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Suzanne et les hommes

Chapitre 4

Les emplettes

Hétéro
Dans les jours qui suivirent, Suzanne fit preuve d’une joie et d’un entrain qu’elle ne se souvenait pas avoir connu depuis des années. Non seulement le souvenir très vivace de sa jouissance aurait pu à lui seul la maintenir dans cet état d’euphorie mais l’idée qu’un homme la désira si ardemment lui redonnait la confiance en soi qu’elle avait perdue depuis que Romuald avait cessé de la toucher.Elle n’osait pas se l’avouer mais, bien sûr, l’envie de recommencer la titillait sourdement.Le reste de la semaine s’écoula comme de coutume, sans que Maître Mulatier ne fasse la moindre allusion à ce qui s’était passé dans son bureau. Vînt le vendredi où, l’air de ne pas y toucher, il entama la conversation d’un ton badin, presque innocent :
— Suzanne voyez-vous, mon petit, j’ai réfléchi à votre problème.
Elle attendit la suite sans piper mot.
— Enfin, quand je dis problème, je veux parler du manque d’intérêt que vous accorde votre mari. Oh je sais bien que cela ne me regarde pas mais il faut que vous preniez vraiment mes considérations comme des conseils bienveillants, en tout amitié.
Suzanne frémit devant ce sourire patelin. Elle ne cessait de penser à ce qu’ils avaient fait et, à n’en pas douter, ils feraient de nouveau. En lutte contre des phantasmes grivois, elle s’était surprise à se caresser tout en s’imaginant en compagnie du vieux débauché.
— Vous pêchez sans doute plus par l’emballage que par le contenu. Des dessous affriolants pourraient rallumer la flamme. Voici ce que je propose : vous êtes libérée de toute obligation cette après-midi. Vous allez faire quelques emplettes en compagnie d’Isabelle. Ne vous posez pas la question du prix, je prends tout à ma charge. Et vous pourrez me rapporter l’effet de notre petit stratagème dès lundi prochain.
Suzanne regimba pour la forme, tout sachant parfaitement qu’elle n’était pas en position de refuser les injonctions du notaire.Dans la rue, Isabelle l’attendait devant sa Mini Cooper rouge. Une fois toutes deux installées dans la voiture, elle ne mâcha pas ses mots :
— J’espère que tu n’es pas dupe. Mulatier a envie de te voir en petite tenue. Je parie que tu lui as déjà montré ta chatte…
Suzanne rougit jusqu’à la racine des cheveux.
— Nous avons des problèmes de couple avec mon mari. Me Mulatier veut simplement m’aider.— En dépensant une fortune ? J’ai du mal à y croire. Non, il ne cherche qu’à satisfaire un plaisir personnel. Son phantasme c’est la jeune bourgeoise dévergondée, qui porte des tenues cochonnes pour son amant. Bien entendu, il voudra voir son investissement et tu soulèveras ta jupe. Ne t’inquiète pas. Je ne te juge pas. Vous pouvez faire ce que vous voulez, cela ne me regarde pas.
Suzanne garda le silence jusqu’à ce qu’elles pénètrent dans un magasin très chic et très cher près de la rue Royale.

— Quel tour de poitrine ? demanda Isabelle.— 90D.
Suzanne ne pût s’empêcher de lorgner les seins de la pulpeuse secrétaire, non sans une pointe de jalousie. « Toi, tu dois bien faire du E » dit-elle.Isabelle ne répondit pas. « Regarde » dit-elle en désignant un ensemble en dentelle noire à motifs fleuris.
— La résille est ultra fine.— Mais c’est transparent !— Oui, c’est le principe. Il y a le même modèle en rouge et en blanc. Prenons les trois, avec des bas, une nuisette et des porte-jarretelles assortis.
Elles choisirent également une parure associant slip tanga gris argent et brassière, ornés de perles minuscules.
— Nous aimerions voir les modèles vintage, dit Isabelle à la vendeuse.
