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Swallow Kamen

Chapitre 7

Une lutte acharnée – Qui sortira vainqueur (ou vainqueuse) ?

Trash
Au milieu de la foule de lycéens sortant des cours, une tête dépassait largement. Un jeune homme, un peu moins jeune que les autres, zigzaguait dans la masse pour se diriger vers une salle en particulier. Il cherchait une certaine adolescente en espérant qu’elle aurait des réponses encourageantes, il faillit la manquer mais la rattrapa juste avant qu’elle ne quitte le bâtiment. « Kaori Egusa ? l’interpela-t-il.— Ou… Oui. Répondit la jeune fille gênée.— Je m’appelle Akira Sato et je suis journaliste. Je voudrais parler avec toi de ce que tu as vu la nuit dernière.— En… Encore ?— Oui, j’espère que ça ne te dérange pas ? Demanda-t-il sans se rendre compte de l’impatience dans sa voix, intimidant plus encore Kaori.— Euh… non… non. C’est juste que j’ai déjà tout dit à l’autre homme cette nuit.— C’est vrai mais je n’aime pas reprendre les articles des autres, je voudrais que ça soit toi qui me le raconte.— D’accord. »
Ils partirent du lycée et s’installèrent sur un banc, près d’un petit parc pas très loin de là. Après une grande inspiration, Kaori retraça point par point les événements. « J’étais partie à quelques rues de chez moi pour voir si Swallow Kamen allait passer. J’avais entendu des gens dire qu’ils avaient vu une silhouette sur les toits du quartier. J’y suis allée en cosplay en espérant qu’elle me remarque. Après une heure je commençais à désespérer, alors j’allais rentrer au moment où j’ai croisé ce vieux.— Tu peux me le décrire ? Demanda Akira.— Il était grand, chauve mais avec des touffes de cheveux en bataille sur les côtés et une grosse moustache, un gros nez et des petites lunettes rondes et noires. Il portait une blouse blanche sale.— Qu’est-ce qu’il s’est passé après ?— Il m’a dit que lui aussi voulait voir Swallow Kamen pour avoir un autographe et que c’était pour sa nièce. Il m’a dit qu’on pourrait y arriver si je faisais semblant d’être agressée. On est allés dans la ruelle d’à côté et j’ai crié à l’aide. On a fait ça pendant un moment et cette fois elle est arrivée. Je suis directement allée vers elle pour lui parler et lui demander un autographe. Après j’ai pas vu ce qu’il s’est passé, Swallow Kamen m’a poussée sur le côté et je l’ai vu tomber, le type avait une sorte de pistolet à la main. Il m’a tirée dessus et puis tout est devenu noir. Quand je me suis réveillée, j’étais avec deux ambulanciers. J’étais toujours dans la ruelle, ils m’ont examinée et ramenée chez moi.— Je vois. Et quand tu t’es réveillée, tu as remarqué quelque chose de particulier ?— Euuuuh…— Prends ton temps, rassura Akira malgré le bouillonnement en lui. Kaori, elle, était plongée en pleine réflexion, elle essayait de se souvenir de tout.— Oh ! Cria-t-elle.— Quoi ? — Une voiture !— Quelle voiture ?— Il y avait une voiture dans la ruelle quand on attendait Swallow Kamen et quand je me suis réveillée, elle n’y était plus.— Tu sais ce que c’était comme voiture ?— Non, j’y connais rien. Mais elle était grise et sale comme la blouse du vieux.— Il y avait un logo dessus ?
— Euh… une ellipse je crois.— Une neesan…— Vous… Vous pensez que vous pourrez la retrouver ?— Je ne sais pas, mais c’est un indice. Tu as pu voir son immatriculation ?— Non, je suis désolée.— C’est pas grave. Merci Kaori. Je vais te donner mon numéro et si tu te rappelles quelque chose d’autre, appelle-moi tout de suite, d’accord ?— O… Oui. »
Akira se leva d’un bond et courut rentrer chez lui en appelant le docteur Nari.
