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Surprise par mon oncle

Chapitre 3

Suite mais pas la fin . . .

Inceste
Je ne prends même pas le temps de fumer une cigarette, je repars vite chez moi. Une fois arrivée chez moi, je file vite prendre une douche, je me sens sale. Je ne l’ai pas vu que quelques jours, mais pendant ces quelques jours, j’ai tout de même été troublée par ce qui est arrivé. Voilà une huitaine de jours que je ne l’ai pas vu, ni eu de ses nouvelles. Je suis rassurée au fond de moi, j’ose me dire que c’était pour une fois, et que maintenant qu’il a eu ce qu’il voulait, il est passé à autre chose. Aujourd’hui, nous sommes samedi. Je vais passer l’après-midi avec mon petit ami. Cette semaine, je ne l’ai pas vu, j’ai prétexté d’avoir pas mal de cours à préparer, et que nous ne nous verrons pas de quelques jours, chose qu’il comprend très bien, il est compréhensif de ce côté-là. Mais en fait, je ne suis pas allé le voir de la semaine, tout simplement parce que j’étais très gênée par rapport à ce qu’il s’était passé avec mon oncle. Alors j’ai préféré me laisser un peu de temps pour pouvoir me retrouver devant lui.
La matinée de samedi se passe très normalement, et en début d’après-midi, je vais voir mon petit chéri. Il est content de me voir, et moi aussi. Nous passons une bonne partie de cette demi-journée à s’embrasser, se caresser, à discuter, puis nous décidons de regarder un film. Sur le canapé, nous sommes collés l’un contre l’autre. Il s’aperçoit que le film ne m’intéresse pas spécialement.
— Tu veux qu’on regarde un autre film ? Ou tu veux qu’on arrête de regarder ? — Non, on peut finir de le regarder, il est presque terminé. — D’accord.
Il commence à caresser mes cuisses, chose facile puisque je suis en petite jupe. Je me laisse faire. Tout en m’embrassant, sa main quitte mes cuisses pour aller vers ma poitrine. (Décidément ! Qu’est-ce qu’ils ont tous avec mes seins ? !) A tel point que je commence à croire qu’avant d’être une jeune fille, je suis une paire de seins ! Cependant je le laisse faire, puis je ne cache pas que je trouve cette caresse agréable.
— Tu veux bien retirer ton haut et ton soutien-gorge ?— Qu’est-ce que tu veux faire ? — Juste les caresser.
Il est vrai qu’à ce moment précis, des images de mon oncle sont apparues. Je revois mon oncle me caresser la poitrine avec un regard de vicieux, mais surtout l’image de décharger entre mes seins comme un vieux cochon. Ces images me bloquent quelque peu, mais je ne dois pas lui montrer. Je retire mon haut et le soutien-gorge. Seins nus sur son canapé, mon petit chéri en train de me malaxer les seins, les embrasser, je ne bouge pas, le laisse toujours faire. C’est peut-être idiot, mais la situation actuellement me fait trop penser à celle avec mon oncle. Sur un canapé à me faire tripoter les seins, je n’ai qu’une crainte, celle qu’il me demande de me mettre à genoux pour le masturber et le laisser venir au même endroit que mon oncle. Une certaine peur m’envahit !
— Tu ne préfères pas qu’on aille sur ton lit. Je préfère que tu me caresses comme tu le fais, mais dans ta chambre ? — On n’est pas bien là ?
— Si, on est bien, mais on sera mieux sur ton lit. — D’accord, on y va ma chérie.
Il se lève, je le suis, je m’allonge sur son lit. Au moins je n’ai plus cette mauvaise image du canapé. Un moment après, toujours en train de me faire peloter les seins et à me faire embrasser, mes tétons durcissent, une sensation envahie mon bas-ventre. Il faut que je lui parle !
— Il faut que je te dise quelque chose, au risque que tu te moques de moi.
Il se redresse, l’air interrogateur.
— Oui, je t’écoute. C’est grave ? — Non, pas du tout grave. Juste quelque chose sur laquelle je t’ai menti. — Ah bon ? — Rien de méchant. Je n’ai jamais couché avec un garçon.
Il ne dit rien, me regarde tendrement, me sourit.
