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Surprise par mon oncle

Chapitre 8

La décadence et j'aime ça !

Inceste
FIN DU CHAPITRE PRECEDENT.
Le soir de ce même vendredi, mon oncle passe chez mes parents. Je profite d’une occasion pour lui expliquer l’histoire de David, et que du coup je ne me suis pas occupé de trouver le moyen d’amener Frédéric à la cabane.
— Débarrasse de ton esprit David. Je vais t’aider à l’oublier et à te venger. Samedi, je ne serai pas à la maison. On se donne rendez-vous à la cabane mardi après tes cours, et je vais t’expliquer des choses que tu feras pour oublier ce David. D’accord ? — Oui, d’accord.
C’est à partir de là que mon oncle a changé. Il est devenu bien plus demandeur, mais aussi autoritaire.
Comme prévu, je vais rejoindre mon oncle à la cabane de pêche. Il est arrivé avant moi.
— Salut Nathalie ! — Salut. — Viens, on va aller à l’intérieur. Il faut que je te parle. — Je t’écoute.— Bon, voilà pratiquement deux mois que nous avons cette relation. Pa rapport à la première fois, tu sembles beaucoup plus ouverte et épanouie. — Oui, c’est vrai. — Tu es ouverte à beaucoup de choses. N’est-ce pas ? — C’est toi qui m’ouvres à tout ça, puis il faut dire que tu ne me laisses pas trop le choix non plus. Tu m’obliges. — C’est vrai ! C’est un peu le jeu de cette relation. Donc maintenant que tu n’es plus avec David, tu as l’esprit libre et tu peux aller plus loin dans le plaisir. Je vais t’apporter tout ce que tu auras besoin pour faire plaisir à un homme plus tard. — Pourquoi pas... — Donc à partir de maintenant, tu feras tout ce que je te demande. Tu es ma petite soumise. — Tout ?— Oui tout. A savoir : 1 Tu suces qui je veux et quand je le veux. 2 Si je te demande de te faire prendre, tu dois te laisser faire. 3 Je suis le seul à te donner la fessée. — Tu ne vas pas quand même accepter que d’autres hommes me prennent ? !
— Si je le décide, si, tu as bien entendu ! — Pour commencer, tu te débrouilles pour amener le mec de ton Lycée dans la cabane ! — Ce n’est pas si facile ! — Tu te débrouilles !
Sur ces mots, il se lève et viens vers moi.
— Viens, on va aller sur le lit, j’ai envie de toi.
Nous sommes sur le lit, il m’embrasse, me caresse tout en me déshabillant. Une fois que nous sommes tous les deux nus, il me positionne sur le dos et me prodigue un cunnilingus qui me fait jouir à deux reprises. Il se place sur moi, écarte mes jambes. Je sens son gland se frotter contre mes lèvres vaginales, et, peu à peu, me pénétrer.
— Tu ne vas pas me pénétrer hein ? — Et pourquoi je ne le ferais pas ? Tu as perdu ton dépucelage non ? ! — Oui, mais tu m’avais dit que tu ne me prendrais pas à cet endroit. — Tu perds la mémoire ma grande ! Je t’ai dit que tant que tu ne seras pas dépucelée, je ne toucherai pas, mais maintenant que c’est fait, j’ai bien l’intention de te prendre comme ça aussi.
Je ne dis rien puisque je sais que ce sera peine perdue. Son sexe entre en moi, fait des allées et venues. Mon oncle est excité. Jambes écartées au maximum que je le peux, il me prend avec force en me tenant la tête avec ses deux mains, tout en m’embrassant.
— Tu la sens bien là hein ? ! — Oui (C’est vrai en plus, je la sens bien et le pire est que je prends du plaisir !)— Dis-moi que tu aimes te faire prendre ! — J’aime me faire prendre ! — Dis-moi que tu vas écarter les jambes pour des hommes et être gentille avec eux ! — Non, pas des hommes, mais pour toi ! — Pour moi et pour d’autres hommes ! Répète ! — Je vais écarter les jambes pour d’autres hommes ! Oh ! C’est bon ! Je suis en train de jouir !
A peine ma phrase terminée, mon oncle se retire et éjacule sur mon ventre.
— Oh ma chérie, tu m’as trop excité à me dire que tu vas écarter les jambes pour d’autres hommes. — Mais je ne le veux pas trop quand même. — On va commencer par des pipes. D’accord ? — On verra.
