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Un apéro surprise

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Aussitôt dit, aussitôt fait, Christine se mit à genoux devant moi, suivie par Aurélie, et après voir baissé mon pantalon, elles s’emparèrent de mon sexe déjà bien raide et commencèrent à le sucer alternativement tout en me léchant les couilles, ce que j’adorai.Je ne mis pas longtemps pour éjaculer sur leurs deux visages. Après que j’eus déposé la dernière goutte de mon foutre, elles se tournèrent vers Denis et lui administrèrent le même traitement qui donna le même résultat ; elles étaient maculées de sperme, sur les joues, la bouche, et même dans l’œil pour Christine. Son amie généreusement vint lécher le liquide visqueux afin qu’elle puisse le rouvrir.Puis elles se levèrent et se dirigèrent vers la chambre tout en faisant une pause vers l’armoire au fond. Les deux salopes ouvrirent un tiroir et en sortirent deux magnifiques godes-ceintures !!
— Elles vont prendre cher, ces deux gougnottes, susurra doucement Aurélie !— Tout à fait, ma chérie, dit Christine, et vous les gars, rendez-vous utiles, venez nous aider à nous harnacher...

Nous ne nous fîmes pas prier et nous les aidâmes du mieux qu’on put. Au bout d’une minute, chacune avait une belle queue couleur chair, plus grosse que les nôtres qui n’avaient pas encore repris la forme, elles se dirigèrent main dans la main vers la chambre d’amis et nous les suivîmes.
Sur le lit, Julie broutait doucement la chatte rousse de Valérie qui avait les yeux fermés de plaisir.
— Finies les caresses, place aux hommes ! dit Christine en riant et en tenant sa bite factice en main. Julie leva la tête en souriant et Aurélie ajouta :— Vos chattes et vos culs vont prendre, je vous le promets ! Et elle se jeta sur le matelas.
Christine la suivit et Denis et moi nous eûmes un spectacle incroyable, une vraie partouze de gouines, mon fantasme absolu !
Tout d’abord, Christine attira Valérie et commença à la baiser sauvagement dans la position classique du missionnaire tandis qu’Aurélie se mit derrière Julie et la sauta en cuillère ; cette dernière, avec un doigt, titillait le petit trou de Christine qui besognait toujours plus la belle rousse.

Denis et moi avions retrouvé la forme, mais les filles ne nous avaient pas autorisés à intervenir. Le spectacle était plus que bandant et d’ailleurs, les baisées ne tardèrent pas à jouir sous les coups de boutoir de leurs maîtresses !

Ces dernières enlevèrent leur attirail et naturellement, les quatre lesbiennes amatrices se positionnèrent en « carré magique », et chacune lécha une chatte pendant que sa propre chatte était léchée.Ce ne furent que des couinements, des miaulements, des feulements et des petits cris pendant facilement un quart d’heure avant que chacune ne se retourna pour changer de chatte à bouffer et continuer de plus belle. En plus, elles avaient toutes gardé leurs bottes et bottines, et c’était plus qu’un ravissement pour moi !

