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Swallow Kamen

Chapitre 9

On bricole une fin comme on peut ! La course effrénée pour que tout rentre dans l'ordre.

Trash
Après avoir mis les choses au point hors champ pour gagner du temps avec Phryge… euh non attendez, avec Kurito, Sakura et Fran arrivèrent à la même conclusion. Le professeur Talk-Talk a fait sauter son laboratoire dans notre univers et ça a détraqué les autres appareils présents, dont le générateur de portails vers d’autres dimensions. Celui-ci en explosant a ouvert un tunnel entre la réalité d’origine (qui ne se doute de rien) et celle où l’on se trouve actuellement. Kurito se retrouve donc partagé entre deux versions différentes de l’avatar du printemps tandis que lui a fusionné avec son autre lui-même parce qu’il ne peut exister deux kamis identiques dans un même espace-temps
Même que c’est Einstein qui l’a dit dans son ouvrage der praktische Leitfaden zu falschen Erklärungen der Relativitätstheorie für Ihre Science-Fiction-Geschichten.
. Conclusion, notre trio en apprendra plus en consultant le rapport de la police scientifique que leur supérieur, l’énigmatique Il Albergo, leur a demandé de subtiliser. Résolus et pleins d’énergie, ils partirent pour le commissariat central.


Pendant ce temps, notre autre groupe constitué d’Adrien, Antoine, Alexandre et Hélène avaient enfilé des tenues de protection aussi moulantes que bariolées. Ils attendaient les ordres de Gaspard, qui se tenait tel un général devant ses troupes au garde-à-vous. « Messieurs, commença-t-il, et mademoiselle, continua-t-il, je compte sur vous, finit-il.— …— …— …— Pourquoi faire exactement ? Demanda Hélène.— Quoi, vous ne leur avez pas expliqué ?— Je leur ai fait le rapport de ce que j’ai découvert, l’anomalie électromagnétique, l’homme appréhendé par les services de police et leur rapport sur l’incident. Par contre, vous ne nous avez toujours pas dit ce que vous attendiez de nous.— Ah. Vraiment ?— Oui.— Votre mission sera de sécuriser le quartier et d’investiguer sur cet événement afin de trouver une solution à ce problème.— Et comment on s’y prend exactement ?— Avec ceci. »
Gaspard pointa du doigt une grande table où plusieurs objets étaient alignés.
«
Et c’est quoi exactement ces trucs ?
— Ce sont des analyseurs high tech conçus par le département ingénierie de la municipalité. Ils recueillent et analysent toutes sortent de données. Utilisez-les dans le laboratoire pour recueillir des informations. Lorsque ce sera fait, cherchez comment stopper ce phénomène. Il va sans dire que la ville compte sur vous.— Je dirais plutôt l’univers entier, rectifia Hélène.— Certes, certes. Mais notre rôle est avant tout de veiller sur Néo-Daïkotaï, le reste c’est un détail.— Et vous êtes sûr que nous sommes compétents pour ce rôle ? Demanda Antoine.— J’ai foi en vous mes enfants alors ayez confiance en moi, après tout ne suis-je pas Gaspard Protecteur ?
Et ?