Nous nous quittons sur ces mots. Une fois que je suis revenue chez moi, je commence à comprendre que mon oncle souhaite me partager à d’autres hommes, et qu’il sera sûrement voyeur comme il a déjà fait à la cabane.
J’ai encore le cœur blessé de l’attitude qu’a eue David. Il a si vite tourné la page avec moi ! Par rapport à ça, j’ai envie de me venger. J’ai sucé un de ses copains, Jean-Michel, mais je suis bien décidé à faire la même chose avec son autre copain, Frédéric. Je ne sais pas comment je vais m’y prendre, mais je vais le faire. Et mon oncle va être fier de moi.
Le jeudi, je vois Frédéric. Nous nous faisons la bise, il me regarde timidement. J’ai l’impression que Jean-Michel lui a dit pour la fellation que je lui ai faite à la cabane.
— Jean-Michel n’est pas avec toi ? — Non, je ne l’ai pas encore vu. — Très bien, c’est toi que je veux voir. (En regardant autour de nous si on pouvait être entendu). — Ah bon ? — Que dirais-tu si je te propose de se voir demain après les cours ? — Heu... Oui avec plaisir. — On ira dans un endroit calme, nous pourrons mieux discuter ensemble. (En pensant dans ma tête, mieux te sucer).— Je suis d’accord.
Le rendez-vous est pris. J’envoie un SMS à mon oncle. Depuis peu, il m’a donné l’autorisation de lui envoyer des textos.
— Demain vers 17H30, je serai avec celui dont je t’ai parlé à la cabane.— OK, j’y serai.
La journée de vendredi se passe bien au Lycée, je crois à plusieurs reprises Frédéric, puis, après les cours, il vient me rejoindre à l’endroit où nous garons les vélos.
— Tu me suis ? — Oui, où tu veux aller ? — Tu vas voir, c’est une surprise.
Nous prenons nos vélos respectifs, et allons à la cabane de mon oncle. Je commence à l’aimer cette cabane !
— C’est super beau ici ! — Oui, et en plus, on a une cabane à notre disposition. J’ai la clé. — C’est encore mieux.
Nous entrons à l’intérieur.
— Si tu veux boire quelque chose, dans le frigo, tu trouveras des bières, ou bien du sirop et de l’eau fraîche.— Non merci. Je n’ai pas soif pour le moment.
J’ouvre la fenêtre pour ouvrir le petit volet, et, en même temps, regarder si je ne vois pas mon oncle. Bien ! Je le vois à une dizaine de mètres, je sais qu’il sera très vite à son poste d’observation. Le but est de faire une gâterie à Frédéric, mais je ne sais toujours pas comment faire.
J’ai deux motivations. La première est que mon oncle puisse me regarder et être fier de moi. (Je commence à apprécier ces petits jeux avec lui !). La deuxième est que je suis bien décidée à me venger de David. J’ai presque envie qu’il apprenne ce que je suis capable de faire à ses copains.
Je prends mon courage à deux mains. Je me lance !
— Tu sais pourquoi je t’ai proposé de venir avec moi ici ? — Non, mais tu vas me le dire, je pense. — Oui, je vais te le dire, et peut-être même que je vais te choquer. — Me choquer ? Mais pourquoi ça ? — Parce que j’ai envie d’être directe avec toi. — Bon d’accord, je t’écoute. Mais tu m’inquiètes là ! — Non, ne t’inquiète pas. J’ai compris que je te plais ? — Oui, on ne va pas se mentir. Tu me plais. — Jean-Michel ne t’a rien dit à mon sujet ? — Non, rien de spécial. Pourquoi ? — Je ne sais pas, il aurait pu te dire quelque chose à mon sujet. — Non, rien de particulier. Tu veux bien me dire maintenant pourquoi tu m’as proposé de venir ici avec toi ? — Je vais te le dire, mais j’espère que tu ne vas pas être choqué ou en colère. Mais tu peux aussi être enchanté par ce que je vais te dire. — Arrête de faire durer le suspens s’il te plaît. Dis-moi naturellement et sans chichi. — Bon, d’accord. Voilà, tu te souviens que David a dit que j’étais une sacrée suceuse ? — Oui, mais bon, ce n’est pas très correct de sa part je trouve. — Tu as raison, ce n’est pas correct de sa part. Alors je ne peux pas te dire qu’il a raison si j’en suis une sacrée, mais je peux te dire qu’il en bien profité. — Il a eu de la chance. — Et ce que je veux te dire est que tu peux en profiter maintenant si tu en as envie. Ne te met pas en colère hein !— Heu... Je ne vais pas me mettre en colère, mais tu es une fille très surprenante ! Je ne sais pas quoi penser. Tu ne joues pas avec moi par hasard ? — Non, je ne joue pas avec toi. Si tu veux en profiter, c’est maintenant.
