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Surprise…

Chapitre 1

Erotique
Tip, tip, tip, tip. Biiiiiip.
C’est avec un certain soulagement que j’entends retentir l’approbation du digicode dès la première série de chiffres saisie.Je ne peux pas dire que je sois un modèle de mémoire infaillible et ce long bip strident m’apparaît soudain comme un bon augure.À peine une seconde après, le déclenchement électrique se fait entendre et le portail d’entrée s’entrouvre devant moi.Un long corridor à ciel ouvert, aux dalles usées par les intempéries et les pas des commis empressés, me conduit à une lourde porte de bois que je sais ne pas être verrouillée.
Deux marches et ma main se posent sur la poignée circulaire.Une brève hésitation... que balaie rapidement la certitude que le choc de la lourde grille métallique qui vient de se refermer a forcément été entendu depuis les bureaux. J’actionne donc la clenche.Pas de grincement. Bien. Je prends soin de refermer doucement le battant – sait-on jamais – et m’élance à l’assaut de l’escalier recouvert de tommettes. Aucun son étranger ne me parvient pour l’instant et je parcours le corridor avec la discrétion d’un spectre. Deux affiches à ma gauche, trois à ma droite. À la dernière – au graphisme futuriste des plus désuets –, je m’arrête et tends l’oreille. Toujours rien.
Mes mains tremblent un peu. Je finis par entrer dans mon rôle d’intrus et je crois que, si l’on m’interpellait maintenant, je serais incapable de donner une réponse intelligible ou crédible sur la raison de ma présence.
En face, une lourde porte qui donne, à son tour, sur l’extérieur, de l’autre côté du bâtiment et à ma gauche, l’entrée du "sanctuaire".
Difficile, dans le silence olympien d’un bâtiment plusieurs fois centenaire d’actionner une poignée avec suffisamment de conviction pour donner l’impression qu’on est, sinon de la maison, un habitué des lieux. Encore plus dur, de faire la même chose sans permettre à des oreilles humaines de déceler ma présence. Ragaillardi par la pensée d’y parvenir néanmoins, je me redresse, raffermis ma prise et repousse la porte devant moi... avant d’être saisi d’effroi.
La lumière de l’astre solaire déclinant qui pénètre par les hautes fenêtres suffit à peine à éclairer les formes sinistres et grimaçantes disposées tout autour de la remise. Les membres épars de quelques créatures inhumaines sont accrochés aux murs blafards et les visages crochus, barrés de sauvages rictus, qui reposent sur leurs socles minéraux paraissent vous sonder de leurs orbites creuses...
Le peu de lumière artificielle qui provient du bureau situé au bout de la salle parfait cette ambiance surréaliste durcissant les traits peu amènes des têtes sculptées. Mes pas me semblent soudain faire le bruit d’un troupeau de buffles. La réverbération dans la salle au haut plafond est atroce et, pourtant, je continue à entendre le cliquetis imperturbable du clavier d’un ordinateur.
Peut-être que le battement de mon cœur suffirait à couvrir le bruit de ma traversée parmi les gisants de pierre...En quelques enjambées, je rejoins, à gauche de la porte vitrée, le vénérable établi en bois recouvert de matériel de taille. Laissant machinalement courir ma main sur la surface grisâtre, poussiéreuse, aux lattes disjointes, je me penche pour regarder par les carreaux un peu flous.
— Bingo !

Je reprends mon souffle qui s’était sérieusement raccourci et observe mon reflet. Coiffure, col, regard. Ça peut aller. De l’assurance. Exsuder de l’assurance. Il faut y arriver, car tout doit se jouer en quelques instants.
Je fais le dernier pas qui me sépare du double battant et pose ma main droite sur la poignée. Je gonfle mes poumons, assène un bref tambourinement sur la surface laquée et, dans le même instant, pénètre dans le bureau.
******************En l’espace d’une, voire deux secondes, j’enregistre toute la scène : la tête qui se redresse derrière l’écran du Mac, les yeux arrondis de stupeur, le mug de thé fumant posé dangereusement près du clavier, la fraîcheur humide des vieux murs de pierre, la lueur orangée des lustres modernes suspendus à plusieurs mètres de haut. Ou le discret ronronnement des machines bientôt en veille : ordinateur, photocopieur et imprimante...
Nos regards se croisent et, bien décidé à ne pas laisser le premier instant de stupeur se finir sans que je prenne l’avantage, je passe à l’offensive.
Sans quitter ma muse des yeux, je porte rapidement un index vertical en travers de mes lèvres en un signe muet de commandement. Un léger froncement de sourcil. OK, bon. Plan B. Deuxième mouvement. D’un geste, je dévoile la rose que je tenais cachée dans mon dos. Deux pas. Un sourire qui se veut facétieux et chaleureux à la fois. Je porte la rose à mon nez, en hume le parfum et le tends devant moi dans une supplique muette.
