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Surprise par mon oncle

Chapitre 6

Je vais vers la décadence.

Inceste
FIN DU CHAPITRE 5
Je n’ai pas joui. Je ne peux pas dire que j’ai eu très mal. Je n’ai pratiquement pas perdu de sang. La douleur n’est pas plus importante par rapport à l’initiation de la sodomie de mon oncle. Mais je suis dépucelée ! (J’ai appris plus tard que je n’ai pas perdu beaucoup de sang pour la simple et bonne raison est que je fais de l’équitation depuis mon plus tendre âge, que qu’il y a de fortes chances que, l’équitation à grosse dose m’a permis de perdre l’hymen naturellement.)
Quoi qu’il en soit, je garde un excellent souvenir de mon dépucelage.
Quelle sera la réaction de mon oncle quand je vais lui raconter la fellation faite à sa demande, mais aussi mon dépucelage ?
Me voilà femme ! David m’a dépucelé en douceur, je lui ai fait une fellation avec éjaculation faciale à la demande de mon oncle.
Nous sommes aujourd’hui mercredi. Je suis chez mon oncle. Comme d’habitude, un paquet de cigarettes sur la table.
— As-tu fait ce que je t’ai demandé avec ton copain ? — Oui, je lui ai fait. — Où ? — Dans ma chambre.— Tu vois que tu as trouvé l’occasion ! — Oui, en effet.
Je suis fière de lui expliquer en détail le déroulement de cette fellation avec éjaculation faciale.
— C’est très bien ce que tu as fait. Tu es une bonne élève, qui en plus, obéis très bien. Tu es une bonne chienne.
Puis je lui explique dans le moindre détail mon dépucelage du mercredi dernier. Il m’écoute avec attention, il est fier de moi.
— Te voilà femme alors. Tu vois, je te l’avais dit, ce n’est pas plus douloureux que ça. — Non, c’est vrai. Je dirai même que j’ai eu moins mal avec la sodomie que la pénétration vaginale. — Il a pris un préservatif ? — Oui, il en a toujours avec lui, parce qu’il savait que ce moment allait arriver.— Tu es sûre qu’il ne va pas voir ailleurs ? — Non, je ne crois pas. Il est fidèle, puis depuis quelque temps, je lui fais plaisir. — Viens me montrer comment tu lui as fait dans ta chambre. Viens sur le canapé.
J’ai perdu toute pudeur avec lui. Sans aucune hésitation, je le suis vers le canapé.
— Tu veux que je te reproduise ce que je lui ai fait ? — Oui, tu as tout compris. Cet après-midi, on va faire plus vite que d’habitude, ta tante entre un peu plus tôt. — Je veux bien mais je ne te refais pas la même chose que lui sur mon visage. — Ah si ! Je veux jouir sur ton visage moi aussi ! — Bon, d’abord, il était assis sur un pouf de ma chambre. Assieds-toi. — Oh, tu as l’air motivée. J’aime bien ça. — Pour être franche, moi aussi je crois que j’aime bien ça. — Tu aimes quoi exactement ? — Que tu me demandes de lui faire des choses et de t’expliquer après. Puis je découvre de nouveaux plaisirs avec toi. — C’est très bien. On va bien s’amuser tous les deux. Vas-y, je t’écoute ? — C’est vraiment obligé sur ma figure ? — Oui. — Alors baisse ton pantalon, et assiste-toi sur le bord du canapé.
Son sexe est déjà dur. Il est très excité, je le sens à son comportement. Je reproduis exactement ce que j’ai fait à David. Je le suce avec autant de douceur que je l’’ai fait.
— Hum, j’imagine très bien ce que tu lui as fait. Tu es très belle quand tu suces. — Ensuite, je lui ai demandé de se lever, de se mettre devant mon visage et de se masturber dessus. — D’accord, je fais faire comme lui.
Mon oncle se met face à mon visage, je suis à genoux, il se masturbe, je ferme les yeux et attends sa semence tout en entendant ses commentaires.
