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J'ai surpris ma tante en pleine action

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Alice, ma tante que j’ai entraînée dans le libertinage après le décès de mon oncle, son mari depuis 50 ans, alors qu’elle avait 70 ans, habite à quatre-vingt kilomètres de chez moi. Samedi dernier, j’avais un rendez-vous professionnel à une dizaine de kilomètres de chez elle. Ce rendez-vous n’ayant pas fini trop tard, je me suis dit que je pouvais aller lui faire un petit coucou. Je suis arrivé chez elle aux alentours de 19 heures. Sa maison étant en retrait, j’ai laissé ma voiture sur la rue et je suis rentré à pied dans la cour. J’ai eu le réflexe de regarder à l’intérieur par la baie vitrée. Le salon était vide. Comme il faisait beau, j’ai pensé qu’elle pouvait être dans son jardin et j’ai fait le tour de la maison. Pas d’Alice non plus dans le jardin. Je voyais par le hublot du garage que sa voiture était là. Elle devait donc être sortie à pied. J’allais repartir lorsque j’ai vu que la porte du cellier était mal enclenchée. Je l’ai poussée et elle s’est ouverte en grand.
Je suis rentré dans le cellier qui bien sûr était vide. J’allais repartir lorsque j’ai pensé lui laisser un message sur la table du salon pour lui signifier mon passage. Je suis entré dans le salon, la télé marchait signe qu’elle n’était pas partie bien loin. Tout à coup, il m’a semblé entendre du bruit en provenance de l’étage. J’ai écouté attentivement et effectivement j’ai compris qu’elle devait être là-haut. Alors que j’appelais, j’ai entendu une voix d’homme. Elle n’était donc pas seule ! J’ai enlevé mes chaussures et j’ai monté les escaliers le plus discrètement possible. Arrivé sur le palier, j’ai vite compris ce qu’elle était en train de faire. Des gémissements venant d’une chambre me renseignaient sur son activité...
Je me suis approché de la porte pour mieux écouter. Malheureusement, la porte était fermée, pas moyen de la pousser et en regardant par le trou de la serrure je ne voyais rien. Tout à coup un téléphone portable a sonné dans la chambre. J’ai entendu l’homme décrocher et dire : "attends je sors". J’ai juste eu le temps de me cacher dans un coin du couloir. Dans le couloir j’ai entendu l’homme dire : "On est chez la vieille salope qu’on a baisée ensemble il y a quinze jours". J’ai avancé la tête le plus discrètement possible, l’homme était de dos, mais je l’ai reconnu immédiatement. C’était un des blacks à qui j’avais offert Alice lors d’un gang bang avec six blacks quelques semaines plus tôt. Comme les gémissements en provenance de la chambre continuaient pendant qu’il parlait avec son interlocuteur, j’en déduisis qu’ils étaient au moins deux. Il a raccroché et il est retourné dans la chambre. Je suis sorti de ma cachette et je me suis rapproché de la porte.
Par chance, il ne l’avait pas refermée complètement. Je l’ai entrebâillée un peu pour voir ce qu’il se passait à l’intérieur. Seule une petite lampe éclairait la pièce qui était dans une demi-obscurité. Mais j’ai pu voir qu’ils étaient trois blacks à s’occuper d’Alice. Pendant que l’un la baisait, elle suçait les deux autres à tour de rôle. J’étais très excité par la scène et j’ai enlevé mon pantalon pour me branler. Je suis resté un bon quart d’heure à les regarder. Tour à tour, ils ont pris Alice en missionnaire et en levrette. Au bout d’un quart d’heure, je n’en pouvais plus. Je suis entré sans faire de bruit. Mon arrivée n’a pas perturbé les trois blacks tandis qu’Alice ne s’est aperçue de rien. Je me suis mis dans sa bouche et elle m’a sucé avec avidité. Je me suis retiré de sa bouche et je lui ai murmuré à l’oreille : "Tu es une belle salope". Elle a tourné la tête et elle m’a vu.
— Tu es là toi aussi, m’a-t-elle dit alors que l’un des hommes la pilonnait à fond.
Nous avons continué à la prendre dans tous ses trous pendant plus d’une heure. Nous avons tous joui et lorsque nous avons eu fini les blacks m’ont dit qu’ils l’avaient appelée en début d’après-midi, ils avaient relevé son nom sur la boîte aux lettres la première fois qu’ils étaient venus, pour lui demander s’ils pouvaient passer. Une proposition qu’elle n’a évidemment pas refusée ! Je lui ai quand même dit de faire attention et de bien fermer ses portes quand elle s’amuse comme ça, car n’importe qui d’autre que moi, surtout ses enfants qui habitent près de chez elle, aurait pu rentrer par son cellier et la surprendre en plein ébat.
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