Le visage reprenant un peu de couleurs, elle fait mine de parler. Se ravise et accepte mon offrande. "Oui !".Puis – mais je l’avais prévu – tout dans sa gestuelle se met soudain à indiquer qu’elle s’apprête à prendre la parole. Entamer une conversation anodine, me souhaiter la bienvenue, me questionner sur ma présence... est, pour moi, une non-option. Surtout ne pas casser la magie de l’instant. De toute urgence, je recompose mon personnage. Je redresse les épaules, durcis mon regard, et prononce un "chut" définitif, appuyé d’un doigt posé sur mes lèvres. Pour couper court à son étonnement et quitter le faisceau de son regard interrogateur, je passe derrière sa chaise, pose mes deux mains sur ses épaules et commence à léger massage, sur un mode amical. Je me penche vers son oreille et murmure de la voix la plus sensuelle possible :
— Shhhh. Continue de travailler et laisse-moi faire... Surtout, ne t’interromps pas et ne discute pas ou je pars, horriblement vexé.
J’ai l’impression que ça ressemblait à du Van Damme dans ses mauvais jours. Mais je guette, à tout hasard, les conséquences de mes paroles. Au pire, je peux expliquer que c’était une blague...Sur son visage, les expressions se succèdent et se disputent mon attention. Est-ce du lard ou du cochon ? Quel plan farfelu est encore allé se fourrer dans cette caboche ? Finir un dernier rapport et supporter ces avanies avant de partir ou remettre à demain la conclusion de ce document déjà bien avancé ?
Finalement, d’un haussement d’épaules, elle concède cette manche. J’imagine, les yeux levés au ciel qui accompagnent aussi ce soupir un poil agacé... Petite victoire, mais manœuvre décisive. Intérieurement, je jubile, le cerveau en ébullition. J’ai l’impression d’être un pilote de rallye au volant d’un bolide lancé à fond. Ça passe ou ça casse... Extérieurement, je garde un masque patient et avenant, un léger sourire plaqué sur le visage. Et mes mains commencent leur œuvre, l’air de rien.
******************J’aime beaucoup son cou. Elle l’a long et fin. Et le carré brun qu’elle porte habituellement s’arrête juste à la bonne hauteur. On peut masser la nuque sans gêne. Plaquer de petits bisous le long des vertèbres, en enfouissant le visage dans l’odorante chevelure. Un carré c’est normalement un peu sage. Mais décidément, j’aime beaucoup. Un poil juvénile. La mèche rebelle qui barre de temps en temps le visage. Les boucles un peu folles qui cassent le bel ordonnancement et qu’elle essaie de rabattre sagement – et vainement – derrière une oreille à croquer. Les pendants qui, parallèles à la ligne de son cou, tintent gentiment, j’aime aussi. Un petit côté Bohême qui lui va bien.
Je me concentre sur les sensations. Je masse patiemment. Surtout ne pas laisser mon imagination vagabonder. Mon Dieu, elle porte un chemisier ! J’envisage tout de suite des possibilités en lorgnant fort peu discrètement dans son décolleté.
De manière inattendue, à cet instant me reviennent mes années collège. Une prof, jeune diplômée. Elle avait aussi les cheveux mi-longs et portait souvent un chemisier blanc qui dévoilait, sur sa gorge, le haut d’un petit pectoral d’argent. Mademoiselle... ah, zut, impossible de me souvenir. Quand j’y repense, c’est sans aucun doute grâce à elle que j’ai gardé un certain émoi pour les stricts chemisiers blancs, les pendentifs qui se perdent dans de douces vallées carnées et... l’Histoire de France.
Aïe, ça dérape. Me concentrer sur l’instant présent. Voilà, les tensions des épaules commencent à s’évanouir.Imperceptiblement, les omoplates commencent à s’appuyer contre moi. La chaise a bien dû reculer d’une grosse poignée de centimètres et il me semble entendre des soupirs d’aise.La rédaction commence à ralentir et j’ai l’impression que Word devient de plus en plus revêche. Sinon, comment expliquer cette phrase qui n’en finit pas d’être réécrite ?Profitant de mon ascendant, je laisse doucement descendre mes mains le long du cou, mes doigts effleurant la gorge. Impatient, je défais un bouton supplémentaire. Trop vite. Une main quitte le clavier et vient se poser sur l’une des miennes. Gentiment, je la repose sur les touches et reprends mon massage.