— Il s’est branlé comme ça ? — Oui.— Tu as fermé les yeux aussi ? — Oui. — Il t’a dit que tu étais une petite cochonne ? — Non. Il ne disait rien. — Tu as tout pris sur ton visage ? — Oui,— Salope ! Tu m’excites ! Je vais jouir ! ! !
Plusieurs jets de son sperme s’écrasent sur mon visage. J’ai l’impression qu’il y en a plus que David ! J’en reçois partout.
— Je t’ai souillé ton beau visage de pute. Tu es très sexy comme ça. — Merci. Je peux aller me laver ? — Oui, vas-y.
Je reviens dans la salle à manger.
— Maintenant nous sommes deux à te jouir sur le visage. Tu aimes ça ? — Si je peux me nettoyer aussitôt après, je ne déteste pas. C’est vrai. — Pour le moment, tu ne lui offres pas ton petit cul. Il n’est pas encore prêt. D’accord ? — Oui, d’accord. Mais je ne compte pas me faire sodomiser par David pour le moment. Je ne veux pas aller trop vite avec lui. — Tu aimes sucer un homme ? — J’ai découvert ça avec toi. Au début je n’aimais pas trop. Puis à force de le faire, je dois avouer que je commence à prendre goût à donner du plaisir de cette façon. — Tu aimerais sucer d’autres hommes ? — Tu veux dire sucer d’autres hommes... Autres que toi et David ? — Oui, devant moi. — Non ! Ca jamais ! — Ca ne te plairait pas d’avoir deux queues à sucer en même temps par exemple ? — Non. Enfin je ne sais pas. Mais je ne veux pas sucer d’autres hommes que toi et David ! — Bon d’accord, c’était juste une question. Je ne vais pas te forcer si tu ne veux pas le faire. Mais si un jour tu veux essayer, tu me le dis.
Je ne me vois pas du tout sucer deux hommes en même temps !
— Ben moi je te vois très bien. Avec la bouche que tu as et la façon de faire, tu devrais te débrouiller comme une chef et savoir donner du plaisir aux deux. — Tu connais quelqu’un ? — Ce n’est pas difficile à trouver si un jour tu as envie. Tu me le diras ? — Oui, mais je ne le veux pas. — Je n’insiste pas alors. — Merci.— Ton copain a le permis de conduire s’il a 19 ans ? — Oui, pourquoi ? — Nous allons faire un nouveau jeu tous les deux. Je vais te demander quelque chose que tu vas faire. — Quoi ? — Samedi tu vas le voir ? — Oui. — Alors tu vas lui proposer de faire une balade et tu vas l’amener dans ma cabane de pêche. — Tu veux que j’aille avec lui à ta cabane ? — Oui. Je te donne le double des clés, et tu y vas avec lui. — Et après ? — Vous ne me verrez pas, mais je serai là. Quand vous serez à l’intérieur, je me mettrai à la petite fenêtre. Et tu feras l’amour avec lui. Je vous regarderai. — Tu ne feras que regarder ? — Non, je vais me branler en vous regardant.— Tu es vraiment un vicelard. Mais j’accepte.
Le samedi arrive, c’est avec plaisir que David accepte de me conduire à la cabane de mon oncle, près d’un étang. Nous allons faire un tour autour de cet étang, je ne manque pas de regarder si je vois mon oncle dans les parages, mais je ne le vois pas. Je ne sais même pas s’il est là. Bref. Davis et moi allons dans la cabane. Il y a un lit, recouvert d’une jolie couverture fine propre, une table et des chaises, un frigo.
La petite fenêtre dont me parlait mon oncle est sur le côté, pratiquement en face du lit. Je pense que le lit n’a pas été mis à cet endroit au hasard, mais que je soupçonne mon oncle d’être un voyeur vicieux.
— C’est chouette ici ! C’est à ton oncle ? — Oui, il y vient pour pêcher, et quelques fois il y reste dormir. — C’est un pêcheur alors ? — Oui, dans l’étang qu’il loue à l’année. Nous y sommes bien ici, personne ne vient. — Il ne risque pas de venir ton oncle ? — Non, il ne viendra pas aujourd’hui, il n’est pas chez lui. — Bon, d’accord. — J’ai envie de faire l’amour avec toi. — Oui, moi aussi j’ai envie.
