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Surprise au cinéma

Chapitre 4

Gay
Surprise au cinéma (4).
Un samedi d‘avril, faisant des courses sur les grands boulevards, je tombais nez à nez avec le grand black, ce militaire avec lequel j’avais eu une aventure homo à X. l’été précédent. Il m’a tout de suite reconnu et m’a tendu la main.A le revoir devant moi, à sentir cette main chaude et puissante presser la mienne et voir ses lèvres épaisses et sensuelles me sourire, je sentis ma verge se raidir dans mon slip et des bouffées de chaleur me monter au visage. Les journées chaudes à X. me revenaient en mémoire et surtout cette première sodomie passive sous les assauts de Miguel, en présence de Joseph et de son copain blondinet. Je l’invitais aussitôt à prendre un pot au café le plus proche pour bavarder un peu et nous nous installâmes à une table au fond de la salle, sur la même banquette de moleskine.— As-tu revu Miguel après nos rencontres et qu’est devenu ton copain Antony ?— Oui, quelque fois,. après ton départ, mais depuis qu’Antony et moi avons quitté l’armée, je n’ai plus de nouvelles de Miguel. Quant à Antony, qui habite aussi la région parisienne, il s’est pacsé avec un arabe et je l’ai perdu de vue.Sa cuisse gauche me pressait la jambe droite dans un geste sans équivoque et ses yeux brillaient d’un feu étrange.— Tu sais, j’ai souvent pensé à toi et à ton beau cul rond et musclé, si blanc malgré les fins poils bruns qui le couvrent. J’espérais bien te retrouver un jour et pouvoir enfin le pénétrer et y déposer ma semence. C’est mon fantasme depuis notre rencontre à X.Ces mots remuèrent en moi de folles images : celle de son long et gros sexe noir, parcouru de veines saillantes, décalotté, au gland énorme et rose ; celle de son corps musclé à la peau d’ébène luisante sous le soleil couchant ; celle aussi de ses fesses, globes sombres à la raie humide. Je ne pus alors m’empêcher de poser ma main sur son genou. Il se pencha aussitôt vers moi, colla ses lèvres sur les miennes et entrepris un baiser profond que je lui rendis timidement. Gêné par cette manifestation en public, je le repoussais enfin et m’écartais de lui. - Tu es fou. Il y a du monde et je ne tiens pas à être vu dans une position scabreuse. Tu me troubles, c’est vrai, mais je ne veux pas de nouvelle aventure. Je suis hétéro, marié et père de famille et aussi plus vieux que toi. Alors ne recommençons pas, cela ne nous mènera à rien. - Pourquoi t’inquiéter Franck ? Tu as envie de moi et j’ai envie de toi. Où est le problème ? L’âge ne fait rien. Tu es vachement bien conservé, très viril et tes fesses me font goberger. Ton zob aussi.Sur ces mots, toujours penché vers moi, il porta sa main droite sur mon sexe bandé, le caressant au travers de mes vêtements. J’étais paralysé de gène et de désir, le visage écarlate, le cœur en débandade, le feu au bas ventre.— Libères toi samedi prochain et retrouves moi devant l’Eros-club, un sauna Gay tout près d’ici. Tu verras, c’est chouette et on pourra s’éclater.— Non. Je t’ai déjà dit que pour moi une expérience homo me suffit et que je ne veux pas recommencer, surtout ici à Paris.