Avec son air de timide, un sourire apparaît à ses lèvres. Son regard se lève vers le mien.
— Maintenant ou jamais ? Alors je dis maintenant. Mais tu ne me retireras pas de la tête que tu es une fille surprenante et mystérieuse.
De l’endroit où il est, je sais que mon oncle ne peut pas voir ce que je vais lui faire. Je me dirige vers lui, lui tends la main pour l’amener sur le lit. De cet angle, je sais que Marc aura une plus jolie vision. Il comprend qu’il doit s’allonger sur le lit. La coïncidence veut qu’il soit exactement à la même place que son copain Jean-Michel. (Souvenirs-souvenirs)
— Tu te laisses tout simplement faire. — Avec plaisir.
Une jolie bosse est formée entre ses jambes. Il n’a pas mis longtemps à comprendre ce que je voulais lui faire. Pantalon baissé jusqu’aux chevilles, j’ai de moins en moins de pudeur à faire cette caresse buccale, et surtout que je commence sérieusement plaisir à le faire en présence de mon oncle.
Après plusieurs passages de ma langue sur son sexe raide, je l’embouche. Je ferme les yeux. J’aime ce que je fais. Il se tortille, il bouche, arrive même à gémir. Ce traitement dure environ un quart d’heure pour enfin exploser dans ma bouche. Mon oncle avait raison, il fait de moi une bonne avaleuse.
Tout en gardant son sexe dans ma main, je me redresse, avec un joli sourire aux lèvres.
— Tu as aimé ? — Oh oui ! Quel savoir-faire ! — Toi aussi tu vas dire que je suis une sacrée suceuse ? — Je ne le dirai pas aux autres, mais à toi, je peux te le dire. Oui, tu es une sacrée suceuse. — Merci. C’est gentil.
Nous restons un peu encore, puis reprenons nos vélos pour rentrer chacun chez soi.
Le soir, je reçois un SMS de la part de mon oncle.
— Je suis de plus en plus fier de toi.
Le week-end se passe normalement. Le dimanche soir, je reçois un SMS de mon oncle.
— Mardi, après tes cours, rendez-vous cabane. — OK.
Comme convenu, mardi après mes cours, je file à la cabane. Je vois la voiture de mon oncle. J’entre, et, surprise ! Mon oncle n’est pas seul ! Cet homme, je ne le connais pas. C’est la première fois que je le vois. Il doit être un peu plus âgé que Marc, les cheveux grisonnants, mince.
Je m’assieds autour de la petite table me demandant ce que je fais ici, puisque mon oncle est accompagné.
— Ma chérie, tu vas devoir faire ce que je te dis. — C’est-à-dire ? — Mon ami a une femme qui refuse catégoriquement la fellation. Je compte sur toi pour lui donner ce plaisir aujourd’hui. — Non ! — Non ?
Il sort de sa poche son téléphone portable.
— Regarde ces vidéos. La première, tu es en train de faire une pipe à celui que tu as amené l’autre jour. Attends, regarde la deuxième, tu es toujours en train de faire une pipe, mais ce n’est encore pas le même. Tu vois la troisième ? C’est avec ton copain David. Tu es en train de te faire prendre comme une bonne coquine que tu es. Toujours non ?
Je regarde quelques extraits de ces vidéos. Je vois que je me suis bien fait avoir !
— Et si je refuse malgré ces vidéos ? — Ce n’est pas difficile. Je peux très bien les montrer à tes parents, et je n’ai pas besoin de te dire la suite. N’est-ce pas ? Puis, tu me donnes l’impression que tu aimes bien quand je te regarde. Non ? — Oui, c’est vrai. Mais c’est un peu exagéré. — Tu ne veux toujours pas ? — Encore une fois, je n’ai pas le choix. — Comment tu la trouves Michel ? — Elle est très belle. — Je ne te mens pas quand je te dis qu’elle a une bouche à faire des pipes. — Non, c’est vrai. Elle a une bouche sublime. Vraiment de jolies lèvres.— Très bien. Nathalie, va faire plaisir à mon ami.