— Pourquoi tu ne me l’as pas dit aussitôt ? — Je ne sais pas. Peut-être pour ne pas paraître bête devant toi. Tu m’en veux ? — Non pas du tout. Puis je le comprends très bien. Ne t’inquiète pas. Et je comprends mieux pourquoi tu ne me laisses jamais aller trop loin. — Voilà, c’est pour ça. Je voudrais que ce soit toi le premier, mais je te demande juste un peu de temps. — Oui, tout le temps que tu voudras. Tu n’as jamais rien fait avec un garçon en fait ? Quand tu m’as masturbé l’autre jour, c’était aussi la première fois ? — Oui (En baissant les yeux)
Il se met à sourire. Un peu comme s’il était fier d’avoir une fille vierge, et peut-être l’idée de la dépuceler l’excite, ou bien de lui faire découvrir des choses. Je comprends dans son regard qu’il ne m’en veut pas du tout. Il a déjà couché avec des filles, donc il doit se sentir supérieur à moi. Il se lève, se place debout devant moi qui suis toujours assise sur le bord du lit. Je le regarde, et je comprends vite ce qu’il veut. Sans rien dire, il ouvre sa braguette, baisse son pantalon et son caleçon jusqu’à ses chevilles. Je vois son sexe raide, droit.
— Tu sais le faire ça. Tu veux bien ? — Je veux bien quoi ? — Me masturber. — Oui.
Comme robotisée, ma main droite se dirige vers cette verge tendue, la prend, la serre dans la paume et lui inflige de petits va-et-vient.
— Caresse-moi les testicules en même temps avec ton autre main.
Ma main gauche prend possession de ses bourses, et, doucement, je les caresse. Par peur de lui faire mal (Car je sais que chez un homme cette partie est très sensible), j’effleure juste cette peau toute fine.
— Tu peux caresser un peu plus fort, sans trop appuyer.
J’accentue la pression, fais rouler ses boules entre mes doigts, je remarque qu’elles deviennent dures.
— C’est bien ce que je te fais ? — Oui, tu sais que tu me donnes beaucoup du plaisir en ta main droite qui me masturbe et l’autre qui s’occupe de mes testicules ? Mais je ne vais pas tarder à jouir.— Tu me préviens quand tu jouis. — Oui, je vais te le dire. Attends ! Je sens que ça vient ! Arrête !
J’arrête mes mouvements de mains. Il se baisse un peu de façon à avoir son sexe juste en face de ma poitrine.
— Reprends, je vais jouir sur tes seins. Tu veux ? — D’accord.
Je n’en ai pas pour longtemps à faire des mouvements de va-et-vient que son corps se raidit, il s’approche un peu plus, et des jets chauds viennent s’écraser sur ma poitrine. Une partie tombe sur mon ventre et mes cuisses.
— Oh ! Que c’est bon. Surtout sur tes seins. — Tu as aimé ? — Oui.
Il part dans sa salle de bain, revient avec une serviette pour que je puisse m’essuyer le liquide qui est en train de refroidir à présent. Il en fait de même. S’il savait que mon oncle a déversé sa semence presque au même endroit que lui, je ne sais pas comment il pourrait le prendre. Mal ? Ou peut-être serait-il excité de le savoir. Je ne le sais pas et ne veux surtout pas prendre le risque de le perdre.Nous sommes de nouveau allongés sur son lit.
— Tu me fais du bien avec ta main. — J’en suis heureuse. Je le refais autant de fois que tu le voudras.
Le soir, dans mon lit, je repense à ce que j’ai fait et je me dis que c’est bien de donner du plaisir à son partenaire, mais je me doute qu’il ne va pas satisfaire de mes mains très longtemps et qu’il va bien falloir que je lui offre mon corps à un moment ou à un autre. Nous sommes dimanche. Un dimanche que je ne peux pas cataloguer de bonne journée ! Il est environ 16H00, je suis dans la cuisine en train de faire un gâteau pour manger le soir avec mes parents quand j’entends une voiture arriver devant la maison. Je regarde par la fenêtre qui donne directement à l’endroit où se garent les voitures, et ! Stupeur ! Mon oncle et ma tante ! Je ne peux pas partir dans ma chambre ! Je suis en cuisine et ne peux pas abandonner tout comme ça ! Donc je décide de rester et de faire comme ça de rien n’était.
— Nathalie ? — Oui maman ! — Tu viens dire bonjour ? — Oui, j’arrive. Attends un peu.