Elles optèrent pour une gaine noire réglisse ornée de nœuds roses, avec ses accessoires.Sur le chemin du retour, Suzanne s’interrogeait au sujet d’Isabelle. Elle avait accepté sans discussion de l’accompagner et de la conseiller dans ses achats, ce qui dépassait largement le cadre de ses attributions. La superbe secrétaire blonde était-elle la maîtresse de Mulatier ? Ou exerçait-il sur elle un chantage ? Elle tenta de renouer le dialogue :
— Pour reprendre la conversation que nous avions entamée au sujet de Me Mulatier, je n’en avais pas conscience avant cette aventure mais je crois que je suis attirée par les hommes d’âge mûr, possédant une forme de pouvoir. Ce goût n’a rien d’extraordinaire. Je crois même qu’il est assez répandu parmi les jeunes femmes.
Ce qu’elle n’osait pas lui avouer, c’est qu’elle aimait aussi être humiliée, se sentir souillée et rabaissée. La honte et le dégoût se mêlaient à son désir, le décuplant, offrant le terreau de phantasmes qui l’obnubilaient. Dans le même temps, elle vivait une torture et un délice.Isabelle lui sourit :
— Je comprends. Ne te fais pas trop de souci. Contente-toi de vivre les choses comme elles viennent et, surtout, de prendre ton pied.
Ces paroles se voulaient rassurantes mais elles ne convainquirent pas Suzanne.
— Je vais laisser une partie de nos emplettes à l’étude. Evitons d’éveiller les soupçons de Romuald avec une garde-robe complète.
***

Vint le lundi. Suzanne indécise se tint un moment devant la porte de l’étude, dansant d’un pied sur l’autre. Il était encore temps songeait-elle. Rebrousser chemin, fuir le lieu de son déshonneur. Elle pourrait toujours trouver un autre travail ailleurs, dans un autre domaine, serveuse dans un bar s’il le fallait. Suzanne savait que la petite séance précédente n’était qu’un préambule et que ses aventures adultérines venaient à peine de débuter. La peur et l’envie tout à la fois la tiraillaient. Elle céda au désir et franchit le seuil.Toute la matinée, elle attendit, fébrile. Vers treize heures, Mulatier l’invita à entrer dans son bureau.Il commença par lui demander si elle avait passé un bon week-end. Il paraissait hésitant mais Suzanne se doutait bien que cette attitude était feinte.
— Dites-moi donc, enchaina-t-il, notre petite ruse a-t-elle donné de bons résultats ? Vous savez ces achats que vous avez réalisé vendredi dernier ont-ils eu l’effet escompté sur votre mari ?
Suzanne soupira.
— Samedi soir Romuald travaillait devant son ordinateur. Je lui ai dit que j’allais me coucher. Une fois levé, j’ai commencé à me déshabiller devant lui. Je portais les sous-vêtements noirs, sans doute les plus discrets, mais tout de même j’étais en bas et en porte-jarretelles et il faut que je vous dise, le tissu ne cache pas grand-chose, j’étais presque nue. Eh bien ! le croirez-vous ? Il a fait comme si de rien n’était et m’a dit qu’il devait finaliser sa réponse à un appel d’offre mais qu’il me rejoindrait bientôt. Je l’ai tant attendu que j’ai fini par m’endormir. Il m’a mise dans une colère noire !
Il parut réfléchir quelques instants puis reprit sur un ton faussement détaché :
— Voilà qui est étonnant. Une superbe jeune femme en sous-vêtements coquins s’offre à lui et ce garçon, pourtant dans la force de l’âge, se refuse à la satisfaire. Je veux connaitre le fin mot de cette énigme. Voyons… J’ai l’intuition que vous portez d’autres dessous chics aujourd’hui.
Il savait. Oui, bien sûr, il savait. A sa très grande honte, Suzanne devait admettre que ce matin elle s’était habillée pour lui, pour provoquer le notaire. Comme s’il en avait besoin !Il reprit :
— Si je pouvais les voir sur vous, je jugerais de l’effet produit. Nous discuterions ensuite de la thérapie à appliquer à votre couple. Procédons comme la dernière fois, commencez par retirer votre chemisier.