— Et rien, contentez-vous de faire ce que je vous demande. »
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Pendant ce temps, à Porto Alegre. João est toujours aux prises avec le type qui a ruiné sa vie. Brisé et à bout de force, il cherche à comprendre pourquoi tout ça lui arrive. « Pourquoão ? Pourquoão èje que vous faites ção ?— Tu sais très bien pourquoi. J’aime pas qu’on mette le nez dans mes affaires.— Mais ié ne javais pas que j’était vos affaires. Pitié, rendez-moi ma femme et mon fils.— Ta femme c’est la mienne maintenant. T’as voulu jouer les caves et piquer dans mon business et t’as perdu, c’est normal que je pique ta femme en retour non ? Puis si tu voulais pas qu’elle te trompe avec moi fallait pas te barrer dans un autre pays et la laisser toute seule. Et pour ton fils, il bosse pour moi maintenant, et je suis pas du genre à licencier du personnel.— Sale ordoure ! »
Notre héros se lança sur ce type avec la rage au ventre et le poing tendu mais il fut stoppé par la main de son ennemi qui lui flanqua une rouste sans même avoir eu à bouger de sa place. « Ha ! Tu croyais vraiment pouvoir me toucher ? J’crois que t’as encore besoin de te faire botter le cul ! »
Alors qu’il levait le poing sur notre ami João, à genoux et épuisé, une voix résonna : « Courage João !— Qui a dit ça ? cria le type.— C’est moi ! Déclara l’homme qui avait fait son apparition, plein d’allure avec son sa chemise en lin, sa cravate en soie nonchalamment défaite et son crâne sur lequel la lumière du soleil se reflétait.— Toi !— Oui, moi.— Vintho ! Je te croyais mort au Cap.— T’as été mal renseigné, Type.— Comment tu m’as trouvé ?— Le Valet du Futur me l’a dit avant de mourir.— Maudit soit-il ! J’aurais dû le tuer plus tôt… comme ta copine !— Ne t’en fait pas, elle sera bientôt vengée. João !— Oui ?— Tu as en toi le pouvoir de sauver ta famille, cher compagnon à l’accent stéréotypé autant qu’inexact. Pour ça tu dois t’ouvrir au pouvoir suprême comme je l’ai fait.— Mais… ié vais perdre mes cheveux !— C’est le prix à payer pour obtenir ce pouvoir.— Mais…— Tu veux revoir ta femme et ton fils ?— OUIII !— Alors ouvre ton esprit et accueille la puissance de l’Alopécie ! »
João ferma les yeux et se concentra sur sa famille. Il était prêt à tout pour les sauver et tandis qu’il versait des larmes de désespoir, une chaleur envahit son corps. Une lumière intense émana de sa chevelure qui se désagrégeait à vue d’œil. Un hurlement jaillit du profond de ses poumons tandis que l’Alopécie imprégna son corps tout entier
A l’exception des sourcils parce que sinon c’est moche
, renforçant ses muscles, affinant ses réflexes et aiguisant son intellect. Lorsqu’il eut terminé sa transformation, João se releva et fit face à son adversaire qui prit soudainement peur à sa vue. « Non ! C’est impossible… Tu… Tu ne peux pas…
— Si ! Ié me souis ouvert à la pouissance et maintenant tou vas voir comment ié vais m’occuper de toi, Type ! Et Ié vais récoupérer ma chère Norão et mon petit Loucão !— Je te félicite João Jorge de Joinville
Le pont pon-pon. Sinon oui, il y a vraiment une ville au Brésil qui s’appelle Joinville au cas où vous vous poseriez la question.
, murmura Vintho pour lui-même. Je n’ai plus rien à t’apprendre…

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Neo-Daïkotaï. Une ruelle dans les environs du commissariat central. 18h42 p.m. On signale embouteillages sur l’autoroute centrale ayant pour cause un accident de camion transportant des petits pois.