Que faire ? Je n’ai pas le choix, je dois y aller. Je vais dans la salle à manger, je regarde mon oncle qi est tout à fait naturel, et ma tante, qui elle, est tout à fait comme d’habitude. Cela me rassure un peu, ma tante n’est pas au courant. Ouf ! Je fais la bise à ma tante, puis à mon oncle. Il me regarde dans les yeux, je baisse le regard, honteuse et gênée. Puis repars dans la cuisine. J’étais en train de nettoyer le plan de travail pendant que mon gâteau cuit, quand soudain j’entends des pas. Mon oncle !
— Ça va Nathalie ? — Oui, très bien. Et toi ? — Ça va aussi. Tu n’es pas venue mercredi me voir. — Je devais ? — On ne l’avait pas prévu, c’est vrai. Toujours d’accord pour que je fasse ton éducation ? — Tu me laisses le choix ?— Non, pas vraiment en effet. Enfin, un peu quand même, tu peux refuser et tu le sais. — Oui, je le sais, mais tu vas tout raconter— Oui, c’est un peu ça. — Donc je n’ai pas le choix. — Tu peux venir mercredi après-midi ? — Chez toi ? — Tu préfères que je vienne ?— Je préfère venir alors. — Je t’attends pour mercredi alors ? — Oui... — En pus je t’ai acheté un paquet de cigarettes. — Ouais
Et me revoilà prise au piège. Je n’ai même pas su dire non ! J’ai envie de lui dire non, limite que je préfère qu’il le dise à mes parents ! Mais je n’ai pas la force de refuser. Je sais maintenant que je vais devoir me préparer psychologiquement pour aller le voir mercredi. Qu’est-ce qu’il m’attend, je commence à avoir la boule au ventre.Le début de la semaine se passe normalement, mardi je passe deux heures avec mon amoureux à la place d’aller en études libres. Bien entendu, il en prend l’habitude, je l’ai donc masturbé et fais jouir dans ma main cette fois-ci. Mercredi matin ! Bon, voilà, nous y sommes à ce mercredi ! Ça fait deux semaines que je suis allée le voir ! La matinée se passe, midi arrive, 13H00 ! Je vais prendre ma douche et m’habille sans être provocante en croyant que je vais calmer le jeu en étant habillée très, mais très normalement. Il est 14H00. Il faut que j’y aille ! Je n’ai aucune envie, mais je suis tellement bien prise au piège, que je dois y aller. Je rends mon vélo direction chez lui et me retrouve au bout d’un quart d’heure de route devant sa maison. Je ne vois personne, je sonne à la porte. Quelques secondes après, cette porte s’ouvre, il est là, devant moi, toujours avec ce même sourire.
— Bonjour Nathalie. Entre, je t’en prie.
J’entre chez lui.
— On va aller dans la salle à manger comme la dernière fois. Tu veux ? — Oui, comme tu veux. — Assieds-toi. — Alors, que racontes-tu de beau ? — Rien de particulier. — Tu as revu ton ami ? — Oui, samedi après-midi et hier après-midi— Tu lui as fait quelque chose pour lui faire plaisir— Non. (Je sais, je mens, mais je ne veux pas qu’il sache que je le masturbe)— Tu devrais lui faire plaisir des fois si tu ne veux pas qu’il te quitte un jour.— Il m’aime.— Tiens, te voilà un paquet de cigarettes. Tu peux fumer une cigarette, et ensuite, tu viens t’asseoir sur mes genoux, je vais t’embrasser. Je vais te montrer comment bien embrasser, et comment bien utiliser ta langue. -... (Je ne réponds pas)
Puisque je peux rester à l’intérieur, j’allume une cigarette. Il me regarde.
— Ton petit copain ne t’a jamais rien demandé de lui faire plaisir ? — C’est-à-dire ? — Je ne sais pas, te demander de lui donner du plaisir. Il ne t’a jamais demandé de lui donner du plaisir avec ta bouche ? — Non. — Il va te le demander avec les lèvres que tu as, ce n’est pas possible autrement. — Pourquoi ? Qu’est-ce qu’elles ont mes lèvres ? — Tu as une bouche particulièrement très pulpeuse, des lèvres bien dessinées, elle donne très envie. — Envie de quoi ? — Tu ne vois pas ce que je veux dire ? — Non, pas spécialement. — Je veux dire par là que tu as une bouche qui ne laisse pas indifférents les hommes. Une bouche avec des lèvres comme les tiennes donne envie qu’elle suce. Elle doit être très belle en plus quand tu feras ça. Tu n’as jamais fait ? — Non, jamais. Mais je sais que mon copain me l’a déjà dit ce que tu me dis.— Tu vois ! Il ne va pas tarder à te le demander. — Tu crois ?
