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Un apéro surprise

Chapitre 6

Quelques jours après...

SM / Fétichisme
Quelques jours plus tard, j’eus la surprise de voir arriver Christine à 20 heures, évidemment très sexy, tout en cuir noir, maquillée très sombre... Elle portait aussi de grandes bottes à talons aiguille, tout en cuir souple ; Julie se leva pour l’accueillir, lui prit la bouche et lui dit :
— Tu es sûre que tu es prête ?— Oui, je suis prête... Julie se retourna vers moi et me dit :— Thierry, si tu veux nous regarder, c’est à une condition ! C’est nu, les mains menottées dans le dos et assis sur une chaise. Réfléchis bien, je ne te libérerai pas avant que nous ayons fini...
Evidemment que j’acquiesçai, trop envie de voir mes deux gouines préférées.Aussitôt dit, aussitôt fait, après un ou deux verres de champagne, les filles m’emmenèrent dans la chambre, me déshabillèrent, m’assirent sur la chaise et me menottèrent doucement.Quelques secondes plus tard, les deux amantes se caressaient sur le lit quand soudain, Julie prit la parole fermement :
— C’est fini, salope, à partir de maintenant, tu es ma chose !!!!!— Oui maîtresse, je suis ta chose ! répondit sans lever les yeux Christine.
Elles avaient dû se briefer, chacune était dans son rôle maintenant.Ma queue commença à se lever quand je vis Julie sortir la cagoule en cuir que je mettais parfois, et l’enfiler sur la tête de sa maîtresse. Le visage de Christine disparut dans la poche en cuir et pour le moment, sa complice ne lui enfila pas encore le petit gode attaché qui pendouillait sur le côté ni le masque sur les yeux.
— Pour l’instant, je veux t’entendre... mais ça ne durera pas. Pour le moment, grosse cochonne, tu vas me lécher les bottes, mais avant, mets tes mains dans le dos !
Christine s’exécuta et sa collègue la menotta avant de l’installer sur le dos comme lorsque nous faisions nos petites séances sm et comme avec moi, Julie prit son vibro favori, commença à se caresser tout en parcourant avec ses bottes et surtout ses talons tout le corps de sa soumise.J’avais un autre point de vue, je vis rapidement que le talon aiguille de ma chérie jouait avec le clito de sa copine, les tétons et même avec sa bouche en les faisant disparaître par la fente de la cagoule :
— Ca te plaît, salope, dis-le moi !!!— Oui, maîtresse, tout ce que vous faites me plaît !— T’es vraiment une grosse pute, je vais donc passer à la vitesse supérieure.
Ma bite était cette fois complètement dure, j’aurais bien voulu me palucher, mais impossible ; j’avais quand même un plaisir de dingue !D’ailleurs, Julie l’avait remarqué...
— Regarde, ton salaud d’ex, il bande comme un âne en me voyant te traiter comme je le traite, mais toi, ça va être plus douloureux encore, car ça m’excite à mort de me venger pour tout ce que tu m’as fait !— Vengez-vous, maîtresse, je suis à vous, je vous appartiens !— Bien, esclave, très bien...
Et en répondant, Julie se redressa, se rapprocha de la cagoule en cuir, se saisit du mini-gode et l’enfonça dans la bouche de Christine.
— Maintenant, je t’ai assez entendue, pétasse, tu vas seulement pouvoir gémir ou hurler !!
Mon épouse ne s’arrêta pas là, elle lui masqua les yeux avec le bandeau, entrava son cou avec la laisse qu’elle accrocha à la vis du mur, tendant la tête de sa maîtresse vers le haut, attacha ses chevilles et se retourna pour prendre notre martinet. Elle poussa sa maîtresse sur le côté afin d’avoir pleine vue sur ses fesses qu’elle commença à fouetter très doucement. Ca ne dura pas !Au bout de quelques minutes, les coups s’abattaient de plus en plus fort et les fesses de Christine rougissaient à vue d’œil. A chaque coup, elle gémissait toujours plus fort.
A un moment, Julie se leva, descendit du lit, laissant sa proie toujours attachée et cagoulée, la tête vers le haut, accrochée par sa laisse à une vis que j’avais eu raison de placer ici.Je me demandais, toujours assis sur ma chaise, où était passée ma chérie et elle ne tarda pas ; entre ses mains, des pince-tétons, des pinces à linge, des poids et un grand fouet !Elle remonta sur le lit, retira le gode de la bouche de sa maîtresse et lui posa cette question :
— T’as aimé, salope ?— Oui, maîtresse, merci maîtresse.— Tu l’avais mérité, non ?— Oui, je l’avais mérité, je suis une grosse salope que tu dois punir, maîtresse.— Tu l’as dit grosse pute, tu vas souffrir...
A ces mots, je faillis jouir sur mes genoux sans me toucher. Heureusement, je parvins à me retenir en détournant la tête.Pendant ce temps où je tentais de me calmer, Julie avait accroché les tétons avec les pinces, avait évidemment rebâillonné son esclave, accroché des poids sur les petites lèvres de sa chatte et lié les cuissardes à talon aiguille de façon à ce que Christine ne put plus bouger.
Julie alors se leva, juchée sur ses louboutins fétiches, prit son fouet et un sifflement se fit entendre. Elle avait dû s’entraîner, car le fouet de plus d’un mètre de longueur volait dans les airs ! On entendait Christine ahaner, attendant son châtiment et soudain, le premier coup s’abattit sur la fesse droite !Une fine marque très rouge apparut aussitôt. Le fouet reprit sa danse et tomba alors sur l’autre fesse. Là, le coup avait été violent, tout le corps de Christine s’était raidi tandis que sortit de sa bouche engodée un râle de douleur venu des profondeurs de ses entrailles !
La fesse saignait un peu, le sang coulait doucement, bien rouge sur la peau laiteuse. Julie en prit sur son doigt, et commença à écrire sur le postérieur de sa maîtresse.Elle se servait du sang qui coulait comme de l’encre d’un encrier et après quelques minutes, je pus voir, en rouge, écrit le mot « salope " !Julie se releva ensuite, vient prendre mon chibre dans sa main et me dit :
— Ouah, il est dur, ça a l’air de t’exciter, salaud, que je punisse ton ex !— Oui, je suis limite de jouir sans me toucher !— Si tu jouis avant que je t’autorise, tu vas tâter du fouet avec cette pute !
Je ne pus me retenir, le sperme jaillit, arrosant les bottes de Yann...
— Espèce de gros cochon, tu vas nettoyer ça !
Elle approcha la botte maculée de sperme de ma bouche et je léchais avidement mon sperme pour respecter les consignes de ma femme.
— Ah, mais t’aime ça, petite tapette, je vais te trouver un mec que tu vas sucer et avaler... mais bon, ce sera pour plus tard, là, j’ai à faire !
Elle m’abandonna donc, toujours attaché, mais content d’avoir joui –j’avais le goût âcre de mon sperme dans la bouche- et je regardai la suite.Julie détacha sa suppliciée et la prit dans ses bras, la caressant doucement, l’embrassant tandis que Christine en pleurait presque.Elle lui chuchota :— On continue ?
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