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Surprise au cinéma

Chapitre 3

Gay
Surprise au cinéma (3)
Ce soir là j’ai eu bien du mal à m’endormir, obsédé par la vision de ces trois sexes tendus vers moi, si différents et si attirants. Nu dans mon lit, les draps repoussés jusqu’aux pieds, je me retournais dans tous les sens, la verge bandée, les couilles serrées, le cul en feu. Moi qui n’y avais seulement jamais songé, je rêvais maintenant d’être sodomisé par l’un de ces membres virils, peut-être celui de Miguel, long, mince, brun et poilu. L’énorme barreau du black me faisait trembler à la foi de désir et de crainte. Quant à la petite bite, courte et large, du blondinet, elle me paraissait douce et rassurante pour une première pénétration. Je finis par m’endormir après minuit.Le lendemain, la journée me parut longue et pendant les conférences mon esprit s’évada souvent pour revivre la rencontre de la veille. Enfin libre à 18h, je rejoignis mon hôtel pour me préparer. Pendant la douche j’eus une érection phénoménale, juste en me savonnant le sexe et d’un doigt j’explorais mon trou du cul. J’étais super excité ! Lorsque le réceptionniste m’avertit de l’arrivée de Miguel, je lui fis dire de monter. J’étais encore à poil, une serviette autour des reins, lorsque je lui ouvris la porte de ma chambre. Toujours direct, il m’embrassa aussitôt sur la bouche et m’arracha ma serviette ?— Tu bandes déjà mon salop.— Oui, cela n’arrête pas, en pensant à ce rendez-vous chez toi.Le vicieux en profitait pour me triturer les fesses et frotter son bas-ventre contre mon vit brûlant. Au travers de la fine étoffe de son bermuda rouge, je sentais son sexe dressé, roulant sur le mien.— Habilles-toi vite, je t’emmène.Pour appuyer ses paroles, il me porta une vigoureuse tape sur les fesses, puis s’écarta, m’observant en train de me vêtir. J’enfilais rapidement un pantalon blanc sur mon cul nu, un polo bleu et des espadrilles.— Je suis prêt Miguel. Allons-y.Nous avons descendu quatre à quatre l’escalier, quitté l’hôtel et sommes montés dans sa voiture. Un quart d’heure plus tard il l’arrêtait devant une grande bâtisse, style HLM et nous montions chez lui au 12ème et dernier étage. Il disposait d’un beau trois pièces, avec un vaste séjour donnant sur une terrasse sans vis-à-vis, sur laquelle étaient disposés des matelas, un canapé et deux fauteuils. Nous nous sommes installés sur le canapé, côte à côte et nous sommes embrassés longuement. Nous venions de retirer nos hauts, pour explorer nos torses, lorsque la sonnerie de la porte d’entrée nous interrompit.Pendant que Miguel allait ouvrir, je restais vautré sur le canapé, les jambes écartées, la respiration accélérée, et le sexe en feu. Nos deux militaires me rejoignirent en compagnie de Miguel et m’embrassèrent, puis s’assirent à mes côtés sur le canapé, le blond à droite, le black à gauche, cuisses contre cuisses, épaules contre épaules. Je tressaillis et ils le sentirent. Pendant que notre hôte allait nous chercher à boire, le blondinet se pencha vers mon entrejambes, commença à déboutonner ma braguette et en fit jaillir mon membre turgescent, pour aussitôt le porter à sa bouche. Le black lui, me suçait les tétons et promenait sa bouche lippue sur mon torse et mon nombril. En un clin d’œil ils m’avaient retiré mon pantalon, me laissant exposé et pantelant entre leurs mains baladeuses. Une main noire et musclée me serrait le sexe et tirait ma peau blanche pour dégager le gland violacé, alors qu’une main claire, aux poils blonds, s’insinuait sous mes fesses à la recherche de ma raie. Je transpirais et m’abandonnais, lorsque Miguel revint avec des verres de Gin.— Seuls les mecs à poil aurons le droit de boire » dit-il en rigolant, me tendant un des verres.Donnant aussitôt l’exemple, il retira chemise et bermuda, exposant à tous sa nudité virile. Les autres firent de même sans hésiter. Nous étions ainsi tous les quatre en tenue d’Adam, sur cette terrasse exposée au soleil déclinant et à un petit vent bien rafraîchissant.Comme mes trois camarades allaient s’accoter à la rambarde pour boire leurs verres, je me levais du canapé pour les rejoindre et m’installais près du black, ne pouvant quitter des yeux son sexe épais, long et circoncis et ses bourses pendantes. Je sentis alors sa main se glisser derrière moi et caresser mes fesses, puis ma raie, enfin mon petit trou. Je me remis aussitôt à bander et, frémissant, je saisis sa verge de ma main gauche. Je pouvais tout juste resserrer mes doigts sur ce membre de chair sombre et chaude, aux veines saillantes et au gland bien dégagé et rose vif. Il se mit rapidement à grossir et à se tendre vers le ventre, remontant jusqu’à son nombril. N’y tenant plus je le pris en bouche, léchant le méat bien ouvert et suintant. Il sentait fort et avait un goût légèrement salé. Je m’enfonçais un peu cette hampe dans ma gorge, mais dû m’arrêter rapidement de peur de m’étouffer. Me tirant par les cheveux, il essaya de s’introduire davantage, au point de me donner des hauts le cœur. Il se laissa alors sucer le gland et le début de la hampe, tout en continuant de me caresser le fion et enfin de me doigter. Le plaisir montait en moi si rapidement que je fus incapable de me retenir. Sans même m’être touché, j’éjaculais en longs traits crémeux sur ses jambes. Lui se raidit subitement et déchargea dans ma bouche un sperme épais, douceâtre et abondant que je dus avaler jusqu’à la dernière goutte.En me relevant, je vis que Miguel et le blondinet faisaient l’amour, le premier appuyé des deux bras sur la rambarde, le second le sodomisant avec ardeur. Sans hésiter, le sexe toujours en érection, le black vint se planter derrière son ami et le pénétra d’un seul coup, son grand corps noir couché sur la nudité blanche du blondinet et s’activa. La vision de cette brochette érotique, me redonna de la vigueur. Je vins me coller aux fesses noires et rebondies du black, recouvertes de tortillons de poils de jais et de mon vit à nouveau dressé, je le pénétrais à mon tour. Ce fut facile. Aussitôt je pris la cadence, faisant coulisser ma verge dans ce cul humide et glissant. Je crois que nous avons de nouveau jouis tous ensemble en feulant.