L’expression du visage, d’abord, pincé, puis détendu, change de nouveau. Sérénité, complicité et maintenant, plaisir ? Je continue. Mon massage devient caresses. La nuque, les tempes, les joues, la gorge. Plus bas encore. Un nouveau bouton défait. Une brève hésitation. Commande-S et un petit son indiquent que l’enregistrement a bien été effectué. Les doigts quittent les touches et vont se poser sur la souris. Elle hésite. Le curseur quitte la zone de confort des enrichissements typographiques et se dirige vers la petite gélule rouge marquée d’une croix en haut de la fenêtre du document. Tut tut pas de ça. Mais avant que j’aie pu intervenir, la petite flèche infléchit sa course et finit par se poser sur l’icône d’impression. Clic.
À quelque pas, l’imposante Xerox se réveille de son sommeil et se met en devoir de cracher sa copie.
Assise bien droite sur sa chaise, le haut du dos fermement appuyé contre mon bassin, la travailleuse se fige alors que le bruit caractéristique des rouleaux d’entraînement tournant à vide emplit la pièce. Elle hésite visiblement sur la suite à donner à notre petit jeu.
— Shh, ne bouge pas.
Sitôt ces mots murmurés à son oreille, je vais chercher les feuillets fraichement rédigés et reviens à mon poste.Les pommettes peut-être un peu roses trahissent son émoi. Sans un mot, elle tend la main et prend la liasse que je lui tends.
— À mon avis, il y a encore quelques lourdeurs qui mériteraient d’être reprises. Ne t’inquiète pas, je ne suis pas pressé.
Et le jeu reprend. Nettement moins sage.
Mes mains glissent maintenant plus franchement par l’échancrure du vêtement déboutonné et, régulièrement, l’extrémité de mes doigts effleure la dentelle de son soutien-gorge, passant parfois franchement sur le satin qui épouse sa poitrine. Puis, ils s’en vont recommencer leur travail de massage dans une zone plus neutre.
À présent, ma bouche, mutine, butine le pollen de son cou. Elle s’y pose doucement, papillonne le temps de quelques baisers et s’envole un peu plus loin. La naissance d’une clavicule, la courbe d’une mâchoire, l’arrondi d’une oreille...
Son torse se soulève maintenant au rythme de ses soupirs. Sa peau cherche mes lèvres, son corps se love contre le mien. Mais, dès que la frappe sur le clavier s’interrompt, je la rappelle gentiment à l’ordre...
Confiant, je libère un quatrième bouton. Cette fois, il lui sera vraisemblablement impossible de rectifier sa mise et d’effacer toute l’indécence de sa situation si quelqu’un venait nous rendre visite.
C’est donc les sens aux aguets que nous nous remettons, elle et moi, à nos ouvrages respectifs.Taquin, je décide d’ouvrir encore un peu le chemisier et, ce faisant, déclenche sa première rebuffade.
— Arrête. Et si quelqu’un vient ?— D’accord. Garde-le fermé comme cela. Mais, en échange, je te demande de retirer ton soutien-gorge... Si quelqu’un arrive, tu n’auras qu’à refermer un bouton...
(Très) brève réflexion. Puis, elle se penche en avant, décolle son torse du dossier et, d’un geste fugace, glisse ses mains dans son dos. Elle ouvre l’attache du sous-vêtement et, au prix d’une contorsion dont seules les femmes ont le secret, l’extirpe par sa manche droite avant de chercher des yeux un endroit où le cacher. Taquin, avant qu’elle ne puisse décider quoi en faire, je lui prends des mains et le pose, plié, mais bien en évidence, sur le bureau. À quelques centimètres de sa souris.
— Il faudra juste faire vite... dis-je, un brin mesquin.
Cette fois-ci, les règles ont changé : debout derrière sa silhouette vulnérable, je peux en user presque à ma guise. Mes mains sont désormais libres d’explorer sa peau sans entrave. Pendant de longues minutes, mes paumes vont et viennent sur le tissu puis, enfin, par l’ouverture que j’ai ménagée. D’abord à la base de la gorge et, bientôt, elles commencent à descendre, mes doigts allant se perdre de plus en plus souvent près d’un téton. Avant de franchement glisser dessus. Le massage est définitivement devenu préliminaire. Les bouts des seins de ma complice pointent désormais fièrement et ne laissent planer aucun doute sur son excitation. Turgescents, bruns, et très sensibles : je ne résiste pas à l’envie de les malmener un peu, de les pincer, de les étirer ou de les faire rouler entre le pouce et l’index.
— Hum... Encore. J’aime...
Elle vient au-devant de mes mains, les yeux fermés, une langue rose humectant ses lèvres.
— Tu es dingue... Et si quelqu’un arrivait ?
J’avoue que je suis partagé entre l’excitation de l’interdit et l’inconvénient de ne pouvoir poursuivre plus avant notre séance sans mettre définitivement en danger la carrière de mon amante.
