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Surprise chez Anne-Sophie

Chapitre unique

SM / Fétichisme
Ca fait une paye que l’on se connaît avec Anne-Sophie. Ca fait bien trois ans au moins et on discute pas mal. Nous nous sommes croisés sur un jeu en ligne qui ne paye pas de mine et, depuis on discute de tout et de rien, il y a une bonne affinité entre nous, mais il n’y a jamais eu jusque-là de quelconque ouverture vers quelque chose d’autre.
Cet été, on en profite pour s’inviter l’un l’autre dans son chez-soi pour faire découvrir nos régions respectives. C’est super cool et ça permet sans que ça paraisse de faire une bonne petite économie que de pouvoir être logé quand ont part en vacances.
Le truc c’est que maintenant que je l’ai rencontrée, j’ai développé une certaine attirance pour elle. C’est une belle femme de vingt-quatre ans, brune aux cheveux longs, des yeux foncés, et plutôt grande. Mais ma nature plus que réservée m’empêche de dire cela et ça m’ennuie parce que j’apprécie les longues discussions sur de nombreux sujets que je peux avoir avec elle parfois jusqu’au bout de la nuit. Je n’ai pas envie de casser cette relation douce.
Plus le temps avance et plus j’y pense. Une chose me fait clairement chavirer chez elle, c’est ses pieds. J’aime cette partie du corps des femmes et je trouve ceux d’Anne-So magnifique. J’ai déjà eu plusieurs fois l’occasion de les zyeuter et j’ai eu bien du mal à m’en priver.
La vie suit son cours et, me voilà chez elle pour visiter pendant quelques jours la ville où elle habite et les environs avant de partir chez des amis. La soirée se fait avec des amis du jeu, on boit quelques verres et l’on déjeune tout en discutant et en passant un bon moment en discutant un peu du jeu, mais surtout de sujets divers et variés, faisant connaissance un peu des uns et des autres. Après ce repas plus que copieux, le groupe se sépare et chacun retourne à ses occupations. La flemme se faisant, on se pose avec Anne-So en terrasse pour apprécier le beau temps de ce samedi après midi, et la discussion se poursuit sur le sujet des relations entre joueurs. On tombe d’accord sur le fait que deux d’entre eux se sont mis discrètement en couple sans en avoir parlé. Puis la discussion dérive sur les relations éphémères. Elle avoue qu’avec deux autres joueurs, elle a déjà eu des discussions plus que torrides et qu’avec l’un d’entre eux, elle a déjà franchi le cap de coucher avec lui.
Ca m’intimide autant que ça m’intrigue. On échange sur les relations qu’on a pu avoir avec d’autres joueurs et joueuses et pour ma part, j’ai déjà rencontré d’autres personnes sans que ça n’aille plus loin. Et, sûrement sous l’effet de la bière que j’ai bue et du digestif du repas, je prends mon courage à dix doigts et lui dis :
— Avec toi j’ai déjà pensé à quelques trucs plus qu’amicaux.— Je m’en suis un peu douté, me dit-elle en riant de bon cœur.— Ah désolé alors.— Non non y a aucun problème, vas-y dis-moi.— On en parle sur le chemin du retour si ça ne te dérange pas, j’ai pas bien envie d’en parler en public.
Nous nous levons et je vais régler les consommations puis on part. Nous sommes à quelques centaines de mètres de chez elles, donc nous prenons le temps de rentrer, faisons un détour par un parc pour discuter. Pendant que l’on marche dans le parc, elle me demande alors :
— Je te plais n’est-ce pas ?— Oui, un peu, tu es une jolie femme donc forcément tu ne laisses pas indifférent. — Et c’est tout ? — Bah je vais pas trop vider mon sac, j’apprécie discuter avec toi Anne-So et je ne voudrais pas que ça change. — Vas-y Nico, même si c’est des trucs chelous c’est pas dramatique.
— Je fantasme sur tes pieds que je trouve magnifiques, j’adorerais en profiter pendant que je me branle dans ta culotte que je viens de te retirer.
Je rougis comme une tomate et détourne le regard, ayant enfin pris le courage de tout balancer.
— Eh bien c’est déjà pas mal, ça s’arrête là ?— Ben c’est déjà pas mal. — On m’a proposé déjà bien pire, ne t’en fais pas. Arrête de rougir comme ça et viens.
Elle me prend la main et me tire pour que l’on rentre. Je suis complètement perdu, ayant du mal à comprendre que ça soit passé comme une lettre à la poste et sans vraiment savoir si elle accepte ou pas que cela se fasse. Nous voilà de retour chez elle et je lui demande ce qu’elle pense de ce que je viens de lui confier. Cela ne la dérange pas et trouve même un côté amusant à la situation.
