- Histoire érotique écrite par GTG
- Histoire zoo
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Trois jours plus tard, sans nouvelles de Christine, je pensais qu’elle ne reviendrait pas, que sous l’effet du plaisir, elle avait promis d’être là mais bon, passe encore pour une bonne séance de SM, mais de la zoophilie, fallait pas exagérer !
Quoi qu’il en soit, le gros chien de nos voisins était à la cave, afin qu’il n’ennuie pas nos chattes et Julie et moi buvions, elle du champagne, moi du whisky comme à l’habitude…
— Elle ne viendra pas, lui dis-je.
— Si, me dit ma compagne, elle viendra, c’est une grosse salope en chaleur et après ce qu’elle a subi, m’étonnerait qu’elle n’y prenne pas goût!
A ce moment-là, on sonna et Julie, qui avait mis évidemment ses Louboutins fétiches et sa robe de cuir, sans soutif ni culotte, se leva, faillit tomber tant les talons étaient hauts mais se rattrapa et partit doucement à la porte.
J’entendis alors Christine :
— Bonjour, maîtresse…
— Bonjour, putain, je vois que tu es venue!
— Oui, maîtresse, je voulais vous voir et vous donner toute satisfaction.
Je vis alors entrer Christine, dans une robe très serrée et provoquante, en latex noir, laissant apparaître une immense échancrure sur ses gros seins, juchée sur des escarpins d’au moins douze centimètres de haut; à vu de nez, elle aussi n’avait pas de culottes et de soutien-gorge, ce qu’elle avait en plus, c’était un collier autour du cou et ma femme lui attacha immédiatement une laisse !
— A quatre pattes, on n’a jamais vu une petite chienne debout!
Christine se mit très vite comme elle lui demandait et Julie revient s’assoir sur le canapé, pas peu fière de son nouvel animal domestique.
— Tu vois, ma petite chienne est venue, regarde comme elle est docile…Tiens, lèche mes bottes, et nettoie-les, il faut qu’elles brillent !
Je vis alors avec ravissement la langue de mon ex commencer à passer sur tous les recoins des bottes de Julie, léchant et relèchant chaque morceau de cuir. Quand elle passa aux talons, Julie appuya si fort que tout disparut au fond de la gorge de Christine qui ahanait mais ne lâchait rien.
— Regarde, baisée par la chatte, maintenant baisée par mes talons juste avant de se faire féconder par Bobo. D’ailleurs, va le chercher !
Je me levai et partis à la cave. Bobo était couché, remua la queue quand il me vit et il me suivit.
De retour dans la salle, Christine était désormais couchée par terre, sur le dos et les jambes écartées, sa robe remontée de façon à ce que sa chatte toute glabre fut bien en évidence.
Bobo, tout content, fit plusieurs tours de la salle et fut soudain intrigué par ce sexe féminin en chaleur –Christine devait mouiller depuis bien une demi-heure. Il approcha sa truffe du con de la brune et sa langue sortit une première fois, puis une seconde et commença à laper de toutes ses forces. Mon ex avait les yeux fermés de plaisir, mais Julie tira sur sa laisse et lui intima de regarder ce chien dans les yeux !
— Provoque-le, écarte tes cuisses de salope, fais grossir sa bite, on commence à voir le bout rouge qui sort !
En effet, Bobo commençait à bander et du fourreau sortait le fameux petit bout rouge, signe d’excitation.
— Maintenant, va le sucer, et vite !
Christine se remit à quatre pattes, s’approcha du sexe du chien et pendant que je caressais la tête de Bobo pour le maintenir, je vis mon ex-femme envelopper de ses lèvres la queue et commencer à le sucer; je bandais comme un âne !
Le chien accéléra le mouvement et ne se retint pas, il balança le foutre abondant dans la bouche de Christine qui eut du mal à tout avaler. D’ailleurs, Julie le remarqua et lui hurla :
— Quoi, Putain, tu laisses s’échapper du sperme de ce bon chien, dépêche-toi d’aller ramasser tout ça !
Mon ex se mit alors à lécher par terre le sperme canin et Bobo en profita pour venir lui renifler le cul. Son sexe était déjà bandé, le petit bout rouge était devenu grand !
— C’est l’heure, salope, de te faire saillir ! tu es contente ?
— Oh, oui, maîtresse, je suis très contente !
Elle se mit à quatre pattes, Julie posa ses talons sur son dos et me demanda d’approcher Bobo qui parvient assez vite à « monter » sa femelle ! Ce fut plus dur d’approcher son sexe de la caverne attendue mais après quelques ajustements, la grosse bite du chien commença à ramoner mon ex-femme qui paraissait ailleurs, comme hypnotisée.
— Qu’est-ce que tu es, dis-moi, hurla Julie.
— -Une chienne, une grosse chienne !!! lui répondit sa maîtresse — C’est bien, tu mérites cette bite de chien ! »
Le gros chien noir accéléra soudain la cadence et on décela de gros jets de foutre qui devaient tapisser la chatte de Christine . Comme d’habitude avec les chiens, la bite de Bobo fit un gros nœud ce qui interdit à sa « chienne » de partir afin d’être bien ensemencée. Christine, épuisée, s’était laissé tomber à terre, entrainant Bobo sur le côté, la queue toujours plantée dans la chatte. J’en profitai pour faire une photo de ce joli couple.
Cinq minutes passèrent qui permirent à Bobo de débander et de s’en aller en mettant un dernier coup de langue sur la chatte de sa femelle qui ne bougeait toujours pas. C’est Julie, qui venait de jouir avec son gode, qui s’approcha de sa soumise, la releva et la prit dans ses bras ; elle se mit à la câliner en lui susurrant des mots doux à l’oreille et on vit rapidement les deux langues se rencontrer, et les doigts s’entremêler !
— Ca t’a plu, petit vicieux ? me demanda Julie.
— Oh que oui, vous êtes vraiment deux grosses salopes de gouines !
— On assume, répliqua Christine, mais je ne suis pas une gouine, je suis sa gouine, et rien que la sienne…je ferai tout ce que tu voudras, mon amour, ajouta-t-elle en lui léchant doucement les lèvres !
— Pas de souci, ma chérie, la prochaine fois, on pourrait se faire une grosse orgie entre femmes, ça te dirait ?
— Oh, oui, tout ce que tu voudras !
— On va rassembler toutes nos connaissances coquines et on devrait arriver à une bonne quinzaine de goudous en rut !!!
Je crus bon de rajouter
— Je pourrais en être le voyeur ?
— On verra si tu es sage, peut-être…