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Surprise chez le voisin

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je m’appelle Sarah, je suis plutôt petite. Mon mari me décrit comme ayant un corps de rêve, petite, des petits seins bien fermes et des fesses plutôt généreuses.
Mon histoire s’est passée un an après la naissance de notre troisième enfant. Inespéré et non désiré, mais qui nous comble de bonheur. Malgré ce bonheur familial, il y a une ombre au tableau, je n’ai plus d’envies sexuelles. J’essaie tant bien que mal de retrouver un appétit, car mon mari me fait ressentir qu’il est en manque, mais je n’y arrive pas.

Un jour, mon mari s’était décidé de faire la sieste en même temps que nos deux plus petits enfants. Ma grande fille, quant à elle, voulait aller jouer avec le fils du voisin, mais avait peur d’y aller. Je me décidai donc à l’accompagner. Le voisin, Jean, est un bel homme grand d’une quarantaine d’années avec lequel je prenais plaisir à rendre jaloux mon mari, en le regardant et en disant qu’il était “sex”, était installé dans son jardin avec son beau-père. Le beau-père était plutôt dans la soixantaine, petit et transpirant. Directement, le contact est passé, j’ai eu un verre de vin blanc et ma grande fille est partie jouer avec le garçon dans sa chambre. Cela me faisait tant de bien de profiter, de parler à d’autres personnes que mon mari ou mes enfants.

Le temps passait et les verres de vin se vidaient. La conversation devenait de plus en plus salace et je n’avais plus aucune difficulté à exprimer notre malaise de couple à ces deux étrangers. Ils étaient compréhensifs et cela me rendait confiante. Le soleil étant devenu trop fort, Jean me proposait de nous mettre à l’abri pour continuer notre conversation. Il avait bien fait les choses, une cabane construite en bois dans le fond du jardin avec deux divans, air conditionné, frigo, télévision et un bar. Cet endroit leur permettait, à lui et sa femme, de s’évader de leur quotidien.La conversation reprit et Jean me lança une question plutôt directe et indiscrète :
— Quelle est la chose sexuelle que tu aimes le plus ???!
Étant en confiance, ma réponse fut également directe :
— J’adore qu’on me lèche !