Alors que les deux agents d’ABOVE approchaient de leur destination, Sakura remarqua qu’elle marchait dans des flaques depuis un moment en se demandant s’il avait plu durant la journée. Un bref coup d’œil la fit réaliser qu’elle pataugeait en fait dans une mare de sang qui émanait de Fran, à moitié évanouie à côté d’elle. « Haaaaa ! Fra-chan tu te vides de ton sang !— C’est pas grave cheffe *keuf keuf*, c’est normal. Répondit-elle dans le plus grand des calmes.— Comment ça, c’est pas grave ? Tu déconnes ou quoi ? Tu pisses littéralement le sang par la teuch !— Ben oui, quand mes trois verges ont éjaculé, tout le sang qu’elles contentaient est évacué par là.— Évacué ? C’est quoi ce délire ?— Mon corps fabrique plus de sang pour maintenir trois érections, quand j’ai assez joui, tout s’en va par là. Sans ce système, je m’évanouirais à chaque que je bande. L’inconvénient c’est que je suis un peu barbouillée jusqu’à ce que ça s’arrête. Ça ne t’arrive jamais toi ?— Si mais jamais autant !— Ah bon ? C’est bizarre.— DIT CELLE QUI VA CREVER D’ANÉMIE DANS CINQ MINUTES !!— T’en fais pas cheffe, je me remets vite.— ET PAR QUEL MIRACLE JE TE F… »
Un bruit interrompit les deux jeunes femmes qui sursautèrent. Par réflexe, Sakura invoqua ses deux pistolets et les pointa sur la silhouette qui se prostra de peur devant la menace. « Et merde la trainée de sang a attiré les flics ! Lança-t-elle.— Pitié mademoiselle, je ne suis pas de la police.— Z’êtes un pervers alors ! C’est encore pire !— Vous vous méprenez encore, je ne suis pas un pervers, je suis un vampire.— Ah ben fallait le dire tout de suite, encore un peu et vous vous preniez deux pruneaux. Répondit-elle dans un soupir de soulagement tout en rangeant ses armes.— Merci mademoiselle. Voyez-vous, j’ai repéré l’odeur du sang de votre amie et j’ai suivi la trainée qu’elle a laissée. D’habitude, ce genre de piste m’amène à des cadavres dont je me nourris, ça - m’évite d’attirer l’attention en attaquant des gens pour les mordre.— Je vois. Mais malheureusement pour vous, mon amie n’est pas morte, en tous cas pas encore, enfin pas pour longtemps. Et en plus elle est pas blessée, c’est juste un saignement normal de rien du tout, vous savez, un truc de filles.— Bien sûr je comprends. Mais euh… dans ce cas…  est-ce que je pourrais euh… bredouilla le vampire qui commençait à rougir
ce qui est plutôt inhabituel il faut l’admettre
— NON MAIS CA VA BIEN OUI ?! Asséna Sakura en même temps qu’un coup de pied en pleine face. FAUT PAS VOUS GÊNER ESPÈCE DE VICELARD ! Allez viens Fra-chan, on a une mission à mener.— J’arr…ive che…ffe. »
Le saignement venait de s’arrêter et Fran rampait derrière Access en direction du commissariat. Quand elles arrivèrent au coin de la rue, nos deux acolytes se préparèrent à l’infiltration. Access tendit à son équipière un carton géant capable de la recouvrir. « Voilà, planque-toi là-dessous et suis-moi.— Tu es certaine de ta stratégie ?— Mais oui, évidemment.— Dans ce cas, je te suis. »
Et ainsi, elles se faufilèrent dans les locaux de la police ou le service de nuit commençait lentement à relever celui du jour. Dans la cohue des départs et des arrivées, deux silhouettes furtives glissaient sur le carrelage et à travers les couloirs, sans être vues ni entendues de personne et ce, jusqu’à la salle où sont conservées les preuves. Après un bref coup d’œil sur l’endroit, composé d’un poste informatique libre d’accès et d’une grande surface de rayons et de galeries protégée par une grille fermée à clé. « Fra-chan, tu t’occupes de chercher le rapport et de l’imprimer, moi je vais aller voir les bidules, on peut p’têt en prendre quelques-uns avec nous. » ordonna Access et tandis que sa pertenaire pianotait sur l’ordinateur, notre héroïne crocheta avec une adresse et une habilité suprême la serrure à l’aide d’Hanami
Équipé d’un silencieux pour ne pas se faire repérer bien entendu
, puis s’enfonça dans le dédale de couloirs où sont enregistrées sous scellés les différentes preuves. Sa déception fut grande quand elle vit seulement quatre petits boitiers emballés et étiquetés sur l’étagère à moitié vide où étaient rangées les dernières preuves collectées. Dans le doute elle embarqua le tout dans une sacoche et retourna au bureau près de Fran qui semblait en difficulté. « Y a un problème ? Demanda Sakura.
— Je crois que cette imprimante fait des siennes.— C’est parce que tu ne sais pas y faire avec ces engins-là.— Tu es calée en informatique cheffe ?— C’est juste une question de doigté et de tact tu sais. »
Access s’approcha de l’imprimante et toqua deux coups sur son flanc. « Salut, mademoiselle ici présente t’a demandé quelque chose de simple. Nous voudrions que tu imprimes ce rapport. Aurais-tu l’amabilité de t’exécuter s’il te plaît ? » requerra-t-elle d’un ton poli et courtois.