— Allons faire cela tout de suite sur ton lit alors ?— OK pas de soucis Nico.
Elle pose ses mains sur mes joues et me dit que ça ne la dérange pas, elle a beaucoup d’affection pour moi. Je la suis ensuite dans sa chambre et je me déshabille. Elle en fait de même.
— Garde juste ta culotte miss pour que je puisse te la retirer moi-même.— OK comme tu veux.
Je vis mon meilleur moment et la laisse s’asseoir sur son lit, venant m’allonger sur le pied du lit. Je commence alors sans préavis à caresser ses pieds pendant qu’elle me regarde. Je suis en admiration devant ses pieds que je trouve si beaux, je commence déjà à avoir une érection juste à les caresser et les regarder pendant qu’ils sont là devant moi.
— Tu as déjà pratiqué le fetish des pieds avec d’autres filles ?— Oui, tu es la troisième avec qui je le fais.— Et les culottes ? — Tu es la seconde, je l’ai déjà fait avec une autre, mais c’est plus rare que ça passe.
Elle me sourit pendant que je continue, embrassant le bout de ses doigts de pieds. Je pose mes mains pour resserrer ses pieds et embrasse le dessus de chacun de ses doigts de pieds. Je commence alors doucement à les prendre chacun dans ma bouche pendant que d’une main, je me contorsionne pour finir de me déshabiller. Une fois totalement nu, je continue à sucer doucement chacun des doigts de pieds d’Anne-So, alternant avec de petits coups de langue par dessus et par dessous. Je commence à me caresser largement sans aucune pudeur, les jambes entrouvertes. Je prends un gros moment de plaisir, et lève de temps en temps les yeux pour voir si madame va bien et accessoirement regarder ses jolis seins. Elle est confortablement posée, se laisse faire et a même l’air de passer un bon moment. Au bout d’une dizaine de minutes à profiter de ses pieds, avec des tonnes de bisous, de caresses et de coups de langue un peu partout, je me redresse et réclame la culotte de madame.
Je monte mes mains et, pendant qu’elle se lève légèrement, je lui retire sa culotte à rayures blanche et grise. J’en profite pour mater allégrement son pubis où une belle toison en triangle est présente. J’aime ce style sur le pubis et cela m’excite encore plus. Je lui retire délicatement et, pendant qu’elle me regarde faire, je place sa culotte sur mon sexe largement redressé. Je laisse le fond de sa culotte venir recouvrir mon gland et enroule le reste de la culotte sur ma verge pour créer une espèce de vaginette avec le vêtement encore tiède et humide. Je relève les yeux, la regardant dans les yeux et commence à me masturber dedans. Je suis alors au comble du bonheur, pouvant le faire devant elle, dans sa culotte encore tiède. Je prends mon pied et gémis doucement, perdant petit à petit toute retenue. Anne-So écarte un peu ses jambes et me laisse largement voir son sexe et commence à se caresser. Je plie ses jambes pour faire rejoindre à nouveau ses pieds et reprends mon activité.
Je suis au comble du bonheur, je me masturbe dans sa culotte, je suce et embrasse ses doigts de pieds et la regarde se masturber elle aussi. Je ne retiens plus mes gémissements et, au bout de quelques minutes, regardant l’entrejambe de ma partenaire, je finis par jouir, les deux gros orteils de madame dans ma bouche, lâchant une bonne quantité de sperme dans le fond de la culotte enroulée sur ma queue tendue d’envie. Au bout d’un instant, elle me demande :
— Satisfait alors ? — Tellement, je ne me suis jamais dit qu’on allait le faire.— Eh bien voilà. — Est-ce que je peux continuer à profiter de tes culottes ? — Mais tu es gourmand dis donc.— Si peu voyons.— Oui pas de soucis, tu peux fouiller la panière à linge quand tu veux.
Nous restons là un moment, je reprends mes esprits pour ma part, j’ai encore du mal à me rendre compte de ce qui vient de se passer. Une chose est sûre, je viens de vivre un de mes meilleurs moments. Les pieds d’Anne-So sont tellement excitants. Après quelques instants à reprendre mes esprits, je me lève alors et vais prendre une douche. Une fois tous les deux habillés, nous allons faire quelques courses pour faire à manger et se faire une soirée ciné. Au menu, ça sera une quiche avec une salade verte, suivi du Fabuleux destin d’Amelie Poulain. Le reste du séjour, je peux encore profiter deux fois librement des culottes.
J’ai une grande reconnaissance pour elle d’avoir accepté. Par la suite on a gardé sensiblement la même relation à continuer à discuter, mais ce week-end est resté comme un passage unique. On continue à discuter et à se croiser, mais l’expérience s’est arrêtée là et va rester quelque chose de doux et précieux dans mes souvenirs.
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