— On peut aller verrouiller la porte de la remise. Si quelqu’un cherche la clef, tu pourras dire que tu l’avais prise machinalement avec toi dans le bureau et t’apprêtais à la remettre à sa place au moment d’activer l’alarme. Pour la porte du bureau qui rejoint directement l’extérieur, il est normal qu’elle soit fermée à cette heure : tu ne voudrais pas qu’un intrus mal intentionné s’en prenne à ta vertu ?— Qui sait..., répond-elle avec un sourire amusé.— En revanche, c’est toi qui vas aller chercher la clef. Je passe devant jusqu’à la porte, mais ensuite, ce sera à toi de l’ouvrir, de prendre la clef dans la serrure et de la refermer de l’intérieur.— Dans cette tenue ?— Pas tout à fait.
À ces mots, je finis d’ouvrir les pans du vêtement et dévoile franchement deux seins pâles un peu menus et surmontés de tétins bruns visiblement gonflés d’excitation. Ne laissant pas le temps à ma chérie d’ergoter, j’effleure, captivé, la poitrine frissonnante avant de la regarder dans les yeux et de lui demander de manière péremptoire sa culotte, une main, impatiente, tendue vers elle...
— Nan, mais t’es fou : j’aurais jamais le temps de me rhabiller cette fois !!— Et bien justement, plus tu traînes et plus il y a de risques. Alors que si tu me donnes de suite ce que je veux, je pars en éclaireur vers la porte et si quelqu’un entre, je peux le baratiner le temps que tu te rhabilles...
Elle me jette un regard furibond et hésite à m’envoyer paître cette fois. Pourtant, je lis dans ses yeux une pointe d’envie d’aller plus loin...
— Allez, donne-moi ce petit bout d’étoffe : que tu l’aies ou pas, ça ne changera rien de l’extérieur...
Vaincue par cette logique très personnelle, elle remonte sa jupe, attrape l’élastique de sa culotte et, en se tortillant d’un pied sur l’autre, finit par se délester de son dernier sous-vêtement.
— Tiens, et dépêche-toi d’aller à la porte : je vais finir par prendre froid à rester comme ça...
En remisant le slip de coton blanc – tout ce qu’il y a de plus sage – dans ma poche, je me dirige vers la porte à l’entrée de cette pièce où sont stockés pêle-mêle miniatures en bronze, moulages de plâtre et sculptures primitives en bois. Posant mon oreille contre l’huisserie, je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et suis surpris de voir qu’elle m’a suivi dans l’atelier. En retrait derrière un imposant bloc de marbre gris et prête à se réfugier dans le bureau à la moindre alerte, elle me toise, une lueur de défi dans le regard. Dépoitraillée, ses yeux plantés dans les miens, sa silhouette gracile se découpant dans la faible lueur qui provient de la verrière derrière elle, elle m’offre une vision terriblement érotique...
Me ressaisissant, j’essaie de déceler des bruits dans le bâtiment. Aucun son ne provient du corridor qui mène ici, ni de la cour dont les feuilles mortes, sèches et cassantes, trahiraient sans aucun doute la venue d’un visiteur. Je lui fais signe d’approcher.
Docile, elle me rejoint d’une démarche toute à la fois chaloupée et précipitée. Sans me quitter de ses pupilles sombres, elle tend le bras vers la poignée de la porte et respire un grand coup. Mais prise d’une impulsion soudaine, elle place ma paume sur son cœur tambourinant, ouvre la porte, penche le buste à l’extérieur de la salle, récupère prestement la clef de l’autre côté de la porte et procède au salvateur verrouillage. Deux tours dans la serrure et voilà sa vertu momentanément sauvée... Et moi j’ai toujours ce fruit chaud au creux de ma main.
Incapable de me contrôler, je la plaque contre la porte, ma bouche cherchant la sienne. Elle taquine, tourne la tête. Tant pis. Je lui dévore le cou et pince la fine peau entre mes lèvres. La main emprisonnée contre son buste, je me mets à caresser le bourgeon turgescent qui palpite. Elle gémit, plaque son sein contre ma main et commence à onduler contre elle. Enfin, elle se décide à me rendre mon baiser et se fait vorace, ses dents me laissant de gentilles morsures.
Mais soudainement, elle tend les bras et nous repousse loin de l’huisserie. Elle rit un peu et se dégage gentiment, à nouveau maîtresse de ses pulsions. Elle recule de deux pas vifs et son regard planté dans le mien, elle glisse sensuellement ses mains sur le long de ses flancs, attrape les bords de son dernier vêtement et fait glisser, nonchalante, sa jupe au sol. Du bout du pied, elle retire ses sandales avant de me les tendre, négligemment.
Fière et nue : sans me quitter des yeux, elle recule lentement, pivote dans un éclat de rire et s’en retourne, tranquillement, vers le bureau éclairé. Je reste coi, hypnotisé par le balancement exagéré de ses hanches.
— Alors, tu viens ? Il va bien falloir le finir ce rapport...
J’ai à peine le temps de me demander si l’ambiguïté de sa phrase est voulue que je cours à sa suite...
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