Ce que je ne savais pas, c’est que justement, ces bottes allaient devenir diaboliques.
Julie me regarda vicieusement et je la vis approcher sa botte à talons du sexe de Valérie qui la léchait consciencieusement ; toujours en me jetant des regards entendus, elle commença à titiller le clito de la rousse tandis que la langue de Christine, qui la suçait, vint lécher doucement le talon coquin.Ca eut pour effet de décupler l’enthousiasme de ma femme qui se mit à frotter plus fort sa botte, comme elle le faisait sur mes couilles et ma bite régulièrement ; Valérie commençait à gémir très fort et soudain, elle se retourna et approcha elle aussi son talon de la chatte de Julie. Elles étaient maintenant face à face et chacune titillait le clito de l’autre avec sa botte et son talon.
Valérie, qui gémissait doucement, commença à se pénétrer avec le bout du talon que je voyais entrer et sortir de plus en plus profond.Julie, en voyant ça, fit immédiatement la même chose et le gros talon de Valérie commença à baiser ma femme qui bougea rapidement comme une folle.Christine et Valérie s’étaient arrêtées et regardaient avec un petit sourire les deux gouines qui se baisaient littéralement avec leurs talons respectifs. Mon épouse accéléra le mouvement, elle défonçait littéralement la chatte de sa partenaire qui hurlait à chaque coup de boutoir, mais ne se retirait pas, prenant visiblement son pied ; décidément, ces Louboutins étaient vraiment au top !
Tout ça excitait beaucoup les deux filles qui regardaient et Christine, toujours imaginative, approcha doucement le talon aiguille de ses cuissardes sur les tétons de Julie ; elle se mit à les titiller doucement, puis commença à appuyer plus fort sur les seins, déclenchant quelques petits cris chez ma chérie :
— Vas-y, ça fait mal, mais c’est bon, ma salope, lâche-toi ! cria Julie en continuant de besogner Valérie !
Christine ne se fit pas prier et la prit au mot, enfonçant son talon dans le sein, griffant le ventre entier de sa maîtresse, qui geignait de douleur et de plaisir. Sa botte à talon sortit de Valérie tant elle se tordait sous les coups bien appliqués de mon ex !
— Ah, oui, salope, tu me maltraites, je suis à toi, je l’ai mérité ! hurla-t-elle à Christine qui continuait sa tâche avec application ; c’était ultra-excitant, ce rapport SM qui venait de naître entre les deux. Pourtant, Julie avec moi n’aimait pas avoir mal, mais là, dans cette orgie saphique, tout était possible !
Une énorme jouissance envahit toutes les participantes, entre les talons jouant avec les chattes et sur les corps. Christine suçait Aurélie qui explosa elle aussi ! Plus aucune d’elles ne bougea pendant au moins cinq minutes, les yeux clos, les bras pendants tant elles étaient épuisées.
La première à émerger fut Christine qui se dressa sur ses cuissardes en sautant du lit et dit :
— J’ai trop soif, sers-moi un coca, Eric, s’il te plaît !— Avec plaisir, tu l’as bien mérité, comme tu as fait jouir Julie ; d’habitude, elle n’aime pas avoir mal, mais là, elle est devenue folle sous tes bottes !— Normal, moi aussi je suis devenue folle depuis que je baise ta femme.
C’est à ce moment-là que Julie se leva et vint accrocher ses bras autour du cou de mon ex et lui fit un suçon mémorable ; elle gémit de plaisir :
— Moi aussi, j’aime bien être dominée, tu me le feras aussi ? demanda-t-elle à son amante.— Bien sûr, lui répondit Julie, quand on sera toutes les deux, je prendrai notre petit matériel SM qu’on utilise avec Eric, je t’attacherai avec des menottes, et soit je te bâillonnerai avec un bâillon boule ou alors, je t’enfilerai une cagoule de cuir avec gode incorporé dans la bouche et ensuite, j’utiliserai mon martinet, ma chérie, sans oublier de magnifiques bottes rouges à talons noirs très hauts qui vont sans aucun doute te donner beaucoup de sensations, je te le dis !— Vivement ce jour, lui répondit-elle en l’embrassant sur les lèvres.
Nous repartîmes, car Denis n’avait pas assez de chambres et durant tout le voyage, les yeux de Julie brillaient...
— Alors, ce n’est pas bon, de jouer à la gouine ? lui demandai-je en souriant.
Elle réfléchit un instant, puis me dit :
— Eric, je ne joue pas à être lesbienne pour te faire plaisir comme je l’avais fait il y a une dizaine d’années, je me suis découverte et je n’en reviens pas, je n’ai plus envie que de chattes, de seins, j’ai envie de baiser avec toutes les nanas bandantes du monde, et encore plus ta vicieuse d’ex-femme !
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