La machine réagit avec un *bzz*. « Et qu’est-ce que ça veut dire exactement ? »
La machine réagit avec un nouveau *bzz*. « C’est marrant, ça ressemble pas à un bruit d’impression. » s’impatienta-t-elle.
La machine réagit avec un troisième *bzz*. En conséquence, Sakura sortit ses deux pistolets et les pointa sur l’écran tactile en hurlant « VAS-Y, DIS *bzz* ! DIS-LE ENCORE ! FAIRE ENCORE *bzz* BAISEUR DE MAMAN ! TU VEUX PEUT-ÊTRE QUE JE REPEIGNE LE MUR AVEC TON ENCRE ?! »
La machine réagit en gargouillant et en crachant le rapport demandé feuille par feuille avec une rapidité phénoménale. « Et voilà, déclara notre héroïne, enjouée. Le tout avec ce genre d’engins, c’est de se faire respecter et rester zen, ces machins-là peuvent sentir que t’as peur ou que t’es pressée. Allez, on embarque ça et on file à l’adresse du savant fou. »
 
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Plus tard dans la soirée, dans les bas-quartiers de la ville, le quatuor de choc de la mairie s’était regroupé à l’adresse du professeur Talk-Talk. « Pfiou, quelle corvée ! Se plaignit Antoine. C’est déjà pénible d’évacuer plusieurs pâtés de maison à quatre, alors en plus dans cette tenue, ça relève du calvaire.— Ne m’en parle pas, ajouta Hélène, la moitié des gens chez qui j’ai frappé m’a prise pour une cosplayeuse perdue.
Moi ils ont cru que j’étais déguisé pour Halloween et m’ont donné des bonbons.
— Et tu les as acceptés ? demanda sa collègue.
Ben ouais, ça fait des heures qu’on bosse sans faire de pause. Ça creuse.
— Je peux avoir un dorayaki à la pêche ? Demanda Adrien.
Non.
— Allez, moi aussi j’ai faim !— Bon, c’est quoi la suite du programme ? Intervint Antoine qui voulait vraiment en finir avec cette mission.— J’imagine que c’est le moment d’utiliser les appareils que Gaspard nous a donné, répondit Hélène.— Très bien, dans ce cas on va se séparer, déclara Antoine.— Bonne idée ! Interrompit Adrien. Toi et Alex allez fouiller la cave pendant qu’Hélène et moi on va s’occuper de la chambre. T’en dis quoi ?— Crève ! jeta-t-elle sèchement en donnant un grand coup sur la tête de son collègue lourdingue.— Merci Hélène. Donc, on se sépare et on prend chacun une pièce de la maison et on se regroupe si quelqu’un trouve quelque chose d’intéressant.
Ça marche.
