sexe prendre de l’ampleur dans son boxer. Remarquant son trouble, Jennifer lui sourit. 
— Fais voir. 
Jérémie s’empressa de se déshabiller, exhibant une verge longue et dure au regard émerveillé de la jeune femme. 
— Whaou ! Les produits que Maman a achetés ont été vraiment très efficaces. Ta queue est maintenant presque aussi grosse que le gode que tu m’as offert pour Noël. — Merci, Jennifer. Je dois dire que je me sens beaucoup plus en confiance maintenant. — Tu as de quoi. Assez parlé : viens me prendre. 
Jérémie accéda avec plaisir à la requête de sa soeur. La jeune femme se mit à quatre pattes sur son lit et invita son frère à la sodomiser en lui indiquant qu’elle souhaitait n’être prise que par cet orifice. Le jeune homme enfonça lentement sa verge dans le sombre conduit de Jennifer afin de lui permettre de savourer au mieux cet instant. 
Peu habitué à être aussi actif durant ses rapports, Jérémie ne tint pas longtemps le rythme effréné auquel il pilonnait sa soeur avant d’être gagné par la jouissance. 
— Jennifer ! Je vais jouir !
Tandis que son frère se retirait de son petit trou, la jeune femme s’allongea sur le dos et se caressa les seins en invitant Jérémie à y répandre sa semence. Le jeune homme se masturba avec force puis éjacula sur la poitrine offerte de Jennifer. 
— Pas trop mal pour une première fois. Il faudra juste que tu apprennes à tenir plus longtemps pour que les filles puissent apprécier la belle grosse queue tu as maintenant. — Pas de problème. Si tu veux bien être ma coach, je serai le meilleur amant du monde. D’ailleurs, en parlant de filles, tu as dit la vérité à tes copines sur nous ?— Oui.— Et comment elles ont réagi ?— Elles ont été un peu surprises au début mais elles ont vite été contentes pour moi car j’avais réalisé l’un de leurs vieux fantasmes. Et crois-moi, elles seront folles de joie quand elles verront ce qui pend maintenant entre tes jambes mais, pour le moment, je veux être la seule à en profiter. — Et Maman ? — D’accord, je la laisserai aussi en profiter un peu. Au fait, tu lui as montré l’effet que ses produits ont eu sur ta queue ?— Non, pas encore. Elle voulait attendre deux mois avant de voir. — D’accord. Je pourrai lui dire qu’ils ont bien fonctionné. — Maintenant que tu en parles, j’aimerais bien le lui montrer moi-même à son retour. — Comme tu veux. 
Croyant leur discussion terminée, Jérémie se dirigea vers la porte de la chambre de sa soeur mais celle-ci le somma de rester. 
— Attends un peu. C’est à mon tour de m’amuser, maintenant. Mets-toi à quatre pattes par terre. 
Jérémie obtempéra tandis que Jennifer s’équipait du gode-ceinture et des menottes qu’il lui avait offerts pour les fêtes de Noël. La jeune femme attacha son frère au pied de son lit au moyen des menottes et se positionna derrière lui pour le sodomiser à son tour. 
Plus endurante que son frère, Jennifer put soutenir la cadence durant une bonne quinzaine de minutes avant de se retirer, épuisée par ses efforts. 
Alors qu’elle le libérait de ses entraves, la jeune femme constata que la verge de son frère s’était à nouveau endurcie. 
— Eh bien, Jérémie, on peut dire que tu ne perds rien pour rebander !— Sûrement un autre effet des produits de Maman. Je pense que je devrais maintenir cette érection jusqu’à son retour. — Non, j’ai une meilleure idée. 
Sur ces mots, Jennifer se saisit de son téléphone portable et photographia la verge turgescente de son frère. 
— On lui dira ensemble avec cette photo comme preuve mais, maintenant, il y a autre chose que j’ai envie de faire avec cette belle queue que tu as. 
Jennifer invita son frère à s’assoir auprès d’elle sur son lit. Jérémie accepta l’invitation et la jeune femme se pencha sur son sexe pour le prendre en bouche. Voulant savourer ce contact, le jeune homme rejeta sa tête en arrière et ferma les yeux en se laissant aller à l’extase que lui faisait ressentir la fellation que sa soeur lui prodiguait. 
FIN
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