Je me lève avec un sentiment mélangé d’excitation et de rage. Une fois à genoux entre les jambes de cet inconnu, je m’exécute à lui faire une lente et douce fellation devant le regard de mon oncle.
— Alors Michel ? Comment est la bouche de ma suceuse Nathalie ? — Elle est douée cette petite garce.
Je ne dis rien, j’entends les commentaires de l’un et de l’autre, je m’applique, et fais en sorte que mon oncle soit content de moi, mais aussi que ce Michel ne regrette pas son passage à la cabane. En fait, j’aime cette situation au fond de moi.
Marc se lève, se place derrière moi à genoux lui aussi. Il m’embrasse dans le cou, me caresse les cheveux, me dis d’une voix douce dans le creux de l’oreille.
— C’est bien, ma chérie. Tu es belle quand tu suces. N’oublie pas les testicules. Alors Michel ? — Elle est succulente. Elle fait preuve d’une grande douceur. Elle est bonne. — Tu entends Nathalie ? Tu es douée. Tu es la suceuse de la cabane.
Je ne réponds pas, mais au fond de moi, je suis fière. Je continue à m’appliquer.
— Caresse-toi le visage avec sa queue. Regarde-le dans les yeux. Fais ta salope. — Hum... Elle m’excite ta petite Nathalie.
Je sens tout d’un coup mon oncle qui pose sa main derrière ma tête. En prenant une poignée de cheveux, il pousse jusqu’à temps que le sexe de Michel disparaisse complètement dans ma bouche. C’est lui maintenant qui m’impose le rythme. Michel se tend, pousse un râle, et je reçois sa semence au fond de ma gorge. J’avale.
Marc lâche mes cheveux, je me lève, bois un verre d’eau et me remets à ma place initiale autour de cette petite table.
— Alors Michel ? Nathalie t’a fait du bien ? — Ah oui alors. J’ai adoré. Une vraie petite suceuse. Elle est très douée.
Je ne dis rien à part un merci à Michel.
Au moment de partir, Michel serre la main de mon oncle, me fait la bise.
— Bon, Michel, quand tu as envie de te faire sucer, tu sais ce qu’il te reste à faire.— Oui, et je ne vais pas m’en priver. Tu veux bien Nathalie ? — Oui, ça ne me dérange pas.
Je me retrouve seule avec Marc. Il me félicite et m’annonce que j’aurai l’occasion de faire des pipes à d’autres hommes, car à partir de maintenant, je suis devenue officiellement la suceuse de la cabane. La seule promesse qu’il peut me faire est de ne jamais me faire prendre par un de ces hommes. Il se le réserve pour lui uniquement.
— Alors Nathalie, est-ce que tu as aimé ? — Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé. Je trouve juste que c’est exagéré de me faire faire ce genre de chose à plusieurs hommes.— Non, ce n’est pas exagéré, plus tu feras et mieux tu suceras, mais aussi que tu aimeras. — On verra, mais ça a un côté excitant, je dois avouer. Je dois rentrer chez moi. — Attends avant de partir. Le fait de t’avoir regardé m’a excité. Mets-toi à genoux que je me soulage sur ton visage.
Je me rends bien compte que je deviens soumise, et que j’aime bien l’être. Je m’agenouille, et regarde mon oncle se masturber devant mon visage. Il est tellement excité qu’il ne met pas longtemps à se soulager sur mon visage.
Pendant pratiquement une année, j’ai sucé plusieurs hommes dans cette cabane. J’ai appris un peu plus tard que mon oncle s’était inscrit sur un site de rencontres avec l’annonce suivante :
Jeune femme, 18 ans, bouche pulpeuse aux lèvres bien dessinées, offre fellation à homme discret, en compagnie de son complice voyeur.
Je ne me suis jamais fait prendre par un de ces hommes. Ma bouche était uniquement sollicitée. Il arrivait que mon oncle se masturbe en me regardant faire, ou me caressait en même temps. Une fois l’homme parti, mon oncle me faisait l’amour, ou tout simplement me demandait de lui faire, à lui aussi, une fellation.
C’est ainsi que je suis devenue la suceuse de la cabane.
FIN
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