»

Pas très loin de là, nos deux héroïnes se rendaient au même endroit. « Et bah, c’est vraiment la zone ici, soupira Sakura. Y a pas un chat dans le quartier, même pas une voiture.— Ils sont peut-être tous partis cheffe, proposa Fran. Le rapport que nous avons lu faisait état d’un danger menant potentiellement à la destruction de l’univers.— Pas faux, c’est toujours plus sûr d’évacuer tout le quartier quand l’apocalypse risque de commencer. C’est bon, tu peux te pointer… euh… c’est comment déjà son nom ?— Kurito, cheffe.— Ouais c’est ça, merci Fra-chan. Kurito ? »
Dans un scintillement, la boule de poil apparut avec une pêche dans une de ses patounes. « Tu m’as appelé Sakura ?— Oui, la voie est libre, y a plus personne dans le coin. C’est quoi la suite du plan ?— Il faut vous rendre dans la demeure de l’homme qui a provoqué cette catastrophe, à l’endroit même où la réalité s’est fracturée.— C’est là qu’on va, et quand on y sera ?— Le rapport mentionne une brèche des deux côtés à l’origine de la fusion des deux univers. Pour l’instant, elle est stable mais il y a un risque de voir le processus s’accélérer et devenir hors de contrôle. Il va falloir que tu concentres tes pouvoirs pour empêcher la catastrophe.— Je peux faire ça moi ?— Uniquement dans ce filler.— Ben tiens…— Et que devrais-je faire Kurito ? Intervint Fran.— Dans cette réalité, tu es l’hiérophante de Sakura, ce sera à toi de renforcer les capacités de l’avatar du printemps grâce à l’acte de création. Tes trois verges peuvent être un atout car elles multiplient par trois l’énergie que tu lui insuffles, en l’absence de maîtrise du ki, je pense que cela suffira pour ce que nous avons à faire.— Le ki ? interrogea l’hermaphrodite en tapotant sa lèvre avec son index. Ça me dit quelque chose…— Pour résumer, c’est l’énergie vitale de chaque être vivant. Selon l’école, on pouvait l’employer dans différents domaines comme le combat, la guérison, la méditation, elle permet également de développer des dons psychiques.— Haaa oui, je me rappelle maintenant. Je sais faire ça.— Qu-quoi ?! Sursauta le familier en lâchant son fruit. Tu maîtrises le ki ?— On l’appelle autrement sur ma planète mais oui, je peux. Ça fait partie de l’éducation de la famille royale de mon monde. On s’en sert pour se battre et pour soigner. La légende raconte même que l’une de mes ancêtres pouvait coordonner son armée en méditant.— Elle maîtrisait la méditation transcendentaire
Marque déposée
 ?! S’exclama Kurito les yeux exorbités.
— C’est ce qu’on dit.— Finalement, ça devrait se passer sans trop d’accrocs… conclut Access. »
Quand le trio arriva chez Talk-Talk, il fut étonné de voir la porte grande ouverte. Par précaution, Sakura invoqua Hanami et Shunbun et décida qu’il était plus prudent de se séparer car au moins, s’il y a une menace, il est préférable qu’une personne meure dans son coin plutôt que tout le monde ensemble. Fran se dirigea vers la cave en descendant l’escalier sombre de la maison qui s’éclairait par intermittence à la lueur fatiguée d’une ampoule bourdonnante. Elle prenait beaucoup de précautions lorsqu’elle posait le pied sur chacune des marches, temporisant régulièrement entre deux ou trois pas, le temps qu’un nouvel éclair blafard vienne lui montrer le chemin. Outre les grincements, il lui semblait entendre des bruits étranges venant du ventre de la bâtisse, comme des gargouillis métalliques rebondissant sur les parois rouillées des murs de cette cage dans laquelle Fran s’enfonçait peu-à-peu. Soudain, une sirène d’alarme retentit et l’ampoule dans un ultime grésillement mourut, laissant la jeune femme… seule dans le noir.
Ah, non. Attendez. Il semblerait que les sirènes d’alarme viennent de chez moi. La Russie aurait lancé une attaque nucléaire sur la Belgique. Au temps pour moi.