— Ecoutes Franck. Je ne tai pas eu à X., le sort en ayant décidé autrement, mais je te posséderai maintenant. Ton beau cul sera à moi et tu jouiras mec, comme jamais.Sa main se faisait plus pressante sur mon sexe et je sentais que la jouissance montait en moi. N’en pouvant plus et ne voulant pas éjaculer dans mon slip, j’écartais soudain sa main et lui répondit par un acquiescement peu convaincu. Il le sentit sans doute. - Mec, je compte sur toi. Si tu me poses un lapin, j’irai te chercher jusque chez toi. Je sais où tu habites. Je t’ai vu l’autre jour dans le métro avec ta femme et tes gosses. Je vous ai suivi discrètement. Aujourd’hui je t’ai attendu à la sortie de ton immeuble et pisté jusqu’ici. Nos retrouvailles n’étaient pas dues au hasard.Une sueur froide suinta dans mon dos et je compris que j’étais coincé. Tout plutôt que de le voir débouler chez moi et mettre ma femme au courant de mes infidélités. Je lui promis donc d’être au rendez-vous à 15 h, le samedi suivant et le quittais rapidement après avoir payé la note.Au jour dit, j’étais devant l’Eros club, attendant fiévreusement mon beau black, partagé entre désir et peur. Il arriva à l’heure, accompagné d’un jeune noir, qu’il me présenta comme son frère, Arsène. Je lui donnais 19 ans. Grand, mince, épaules larges et bassin étroit, cul bien cambré, visage fin, peau chocolat foncé, je le trouvais très séduisant. Nous franchîmes la porte et je payais les trois entrées avant de gagner les vestiaires. Rapidement nous nous sommes retrouvés à poil. Joseph ne manqua pas de faire admirer mon cul à son frère et de le caresser devant les hommes présents. Ayant ceint nos serviettes, nous avons rejoint l’étage par un étroit escalier. Montant derrière moi, Joseph me palpait le bas du dos par dessous ma serviette. Devant je voyais le cul rebondi et luisant de son frère Arsène. Un bien beau cul ma foi ! Je commençais à bander et ma pine redressée pointait sous le linge. Joseph nous entraîna, longeant un couloir bordé de cabines où des mecs nus se caressaient en attendant un partenaire, puis traversant une salle de vidéo sur les banquettes de laquelle des couples s’entrelaçaient, pour enfin pénétrer dans une pièce assez obscure, éclairée seulement par deux ampoules peintes en rouge et en bleu. Un grand matelas était posé au milieu, sur lequel s’ébattaient trois hommes à poils. A droite, une grande croix de Saint-André en bois était dressée contre le mur. A gauche il y avait de sellettes, avec un jeune mec installé sur l’une d’elles, les jambes écartées, le cul offert et ouvert. Je découvrais tout cela avec fièvre, n’ayant jamais fréquenté de tels lieux.Arsène m’a alors arraché ma serviette et saisi mon vit toujours bandé, le caressant de bas en haut, couilles, hampe, gland, puis attardant ses doigts dans la toison de mon pubis, alors que Joseph me malaxait les fesses. Toutes mes résistances fondaient et je m’abandonnais entre leurs mains agiles, prêt à découvrir de nouveaux plaisirs avec ces corps virils et bien membrés, sentant le musc. La présence d’autres mecs dans la pièce, non seulement ne me gênait pas, mais au contraire m’excitait à un point que je n’aurais jamais imaginé. M’exposer nu, bandant, avec deux blacks empressés auprès de moi, me donnait un sentiment de libération intense et aussi de fierté. Sans gène je m’accroupis et saisis à pleines mains le pénis d’Arsène, aussi long que celui de son frère, mais plus fin et rasé, avec un gland de la taille d’une châtaigne. Le portant en bouche, j’ai commencé à le sucer en bavant abondamment. Il était bien raide, mais la peau en était douce et le méat humide et salé. Sans aucune retenue, je léchais la hampe de cette verge brûlante, puis prenait ses deux boules en bouche pour les mordiller.Mes deux amis m’ont alors entraîné ver la croix de Saint-André et m’y ont attaché, dos au bois, par les poignets et les chevilles, bras et jambes écartés. Les types présents se sont approchés, tandis que le jeune Arsène, à genoux devant moi, commençait une fellation endiablée, pendant que ses mains, glissées entre mon cul et le bois, exploraient mes fesses et ma raie déjà humide. Je gémissais de plaisir et me retenais de toutes mes forces pour ne pas jouir trop vite. Puis Joseph