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Un apéro surprise

Chapitre 7

toujours plus de soumission.

SM / Fétichisme
D’un hochement de tête, sa soumise acquiesça…L’attitude de Julie comme au début de la séance changea d’un coup, elle se leva, prit une chaine et commença, grâce à un système de crochets, à lier ensemble les deux bottes en cuir, les talons-aiguilles étant ainsi enchainés…Puis, elle prit l’autre bout de la chaine, la passa dans notre anneau au plafond de la chambre, récupéra le bout et vint vers moi… :
— je vais te délivrer, pas pour que tu te branles ou pour que tu nous baises, je veux que tu la soulèves et que tu la tiennes suspendue à l’envers, et pendant tout le temps que je te dirai…Tu as bien compris ?— Oui, j’ai bien compris.
Elle me délivra, je saisis le bout de la chaîne et commençai à tirer dessus…Les jambes de Christine se dressèrent vers le plafond, bientôt, seule sa tête touchait le matelas…Je fis un dernier effort et enfin, elle fut jambes ouvertes, pendue comme une pièce de boucherie. Julie prit les menottes et lui attacha les mains dans le dos, elle était désormais à sa merci. De mon côté, je bloquai le bout de la chaîne sous mon pied et, en me servant de mon poids, je la maintenais ainsi sans trop d’effort.Julie commença à titiller le chatte qui était juste au niveau de sa bouche, lapant de temps en temps le clito rougi de sa maîtresse…puis soudain, elle enfila deux puis trois doigts dans le trou devenu béant et Christine en gémit immédiatement…
— Ah, t’aimes ça, grosse salope, attends un peu la suite !
La suite, ce fut les deux derniers doigts qui vinrent rejoindre les trois premiers et aussitôt, la main entière disparut dans le minou…Quand Julie les resserra à l’intérieur de sa chérie, cette dernière hurla et elle commença à la besogner, comme une énorme bite l’aurait fait, sauf que c’était son poing …
Christine gémissait comme une bête blessée, et lorsque Julie retira sa main, plus un son ne sortit de sa bouche…Elle était quasi évanouie, mais sortit de sa torpeur lorsque Julie vint claquer ses seins
— Monte-la plus haut, que je m’amuse un peu, m’ordonna-t-elle…
J’obéis et elle avait désormais les cuissardes collées au plafond, la tête de Christine étant au niveau de celle de Julie…mais à l’envers :
— Ouvre ta bouche, sale pute ! intima ma femme.
Christine l’ouvrit et ma femme éructa un énorme glaviot au fond de sa gorge…
— Avale maintenant.
Elle s’exécuta et déglutit bruyamment.
— Ah, non, salope, ça ce n’est pas possible, essaye de te contenir !
Et elle lui asséna une grande gifle sur la joue qui fit tournoyer Christine et la chaîne qui l’entrainait ; cela fit rire Julie qui poursuivit le mouvement, Christine, la tête à l’envers, tournait dans un sens, puis dans l’autre…
— Je vais vomir, je vais vomir…
Quelque secondes après, Christine lâcha un gros jet de vomi qui arriva sur les draps de notre lit…
Julie la regarda sévèrement, me demanda de descendre sa proie jusqu’ à ce que sa tête se retrouve à, quelques centimètres du paquet qu’elle venait de rendre…
— Tu sais ce qu’on doit faire, quand on salit quelques chose, apostropha-t-elle en prenant la tête de Christine par les cheveux…— Oui, dit-elle avec encore quelques remugles qui remontaient, on nettoie….— Descends-la un peu plus…
Je m’exécutai et les cheveux touchaient maintenant la matière renvoyée…Julie, toujours les cheveux de Christine dans la main, approcha sa bouche en lui tordant la nuque et lui ordonna :
— Allez, bouffe, maintenant, et vite !

Christine sortit la langue et commença à ré ingurgiter ce qu’elle venait de vomir, j’avais une trique pas possible, Julie était redoutable et lui faisait payer tous les coups de salope qu’elle avait pu nous faire ces dernières dix années, et visiblement, Christine aimait ça.
— Allez, descends la complètement, c’est assez pour aujourd’hui !
Mon ex arriva entière dans le vomi qui restait, Julie la détacha et la serra dans ses bras :
— Ça va, je n’y suis pas allé trop fort ? demanda-t-elle doucement.— Je ne m’y attendais pas mais j’ai joui très fort, je ne l’ai pas montré et j’ai presque failli m’évanouir avant de vomir. Merci, maîtresse, merci !— Oui, je suis ta maîtresse ; tu es prête à aller plus loin encore ?— Oui, maîtresse, je suis prête, je suis à toi.
Julie réfléchit quelques secondes et dit :
— Tu vas vraiment devenir ma chienne, et d’ailleurs, à ce sujet, je suis sûre que tu vas aimer te faire baiser…par un chien mais ce sera pour la prochaine fois. Pour l’instant, va te doucher, espèce de trainée, et reviens dans trois jours exactement.
Christine s’éclipsa dans la salle de bain, elle réapparut alors que Julie et moi buvions un petit coup pour fêter cette soirée de dingue, vint nous embrasser et prit la porte :
— Trois jours précis ou tout est fini entre nous, cria mon épouse !
Une fois Christine partie, je lui posai la question :
— Mais où vas-tu trouver un chien, on n’en a pas…— t’inquiète, j’avais prévu, Alain et Anne s’en vont quelques jours et je leur ai proposé de garder leur gros chien….
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