En atteignant le sol froid de la cave, Fran constata que les sons qu’elle entendait venaient de la pièce située au bout du couloir étroit dans lequel elle se trouvait et d’où une lumière un peu plus vive émanait. Elle s’avança lentement vers l’ouverture, suivie par le claquement de ses pas sur le béton. Arrivée à l’encadrure de la porte, elle jeta un rapide coup d’œil sur ce qui s’y trouvait, ou plutôt, sur ce qui ne s’y trouvait pas. C’était une immense salle vide à l’exception de la poussière qui tapissait sa surface, de quelques câbles que la police n’avait pas embarqués et d’un étrange individu dans une combinaison intégrale bleue et portant un casque à visière. Celui-ci sursauta et poussa un léger cri en apercevant l’intruse. « Qu-qu-qui êtes-vous ? » balbutia-t-il. La jeune femme ne répondit pas, préférant étudier l’individu interlope qui tranchait avec l’atmosphère glaçante de l’endroit. Ce dernier après un regard un peu plus attentif ne manqua pas de reconnaître sa voisine, celle-là même dont il était amoureux car sous le masque, il y avait Antoine. « Françoise… c’est toi ? demanda-t-il abasourdi.— On se connaît ? Qui êtes-vous ?— Hum.. Je suis l’un des protecteurs de cette ville, déclara-t-il en forçant un peu sur sa voix et en bombant le torse. Vous ne devriez pas être ici jeune demoiselle, le quartier est dangereux.— Un protecteur ?— Euh… oui, je fais partie des forces de sécurité de la ville, mon devoir est de protéger nos concitoyens de toutes les menaces potentielles. Mais vous devriez partir, nous sommes en mission…— Aaah, vous êtes de la police alors.— Euh… non, nous sommes une équipe euh… d’élite qui n’intervient que sur des cas que la police ne peut pas résoudre.— D’accord. »
Pendant que ces deux-là discutaient, ou pendant qu’Antoine essayait de discuter avec Fran du moins, Sakura avait débarqué avec le reste de l’équipe. « Hé Fra-chan, tu devineras jamais ce que j’ai trouvé dans cette barraque ! » cria celle-ci. Elle fut déçue de voir le héros bleu avec son équipière. « Oh, t’en as chopé un aussi. J’ai le reste de la brochette. Par contre, j’ai pas bien compris ce que ces guignols font là. Tu le sais toi ? — Oui, répondit l’autre agent d’ABOVE. Ce sont des justiciers qui font appliquer l’ordre en dehors du cadre de la loi.— Euh… en fait… commença Antoine mais il fut vite interrompu.— Pff, encore des cow-boys qui s’imaginent que la ville est à eux.
Des cow-boys… C’est quand même elle qui nous a menacé avec des pistolets
intervint Alexandre.
— Bon, les cosplayeurs ont fouillés les étages et n’ont rien trouvé, la faille dimensionnelle doit être par ici. »
Access avait complètement ignoré la petite troupe et continuait de parler avec Fran. Elles furent interrompues par des bips alarmants en provenance d’Antoine. « C’est quoi ça ? interrogea Sakura.— Euh… c’est mon appareil. Il est censé détecter les anomalies quantiques et dimensionnelles ou quelque chose du genre… Je crois qu’il se passe quelque chose. Que disent les vôtres les gars ?— …— …
— Ils sont où ?— On les a fait tomber quand elle nous a braqué avec ses armes, avoua Hélène.— C’est pas vrai… »
Le petit boitier commençait à vibrer et à bipper de plus en plus vite et de plus en plus fort. Alexandre se précipita vers son collègue et vérifia l’indicateur. «
Merde, ça commence.
— Quoi qui commence ? Demanda Adrien, paniqué.
La singularité devient de plus en plus instable à chaque minute qui passe. D’après l’instrument d’Antoine, on a que quelques minutes avant que la fissure entre notre univers et l’autre ne s’effondre pour se transformer un une sorte de trou noir qui aspirera les deux et détruira toute vie sur la surface des deux planètes dans une gigantesque implosion.
— Tu pourrais pas parler plus lentement ? On pige rien à ce que tu dis ! S’énerva Antoine.— D’après ce que j’ai compris, la réaction en chaîne qui amènera l’apocalypse a commencé et il ne nous reste plus beaucoup de temps avant qu’elle n’atteigne un point critique, expliqua Fran.— C’est emmerdant, ça, râla Sakura. Bon allez, les comiques, vous reculez, laissez les pros s’occuper du reste.— C’est à nous qu’elle parle ? S’étonna Hélène.— Je crois oui, ajouta Adrien.— Vous attendez quoi là ? Allez, vous pouvez mater si ça vous chante mais vous reculez. Fra-chan, à poil ! — Quoi ?! Bondit Antoine.— Silence dans le fond ! Et rendez-vous utiles un peu, allez chercher le matelas dans la chambre et ramenez-le.— Mais…— C’est une question de vie ou de mort alors magnez-vous !
Euh… on fait quoi là ?
