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Surprise par mon oncle

Chapitre 7

La cabane de la suceuse

Inceste
EXTRAIT DE LA FIN DU CHAPITRE 6.
Son liquide chaud coule le long de ma gorge. J’avale en plusieurs fois. Une fois qu’il s’est assuré que j’ai bien avalé la dose, il me lâche.
— C’est bien ma suceuse. — Tu aurais pu me prévenir ! — Je ne l’aurai pas fait, sinon, tu n’aurais pas voulu avaler. N’est-ce pas ? — Oui, c’est vrai. — Et alors, tu es dégoûtée ? — Non, ce n’est pas si terrible que ça. Ça ne me gêne pas en fait. — Demain soir, je passe voir tes parents. Tu me diras si tu acceptes ma proposition avec un des deux copains de David à la cabane.— D’accord. Je vais réfléchir.
Le soir, je repense à cette proposition. Je suis hésitante. Je ne sais que faire.
Le lendemain, je vais en cours toute la journée. Je sais que mon oncle va passer à la maison dans la soirée, et je n’ai toujours pas décidé si oui ou non j’accepte de faire ce que mon oncle veut me faire faire. Je quitte le Lycée, je n’ai pas encore pris de décision.
J’arrive chez moi, toujours pas de nouvelles de David, ça m’énerve ! Je me dis que s’il tient un peu à moi, il serait au moins venu à la sortie de mes cours ! Je me pose des questions.
La soirée arrive, je suis en train d’écrire dans mon livre intime. Eh oui, je suis une fille unique, j’aime la solitude, et régulièrement j’écris les faits les plus importants de mes journées. Bien entendu, il est très bien caché, et il se ferme avec un petit cadenas. Il ne faudrait pas qu’un de mes parents lise ces écrits, cela ferait l’effet d’une bombe dans la famille.
J’entends une voiture. Je sais que c’est mon oncle. Contrairement aux fois précédentes, je descends pratiquement aussitôt. Mais... Je n’ai pas encore de réponse à lui donner ! Que faire ! Pas de nouvelles de David ? Je crois que je vais me venger !
Marc discute quelques instants avec mes parents, mais nous n’avons pas une seule occasion de parler en retrait. Au moment où il se lève pour s’en aller, la seule façon de pouvoir lui parler est de l’accompagner à sa voiture.
— Je te raccompagne à ta voiture. — D’accord, si tu le veux.
Nous sommes à côté de sa voiture.
— Je suis d’accord pour la cabane samedi après-midi. Mais comment on fait ? — Très bien. C’est super. Tu as jeudi et vendredi pour trouver un moyen d’aller à la cabane avec lui. Ou alors, tu lui dis directement ce que tu veux faire. C’est toi qui vois. — Je lui dis direct ? — Non, pas direct, mais tu lui fais comprendre que tu es prête à lui faire plaisir. — Et s’il refuse ? Ou si je n’y arrive pas ? — Tu viens quand même à la cabane. Si tu es seule, c’est moi qui m’occuperai de toi. Tu ne viendras pas pour rien. — OK.
Il monte dans sa voiture, je retourne dans ma chambre. Je réfléchis, encore et encore.
Le lendemain matin, au Lycée, je l’aperçois. Je choisis le brun, il me plaît plus que son copain. Je me dirige vers lui.
— Salut Jean-Michel. — Salut Nathalie. — Ça va ? — Oui, et toi ? — Bien. Je n’ai toujours pas de nouvelles de David ! — Moi non plus. — Tu me certifies que c’est vrai qu’il t’a dit ça ? — Quoi ? Ah oui, que tu es une... Enfin, tu m’as compris. Tu parles de ça ? — Oui, je parle de ça. Que Monsieur se permet de dire à ses potes que je suis une sacrée suceuse ! — Oui, c’est vrai. Pourquoi je te mentirais ?
Comme je ne suis pas ‘un naturel timide, je décide de lui faire du rentre-dedans. J’ai fait un engagement avec mon oncle, je ne veux pas échouer, et je veux qu’il soit fier de moi.
— Je ne sais pas. Peut-être pour tenter ta chance et savoir comment je m’y prends. — Non, tu rigoles là ! Je ne suis pas comme ça. (En baissant les yeux)— Merci pour moi. Au moins, ça a le mérite d’être clair. — Qu’est-ce que tu veux dire ? — Que je ne te plais pas. — mais je n’ai jamais dit ça ! Tu es même plutôt super mignonne au contraire.