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De nouveaux tentacules avaient fait leur apparition, plus gros et avec un gland plus sombre et plus épais. Il y en avait au moins une demi-douzaine qui entourait Swallow Kamen, dont la posture était tout aussi mauvaise qu’excitante, toujours maintenue en l’air les cuisses écartées. Cependant, pour plus de confort (mais pas le sien), son postérieur était relevé et son buste maintenu par les membres tenant ses bras et son cou. Une des verges imposantes pilonnait sans arrêt sa chatte qui s’humidifiait à vue d’œil, laissant perler son jus à travers le portail en contrebas. Ses gémissements étaient étouffés par deux bites plus fines qui s’insinuaient dans sa gorge à tour de rôle, ses mains quant à elle serraient compulsivement deux autres en titillant leurs glands avec les pouces. Les premières décharges inondèrent sa bouche et sa gorge, depuis la dégustation initiale le goût était devenu supportable et Sakura ingurgita tout comme du petit lait. A peine avait-elle repris sa respiration qu’elle hurlait de tous ses poumons « En… Encore ! »
Aussitôt, deux nouvelles prirent leur place entre ses lèvres et fouillèrent sa cavité buccale en poussant jusqu’au pharynx pendant que celles entre les doigts délicats de la jeune femme crachaient leur sperme gluant sur son visage, dans ses cheveux et sur ses bras. Ça ne l’empêcha pas de continuer à les branler frénétiquement pour les vider de toute semence. « Doucement, fillette, ceux-là sont épuisés pour le moment, déclara Hentakuma avec délectation. Laisse-moi t’en donner deux autres. »Après, ce fut au tour du membre entre les cuisses de Sakura d’éjaculer et comme les autres il déversa un flot important de liquide en elle, si important qu’elle eut un orgasme rien qu’en le sentant la remplir. Tous ses muscles se contractèrent, y compris ceux de ses mains et sa gorge, provoquant une jouissance en chaîne des quatre verges dont elle s’occupait et qui l’aspergèrent en dedans comme en dehors. Le démon se retira quelques instants et laissa à sa proie quelques instants de répits durant lesquels elle reprit sa respiration. L’orgasme, lui, n’avait pas cessé et Sakura continua de gémir et de panteler pendant que les bites constrictrices
Ouh là, dur à dire ça.
manipulaient son corps comme une poupée de chiffon pour lui faire changer de position. Elle avait désormais la tête en bas et les jambes pliées, rabattues sur son ventre pour donner à son adversaire un libre accès à ses orifices, y compris celui qu’il n’avait pas encore touché. Estimant que le moment était venu de donner le coup de grâce, il pressa un tentacule contre la rondelle encore vierge de notre héroïne qui revint à la réalité sous le choc. « Non, pas par-là ! » Cria-t-elle entre deux râles de plaisir mais le démon avait décidé que tous ses trous seraient à lui et s’enfonça lentement non sans avoir abondamment lubrifié le gland à l’aide du mélange de leurs deux jus. « Haaaan ! soupira Sakura d’une voix rauque. Tu vas… mmmh… me le payer… haaaa… espèce de… hooo… raclure !
— Tu n’aimes pas ça ? s’enquit Hentakuma d’une malice à la fois faussement affectée et réellement affectée
En fonction du sens que vous donnez au mot bien entendu
.
