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Surprise familiale

Chapitre 2

Inceste
Voici la suite de ce récit. Merci pour vos encouragements, vos commentaires sur cette 2ème partie sont les bienvenus.

Deux paires d’yeux nous dévisageaient. Je retirais brusquement ma main de la culotte de Sonia. Léa et Grégory avaient les deux le regard d’un animal apeuré. Surtout Léa d’ailleurs. Chez elle, c’était plus que de la peur, je pouvais déceler de la terreur. D’ailleurs, je remarquais une larme au coin de son oeil gauche. Sur sa joue droite, une goutte de sperme coulait doucement. La situation était décalée voire même amusante pour moi. J’étais chez mon amie où j’avais surpris son fils et sa belle-fille en pleine découverte de leur sexualité et de leur corps et en plus, je m’étais permis quelques attouchements sur Sonia.
Le silence de plomb fut interrompu par Léa :— Je t’en prie Sonia, dit-elle, ne dis rien à mon père, sinon il va me tuer.Sonia lui répondit qu’elle ne dirait évidemment rien à Mathieu, ça serait un secret entre nous quatre. Surtout, elle aurait eu de la peine à lui expliquer pourquoi elle n’était pas intervenue plus rapidement et qu’elle avait laissé son fils demander une fellation à Léa. Mathieu n’aurait certainement pas compris, il était très protecteur et même possessif avec sa petite princesse. Cela aurait pu mettre en danger leur couple.
— Essuie toi la joue, ordonna Sonia à Léa, et expliquez-moi ce qui vous a pris ?C’est sans surprise Grégory qui prit la parole. Il raconta que depuis quelque temps leur corps avaient changé, les questions liées à la sexualité les intriguaient de plus en plus. Chacun de leur côté, ils en parlaient régulièrement avec leurs camarades à l’école. Quant ils étaient seuls, Léa et Grégory se masturbaient fréquemment en solitaire. Un soir, ils avaient osé aborder le sujet et avaient convenu de découvrir chacun le corps de l’autre. Grégory ajouta qu’il n’avait jamais vu d’aussi près un sexe féminin, à part dans les films de cul et surtout qu’il n’en avait jamais touché avant. Ils avaient bien fixé les règles, les choses qu’ils étaient prêts à faire ou ne pas faire (je comprenais maintenant pourquoi ils n’avaient échangé aucune parole pendant leur petit jeu).
Sonia encaissait les coups, un peu groggy comme un boxeur. Elle semblait découvrir que son petit garçon n’en était plus un et qu’il regardait des films X. Elle avait toujours été ouverte et prête à répondre à toutes les questions sur la sexualité. Elle avait d’ailleurs dû avoir une petite discussion avec Léa lorsque ses premières règles apparurent, car sa mère ne lui en avait pas parlé. Sonia en avait profité pour expliquer ce phénomène à son fils en toute transparence y compris l’utilisation de tampon et serviette hygiénique. Mais là, elle n’avait pas vu arriver les problèmes et ne pensait pas que ces deux adolescents, même s’ils avaient bien grandi, étaient déjà autant attirés par le sexe. Elle l’écoutait mais il me semblait qu’elle était un peu distraite. Je pensais d’abord qu’elle était plongée dans une profonde réflexion, savoir ce qu’elle devait leur dire à chaud, les gronder ou pas. Mais en l’observant, je constatais qu’il s’agissait d’autre chose. Son regard passait du corps de Léa à celui de Grégory, mais il ne s’agissait pas du regard d’une mère, il y avait une petite étincelle. J’en eus la confirmation lorsqu’elle dit à son fils :— Léa t’a procuré du plaisir, j’espère que tu en as bien profité, car c’est toi maintenant qui va lui en donner en la caressant.