L’erreur que je pense avoir faite est de lui poser des questions. Il a alors compris que je me posais des questions par rapport à mon ami, et qu’il pouvait même m’inquiéter. Il est vrai que pour l’instant, il ne m’a jamais demandé autre chose que de lui faire plaisir avec ma main. Mais comme je sais que ma main ne va pas lui suffire, il est possible qu’il me demande ma bouche et après mon corps.
— Tu as fini de fumer. Viens t’asseoir sur mes genoux.
Je reste à ma place. Je n’ai pas spécialement envie d’aller m’asseoir sur ses genoux
— Tu ne veux pas venir sur mes genoux ? — Pour quoi faire ? — Je vais t’embrasser. Viens me faire goûter tes jolies lèvres.
Je me lève, me dirige vers lui.
— Assois-toi face à moi.
Puisque je dois faire ce qu’il demande, je m’installe sur ses genoux, en écartant les jambes, pour me retrouver face à lui. Ses mains se promènent le long de mon dos, son visage approche du mien, ses lèvres se posent sur les miennes. A cet instant, j’ai un moment de recul.
— Laisse-toi faire. Je veux juste t’embrasser, goûter à tes jolies lèvres. Elles sont douces.
Je le laisse faire, et ses lèvres se posent complètement sur les miennes cette fois. Après plusieurs baisers de cette façon, sa langue lèche délicatement ma bouche.
— Sors ta langue
Je sors ma langue, et la sienne se pose dessus en faisant des petits mouvements de droite à gauche pour arriver à entrer profondément dans ma bouche et tourner autour de ma langue. Pendant plusieurs minutes, il a mangé ma bouche et mes lèvres ainsi. De son pouce et son index, il pince ma bouche doucement de façon à faire ressortir mes lèvres.
— Tu as vraiment une jolie bouche. Tu sais comment on appelle le genre de bouche que tu as ? — Non— Je vais te le dire. Une bouche comme la tienne, on l’appelle une bouche à pipe. Tu vois ce que je veux dire ? — Pas vraiment.— Tu ne sais pas ce que c’est une bouche à pipe ? — Pas trop non
Toujours en pinçant ma bouche entre son index et son pouce.
— Une bouche de suceuse. Tu comprends mieux là ? — Oui— Et aujourd’hui, c’est ce que tu vas me faire. Je vais t’expliquer— Je ne veux pas te faire ça ! — Si si, tu vas le faire. — Lève-toi
Je me lève. J’ai envie de pleurer, mais je suis bien trop fière pour pleurer devant lui. Il se lève à son tour, va vers le canapé, retire son pantalon complètement ainsi que son caleçon bleu, me fait face qui suis à environ cinq mètres de lui. Je regarde son sexe, raide, droit. Il s’installe en position assise sur le canapé. De sa main droite, il saisit sa verge, et, en faisant de petits mouvements.
— Regarde dans quel état tu me mets. Retire ton haut et ton soutien-gorge et viens te mettre à genoux entre mes jambes, je vais t’expliquer comment tu dois t’y prendre. Ça va te servir pour ton copain quand il te le demandera.
Je retire mon tee short et mon soutien-gorge pour aller vers lui et me positionner comme demandé, à genoux, entre ses jambes qui sont écartées. Il prend dans chacune de ses mains mes seins et se met à les malaxer doucement. Voyant que je ne prends pas d’initiative, il prend ma main droite et la pose sur son sexe.
— Tu te souviens la dernière fois comment tu as fait ? — Oui— Alors fait comme la dernière fois. Branle-moi doucement. — Très bien. Maintenant, tu vas passer ta langue sur mon gland, pareil que quand tu lèches une glace.
Je tire un peu ma langue et la pose sur son gland. Elle monte et descend lentement. Je lèche uniquement le gland. C’est la première fois que je suis en contact direct avec un gland, la sensation est plutôt agréable sous la langue, douce, mais une assez drôle de sensation au début.
— Très bien, maintenant, lèche tout. Tu pars du bas jusqu’en haut et tu repars vers le bas. Tu lèches la totalité doucement.
Je parcours la totalité de sa queue, d’en bas à en haut comme il me demande. Il se redresse légèrement, écarte un peu plus ses jambes.
— Passe ta langue sur mes boules. Oui, très bien. Prends mes boules dans ta bouche et tu les aspires très doucement. Oui, tu te débrouilles bien. Garde-les dans ta bouche, et tu aspires, relâche et aspire. Oui... J’aime le faire lécher les boules. C’est bon ce que tu fais. Tu le fais déjà très bien.