— Vous pouvez vous rafraîchir dans la salle d’eau les amis, en attendant que je vous serve quelque chose à manger.Obéissant à Miguel, nous sommes allés nous doucher à tour de rôle, non sans nous observer avec délectation.A notre retour sur la terrasse, des bières et des boissons étaient disposées sur une table basse entre le canapé et les fauteuils. Pendant que Miguel se douchait à son tour, nous avons bavardé, échangeant nos impressions sur ce début de soirée. C’est alors que mes amis me firent remarquer que j’étais le seul à n’avoir pas encore été sodomisé. Je devins rouge comme une pivoine et me remis à bander, tout en avouant :— Je suis vierge du cul et j’ai peur d’essayer. Pourtant c’est actuellement mon plus grand fantasme.Ils se mirent à rire tout en me tapant sur les fesses et prirent Miguel à témoin à son retour. Celui-ci, très sérieux, me dit alors :— Il va falloir y passer. Un tel fantasme doit se réaliser, sinon tu seras mal. Je propose qu’après le pique-nique nous jouions aux cartes pour savoir lequel de nous te déniaisera. Les deux militaires approuvèrent aussitôt, tout émoustillés à cette perspective. Voyant mes réticences, Miguel conclut le débat en me faisant un baiser profond, bien serré contre moi. Ne disant mot, il fut admis que j’avais consenti.Pendant que nous dégustions nos sandwichs, assis sur les matelas, j’observais avec attention les bites au repos de mes compagnons, non sans appréhensions. Toutes me paraissaient subitement trop longues ou trop épaisses et j’imaginais les dégâts qu’elles pourraient faire en pénétrant mon œillet. Pourtant celles de Miguel et du blondinet ne me laissaient pas indifférent et parfois même leur examen m’excitait.Mon heure arrivée, je vis Miguel s’absenter un moment, puis revenir avec un jeu de cartes. — Parés pou une partie de poker ? Le gagnant aura l’honneur et le plaisir de déflorer le cul de notre ami Franck. Il n’attend que cela le vicieux. Regardez, il bande déjà.Le pire c’est que c’était vrai. A l’entendre, j’étais excité et ma bite commençait à se redresser. Tous éclatèrent de rire et la partie commença. Pendant un moment le grand black mena et j’en eu froid dans le dos. Puis Miguel l’égala. A cet instant mon sort se décida. Ma bonne étoile ne m’abandonna pas et Miguel, à mon grand soulagement, gagna la partie.Invité à me mettre en levrette sur l’un des matelas, je m’exécutais, tendant mon cul vers Miguel qui, debout derrière moi se masturbait doucement. Puis il s’agenouilla et commença à me lécher les fesses, puis ma raie poilue, enfin mon œillet, pour enfin y introduire sa langue mouillée et râpeuse, de plus en plus profond. Je bandais comme un âne, le cul en chaleur, suant à grosses gouttes, le cœur palpitant. Tournant un instant la tête vers mon amant, je vis le grand black couché entre ses jambes qui lui faisait une fellation d’enfer. A cet instant le blondinet passa sa tête sous mon ventre, introduisit mon vit dans sa bouche et commença à le sucer.N’en pouvant plus, je criais à Miguel : « Vas-y, prends moi, prends moi vite ».Je sentis brusquement son gland baveux pousser sur mon sphincter, puis entrer doucement en moi, forçant le passage étroit. Une douleur brûlante me fit hurler un moment et je me mordis le poing pour me faire taire. Mais lentement, Miguel enfonçait sa verge dans mon rectum et la douleur se transforma peu à peu en un plaisir de plus en plus intense. Enfin j’étais sodomisé, mon fantasme était réalisé. Mon maître entrepris des va et vient dans un tempo d’abord lent, puis plus rapide, accroissant mon plaisir. Soudain une brutale accélération, ponctuée de poussées brutales, me fit tourner à nouveau la tête. Notre ami black enculait Miguel avec violence et lui communiquait un rythme soutenu.C’est en vain que je tentais de retenir la montée de la jouissance. Subitement, avec un feulement venu du fond de la gorge, je jouis du cul et du sexe, libérant mon foutre dans la bouche du blondinet toujours occupé par ma verge et recevant dans mes fondements celui bien chaud et abondant de Miguel. Le cri de ce dernier m’indiqua que lui aussi venait de jouir sous les assauts du black.Après une bonne douche froide, nous avons fini la soirée, étendus sur les matelas, à la lumière de la pleine lune, devisant de choses et d’autres. Le lendemain mon stage se terminait et je regagnais mon domicile parisien, retrouver femme et enfants. Depuis, la nuit, j’ai parfois des érections en repensant à ces moments torrides et en songeant à renouveler une telle expérience qui m’avait marqué.
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