Tout doucement, Suzanne commença à dégrafer les boutons. Elle portait la brassière grise.
— Superbe ! s’exclama-t-il. Un écrin rêvé qui met en valeur votre poitrine en soulignant ses courbes. Je ne peux résister à l’envie de vous câliner, laissez-moi vous consoler…

Il passa plus de temps que la fois précédente à s’occuper de ses seins, caressant, palpant, suçant longuement et goulument, pinçant et tordant les pointes. L’excitation de Suzanne ne cessait de grandir devant ce traitement.
— Relevez votre jupe que je vois le slip.

Rien qu’à effectuer ce geste simple, son bas ventre la titillait. Ses grandes lèvres se gorgeaient de sang, son clitoris émergeait de son capuchon et elle mouillait par avance.
— Tournez-vous. Oh, quel ravissant spectacle, comme c’est beau. Quel idiot, ce mari ! Si ce fessier le laisse de marbre nous ne pouvons plus rien pour lui.
Suzanne réalisa que le tissu était si transparent qu’il pouvait voir au travers les deux lobes et le sillon qui les séparait. Seule restait cachée la tâche brune de l’anus.
— Je suis une vilaine fille, voyez-vous. Très vilaine. Je n’ai pas cessé de penser à ce que nous avons fait. J’ai résisté à l’envie de me toucher.— Dites-moi, votre mari vous a-t-il déjà punie ?— Non, quelle drôle d’idée !— Pensez-vous que cela soulagerait votre conscience si je vous corrigeais un peu ? Oh trois fois rien, quelques tapes sur le postérieur.
A ces mots, Suzanne sentit qu’une digue avait lâché entre ses cuisses. « Mon Dieu, pensa-t-elle, il va certainement s’en rendre compte, je suis vraiment une trainée ».Suzanne regimba sans grande conviction.
— Nous risquons d’attirer l’attention en faisant du bruit.— Mais non, vous savez bien que la pièce est insonorisée.
Il disait vrai. Cet aménagement était prévu pour garantir la confidentialité auprès de leurs clients.
— Appuyez-vous sur le bureau, je vais dégager les lobes des fesses.
Suzanne sentit une partie de l’étoffe entrer dans la raie puis advint le contact d’une paume, pas trop violent, accompagné d’un claquement caractéristique.
— Je suis complétement folle, pensa-t-elle, je ne peux pas le laisser me traiter ainsi.
Pourtant, elle ne bougeait pas comme paralysée, sous l’effet d’une drogue opiacée. La position n’avait rien de confortable et elle ne pouvait réprimer le tremblement de ses jambes. A la réflexion tout son corps tremblait au rythme des claques qui devenaient plus fortes.
— Votre peau est si douce. Ah le vilain tourmenteur ! Par sa faute, votre cul change de couleur. Brisons-là je ne cherche pas à vous torturer. Asseyez-vous de nouveau face à moi. Mais qu’est-ce là ? Votre culotte est trempée. En appuyant un peu on croirait qu’elle va s’enfoncer dans votre intimité. Maintenant si je pince le tissu tout en écartant les grandes lèvres, votre vulve est comme qui dirait coupée en deux.
Il avait raison. Suzanne contemplait ce spectacle aussi grotesque qu’obscène. Il tira sur l’élastique de ce slip qui cisaillait son entrejambe et la fine soie frotta son clitoris. Elle gémit. Le notaire renouvela l’opération à plusieurs reprises provoquant les sensations les plus délicieuses.
— Il faut que je dégage votre sexe. Je vais tout replier du même côté.
Il procéda ainsi, repoussant le tissu contre le haut d’une cuisse, dévoilant ainsi tout à la fois les petites lèvres, l’orifice et le capuchon du clitoris, sans avoir à retirer la délicate pièce de lingerie.