— Bon, écoutez, on a pas le temps de vous expliquer. Alors vous nous laissez faire et vous nous ramenez ce matelas parce qu’on se caille les meules par terre.— Je crois pas que…— ON EST À DIX MINUTES DE LA FIN DU MONDE ET Y A PAS ENCORE EU DE SCÈNE DE CUL DANS CE CHAPITRE, ALORS LAISSEZ-NOUS BAISER QU’ON PUISSE SAUVER L’UNIVERS NOM DE DIEU ! Hurla Sakura. »
Adrien et Alexandre, intimidés, filèrent à la chambre pendant qu’Antoine et Hélène restaient dubitatifs. En attendant, Access et Fran finissaient de se déshabiller. Lorsque cette dernière libéra son triumvit, les deux membres des forces spéciales municipales tressaillirent en reculant. « Qu-Qu’est-ce que c’est que ça ? bafouilla Hélène.— J’en sais rien ! Répondit Antoine, stupéfait.— Je croyais que c’était ta copine.— Copine c’est un grand mot. On se fréquente mais on peut pas vraiment dire qu’on soit ensemble. Je comprends pourquoi maintenant.— Sans rire.— Peut-être qu’elle a peur que je la juge…— Euh… je crois que ça n’a pas l’air de la déranger là tout de suite.— HO ! SI ON VOUS EMMERDE FAUT LE DIRE TOUT DE SUITE ! hurla Sakura. ON AIMERAIT SE CONCENTRER ICI. Tu crois que t’arriveras à bander assez vite ?— Je pense cheffe, mais il faudrait que tu m’aides un peu.— Ok, je vais te chauffer en attendant que les autres reviennent. »
Les deux agents, nues à l’exception de leurs bottes, commencèrent par se frotter l’une contre l’autre en s’embrassant goulument. Access en agrippant d’une main l’une des fesses de sa collègue et se saisit de Crassus
La verge du haut
de l’autre, le serrant fort entre ses doigts. Ensuite, la bouche de l’avatar du printemps quitta celle de Fran pour se retrouver sur sa poitrine, léchant et suçotant les petits mamelons roses, arrachant un ou deux petits gémissements de la princesse extra-terrestre. Quand sa première queue fut prête, tendue et suintante, ce fut au tour de César
La verge du milieu
de subir le même sort. Tout en continuant de dévorer les seins en alternant régulièrement entre les deux, Sakura avait accéléré le mouvement de ses doigts pour branler Jules un peu plus vite en imprimant une légère torsion dans son poignet. Quand Adrien et Alexandre revinrent avec le matelas, ils le lâchèrent en même temps qu’un cri de surprise mais Hélène et Antoine les empêchèrent de déranger le duo en leur expliquant à voix basse ce qu’il se passait devant leurs yeux incrédules. «
Vous les croyez ?
, chuchotta Alexandre.
— Qu’on les croie ou pas, on n’a pas plus de solutions à proposer admit Hélène.— Ouais, puis au moins, si on meurt, on verra quelque chose de sympa avant de claquer, ajouta Adrien. »
Pendant que le groupe discutait, Sakura s’était accroupie pour s’occuper de la dernière verge et décida d’accélérer les préliminaires en utilisant sa bouche, tout en jonglant avec les deux autres pour maintenir leurs érections avec la dextérité d’un tourneur d’assiettes. Ses lèvres quant à elles glissaient avec plus d’aisances sur la hampe grâce au lubrifiant naturel secrété en grande quantité par les trois glands en même temps. Tout en pompant Pompée
Vous la sentiez venir, avouez.
, Access accéda
par contre, vous l’aviez pas vu venir celle-là
à la vulve de sa hiérophante tout aussi dégoulinante et glissa un doigt entre ses lèvres. L’avatar du printemps fut surpris de constater que l’intérieur et l’extérieur étaient tout aussi chaud, et Fran, stimulée à la fois dans sa virilité et sa féminité, remplissait l’espace vide de ses gémissements. Lorsqu’elle se releva, Sakura jeta un œil vers la porte et remarqua que le public de voyeurs restait planté comme des piquets multicolores sans oser bouger, murmurant des choses incompréhensibles pour elle. Comme personne ne se décidait à avancer, elle alla elle-même chercher la paillasse fatiguée et la tira au centre du labo, après quoi elle s’y installa à quatre pattes. « C’est le moment de passer aux choses sérieuses ! » annonça-t-elle. Aussitôt, sa comparse s’installa et enfourna Pompée dans son minou brûlant et déjà ouvert tandis que César se préparait à conquérir son petit trou à l’aide de son jus. La demoiselle hermaphrodite débuta lentement afin de s’échauffer car elle allait bientôt devoir fournir un effort physique et mental considérable. Par chance, la séance de sexe intense de la journée lui avait permis de connaître un peu mieux le corps de sa supérieure et elle n’eut donc aucun mal après quelques va-et-vient à atteindre le fond de son ventre, toquant à la porte de son paradis
Hey. Hey. Hey hey yeah !