Après une séance d’embrassades, de caresses, nous nous retrouverons tous les deux nus. Je n’ai même pas le temps de le sucer un peu ou de le masturber, que David met un préservatif et s’installe déjà sur moi, sexe bien raide, à ouvrir mes cuisses.
Puisque je suis d’un tempérament docile, et que je comprends ce qu’il veut, j’écarte de moi-même les cuisses. Le bout de son sexe se promène sur mes lèvres vaginales. D’un coup, sa verge entre en moi, s’enfonce, et fait des allées et venues. David est excité, il me pénètre le plus profondément qu’il le peut, s’accroche à mes seins en m’embrassant.
David tourne le dos à la fenêtre. Discrètement, je lève la tête et aperçois celle de mon oncle. Il observe ! Je suis sûre qu’il regarde avec la queue à la main à se masturber. Quel voyeur ! Bizarre comme ça peut paraître, la situation de mon oncle qui me regarde me faire prendre pendant qu’il se masturbe m’excite. Je décide de lui offrir ce spectacle pour qu’il soit fier de moi.
David s’accroche à mes seins, m’embrasse, et me donne un coup qui me fait mal ! Il est en train d’éjaculer déjà ! Il reste quelques instants en moi, puis se retire doucement. Il retire son préservatif, plein de semence, et s’allonge près de moi.
— Tu as aimé ? — Oui, je crois que tu as pris du plaisir. — Oui, j’en ai pris, mais je suis désolé, je ne me suis pas bien maîtrisé tellement j’étais excité. — Oui, je sais. Ce sera mieux tout à l’heure. (Je dirige mon regard vers la fenêtre, mais je ne vois plus mon oncle. Est-il parti ?)
Je me lève, vais m’asseoir sur une des chaises autour de la table, toujours nue. En face de David, qui reste allongé sur le lit, j’allume une cigarette et lui souris.
— Ne bouge pas. Quand j’ai fini ma cigarette, je viens m’occuper de toi. — Tu veux ? — Oui, je vais te redonner de la vigueur. Laisse-moi fumer et j’arrive.
Je fume, regarde David, puis la fenêtre, et ainsi de suite. Ma cigarette étant terminée, je retourne sur le lit. Quelques baisers échangés, je descends peu à peu vers son sexe en léchant son torse, son ventre. Je prends délicatement son sexe dans ma main, le masturbe lentement. David est complètement allongé, à plat. Je regarde furtivement vers le poste de surveillance de Marc, et, je suis presque heureuse de le voir me regarder. Cela me motive.
Puisque David est en face de la fenêtre, mon oncle me voit très bien sucer mon petit ami. Je m’applique, lèche sa tige dans tous les sens, l’embouche profondément, creuse les joues. A deux ou trois reprises, mon regard croise furtivement celui de mon oncle. J’aime cette situation, et en plus, je suis sûre qu’il aime me regarder pomper lentement la queue de David. Une fois son sexe bien dur de nouveau, je me mets sur le dos.
— Viens me prendre, j’ai envie de toi.
Ni une ni deux, il met un préservatif, j’écarte de nouveau les jambes, et David me pénètre. Il est plus fougueux que la première fois, plus rapide dans ses mouvements. Je sais que mon oncle est là ! Et cela m’excite. Me faire prendre énergiquement pas David devant les yeux de mon oncle retire de ma bouche un cri de jouissance.
— Ah ! Oui ! C’est bon ! Continu ! J’aime trop là ! — Tu jouis ! — Oui, j’ai joui et si tu ne t’arrêtes pas, je vais jouir une deuxième fois très bientôt.
David plus fort. Je jouis encore une fois. Son tour arrive, dans le préservatif, en moi.
Après ces deux étreintes, nous nous reposons un peu sur ce lit, rangeons bien ce que nous avons dérangé, et retournons chez lui.
Le soir, quand je me retrouve seule dans mon lit, je me surprends à me donner du plaisir solitaire et m’offre un orgasme fulgurant avec l’image de mon oncle à me regarder en se masturbant, et David à s’exciter en moi.