— Vous êtes plus ouverte que la dernière fois, les petites babines s’écartent et laissent passer la douce écume, ce qui me fait penser que nous avons oublié un test lors de notre dernier entretien. La passivité de votre mari s’explique peut-être par le goût. Je dois absolument déguster la chose pour en avoir le cœur net.
Sans attendre que Suzanne réagisse, il colla sa bouche sur son con. Elle poussa un cri de surprise.
— Laissez-vous aller.
Ecartant les lèvres de ses doigts, il chatouilla son clitoris avec sa langue.
— Délicieux, absolument délicieux. Décidément, nous ne trouverons jamais ce qui cloche.— Maître, protesta Suzanne, vous devez-vous arrêter. Je crois bien que vous allez me faire jouir.
Mais il était déjà trop tard. Un intense plaisir se propagea dans son ventre, culminant dans un orgasme voluptueux. Quelques instants Suzanne crut qu’elle avait perdu la tête. Au moment de retrouver ses esprits elle constata avec effroi que la bite de Me Mulatier avait jailli hors de son pantalon.
— Oh mon Dieu ! Elle est énorme.
Vous vous doutez bien que Suzanne peu expérimentée dans ce domaine n’avait pu qu’en de rares occasions observer un sexe d’homme, surtout d’aussi près. Sa référence en ce domaine, la verge de son mari, était très loin de rivaliser avec l’imposante bite du notaire, d’où son exclamation effrayée.
— Votre petite chatte est affamée. Il est de mon devoir de la sustenter.— Mais enfin elle est trop grosse, elle ne rentrera jamais.— Ne vous sous-estimez pas. Vous me semblez très étroite mais l’orifice vaginal est d’une grande élasticité. La lubrification demeure essentielle. Mais vous n’avez pas de souci à vous faire, vous mouillez abondamment.
Disant cela il enfonçait déjà le gland sans difficulté, dissipant du même coup les craintes de Suzanne.
— Souhaitez-vous toujours que je me retire ?— Pour rien au monde. Continuez je vous en prie, vous me faites tellement de bien.
Il poursuivit sa progression, l’emplissant parfaitement.
— Bon sang ! Quel plaisir de foutre un si jeune vagin ! Vous m’avez englouti tout entier. Je n’aurais jamais pensé qu’un organe si fin soit aussi goulu.
Il coulissait, doucement tout d’abord, puis de plus en plus vite, évitant de trop cogner le fond avec son énorme queue. Suzanne ferma les yeux et se laissa entrainer par le mouvement. Comme c’était bon de se faire baiser par un homme, de sentir sa grosse pine raide fouiller sa matrice. Le plaisir montait à nouveau dans son ventre, plus profondément cette fois.
— Oh Maître, sentez-vous comme je m’ouvre pour vous ? Ma chatte mouillée vous accueille. Pilonnez-moi, allez-y, plus fort plus vite, cela monte, cela vient, encore une fois, je vais…
Un orgasme violent interrompit Suzanne. Elle se cambra sous l’effet de la jouissance enserrant plus étroitement le membre du notaire.
— Je vous rejoins, annonça-t-il. Mais j’y pense, prenez-vous la pilule ?— Non, nous n’utilisons que des moyens de contraception naturels.
De toutes façons, ce n’était pas vraiment un problème, elle ne se souvenait même plus de quand datait le dernier rapport sexuel avec son mari.
— C’est fâcheux. Je vais bientôt décharger et je n’aimerais pas vous mettre enceinte. Par ailleurs, si je répands ma semence à l’extérieur, je risque de souiller vos vêtements ou, pire encore, le tapis persan qui vaut une petite fortune. Il y aurait bien une solution… Après tout je vous ai fait jouir en vous suçant tout à l’heure, la réciprocité serait de bon aloi. Si je pouvais me soulager dans votre bouche, nous y trouverions notre compte.
