Ainsi se terminèrent nos ébats, il était deux heures du matin et le temps avait passé comme un éclair. Après une petite prune, Christine et Denis montèrent à l’étage dans leur chambre et tout le monde se coucha, épuisé. Je me réveillai vers les quatre heures et demie, mon petit pipi habituel et je constatai que Julie n’était plus là. La coquine ! Après mon petit rite, je montai sans bruits à l’étage et vis la porte de la chambre du milieu entrouverte. Denis ronflait dans la première et dormait à poings fermés, mais pas de Christine. Je tendis l’oreille et entendis, dans la chambre du fond, quelques petits gémissements étouffés. Discrètement, j’approchai et heureusement, la porte étant elle aussi entrebâillée, je vis les deux femmes en 69, Julie en dessous et Christine au-dessus, se léchant la moule très amoureusement, tout en douceur. Face à moi, le cul de mon ex, le nez et la bouche de ma Julie plantés dans la chatte de sa maîtresse, sa langue tournoyant entre clito, lèvres et rosette ! Je commençai à me palucher, la vue de gouines me faisant toujours tourner la tête et surtout quand il s’agissait de mes deux femmes ensemble. Alors que j’approchais doucement de l’éjaculation et que les voir gémir ainsi m’excitait toujours plus, j’entendis Christine dire : — Chérie, ma chérie, j’ai envie de faire pipi, faut que j’aille aux toilettes ! vite ! Je me réfugiai aussitôt dans le bureau, mais ce ne fut pas utile, car j’entendis avec stupeur ma femme lui répondre : — Vas-y, ma salope, vas-y, pisse-moi dessus, ça va me faire jouir, allez, pisse-moi dessus, ma gouine d’amour !!!! Je ne pus me retenir et je jouis dans ma main tandis que le liquide commençait à couler sur le visage de Julie, qui léchait toujours plus la chatte qui lâchait son urine de plus en plus fort. — Oh, oui, oh oui, c’est bon, ma chérie, c’est bon !— Oui, pisse-moi dessus aussi, je t’en supplie, je veux te boire ! Julie ne la fit pas attendre et un grand jet éclaboussa sa compagne, les dernières gouttes arrivant sur son dos. Le lit était gaugé, on entendait les splash à chaque fois que les deux gousses se tordaient de plaisir, de jouissance. Il était temps pour moi de redescendre ; une fois couché, j’entendis la douche couler –elles devaient sûrement la prendre ensemble - et je sentis ensuite Julie venir se coucher puis se blottir contre moi ; je fis semblant de me réveiller et lui demandai :
— Ca va, tu es allée faire pipi ?— Oui, un énorme pipi, me répondit-elle. Le lendemain, Denis et Christine repartirent en nous promettant un match retour. Alors que Julie quelques semaines avant ne pouvait pas supporter mon ex, elle la gratifia d’une énorme pelle tandis que la main de Christine vint immédiatement plaquer sa chatte sous sa robe, ça promettait pour la suite ! Et effectivement, nous fûmes invités chez Denis très rapidement... A cette occasion, Julie m’étonna, car elle enfila ses simili-Louboutin qui la « torturaient » comme elle disait, mais qu’elle voulait être bandante pour sa copine et effectivement, avec ses Louboutins au pied, sa minijupe en cuir noir et sa grande chemise blanche, sans compter un maquillage légèrement outrancier, elle faisait à la fois très chic et très pute ! A noter que Christine ne lui en rendait pas moins, car elle nous accueillit avec la quasi même mini en cuir, des cuissardes rouges vertigineuses (avec des talons faciles de douze centimètres) sur des bas résilles et un haut très collant laissant apparaître les pointes de ses gros seins évidemment sans soutif !!!! Elle, pas de doute, elle se voulait putain !!!! Ce qu’on ne savait pas, c’est que quelques minutes plus tard, alors qu’on buvait un premier coup de champagne, une belle voiture arriva et deux blondes d’une trentaine d’années en descendirent, habillées elles aussi de façon très provocante ; la première qui entra s’appelait Aurélie, avait les cheveux lisses et très longs qui lui arrivaient au cul. Elle portait des escarpins noirs vertigineux sur des bas noirs et une robe blanche échancrée qui laissait apparaître des seins bien fermes et conséquents. La seconde, Valérie, était tout habillée d’une combinaison en cuir marron clair, avec des bottes à talons hauts eux aussi de la même couleur. Ses cheveux étaient plus ondulés, tirant sur le roux et ses yeux vert acier. — Je vous présente mes copines Aurélie et Valérie, elles vivent ensemble et je les ai invitées à dîner avec nous, j’espère que ça ne vous dérange pas ? — Bien sûr que non, répondis-je en souriant à Julie qui rajouta :— Tout à fait d’accord, plus on est de fous, plus on rit ! Elles aussi prirent donc une coupe de champagne et doucement, la tension monta, les mains des filles commençaient à se toucher, comme ça, histoire de, et je vis le regard de Julie scotché sur la rousse. Elle aurait adoré être rousse et là, elle ne la quittait plus des yeux. C’est alors que Valérie s’en aperçut, sourit à ma femme et approcha doucement sa bouche de ses lèvres. Elle avait un rouge à lèvres très pâle, qui contrastait avec sa chevelure et j’entrevis la langue pénétrer la bouche de mon épouse qui s’ouvrit aussitôt. Les mains se joignirent et s’enlacèrent pendant que les langues continuaient leur sarabande ! Toutes les personnes présentes regardaient le baiser si tendre et Christine me fit un clin d’œil complice en montrant le pouce et je le lui rendis en souriant. C’est à ce moment que Valérie quitta la bouche de sa nouvelle maîtresse, se leva et l’emmena vers la chambre d’amis de Denis. Apparemment, elle connaissait les lieux. Julie, toujours juchée sur ses louboutins la suivit maladroitement, elle n’était pas encore très à l’aise pour marcher sur douze centimètres de haut, mais elle y mettait du sien pour rester sexy. De toute façon, la chambre était proche. — Voilà une soirée bien partie, Christine, dit Aurélie, si on faisait plaisir à ces messieurs avant d’aller rejoindre nos copines ?— Tout à fait, on va les pomper et les faire jouir, comme ça, ils pourront ensuite bien profiter de nos cochonneries entre femmes !
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