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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Surprise perverse

Chapitre 1

Inceste
Ce soir là, mon mari s’est placé derrière ma chaise. Il m’a bandé les yeux. La dernière fois qu’il avait agi ainsi, c’était pour me faire un cadeau. Il m’avait entièrement déshabillée, avant de me revêtir d’un ensemble de dentelle dorée et d’une robe de soirée. J’avais appréhendé lorsqu’il m’avait ainsi dévêtue. Mais les moments difficiles passés avec son soutien, la récompense avait été, ma foi, fort agréable.

Aussi, cette fois je me laissai faire. Le bandeau noué sur la nuque, il m’embrassa et disparut un moment. Il déboutonna mon chemisier. Sa main chaude effleura mon sein. Il en profita pour les sortir de leur bonnet et les caresser. Ses mains courraient sur mes épaules. La chemise glissa sur mes reins. Le soutien-gorge disparu. Il me caressa les bras. Brusquement, il les passa dans mon dos derrière la chaise. Il me noua les poignets. Je protestai.
— Chut ! Me fit-il.
Intriguée, je gardai le silence. Je ne l’entendais et ne le sentais plus. Je le cherchai de l’oreille. Une main me retira les chaussures. Glissant le long de mes jambes, elle remonta, avec sa jumelle, à la recherche de mon collant. Je soulevai de mon mieux mon postérieur pour l’aider à le retirer. Le collant s’arrêta à mi-cuisse. Ma culotte remonta dans ma vulve, tirée par les hanches. Mon clitoris écrasé me fit mal. Je suivis tant bien que mal le mouvement.

Déséquilibré par mes mains nouées dans le dos, je me retrouvai debout. Soulevée par cette bande de tissu qui me fendait le sexe. Ayant poussé un cri, mon homme me fit taire de nouveau. Endolorie, je restai debout, une furieuse envie de retirer ma culotte de sa position. Ma jupe tomba sur mes pieds. Une main attrapa l’avant de mon slip. L’autre se posa sur mon ventre. Dans un mouvement unique , le slip fut arraché. Le choc sur ma chair fut tel que la sensation de l’avoir encore enfoncé dans le pli fessier dura un bon moment. Mon collant arriva à mes pieds. Je les levai pour le retirer.

J’étais nue, seule. Apparemment, il s’était écarté de moi. Dans le noir total, mal équilibrée, je n’osai me déplacer. J’allais l’appeler lorsque sa main se posa sur ma cuisse et suivit un arc de cercle pour passer sur mon pubis. Un objet froid entra en contact avec mon ventre. Il me l’appliqua. Soulevant mes bras au risque de me faire tomber, il le ferma dans mon dos. Une guêpière pensais-je. La matière me parue étrange. Ni rigide ni souple. Elle compressait ma taille. Mes seins écrasés étaient douloureux. Il les dégagea, ajusta la position de la guêpière. Et serra de nouveau. Je crus que je ne pourrais plus respirer. Les bordures me sciaient la peau. La moitié basse de mes seins me faisaient souffrir. Il m’intima le silence. Je ne sais où il voulait en venir.Il m’écarta les jambes, attrapa une espèce de sangle qui battait mes cuisses depuis qu’il m’avait passé ce qui semblait être un corset. Il glissa la sangle dans une boucle qui se trouvait sur mon nombril. Il glissa sa main sur mon sexe. ?carta les lèvres et inséra un objet. Il me parut énorme. J’eus l’impression d’être écartelée. Il serra la boucle et l’objet remonta dans mon sexe. Il m’appuya sur le vagin. La douleur me parcouru le corps. Je faillis tomber. Il serra encore. La sangle me coupa la peau de part et d’autre de mes fesses. Elle pénétra ma vulve. Repoussant encore l’objet dans mon sexe. Délicatement du bout des doigts, il écarta mes lèvres pour faire pénétrer la sangle. Il me passa un collier ras du cou avec un pendentif glissant entre mes seins et reposant sur le corset. Il me couvrit d’un châle. Il me passa des bijoux sur les tétons. Il m’embrassa sur la bouche en glissant une main sur ma fesse.

La sangle me cisaillait tellement les fesses que je n’avais pas remarqué qu’elles étaient à l’air libre. Il me tira par les seins. Intriguée, endolorie, quelque peu excitée, je le suivais en silence. Il ajusta mes liens mon bandeau et me laissa. Je m’aperçus que je pouvais vaguement voir par l’oeil droit. J’étais face au miroir de l’entrée. Je ne pus distinguer que ma poitrine explosant au-dessus du corset en cuir noir. J’entrevis mon mari au téléphone. Je tendis l’oreille. Je n’entendis que le mot ’Taxi’. Il revint vers moi. Je protestai. Il ne me renvoya qu’un mot : ’silence !’ Il me tira par le collier. Aveuglée, je suivis de mon mieux. Je me retrouvai dehors. Je tremblais de peur et de froid. Une voiture s’arrêta. ’Votre taxi !’ Lança une voix. Il me poussa dedans. Le trajet fut de courte durée. Il me caressait les seins.
— C’est une surprise que tu vas aimer. Mais une seule chose. Tu fais ce qu’on te demande en silence.
Il attendit confirmation. Il me fit descendre. Quatre marches et la chaleur d’une maison fut bien venue. Il me tira. Salua les personnes présentes. Un homme, une femme. Elle attrapa le bijou qui me reliait les seins et me tira en avant. Elle s’immobilisa. Baissa la chaîne. Je me courbai, gardant l’équilibre de mon mieux. Je finis par basculer en avant, me retrouvant le nez dans son sexe épilé. Je voulus me redresser mais elle me retint par la chaîne. Elle m’attrapa la tête et l’appliqua sur son sexe. Une main se glissa sur mes fesses.