— Siiii… Mais je voulais que ce soit mon copain le premier à me prendre par là.— Tu sais, je vais peut-être le laisser vivre lorsque j’envahirai ton monde. Je l’enchaînerai à mes pieds pour qu’il te voie noyée dans le plaisir pendant que je m’occuperai de tes trous comme en ce moment.— C’est ça… mmmf… rêve toujours ! »
Agacé par tant d’effronterie, Hentakuma bâillonna son ennemie d’un tentacule qui baisait avec plus d’ardeur et même de fureur cette bouche outrecuidante, jusqu’à envahir sa trachée
En fait, il se trouve que les principes fondamentaux des Hentaïs le permettent
. Il fit de même avec sa chatte, franchissant le col de l’utérus avec aisance
Autant qu’Eddy Merckx avec celui du Tourmalet
et avec son petit trou là où nul homme ou gode ne s’était jamais aventurés. Sous ces coups de plus en plus violents, Sakura avait basculé dans une sorte de transe, elle n’avait même pas remarqué qu’un second membre, moins épais avait rejoint celui de son anus. Son visage était déformé par le plaisir et la peau de son ventre par ces choses qui grouillaient dans ses entrailles. Elle ne faisait même plus attention à ses mains qui secouaient frénétiquement tout ce qui passait à leurs portées. Sa tête se vidait au fur et à mesure que ses trous se remplissaient et son adversaire riait et râlait de plaisir car il savait que bientôt, ce traitement allait briser l’esprit de son adversaire, lui apportant la victoire.

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Le soleil se couchait sur Neo Daïkotaï. Dans le quartier ou Sakura avait disparu, Akira, le docteur Nari et Kurito menaient l’enquête dans le but de retrouver leur amie. Ils avaient commencé par la ruelle dans laquelle les faits s’étaient déroulés. « Donc, commença l’hiérophante, résumons ce qu’on sait jusqu’ici. Un type d’un certain âge a abordé une adolescente pour servir d’appât et capturer Sakura. Il l’emmène ici, là où sa voiture est garée. Comme le quartier est calme et que les gens sortent rarement de chez eux à la nuit tombée, personne n’a pu voir ce qu’il s’est passé. Elle arrive, et il utilise un pistolet avec des fléchettes tranquillisantes pour endormir la jeune fille et Sakura. Il l’embarque dans sa voiture, laisse l’autre ici et retourne chez lui. C’est tout ce qu’on a pu apprendre de Kaori. Et toi Kurito, tu m’as rapporté que Sakura t’a dit qu’elle était retenue dans un sous-sol et que son ravisseur avait l’intention de le présenter à son « maître ». Il a dit aussi qu’il s’appelait Talk-Talk et qu’il était un brillant scientifique. À ton avis, qui pourrait être ce maître dont il parle ?— Je pencherai pour un démon. Talk-Talk a dit que l’être qu’il servait comptait se nourrir des pouvoirs de Sakura. Généralement ce sont les sorciers et les démons qui usent de ce genre de stratagèmes pour renforcer leurs pouvoirs, mais j’ignore pourquoi un sorcier s’allierait à un scientifique. Un démon serait plus probable, ils vivent pratiquement tous dans un plan différent et il est compliqué de les faire venir dans le nôtre, cela nécessiterait une grande énergie magique. S’il s’agissait d’un sorcier, il utiliserait son propre mana, à moins bien sûr de vouloir faire venir un démon supérieur, cependant ces derniers n’emploieraient pas de simples humains sans pouvoirs comme serviteurs.— Je vois. Ça veut dire qu’un démon ne peut pas entrer dans notre monde sans une source de mana à son arrivée.