Mulatier se retira. Suzanne descendit du bureau. Accroupie, elle entreprit de satisfaire le notaire. Elle saisit sa verge et, tout en la caressant d’une main, en embrassa le bout. Elle darda la langue en regardant l’homme dans les yeux puis lécha le gland rougeaud, tendu et prêt à exploser. Elle posa ses lèvres autour, savourant la texture de la peau, si douce à cet endroit. C’est ce qu’elle préférerait dans la fellation : décalotter et mettre dans sa bouche la petite olive rose. « Jamais je ne pourrai le prendre en entier pensa-t-elle. » Elle tenta tout de même d’aller le plus loin possible, accélérant progressivement le geste, développant un enthousiasme dont elle ne se serait pas crue capable. Maître Mulatier avait posé une main sur sa tête et depuis, il ne bougeait plus, heureux de voir que Suzanne répondait docilement à sa demande. La sève montait inexorablement et vint le moment où il cessa de résister à l’impératif du plaisir charnel.
— Ah que votre bouche est douce ! Quelle suceuse vous faites. Avalez, avalez donc, avalez tout, aaah…
Suzanne contint du mieux qu’elle pût le flot de crème épaisse qui inondait son palais et descendait dans sa gorge. Elle ferma les yeux tout en essayant de vaincre sa répugnance, mais le goût du sperme était moins désagréable qu’elle ne l’aurait pensé.
— Nettoyez le bien coquine, n’en laissez pas une goutte, ah votre langue dans le trou du gland, quel délice…
Elle continua de sucer et de lécher docilement jusqu’à faire disparaitre toute trace de liquide gluant.En sortant, Suzanne ne pensait qu’à courir aux toilettes se rincer la bouche. Elle manqua d’heurter Deluze dans le couloir.
— Eh ! vous êtes sacrément pressée.— Oui, excusez-moi…— Vous me paraissez bien chamboulée ! Je suis désolé de vous le dire aussi crûment mais votre maquillage est un vrai désastre, vos joues sont en feu quant à vos vêtements j’ose à peine en parler. J’espère que vous n’allez pas croiser un de nos clients…— Justement, j’allais me rafraichir un peu…
Il la retint en saisissant son bras. Son visage tout près de Suzanne, barré d’un sourire méchant dévoilant des dents gâtées par la nicotine et le café, il souffla :
— Je vois clair dans ton petit jeu. Tu veux ma place. Pour sûr, je n’aurai jamais des atouts aussi convaincants pour embobiner le vieux. Tu devrais te méfier de moi cependant. Je fais genre caniche mais je sais mordre.— Lâchez-moi. Vous êtes malade.
Il la laissa partir. Elle aurait juré, à lire sur ses lèvres, qu’il avait murmuré : « Petite pute » en guise de conclusion.Aux toilettes, sous le choc, tant de l’altercation avec Deluze que de la séance de baise qui l’avait précédée, elle tenta de faire le bilan, tout en s’aspergeant le visage d’eau froide.Mulatier l’avait pénétrée. Il avait joui dans sa bouche. Elle en tremblait encore. Jamais elle n’avait connu d’orgasmes d’une telle intensité que ce soit par les caresses de Romuald ou par ses propres moyens. Ils l’avaient fait pour de vrai. Il lui semblait que toute sa vie sexuelle d’avant n’était que la vague ébauche de ce qui advenait maintenant. Tout de même, elle n’en revenait pas d’en être arrivée là. Avec un homme pour qui elle n’éprouvait d’autres sentiments qu’un désir irrépressible mêlé d’un peu de répugnance. Le notaire était à la fois intelligent et grossier, sophistiqué et vulgaire. Malgré elle, comme dans un rêve, elle avait atteint un point de non-retour. Hier encore, elle pouvait prétendre que rien ne s’était produit, ou si peu, quelques attouchements, un péché véniel. Mais voilà la vérité nue : elle trompait son mari.
Et comme si cela ne suffisait pas, elle s’attirait l’inimitié d’un collègue jaloux ! Le premier clerc avait vu échouer sa lamentable tentative de chantage et il croyait à présent à n’en pas douter qu’elle couchait avec le patron pour obtenir une promotion.
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