J’arrête ma provocation, je sens qu’il perd pied.
— Je plaisante. Dis-moi, tu as quelque chose de prévu samedi après-midi ?— Samedi après-midi ? Heu, non, pourquoi ?— ça te dirait qu’on aille faire un tour de vélo tous les deux ?— Oui, pourquoi pas. Mais que va penser David ? — David ? Si au moins il me donnait des nouvelles ! Je crois qu’il ne tient pas beaucoup à moi.— Bon d’accord. On se donne rendez-vous où ?— Devant la mairie ? — OK.
Les dés sont lancés. Le rendez-vous est pris. Je ne sais pas encore si je vais réussir à lui faire ce que mon oncle me demande, mais je sais que je vais réussir au moins à l’amener à la cabane.
Le samedi, 14H00, devant la mairie. Je suis la première à être arrivée. J’attends. J’ai un peu le trac. Il arrive avec le sourire.
— Excuse-moi, je suis un peu en retard. — Ce n’est pas grave, je suis arrivée il y a peu de temps. — Tu veux qu’on aille où ? — Je connais un bel étang. C’est mon oncle qui le loue toute l’année. Il y pèche, mais il n’y est pas aujourd’hui. Tu verras, c’est super beau. — Un étang ? Oui, c’est une bonne idée. En route !— A vélo, on doit en avoir pour à peine une demi-heure.
Le temps de la route, nous discutons de choses et d’autres. Je ne le connaissais pas sous cet angle, mais en fait, il est très sympa.
Nous arrivons à l’étang. Nous posons les vélos contre la cabane.
— C’est chouette ici ! Puis qu’est-ce que c’est beau ! C’est quoi cette cabane ? — Elle sert à mon oncle pour mettre son matériel, et des fois il y sort. Il aime bien des fois se retrouver seul ici. — Je comprends, il est au calme au moins ! — Je te ferai visiter tout à l’heure. On fait le tour de l’étang ? — OK. Super.
Nous marchons, nous discutons. Et je remets sur le tapis David.
— Je n’en reviens pas qu’il t’a dit ça me concernant. Je ne le pensais pas du tout comme ça.— Bof, tu sais, David il est comme il est. — C’est-à-dire ? — Il est un peu vantard des fois, même des choses qu’il n’a pas faites. — Il ne l’a jamais été avec moi. — C’est surtout entre mecs.
Je n’ai toujours pas aperçu mon oncle, il se fait très discret, et c’est très bien comme il fait. Mais je me doute qu’il ne doit pas être loin ce vicieux. J’ose provoquer Jean-Michel.
— Il y a une chose qui me fait plaisir, c’est que je dois bien me débrouiller. — Te débrouiller à quel niveau ? — Ben il a quand même dit que je suis une sacrée suceuse. Non ? — Heu... Ben... — Oui ou non ? — Oui.— Donc il doit avoir raison. — Je ne sais pas. — C’est normal que tu ne le saches pas. Je ne te l’ai jamais fait. (En rigolant).— Donc tu ne peux pas savoir si ce qu’il dit est vrai. — Ben non, je ne peux pas le savoir puisque tu ne me l’as jamais fait.— Et... — Oui ?
Toujours en marchant côte à côte.
— Je peux te poser une question directe ? — Oui, bien sûr.— Tu aimerais savoir si Davis a raison.— Savoir s’il a raison sur quoi ? — Ben, je te demande si tu aimerais savoir si Davis a raison ou pas de dire que je suis une sacrée suceuse. — Heu... Je ne sais pas. Je pense que oui. — Tu penses seulement ? tu ne sais pas exactement si oui ou non tu veux savoir s’il a raison ? — Et si je te dis que oui, j’aimerais savoir s’il a raison ? On fait quoi ? — Si tu me dis que oui tu veux savoir, on va dans la cabane. Si tu me dis non, tu ne veux pas savoir, dans ce cas, nous n’allons pas dans la cabane.— Et David dans tout ça ? — Il ne me donne plus de nouvelle celui-là ! — Alors je vais te dire que oui j’aimerai savoir s’il a raison de dire ce qu’il a dit.