Dans mes pensées, je me disais : « effectivement, lorsque cela arrive, je perds mes moyens ! ». A ces mots, Jean est venu directement se positionner en face de moi, accroupi entre mes jambes. J’ai été surprise, mais je n’ai pas bougé. Il a commencé par me toucher les jambes puis il est remonté vers ma taille pour commencer à retirer ma jupe. L’alcool aidant, je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Je sentais ma jupe descendre petit à petit pour finalement être enlevée, me laissant avec un simple bout de tissu, assise en face de deux hommes étrangers. J’avais envie de dire non, mais c’était tellement soudain, nouveau, j’avais envie d’aller plus loin.
Je sentais son souffle chaud entre mes cuisses, je savais que dès qu’il commencerait, il ferait de moi ce qu’il souhaite. Et il ne s’est pas fait attendre, je sentais sa langue, un peu hésitante au début, parcourir de bas en haut mes parties intimes, avec toujours le tissu de ma culotte entre nous.
Devenu plus sûr et conscient que je ne protesterais pas, Jean a écarté ma culotte et a commencé à me pénétrer avec sa langue. A ce moment, ma libido était au maximum, je ne réfléchissais plus, j’avais juste envie de faire l’amour et je le montrais, je commençais à me tortiller et à me toucher le clitoris en même temps. Le beau-père, toujours présent, je l’avais oublié celui-là, n’en avait pas raté une miette. Jean l’invita à prendre position à côté de moi. Pendant qu’un se besognait entre mes jambes, l’autre commençait, avec habilité, à toucher mes seins et enlevait mes vêtements du haut. Quand je fus nue, l’idée qui me traversa l’esprit était : « quel plaisir d’avoir deux hommes pour soi », peu importe la différence d’âge. Après quelques minutes intenses, le beau-père se déboutonna et sortit son pénis. L’homme en tant que tel me repoussait un peu, mais dans le plaisir du moment, je ne prêtais plus attention à ces détails. Son pénis était comme le personnage, petit et gros.
Quelle surprise ce fut pour moi de le voir juste devant ma bouche. Moi qui n’aime pas sucer !!! Une nouvelle fois, je me suis laissée faire et j’ai bien fait ! Je me touchais de plaisir pendant qu’un me lâchait et l’autre faisait des va-et-vient seul dans ma bouche ! J’ai eu un premier orgasme plutôt intense. Sûrement dû à l’alcool et à cette situation nouvelle et soudaine. Jean l’a senti, il a arrêté de lécher et m’a regardée presque tendrement :
— Tu vois que tu as toujours des envies, on continue ?!
Je n’ai jamais fait l’amour deux fois de suite, d’habitude, une fois que j’ai mon plaisir, cela me suffit, mais je me sentais tellement bien que j’ai accepté.
Jean me souleva et me mit à quatre pattes sur la table basse. Il se positionna devant moi et ce fut à son tour de sortir son pénis. Quelle retenue d’avoir attendu aussi longtemps. Il était long et fin et ressemblait à celui de mon mari. J’hésitai à le prendre en bouche, mais il me prit gentiment par derrière la tête. Presque comme un automatisme, j’ouvrais la bouche. Sur le même moment, le beau-père s’était placé derrière moi, avait descendu ma culotte et commençait à me pénétrer.
"Merde, j’avais envie que ce soit Jean, pas grave !”
Cette position dura quelques minutes, mais je n’en pouvais plus, j’étais fatiguée et l’alcool se faisait toujours ressentir. De plus, ma libido redescendait, car je déteste sucer. C’est alors que j’entendis un râle, on m’agrippa par la taille et le mouvement que m’imprimait le beau-père s’arrêta. Trop tard, il jouissait en moi ! Je sentais sa semence se rependre malgré mon désaccord que je n’ai pas communiqué, c’était excitant, car j’ai toujours aimé feindre des viols « consentants » avec mon mari. Il se retira heureux et retourna au bar s’ouvrir une bière. Au tour de Jean maintenant de me pénétrer, je voyais qu’il avait suffisamment attendu et moi aussi, je voulais ce mâle, cet amant du moment en moi ! Il m’installa sur le dos dans le divan, prit place de nouveau entre mes cuisses, cette fois avec l’objet tant désiré.
Je ressentais un frisson intense et ma libido remonta au maximum lorsqu’il me pénétra sans difficulté après ce que je venais de subir, la mouille étant toujours bien présente. L’ébat commença, lentement d’abord puis de plus en plus vite. Il était si beau, le fait de le voir se retenir d’être bestial, mais de se retenir comme s’il voulait prendre soin de moi m’emportait. A tel point que je lui agrippais les fesses, ma façon de lui dire « je ne suis pas en sucre, baise-moi ! ». Malgré ça, il restait contenu et me demanda s’il pouvait jouir en moi. Ces mots me touchaient, même s’il était trop tard, le mal était déjà fait et je n’aime ni avaler ni en avoir sur moi. Quoique, sur le moment, j’aurais pu apprécier. Instinctivement, je lui ai dit :
— Viens en moi, en même temps que moi !
Ma main s’est dirigée presque instinctivement sur mon clitoris et je me suis masturbée en même temps que ses coups de reins. Quel plaisir d’être synchro ! On est arrivé ensemble, j’ai été inondée de plaisir au moment où j’ai senti qu’il allait finir et de voir sa tête satisfaite du même plaisir. Un nouvel orgasme fulgurant est arrivé. Après quelques secondes de retour à la réalité, il me fit un bisou sur le front et s’excusa de s’être emporté et qu’on en soit arrivé là. Moi, j’ai seulement répondu qu’on était consentants tous les deux et que j’aurai du mal de reprendre ma vie de maman après ce moment. Il m’a également dit que si on le souhaitait tous les deux, voire, tous les trois, on pouvait recommencer et que si j’étais d’accord, on ferait de l’anal. J’avais hâte de refaire une sortie “voisin”.
Après cette découverte, il m’a fallu rentrer, j’étais sale, mais je me sentais bien. Bien que je fusse toujours sur mon petit nuage, je ne pus m’empêcher de m’en vouloir vis-à-vis de mon époux. Je supposai, vu l’heure, qu’il était réveillé et qu’il s’occupait des enfants, allais-je réussir à ne rien dire ? Plus j’approchais de la maison, plus je m’en voulais, il était demandeur de retrouver une vie sexuelle avec moi et est d’un naturel ouvert. Je me rendais compte que je lui refusais beaucoup de choses et que c’était uniquement de ma faute. J’étais envahie par la culpabilité, car je venais, sans lui, de donner ce qu’il attend de moi à deux étrangers. A mon arrivée à la maison, effectivement, mon mari s’occupait des enfants. Toujours un peu pompette, je lui expliquai avoir profité pour boire un verre avec le voisin et son beau-père, que cela m’a faisait du bien de parler et que j’étais désolée de rentrer tard dans mon état.
Il me répondit qu’il n’y avait pas de problème et que j’avais bien fait de profiter de ce moment.
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