a relayé son frère. Ses lèvres serraient mon vit, dégageant le gland, puis le recouvrant du prépuce, sur un rythme rapide. De ses deux mains il malaxait mes tétons, palpait ma poitrine et mon ventre, soupesait mes testicules. Les autres gars, en spectateurs actifs, se masturbaient devant moi, sans aucun complexe.Soudain mes amants, sur proposition de Joseph, ma changèrent de position, m’attachant cette fois face au bois de la croix, laissant mon cul à leur disposition. Pour me rassurer, Joseph me souffla à l’oreille :— Tu en pinces pour mon frère, je l’ai bien vu. C’est donc lui qui va te préparer. Après cela tu seras à moi.— Non, je ne veux pas. Ta bite est trop épaisse. Tu vas me défoncer le fion. Avec Arsène, je suis d’accord. Pas avec toi, même si je te désire.— Ferme la mon coco. Lorsque mon frère t’aura bien ouvert l’œillet, tu n’auras plus peur et tu voudras que je te saute.Je sentis les mains d’Arsène remonter le long de mes jambes, lentement, sensuellement, caresser mes cuisses, se glisser entre elles pour soulever mes couilles et aller serrer la base de ma hampe. Puis son vit se frotta sur mes fesses, explora ma raie et enfin s’enfonça entre mes cuisses et son gland heurta mes testicules. Je bandais comme un fou, la verge coincée contre le bois et commençais des mouvements de bas en haut, faisant coulisser la peau de mon pénis. Mon amant changea alors d’attitude et se mit à me lécher le cul, d’abord les fesses, puis la raie et enfin le trou. Il y inséra sa langue et commença à en explorer l’intérieur. Cette langue, mouillée de salive, vive et longue, me mis en transes. Je contractais, puis décontractais mon sphincter, râlant de plaisir. Après avoir craché dans mon fion, Arsène introduisit un doigt profondément, puis deux. Le premier passa sans problème, le second força un peu et me fit mal. Un cri de douleur m’échappa. Le jeune black repris ses caresses, puis m’enduisit l’œillet d’un gel froid, sans doute du lubrifiant et l’introduisit dans mon rectum avec un doigt, badigeonnant soigneusement l’intérieur. Enfin il parvint à entrer trois doigts, sans trop me faire mal, les tournant et les retournant pour dilater mon sphincter. J’avais chaud, je suais, ma respiration était haletante. M’embrassant dans le cou, Arsène me pénétra doucement de son gland, puis de son pénis tout entier. Il me ramona avec vigueur, me faisant râler de plaisir, jusqu’à la jouissance totale. Nous avons éjaculé en même temps.Comme je reprenais ma respiration, mon partenaire se retira doucement et je serrais les fesses pour retenir son jus. C’est alors que le gros gland de Joseph, couvert de gel, vint heurter ma rosette, força l’entrée d’un seul coup, me faisant hurler sous la douleur et pénétra à fond dans mes entrailles, suivi de toute la hampe, pour enfin frapper contre ma prostate. Je me tortillais en vain, malgré mes liens, pour essayer d’échapper à cette étreinte, pleurant et gémissant. Le cul me brûlait et j’avais l’impression que les chairs étaient déchirées. Les mouvements de va et vient débutèrent et se firent de plus en plus rapide et violents. Le plaisir se substituait peu à peu à la douleur et je finis par jouir une seconde fois sur le bois, pendant que Joseph se vidait en moi. Détaché par mes amants, blessé, sonné, je m’étendis sur le matelas du centre pour tenter de récupérer. Mais les mecs présents achevaient de se branler et déchargeaient sur mon ventre, ma poitrine et ma face. J’étais couvert de sperme. Mes amis m’emmenèrent alors aux douches pour m’aider à réparer les dégâts.Je me suis juré ce jour là de ne plus jamais jouer avec les membres virils surdimensionnés des blacks.
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