Nous marchons encore, je me place juste devant lui. Il s’arrête.
— J’espère que tu ne te vanteras pas comme ton copain David ! — Non, je te l’assure. — Je vais te faire visiter la cabane.
Nous empruntons le chemin du retour, arrivons au niveau de la cabane. Je n’ai toujours pas vu ou aperçu mon oncle. Je me demande s’il est là.
J’ouvre la porte et nous entrons. Jean-Michel regarde autour de lui.
— C’est super bien aménagé ici. C’est ton oncle qui a tout fait ici ? — Je crois que oui, il s’est fait aider par ses copains de pêche.
Je m’assieds sur une chaise, lui aussi.
— Que penses-tu de moi à cet instant ? — Je pense réellement que tu m’as emmené ici dans le but que je le dise à David, et que maintenant tu joues avec moi. Mais là, je ne comprends pas ton objectif.
Je me lève, fais mine d’aller à la fenêtre pour contempler le paysage. Il n’est pas trop tard, je peux encore renoncer. Tout en regardant dehors, quelle surprise ! J’aperçois mon oncle ! Il est donc bien là ! Le fait de savoir qu’il est là, prêt à se mettre à son poste d’observation me rassure et me motive à ne pas renoncer.
Je me dirige vers Jean-Michel qui est toujours assis sur la chaise de la petite table.
— Tu es sûr de toujours avoir envie si David a raison ?— Si tu me le proposes, oui, j’en suis sûr. — Ce qui se passera ici ne sortira jamais d’ici ?— Oui, je te le promets.
Je m’approche de lui, lui tends une main qu’il saisit, se lève, je le dirige vers le lit, lui fait comprendre de s’asseoir sur le bord. Il comprend mon indication juste avec ma façon de faire. Je dépose un baiser furtif sur ses lèvres et me mets à genoux.
A la façon dont le lit est placé, mon oncle, de sa fenêtre, peut nous regarder de profil. Mais si Jean-Michel tourne la tête, il peut le voir.
— Allonge-toi, tu seras mieux. —...
Mes mains caressent la bosse déjà formée dans son pantalon. Je débraguette, et, en saisissant en même temps son caleçon, je tire de façon à descendre l’ensemble au niveau des chevilles.
Tout en le regardant dans les yeux, je lui inflige une lente masturbation. Je remarque que son sexe est légèrement plus épais et moins long que celui de David ou mon oncle. (J’aime faire ce genre de comparatif dans ma tête).
De la pointe de la langue, je parcours son gland en caressant ses testicules. Mes lèvres glissent sur cette tige de chaire pour atteindre ses bourses que j’aspire délicatement afin de les mettre complètement dans ma bouche. Ses boulets tournent autour de ma langue. Il ne dit rien, mais il est très tendu.
Je jette un œil discret vers la fenêtre, j’aperçois la tête de mon oncle qui n’en perd pas une miette. Cela me motive, je fais disparaître ce joli membre, millimètre par millimètre dans ma bouche. Je m’applique, je lèche, fais des va-et-vient, retourne à ses testicules, et repends ce membre, je creuse les joues. Je suis tout excitée de lui faire une fellation, et le regarde de mon oncle m’excite davantage. Je me surprends à gémir légèrement.
— Arrête un peu Nathalie, je ne vais pas pouvoir résister beaucoup plus longtemps ! — Déjà ? Laisse-moi encore un petit peu de plaisir à te le faire. — Je vais essayer, mais tu es trop cruel avec moi ! — David a raison alors ? — Oh oui qu’il a raison ! Tu as une de ces façons de faire que ce n’est pas possible de résister bien longtemps. Je t’assure !
Je reprends mon activité sans lui répondre, mais au bout de quelques allées et venues, lèvres serrées, Jean-Michel arrive au point de non-retour.
— Nonnnnn ! ! ! Stoppe ! ! Je ne peux me retenir ! ! ! Je vais... Ahhhh ! ! !
Je continue ma succion en accélérant mes mouvements. Ma bouche qui va et vient au même rythme que ma main. (Je commence à comprendre le mécanisme d’une fellation bien faite, je pense.)