— Exact. C’est comme pour des téléphones, si on veut joindre quelqu’un, il faut que les deux appareils soient alimentés, sinon l’appel n’aboutit pas.— Alimentés ? Tu me donnes une idée Kurito !— Ah bon ? Je ne comprends pas, répondit le familier, perplexe.— Je crois savoir où tu veux en venir mon petit Akira intervint Futaba qui n’avait pas encore dit un mot et se sentait un peu exclue de la conversation.— Voilà, comme tu l’as dit, ouvrir un passage vers le royaume des démons demande de l’énergie et comme le ravisseur n’a aucun pouvoir, il a dû utiliser une machine pour créer ce portail, ce qui colle avec le fait qu’il se présente comme un scientifique. Or, générer ce genre de passerelle doit demander une puissance colossale. On sait aussi que la plupart des criminels n’opèrent jamais très loin de chez eux, en tous cas à leurs débuts. Si c’est la première fois qu’il kidnappe quelqu’un, et je pense que c’est le cas, il n’a pas dû le faire très loin de chez lui. Il nous suffit donc de chercher dans le voisinage s’il n’y a pas eu de problèmes de surtensions. Ça nous mènera directement à la machine et donc à Sakura. J’espère juste qu’on arrivera à temps…
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Gisant sur le sol froid de la cave du Dr. Talk-Talk, Sakura a piètre allure, ce n’est plus qu’un tas de chair recouvert de sueur et de sperme, les orifices suintants de liquide visqueux laissant parfois échapper un jet lorsqu’un nouvel orgasme secoue ses muscles. Les yeux révulsés et la langue pendante, elle pantelait bruyamment sans pouvoir bouger. Malgré tout, elle arrivait encore à parler, ou plutôt elle émettait des sons gutturaux entre deux respirations lourdes. « En… Encore. Arr… Arrête… p-pas. ». Hentakuma éructa d’un rire sinistre et démoniaque qui résonna dans toute la pièce. « Encore ? De quoi tu parles, qu’est-ce que tu veux ? demanda-t-il d’un ton narquois.— Bi… Bite…— Excuse-moi, je n’ai rien entendu. — Je… Je veux… tes… b-b-bites.— Hmm, voilà qui n’est pas très poli. Si tu les veux tant que ça, il va falloir que tu y mettes les formes tu sais. Supplie-moi. »
L’avatar du printemps releva péniblement sa carcasse, lentement, chancelant et luttant pour maintenir son équilibre. Elle se tenait sur ses genoux, les yeux hagards et la vue brouillée. Elle tendit les bras vers la forme floue qui s’agitait devant elle. Ses ennemis gloussèrent à gorges déployées en la voyant tanguer. Dans un ultime effort, Sakura articula quelques mots en repliant ses doigts. « Pi… Pitié. Do… Donne-moi… tes bites. PAUVRE TACHE ! »De ses poings serrés jaillirent deux majeurs fièrement dressés. Hentakuma bouillonna de rage. « TON ORGUEIL N’A DONC AUCUNE LIMITE ? TU M’APPARTIENS FILLETTE !— Ah… ouais ? Alors pourquoi… est-ce que… je te… résiste ?— Ton obstination est inutile, tu as reçu à toi seule plus de ma semence en une session que mes trois dernières esclaves réunies. Désormais tu ne pourras plus vivre sans ce besoin d’être comblée par ton maître. Mais si tu veux jouer à cela, à ta guise. Je n’agirai pas tant que tu ne me supplieras pas en admettant ta défaite.— Ha ha ha… *keuf keuf*
C’est l’onomatopée pour la toux. Des fois que vous le sauriez pas…
. Dis plutôt que tes couilles sont vides… *keuf keuf keuf* et que tu refuses… d’admettre ta défaite.