Elle écarta le pli tandis que des pieds m’écartaient les jambes. Un doigt joua avec mon anus, repoussé par l’objet douloureusement enfouit dans mon sexe. La femme joua avec mes seins qui durcirent. Des doigts écartèrent mon anus. La chair était si tendue que je la sentais se déchirer. Un pénis me laboura. Je poussai un cri. Dans les mouvements deva-et-vient, ma bouche buta contre le sexe de la femme. Il me ramonait. C’était douloureux. Il y avait tellement de chose qui me faisaient mal que je n’arrivais plus à savoir d’où venait la douleur. Je sentis mon sexe s’agiter contre l’objet bousculé par les coups de pénis dans mon anus. Je gémissais de plaisir sexuel. Et de douleur. Il me ramona longtemps. J’oscillais en prenant appui sur le sexe de la femme.

Je commençai à me fatiguer. Deux mains me tinrent par les seins, m’empêchant de tomber. L’homme se retira de mon anus. Un autre pris sa place. Il me fit frémir sous ses coups. Je poussai ma croupe sur son sexe. J’étais si excitée, que je léchai le sexe de la femme. La femme gémit. Elle badigeonna mon visage de cyprine. Elle se retira. Les mains qui me retenaient lâchèrent prise. Je m’affalai sur une table. Un troisième pénis me pénétra. Il fit comme les précédents. Lorsqu’il eut fini, je sentis mon sexe palpitant sur le cylindre. Comme animé d’une vie propre. Il serrait et relâchait l’objet. Je sentis mon jus l’envelopper. Ils me laissèrent affalée sur la table.

J’entendis des verres et des conversations. On me souleva par la chaîne des seins. Une gorgée de champagne me soulagea. On me fit avancer. Puis on me mit à genoux et enfin on me bascula en avant sur le sol. Une main pénétra mon anus. On m’ignora dans cette position. Mon sexe semblait toujours vouloir happer l’objet. Je le voyais dans mon imagination comme un serpent qui avale sa proie entière. Quelqu’un annonça qu’il ne restait qu’une goutte de champagne. On m’interpella pour savoir si je la voulais. La femme répondit pour moi. Une goutte de liquide tomba sur mon anus. La bouteille la suivit. Je restai ainsi longtemps. On retira la bouteille. Et me pénétra encore et encore. Excitée, gémissante j’entendis à peine la femme non loin qui prenait son plaisir. Epuisée, affalée, complètement inerte, je me laissai pénétrer. Dans un tourbillon de plaisir, je dû m’endormir.

Je me suis réveillée au matin comme après un rêve dont le souvenir s’estompe. J’étais nue. Je crus un instant avoir tout rêvé. Mais la douleur de mon anus me confirma le contraire. Je restai au lit pour me remettre. J’hésitai entre la colère et autre chose. Je réalisais que j’avais accepté sans broncher. Je me levai et pris une douche. En déshabillé, je partis prendre mon petit déjeuné. Le corset et tous les accessoires m’attendaient sur la table. Un mot m’annonçait cela comme un cadeau. Je passai une main sur le corset. Le gode me paru énorme. La façon dont mon sexe le happait me revint en mémoire. Une douleur naquit dans mon ventre. Je me glissai dans le corset.Curieuse de savoir à quoi je ressemblais. Il se présenta sans difficultés. Je le serrai de mon mieux. Je me levai pour me diriger vers la chambre. La sangle battait mes jambes. Je la passai dans la boucle. J’enfilai le gode. Et mis la sangle en place. Le corset descendit. Je le réajustai et le resserrai. Je ne l’ai pas mis comme mon homme l’avait fait mais il était serré. La sangle poussa le gode dans mon antre. Mes lèvres se refermèrent sur la sangle. Je mis la chaîne et le collier avant de me présenter au miroir. J’avais des difficultés à marcher. Je me tournai pour présenter mon postérieur. M’imaginant le spectacle que j’avais offert la veille, je sentis mon estomac se nouer. Mon sexe palpita sur le gode.

M’asseoir sur la chaise pour le petit déjeuné fut douloureux. Mon sexe s’excita encore. Mes seins se dressèrent. Je choisis le canapé dans le salon et allumai la télé, me disant que ça me distrairait. Le magnétoscope se mit en marche et je me vis assise les yeux bandés. Il avait tout filmé. Et tout c’était passé ici. Je me suis regardée. On ne voyait que moi, les autres n’apparaissant que coupés. Excitée par mon propre spectacle, je me suis enfoncée une main dans l’anus. La cassette terminée, il me fallais me défoncer l’anus. J’en pleurai d’excitation. Je m’assis sur la bouteille de champagne. Lorsque le calme fut revenu, en colère contre moi, j’ouvris la sangle. Le gode trempé glissa à terre. Je sentis un tel vide que je suis resté immobile un long moment. J’ai tout remis en place et je suis restée ainsi pour la journée.

Depuis, je porte des corsets. Parfois un gode sanglé. Il a raison. J’ai aimé son cadeau. Je n’ai jamais su qui étaient les personnes qui ont participé à cette soirée. Je crois que ça aussi fait que j’ai aimé ce cadeau.
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