Le lundi, dans la matinée, un ami de David vient me faire la bise avec un grand sourire.
— Salut, ça va ? — Oui, bien et toi ? — Bien aussi. Fais attention, j’ai eu un écho de ce qu’a dit David. — Un écho de quoi ? — Heu... Non, je ne peux pas te le dire, mais fais attention. — Attention à quoi ? — Il raconte des trucs sur toi. — Quels genres de trucs dis-moi. — Laisse tomber, je te dis juste de faire attention. (Puis il part).
La matinée se passe, et, au réfectoire, je vois au loin celui qui m’a mis en garde de je ne sais pas encore quoi avec un autre que je connais un peu pour l’avoir croisé souvent dans les couloirs du Lycée ou dans la cour.
— Je peux me mettre à votre table ? — Oui, pas de problème. — Dis-moi pourquoi je dois faire attention par rapport à David s’il te plaît. — Non, je ne peux pas te le dire et en plus tu ne vas pas me croire. Puis c’est délicat à te dire. — Mais non, tu peux me le dire librement.
Il regarde celui qui est avec nous.
— Tu as bien entendu ce qu’il a dit ? — Oui. — Tu crois que je peux lui répéter ? — Je ne sais pas comment elle va le prendre. — Bon... OK., je te le dis. — Ben oui, je voudrais savoir. C’est normal, je sors avec lui quand même depuis trois mois. — Boon. Ce matin, avant d’aller au bahut, il m’a téléphoné. — Oui, et alors ? — Je lui ai demandé s’il avait passé un bon week-end.— Et après ? — Il m’a répondu que oui, excellent, qu’il a passé le week-end à se faire sucer et à te sauter. Et que tu es une sacrée suceuse.— Je ne te crois pas ! Il n’est pas comme ça ! En plus on ne s’est pas vus tout le week-end mais que samedi après-midi parce que le dimanche, il travaille à son restaurant ! — Sauf que dimanche, il ne travaillait pas. — Non, il me l’aurait dit ! — Je t’assure qu’il ne travaillait pas.
Je suis dans le doute, très en colère dans le cas où David a dit ce genre de propos. Il regarde son copain.
— Tu as bien entendu toi aussi !— Oui, c’est vrai, il l’a dit.
Je suis très en colère. J’ai le doute. Après tout, il est plus âgé que moi, peut-être que maintenant qu’il a eu ce qu’il a voulu, il est en train de me faire une mauvaise réputation ?
Je repense à tout cela en cours. Quand ma journée est terminée, au lieu d’aller directement chez moi, je vais faire un saut chez David. Je sonne, il m’ouvre, surpris.
— Toi ? Mais ce n’était pas prévu ! — Je sais ! Ca te gêne ? — Non, c’est pas ça. Qu’est-ce qui t’arrive ? — Il faut qu’on parle. — Oui, je t’écoute. — Alors il paraît que je suis une sacrée suceuse ? —... — Alors ! — Je sais qui t’a dit ça. — On s’en fout de qui m’a dit ça. Je veux juste savoir pourquoi tu as dit ça ! — C’était pour rigoler. — Merci pour moi ! Et tu as passé le week-end à me sauter ? — Arrête, désolé, je ne redirai plus ce genre de chose. — Tu travaillais dimanche ? — Oui. — Menteur ! — Si si. — Bon OK. Je dois m’en aller. Désolé, je ne te ferai pas une pipe de sacrée suceuse, j’ai autre chose à faire ! Salut !
Je prends la porte et rentre chez moi. Mes parents ne sont toujours pas rentrés. Je pleure et je me demande ce que je dois faire. Le lendemain, après ma journée de cours, je passe devant chez lui à vélo. Sa voiture est là, donc il ne travaille pas. Et pourtant, il devait être à son apprentissage de restauration ! Me trompe-t-il ?
Il est prévu que j’aille voir mon oncle demain, je vais lui en parler.
Le lendemain, je suis chez Marc. Je lui explique ce que m’ont dit ses deux copains, mais lui explique aussi qu’il m’a dit qu’il travaillait mardi alors que sa voiture était toujours garée au même endroit.