— Tu n’es pas sérieuse ! Même après t’avoir matée tu refuses de reconnaître l’évidence ?— J’ai… l’air matée ? Répliqua Sakura en se relevant péniblement, chaque muscle endolori de son corps menaçant de céder à chaque geste. Regarde ! Continua-t-elle en prenant appui sur une console. Je tiens… encore debout. Le… combat… n-n’est pas… fini. Soit… tu… continues, soit… tu abandonnes !— GRRRR ! SALE ENFANT DE… »
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Il faisait déjà nuit quand le petit groupe trouva enfin ce qu’il cherchait. Après plusieurs heures à faire du porte-à-porte en quête d’un pâté de maison victime de surtensions, ils arrivèrent dans un coin reculé et pas très sûr avec des blocs entiers de maisons abandonnées. En dehors de quelques vieux riverains attachés à ces maisons presqu’en ruines, plus personnes n’habitait là, ce qui avait rendu les investigations difficiles. Mais maintenant, plus d’hésitations, tout le quartier clignotait comme une ampoule sur le point de griller. Il n’y avait plus qu’à trouver l’origine du phénomène grâce à la voiture qui serait garée devant. Comme l’endroit avait été déserté, la Neesan avait été relativement simple à repérer, les autres véhicules n’étant plus que carcasses ou épaves rouillées. Tandis que le docteur appelait la police pour signaler à la fois le kidnapping et l’activité électrique suspecte, Akira était allé chercher un vieux linteau sur la bâtisse voisine pour enfoncer l’entrée. Il fila à toutes jambes, suivi de Kurito, à la cave où il éprouvait plus de difficulté à forcer la porte. De l’intérieur, il entendait des cris et des supplications, du genre : « Non, arrête, je n’en peux plus ! » ou « J’ai joui trop de fois, mon corps est trop sensible ! ». L’hiérophante alla rechercher son linteau et entreprit de démolir la porte, quitte à finir à l’épaule si elle ne cédait pas, mais elle céda et lorsqu’il fit irruption dans le laboratoire, tout ce qu’il vit fut une masse de tentacules se tordre sur eux-même, comme atteints de spasmes en sombrant dans un portail au sol en beuglant d’une voix grave : « NOOOON ! COMMENT EST-CE POSSIBLE ? JE SUIS À BOUT DE FORCES ! SOIT MAUDITE SWALLOW KAMEN ! »
Un vieil homme, pâle comme un linge, suant à grosses gouttes, était adossé à l’une des machines dans un coin. Quant à Sakura, toujours souillée de la tête aux pieds, elle était assise contre un mur, respirant encore lourdement. Elle sourit à la vue de son petit ami se jetant sur elle pour la prendre dans ses bras. « Akira… murmura-t-elle de sa voix rauque et fatiguée, tu… es venu.— Bien sûr que je suis venu, avec Kurito et le docteur Nari. »
Le docteur justement, débarqua en trombe et bouscula le jeune homme pour examiner sa patiente préférée. Par précaution elle avait apporté sa sacoche avec tout son nécessaire, elle prit sa tension, sa température, l’ausculta en bonne et due forme et prescrit un bain, énormément de repos et quelques pastilles pour sa gorge en plus de thé bien chaud au miel. Pour le reste, elle verrait plus tard. Elle donna donc à Sakura un peu d’eau et une pastille avant de l’aider à se relever avec l’aide d’Akira. Kurito, lui, se contentait de la féliciter en lui conseillant d’écouter son médecin.
Quand la police arriva, elle mit la main sur un professeur Talk-Talk à moitié traumatisé. Elle répertoria son équipement avant qu’une unité spéciale ne vienne l’embarquer car il y avait beaucoup de machines très lourdes à transporter. En entendant sa déposition, l’inspecteur fut à la fois admiratif et déconcerté, jamais il n’aurait imaginé que les démons existaient. Pourtant, l’engin qui a ouvert le portail était bien réel, tout comme les marques que la créature avait laissée sur la jeune héroïne. Avant d’être jeté dans le panier à salade, le prisonnier interpela Sakura : « Comment as-tu fait ? Comment as-tu résisté au sperme de mon maître ? C’est un aphrodisiaque si puissant qu’aucune femme ne peut y résister !— Aucune femme sauf moi, répondit-elle amusée, je suis l’avatar du printemps, l’incarnation du renouveau et de la vie. Je suis immunisée à tous les aphrodisiaques qui existent, et tu sais pourquoi ? Parce que c’est moi l’ultime aphrodisiaque. »
L’homme pesta de plus belle et dans un geste de désespoir, sortit un petit boîtier de sa poche arrière, qui avait étrangement échappé à la fouille par les agents de police. « Je vous réserve une dernière surprise Swallow Kamen ! »
*Clic*
Fin de la saison 1
À suivre dans Swallow Kamen : On fait une petite pause. Le premier filler de Swallow Kamen.
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