Je n’en croyais pas mes oreilles. Alors que je pensais que la récréation était terminée, le spectacle allait continuer. Les adolescents parurent d’abord très surpris mais rapidement Grégory accepta. Par contre, Léa semblait très hésitante. Nos regards se croisèrent et je compris que c’était ma présence qui la gênait. Pour la première fois, je pris la parole :— Ecoute Léa, je peux comprendre ta gêne. On ne se connaît pas très bien. Je t’ai vu nue dans une situation un peu embarrassante pour toi. Mais tu sais, dans ma jeunesse, j’ai fait des choses bien plus, comment dirais-je, délicates. Je te jure que je ne dirai jamais à personne ce qui se passe dans cette pièce. Je trouve d’ailleurs vos petits jeux très beaux et doux, j’aurais bien voulu découvrir la sexualité de cette façon.Mes paroles semblaient la convaincre un peu et pour enfoncer le clou, j’ajoutais :— Et pour qu’on soit sur un pied d’égalité, Sonia et moi allons également nous déshabiller.
Il y eut un long silence. Je me demandais si finalement ma proposition allait encore plus la perturber, car elle aurait près d’elle un homme nu qu’elle connaissait à peine. Sonia se retourna avec un grand sourire et un regard qui me semblait bien coquin. Je m’imaginais ce qui pourrait se passer....Finalement, Léa donna son feu vert. Les jeunes nous regardèrent nous déshabiller. Grégory observait plutôt sa mère pendant que Léa me scrutait et plus spécifiquement mon sexe. Elle s’allongea sur le lit. Grégory s’approcha et sa mère lui donna ses instructions :— Tu dois la faire jouir avec tes mains et ta langue. Comme tu es un adepte des films de cul, tu dois savoir comment t’y prendre.Le langage et le ton de Sonia avaient changé. C’était celui d’une femme excitée, voyeuse et non pas d’une mère.— Et surtout vas-y délicatement.Grégory écarta les jambes de Léa, ses doigts caressèrent son minou jouant avec le fin duvet, passèrent et repassèrent sur les lèvres qu’il finit par écarter. Suivant les indications de sa mère, il alla avec sa langue à la découverte du clitoris de Léa qui se figea. Il lui léchait son petit bouton avec application et petit à petit elle semblait apprécier.
Sonia avait un peu reculer du lit et laissait les deux adolescents à leurs jeux. C’était la première fois que je la voyais nue et elle était belle. Ses seins pendaient un peu mais je trouvais cela normal après trois grossesses et allaitements. Elle était par contre très fine et avait la taille d’une demoiselle. Son pubis était bien entretenu mais avec une pilosité assez fournie, à mon plus grand plaisir car je n’aime pas les sexes glabres. Il était temps de reprendre mes caresses là où elles avaient été interrompues. J’étais derrière elle et je lui pris ses seins à pleines mains. Je lui embrassais la nuque en serrant et malaxant plus fort ses globes. Elle se frottait à moi et avec sa main droite chercha directement mon pénis qui était déjà à moitié dur. Elle le serra si fortement que j’en eus presque le souffle coupé.
Devant nous, Grégory utilisait sa bouche et ses mains pour donner du plaisir à Léa. Ses gestes étaient parfois maladroits, mais il se débrouillait plutôt bien et surtout avec une délicatesse surprenante pour un ado. Il craignait peut-être les remarques négatives de sa mère. Sonia était très excitée, elle branlait mon sexe énergiquement. Sans préliminaire, j’introduisis un doigt dans sa chatte qui était déjà détrempée. Je retirais mon doigt humide et le lécha. Je la doigtais à nouveau avec deux doigts et lui donna mon index à lécher, ce qu’elle fit goulûment. Je ne voulais plus attendre. J’avais remarqué sur la table de nuit une boîte de préservatifs. Je me libérais de l’étreinte de Sonia et enfila rapidement la capote. Je la fis s’appuyer sur le dossier de la chaise du bureau, un genou posé dessus et je la pénétrais en levrette d’un coup sec. Elle poussa un petit gémissement. Je me retirais complètement et la pénétrais à nouveau profondément, je n’eus aucune peine, son sexe était chaud et tellement humide. J’entamais une série de va et vient de plus en plus rapide.