— Tu sais Nathalie, les garçons de son âge sont un peu tous comme ça. Tu es un trophée, ils sont fiers, et ont besoin de se vanter à ses copains. — Oui, mais ce n’est pas bien ce qu’il a fait ! — Ce n’est pas bien en effet. Mais tu ne changeras rien. Laisse-le dire. — Je ne veux pas avoir cette réputation au Lycée ! — Tu ne l’auras pas. Je pense que les deux qui sont au courant ne vont pas le répéter, déjà par rapport à toi, puis à ton David. Par contre, tu risques qu’un des deux, ou peut-être les deux, te draguent un peu pour savoir si tu es une sacrée suceuse. (En rigolant).— Ça ne me fait pas rire moi ! — Bon, tu sais que tu une sacrée coquine ! C’était super à la cabane. — Je t’ai aperçu quelques fois à ta fenêtre. — Oui, et j’ai supé bien aimé quand tu le suças en face de moi. Puis franchement, tu prends bien ton pied quand tu te fais prendre ! Tu sais que j’ai éjaculé deux fois ? — Ah bon ? — Tu m’as super excité ! On recommencera ? — A la cabane ? — Oui. — Je ne sais pas. Peut-être pas avec David, avec la tournure que ça prend. — Avec un autre alors. — Qui ? ! — Je ne sais pas. Tu serais prête ? — Non, je ne veux pas coucher avec des mecs différents. — Alors faire des pipes ? — Non plus ! — Il y a un des deux copains de David qui te plaît ? — Ils sont mignons tous les deux. Oui, ils sont pas mal. Pourquoi ? — Et si tu montrais à un des deux que David ne ment pas en disant que tu es une sacrée suceuse ? — Tu veux dire que j’en suce un des deux ? ! — Oui, pourquoi pas ?— Non je ne peux pas faire ça à David ! — Va savoir, il te trompe peut-être. Puis ce serait de sa faute. Après tout, il n’a pas à dire ce genre de chose. Non ? — C’est vrai qu’il n’a pas à dire ce genre de chose sur moi, mais aller jusqu’à sucer un de ses potes, ça va un peu loin quand même. — Je te laisse réfléchir. Si tu acceptes, ce sera à la cabane. Personne ne te verra sauf moi. Maintenant, viens, j’aimerais que tu me suces.
J’avoue avoir aimé le fait que mon oncle me regarde faire avec David. Ca ! Je ne peux pas le cacher ! Par contre, sucer un autre que David dans la cabane, ça me fait devenir un peu salope quand même.
Je le suis sur son canapé. Il retire son pantalon, s’installe et je me mets à genoux comme une soumise qu’il veut que je devienne. Je me mets à le sucer langoureusement. Plusieurs minutes se passent lors de la fellation, je sens ses mains s’appuyer sur ma tête pour m’empêcher de me retirer.
— Je jouis ! ! ! C’est bon ! ! Il a raison, tu es devenue une sacrée suceuse ! ! Avale tout ! Je ne veux pas voir une seule goutte sortir de ta bouche !
Puisque je ne peux pas bouger ni me retirer, je n’ai pas d’autre choix que d’avaler. Ce que je fais, sans trop de plaisir.
— C’est bien ma petite chienne. Tu vois, tu vas devenir une bonne avaleuse.
Son liquide chaud coule le long de ma gorge. J’avale en plusieurs fois. Une fois qu’il s’est assuré que j’ai bien avalé la dose, il me lâche :
— C’est bien ma suceuse. — Tu aurais pu me prévenir ! — Je ne l’aurai pas fait, sinon, tu n’aurais pas voulu avaler. N’est-ce pas ? — Oui, c’est vrai. — Et alors, tu es dégoûtée ? — Non, ce n’est pas si terrible que ça. Ça ne me gêne pas en fait. — Demain soir, je passe voir tes parents. Tu me diras si tu acceptes ma proposition avec un des deux copains de David à la cabane.— D’accord. Je vais réfléchir.
Le soir, je repense à cette proposition. Je suis hésitante. Je ne sais que faire.
La réponse sera dans le chapitre 7 si vous le voulez bien.
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