Son sexe se durcit entre mes lèvres, et lâche sa semence. Puisque mon oncle m’a demandé d’avaler, et que je ne peux pas lui mentir car il me voit, je vais devoir le faire. Le premier jet vient s’écraser contre mon palais. J’avale, les autres se déversent par saccades dans ma bouche, j’essaie d’avaler au fur et mesure. Une fois que je ne reçois plus rien, je sors son sexe de ma bouche, passe quelques petits coups de langue sur son gland devenu sensible, et me redresse en le regardant.
— Tu es déçu ? — Juste whaouuuuu ! Non, je ne le suis pas. Ouf ! Peut-être que toi tu l’es. — Pourquoi je le serais ? — Ben, j’ai eu du mal à me contenir. — Ce n’est pas grave ça. Je te rassure, j’ai bien aimé aussi.
Nous restons un peu dans la cabane, puis nous reprenons nos vélos pour retourner au point de départ, la mairie. Une fois à la mairie, au moment de se dire au revoir, son regard se plonge dans le mien.
— Nathalie ? — Oui. — Je peux te poser une question ?— Oui. — Je ne sais pas comment te le dire. — Dis-le simplement, je comprendrai. — Ce que nous avons fait tout à l’heure. C’est juste une fois comme ça, ou bien ça peut se reproduire ? — Je ne sais pas du tout. On verra. Je ne peux pas te répondre tout de suite. Par contre, bouche cousue et motus hein ? ! — Oui oui.
Nous nous faisons la bise chacun de nous deux parts de son côté. Je croise la voiture de mon oncle qui me fait des appels de phares et me fait signe de m’arrêter. Il va un peu plus loin, fait un demi-tour et descend de sa voiture.
— Tu as été parfaite ! On sent que tu es faite pour ça ! J’ai adoré te regarder. Je suis encore super excité, mais si, en te voyant, j’ai bien joui. — J’aime bien, mais je suis prise remords. Je ne sais pas s’il va tenir sa langue. Et ça, ça me fait peur par rapport à David et au Lycée. — Si tu veux qu’il tienne sa langue, va falloir que tu lui refasses plaisir je pense. — C’est bon là ! — Viens avec ton vélo jusqu’au parking là-bas, je vais me garer au fond, tu vas me faire une pipe petite salope ! — Oh non ! Ne me demande pas ça s’il te plaît ! Puis ça ne te gêne pas que je te suce en sachant qu’il a joui dans ma bouche ? parce que je ne sais pas si tu as vu, mais j’ai fait ce que tu m’as demandé, j’ai avalé. — Oui j’ai vu et tu es une bonne coquine. Tu vas me faire une pipe dans la voiture vite fait ! Et non, ça ne me gêne pas de passer après lui, au contraire, ça m’excite encore plus ! Viens !
Je n’en ai pas du tout envie, mais je monte sur mon vélo et vais jusqu’au parking qui se trouve à environ trois cents mètres d’où nous sommes. Il est garé au fond, je monte dans sa voiture côté passager à l’avant.
Il ne me laisse même pas le temps de m’installer comme il le faut qu’il commence à m’embrasser ! Ses lèvres s’écrasent sur les miennes, sa langue force le passage, mais je n’ouvre pas la bouche.
— Tu as les lèvres qui sentent la bite. J’adore ! (En continuant à écraser ses lèvres sur les miennes)— Arrête ! Ne me dis pas ça ! C’est sale et gênant. — Pourquoi gênant ? — Je t’assure que c’est vrai, elles sentent.— Quelle horreur ! Et tu peux m’embrasser sans être dégoûté en sachant qu’il y a moins d’une heure j’ai fait jouir un mec ? — Oui, sans problème, j’adore ! Plus tes lèvres sentiront la bite et plus tu me feras plaisir.
Il regarde autour de nous, il n’y a personne, il prend ma tête entre ses mains et m’embrasser fougueusement, en forçant l’ouverture de ma bouche avec sa langue. Elle se met à tourner autour de la mienne pendant au moins une ou deux minutes, que j’en ai du mal à respirer.
— Même ta langue a le goût de la bite. Tu es trop excitante.
Il prend ma tête dans ses mains, la pousse vers son sexe raide de désir, son gland force l’ouverture de ma bouche. J’ouvre. Pour la première fois, il est un peu brutal. Il prend une touffe de mes cheveux, puis m’oblige à faire de va-et-vient à la vitesse de son choix. C’est-à-dire rapides.