Les adolescents étaient allongés sur le coté. Grégory avait deux doigts dans le vagin de Léa et avec son autre main lui caressait son clitoris. Elle remuait son corps et se caressait les seins en émettant de grands soupirs. Elle était proche de la jouissance et nous regardait de temps en temps ce qui semblait l’exciter encore plus.
Il fallait que je ralentisse un peu le rythme. Sonia en demandait encore et j’avais très envie de la prendre par derrière. Je lui demandais si elle était d’accord de m’offrir son cul. Elle n’hésita pas une seconde en m’annonçant que c’était une première pour elle. Décidément, c’était la soirée des premières. Le préservatif luisait de cyprine. J’enfilais mon doigt dans son minou puis dans son anus pour le lubrifier. Puis doucement, je présentais mon gland à l’entrée de son anus, je poussais doucement. Elle bougea légèrement pour trouver une position un plus confortable. Je poussais encore un peu plus. Son cul s’habituait petit à petit à ce corps étranger. Mon pénis était serré, à l’endroit. Les pénétrations étaient plus difficiles mais la sensation très agréable. Sonia semblait moins apprécié, elle se caressait le clitoris pour se donner du plaisir. C’est à ce moment que j’entendis Léa gémir, son corps tremblait sous les caresses de Grégory : elle venait de jouir.
Je devais à mon tour faire monter au 7e ciel ma partenaire et j’avais compris que ce n’était pas avec la sodomie que j’y parviendrais ce soir là. Je lui proposais de m’allonger sur le deuxième lit pendant qu’elle me monterait en amazone. Les adolescents étaient assis sur le lit, nous observant tout en récupérant un peu. En passant devant son fils, Sonia lui chuchota quelques mots à l’oreille. Elle avait un grand sourire. Elle ne put s’empêcher de prendre en main le sexe de son fils qui était toujours en érection et elle leur dit :— Regardez nous faire l’amour et masturbez vous !Il n’y avait plus aucun tabou dans cette chambre, il s’agissait de quatre personnes prenant du plaisir, en donnant et peu importait les liens de parenté et l’âge.
J’avais enfilé un autre préservatif pour honorer à nouveau la chatte de ma maîtresse. Allongé sur le lit, le sexe bien droit, Sonia s’accroupit au dessus de moi. Elle prit mon pieu de sa main droite et le guida à l’intérieur de son sexe. Elle descendit jusqu’à la garde et resta immobile. Je sentis ses muscles qui travaillaient, enserrant mon pénis. Elle remonta pour ressortir entièrement puis coulissa à nouveau entamant une longue chevauchée. J’en profitais pour caresser ses seins ou enfiler un doigt dans son derrière. De son côté, elle se caressait en même temps le clitoris.
Léa et Grégory s’étaient levés et approchés pour voir le spectacle de plus prêt. Grégory, la queue à la main, se branlait énergiquement en ne perdant pas une miette du spectacle. Léa avait posé un pied sur le bord du lit et se masturbait également. Je sentais que j’allais bientôt jouir et Sonia également. Elle semblait littéralement possédée et hurla à son fils :— Je veux te voir éjaculer sur moi.Il monta sur le lit, accélérant ses mouvements de la main et au moment où son sperme jaillit éclaboussant la poitrine et le ventre de sa mère, Sonia atteignit la jouissance. J’explosais à mon tour, déchargeant plusieurs giclées de sperme dans le préservatif.
Nous étions les quatre sur le même lit, retrouvant doucement nos esprits. Sonia ordonna à Léa et Grégory d’aller prendre une douche. Je lui demanda ce qu’elle allait garder de cette incroyable soirée et elle me répondit :— Je n’ai jamais eu un tel orgasme et voir mon fils ainsi...Sacrée Sonia !
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