Ses testicules dans ma bouche, je fais à la lettre ce qu’il me demande.
— Retourne sur mon gland. Pose tes lèvres dessus et fais-lui des petits bisous.
Mes lèvres sur son gland, je me mets à l’embrasser comme quand je fais de smacks à mon chéri.
— Oui, très bien. Ouvre la bouche et prends mon gland. Mets-le entre tes lèvres, et enfonce ma queue dans ta bouche. Oui, tu le fais très bien. Tu es sûre que tu n’as jamais sucé toi ? — Oui, sûre. — Vas-y, enfonce encore au plus loin que tu peux aller. Oui, très bien. Remonte maintenant doucement. Recommence, tu montes et descends, fais glisser tes jolies lèvres. Monte et descends un peu plus vite. Oui, très bon ce que tu fais là.
Je me redresse pour être un peu plus confortablement installée, et, sans réfléchir, je vais et viens sur ce sexe, en faisant glisser mes lèvres dessus, en serrant légèrement. Tout d’un coup, je sens une de ses mains se poser à l’arrière de ma tête, et pousse pour enfoncer un peu plus dans ma bouche. Je le laisse faire, mais à un moment donné, j’ai comme un sentiment d’envie de vomir au moment où je ressens le gland au fond de ma gorge. Il le comprend, et lâche la pression. Mais sa main de place sur mes yeux, de sorte que je ne puisse plus voir.
— Prends ma queue au plus profond que tu le peux. Ne bouge plus. Creuse bien tes joues pour mieux aspirer. C’est bien ma chérie, tu es belle avec les joues creusées et une queue dans la bouche.
Puis il retire sa main de devant mes yeux.
— Continus, suce, aspire quand tu remontes en creusant tes joues, continue. Tu veux que je jouisse dans ta bouche ou pas encore ? — Non, pas dans ma bouche ! — D’accord, il est trop tôt. Mets-toi à genoux devant le canapé.
Je me déplace et reste à genoux. Je le vois qui se lève, se met devant moi debout, et me remet sa verge dans la bouche.
— Laisse-moi faire maintenant. Tu m’excites de trop, je ne peux plus me retenir. Je vais te baiser la bouche et t’arroser les seins.
De ses deux mains, il maintient ma tête, et, d’un rythme rapide, il fait aller et venir son sexe entre mes lèvres. Il grogne. Il râle. Je le laisse faire ce qu’il veut de ma bouche, puis se retire pour jouir sur mes seins. Plusieurs jets viennent arroser ma poitrine.
— Ouf ! Tu as été parfaite. Pour une première fois, tu t’es très bien débrouillée. Tu promets toi !
Sans rien dire, je me lève, vais dans la salle de bain et me nettoie les seins. Quand je reviens dans le salon, il est déjà habillé, assis au bout de la table.
— Viens t’asseoir. Franchement, tu n’as pas aimé ? — Non ! — Tu vas y prendre goût, tu verras. — Je ne crois pas. En tout cas pas avec toi ! — Mais si. La prochaine fois, on fera un peu plus de choses. Je te dirai le jour et tu viendras. — Je ne veux pas revenir, on va arrêter.
Il prend son téléphone portable, me le met devant les yeux et me montre une photo. Stupéfaction ! Il m’a pris en photo au moment où il me cachait les yeux. Je me vois avec son sexe en bouche, les joues qui creusent ! Trois photos de ce genre !
— Comme tu veux. Mais là, tu ne peux pas dire que je n’ai pas de photo. Sois je les montre à ton chéri, et je crois qu’il ne va pas apprécier, mais aussi à tes parents, et je leur dis que tu m’as presque sauté dessus, soit, tu reviens et je ne les garde rien que pour moi.
Je le regarde avec un regard de tueuse...
— Il y a une chose que je t’ai promise, c’est de ne pas toucher à ta virginité. Je ne vais pas te dépuceler, il faut que tu en gardes un beau souvenir, donc ce sera ton petit chéri. La seule chose que je fais te demander régulièrement, est de me sucer, et que je joue avec tes gros seins. La prochaine fois, on fait un peu plus de choses.
Je me lève sans lui répondre, prends la porte et pars chez moi à toute vitesse.

Le prochain épisode est un peu mouvementé. Vous le voulez le chapitre 4 ?
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