Je n’ai pas le temps d’avaler ma salive, il l’enfonce au fond de ma gorge, la ressort, repousse ma tête, donne des coups de reins, je bave. Je ne peux qu’accepter que de me faire baiser la bouche frénétiquement.
— Salope ! Tu m’as trop excité. Tu vas en avoir un paquet de bites qui vont passer dans ta bouche de suceuse. Je vais faire de toi la suceuse de la cabane ! Ohhhhhh, pour la deuxième fois je jouis ! ! !
Il bloque ma tête en maintenant sa verge au fond de ma bouche.
— Prends ça ! Avale ! Prends ta deuxième dose de sperme ! Ouiiiiii, c’est trop bon. Tu vas sentir encore plus la bite !
Comme de fait, je reçois ses giclées que j’avale au fur et à mesure par obligation.
— Merci de m’exciter comme ça. Tu es vraiment un amour.
Nous nous séparons.
Le soir, dans ma chambre, j’écris dans mon journal intime ce que j’ai vécu aujourd’hui. Je n’en reviens pas moi-même ce que j’ai été capable de faire. Je ne sais même pas comment j’ai pu faire pour recommencer dans la voiture de mon oncle, sur un parking, soit, désert, mais quand même !
Lundi, quand j’arrive au Lycée, je vois Jean-Michel. Je vais au-devant de lui pour lui faire la bise. Que ce soit lui ou moi, nous sommes très naturels. Ça me rassure au fond de moi. Le midi, au réfectoire, je vais à sa table. Il mange souvent avec le même garçon, celui qui a entendu la conversation quand David a dit que j’étais une sacrée suceuse. Il est sympa.
Contrairement à Jean-Michel qui est aussi naturel qu’avant ce qu’il s’est passé entre nous dans la cabane, son copain, Frédéric, me regarde autrement. Ses regards se font insistants, ses sourires aussi. J’espère que Jean-Michel ne lui a rien dit !
A la fin du repas collectif, Jean-Michel part dans une salle de cours, et Frédéric reste avec moi. Nous restons ensemble dans la cour du Lycée. Nous bavardons. Il me drague ! Mais... Est-il au courant de quelque chose ?
La sonnerie sonne, nous devons rejoindre nos salles de cours. Puisque nous ne sommes pas dans la même classe, nous nous séparons. A la sortie, je le revoit, il vient me voir.
— Je peux te parler ? — Oui.— Je voudrais juste te dire que je te trouve très belle. En fait, je suis très attiré par toi. — Tu es gentil, mais jusqu’à preuve du contraire, même si pour le moment je n’ai pas encore de ses nouvelles, je suis toujours avec David. — Ah oui ? Je pensais que vous n’étiez plus ensemble. — Pour le moment, si. Mais ce que tu me dis me touche. C’est très gentil.
Je vais voir mon oncle le mercredi après-midi.
— Tu sais que je suis très fier de toi, et surtout depuis la fois que tu as fait une gâterie au mec de ton Lycée ? — Je ne suis pas très fière moi. — Tu peux l’être. Tu as super assuré. — Tu as dû remarquer que je suis assez voyeur. Tu veux qu’on continue ce petit jeu dans la cabane ? — C’est-à-dire ? — Ben, que tu amènes des mecs là-bas, et que tu leur fasses plaisir pendant que je regarde.
Je change de conversation.
— Tu sais ? Les deux mecs qui m’ont dit ce qu’a raconté David ? — Oui, d’ailleurs tu as sucé un d’eux. — Oui, c’est ça. Et bien l’autre me drague ouvertement. — Laisse le faire ! — Mais David ? — Tu n’as pas de ses nouvelles que je sache ! — Non, mais je vais aller le voir pour explications quand même. Il me manque. — C’est toi qui voit, mais je crois qu’il se moque de toi. Par contre, celui qui te drague, amène-le dans ma cabane ! — Ah non, je ne vais pas tous les amener dans ta cabane quand même ! ! ! — Pas tous, juste ceux que je te dis. — Non, je ne le veux pas.
Il se lève, me prend par la main, tire sur mon bras pour m’obliger à le suivre dans la chambre d’amis de l’étage. Dès que nous y sommes arrivés, il retire mon short et ma culotte, me pousse sur le lit, et il commence à me frapper les fesses.
— Tu vas voir si tu vas me contredire souvent. Tiens ! Prends ça !
Une grosse claque sur mes fesses.
— Aie ! — Tu n’aimes pas recevoir la fessée ? — Non, tu me fais mal là !— Tu n’as pas à me contredire ! — Aie !
Pendant plusieurs minutes, il me fesse fort. Je commence à sentir une douleur.
— J’ai mal là ! — Attends petite salope, tu vas voir ce que tu vas voir !
Il va à la table de nuit, prend le tube de lubrifiant de la dernière fois, étale la crème sur mon petit trou, en rajoute sur son sexe, et, doucement cette fois-ci, je sens son gland entrer entre mes fesses. J’ai le droit à une sodomie, douce, ferme et longue que j’arrive à en jouir. A son tour de se déverser au fond.
— As-tu compris ? — Oui (En baissant la tête). — La prochaine fois que tu me dis non, ce sera le même traitement ! Une grosse fessée et une bonne sodomie pour calmer la douleur !
Il prend une poignée de mes cheveux dans une de ses mains, tourne ma tête jusqu’à ce qu’elle soit à moins de cinq centimètres de la sienne.
— Répète après moi ! Je vais amener le mec qui me drague dans ta cabane pour lui faire une bonne pipe devant toi ! — Je ne peux pas faire ça ! — Tu préfères quoi ? Que j’amène plusieurs hommes pour qu’ils te baisent à la chaîne ou bien tu préfères sucer le mec du Lycée ? ? ? — Je préfère lui. — Alors tu vas le faire ! — Oui ! Tu me fais mal. — Répète ! — Je vais amener le mec et lui faire une pipe devant toi ! — Je préfère ça !
Une fois que j’ai eu le droit à une bonne fessée et une sodomie, nous retournons dans la salle à manger.
— Tu es sérieux quand tu dis que je vais ramener l’autre copain à la cabane ? — Oui, je le suis et tu vas le faire. — Mais pourquoi tu veux que je fasse ça ? — Tu es tellement belle, et j’aime te regarder faire. Tu vas être la suceuse de la cabane. Je ne te laisse pas le choix. Tu te débrouilles comme tu veux, mais il te faut l’amener et je sais que tu en es capable !
Je le quitte, je rentre chez moi. Je me vide sur l’écriture de mon journal intime avant de m’endormir.
Nous sommes jeudi, je retourne au Lycée. Je vois Frédéric, qui ne sait plus trop bien comment il doit agir avec moi, et son copain qui me drague plein tube ! Entre ces deux-là, David et mon oncle, je dois avouer que je perds la boule.
Le soir à la sortir des cours, je décide d’aller chez David afin d’avoir une explication avec lui. Hélas, à quelques mètres de son appartement, je le vois. Mais pas seul ! Il est en train d’embrasser une autre fille. Ils se roulent de patins à ne plus en finir ! ! Mon cœur bat la chamade, je tombe de plusieurs étages, je n’en crois pas mes yeux. Je ne veux même pas lui parler, j’ai bien compris qu’il est déjà passé à autre chose !
Toute la soirée, je pleure, je suis triste, je ne pensais pas qu’il allait voir une autre fille. Je n’ai pas eu d’explications de sa part. C’est juste un salop. Je suis très en colère ! La nuit se passe, le lendemain matin je suis toujours aussi en colère envers David. Je vois Jean-Michel au loin. Puisque je sais qu’il est copain avec David, je vais le voir.
— Salut. — Salut Nathalie. Ça va ? — Pas trop non. Tu es au courant que David est avec une autre fille ?— Non, pas spécialement. — Ben je te le dis. C’est bien un salop ! — Je suis désolé pour toi.
Le soir de ce même vendredi, mon oncle passe chez mes parents. Je profite d’une occasion pour lui expliquer l’histoire de David, et que du coup, je ne me suis pas occupé de trouver le moyen d’amener Frédéric à la cabane.
— Débarrasse de ton esprit David. Je vais t’aider à l’oublier et à te venger. Samedi, je ne serai pas à la maison. On se donne rendez-vous à la cabane mardi après tes cours, et je vais t’expliquer des choses que tu feras pour oublier ce David. D’accord ? — Oui, d’accord.
C’est à partir de là que mon oncle a changé. Il est devenu bien plus demandeur, mais aussi autoritaire.
Découverte dans le prochain chapitre.
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