. Une fois les deux femmes à l’aise, la double pénétration suivit et la verge dure et épaisse prit ses quartiers dans les entrailles chaudes après avoir franchi sans heurt l’anneau détendu. Malheureusement la fine barrière séparant les univers venait de céder et la réalité se fissurait à vue d’œil telle une vitre sous pression
Et cette fois, même Olivier de Carglass n’aurait rien pu faire
. « Merde ! Vite Fra-chan, utilise le ki ! » cria Sakura qui avait du mal à contenir le processus. En réaction, Fran ferma les yeux et concentra toute sa force bitale
À la base c’est une faute de frappe mais en relisant, je me suis dit que c’était tout aussi bien de laisser comme ça.
dans Pompée et César et la température grimpa aussitôt, chaque coup de rein amplifiant la charge transmise. N’ayant jamais eu à contrôler de tels pouvoirs, Sakura eut du mal à canaliser cet afflux continu et toujours plus accru dans un premier temps, mais la vitesse à laquelle la fin du monde approchait l’empêchait de penser à autre chose. Tout se disloquait, se brisait, se désagrégeait devant ses yeux et c’est cette vision qui la poussait à se dépasser car elle était le dernier rempart contre l’anéantissement total. Dans un cri de rage et de plaisir mêlé elle appela les forces de la vie à intervenir et à refermer cette blessure, cette plaie dans le tissu de l’espace-temps que seul le pouvoir du sexe pouvait invoquer. « AU NOM DE LA VIE ET PAR LE POUVOIR DE LA NATURE ET DE L’AMOUR QUE GUÉRISSENT LES MAUX DE LA TERRE ! » Hurla l’avatar du printemps de tous ses poumons. Le temps sembla se figer et se plier à sa volonté et le terrible mécanisme commençait à se gripper, stoppant net sa progression, il semblait même que l’ordre revenait par endroit, l’espace reprenant sa forme originelle. Cependant, le soulagement fut de courte durée car malgré tout l’acharnement de Sakura, la brèche ne cicatrisa pas, elle n’avait que suspendu son cours pour un moment et elle pouvait tout aussi bien céder avant d’y parvenir. « Combien de temps avant minuit ? demanda-t-elle.
— Deux minutes cheffe !— Alors baise-moi à fond !— Mais Access, c’est de la folie…— Si tu ne le fais pas, on y passe tous !— D’accord. Voilà mon gros calibre pour un barillet de plaisir ! Technique à trois queues : cent-huit orgasmes pound ! »
Sans aucune forme de douceur, Crassus força le passage et rejoignit César dans ce cul déjà éprouvé, dilatant la pastille à l’extrême au point de faire hurler sa propriétaire si fort que le son remplit le vide de la pièce entière pour plusieurs minutes à force d’échos rebondissant sur le béton et le métal. Sur le coup, l’héroïne faiblit un petit instant, relâchant son étreinte sur l’apocalypse annoncée mais les trois chibres de sa hiérophante la remplissait d’une puissance telle qu’un dieu aurait reculé en face, et de liquide séminal aussi. De son côté, sentir ses trois membres aussi comprimés avait amené Fran au bord de l’orgasme, pourtant elle n’avait pas le droit de jouir, pas maintenant. Il fallait d’abord que sa supérieure canalise la triple dose de ki qu’elle lui insufflait et lorsqu’elle y parviendrait, seulement à ce moment précis, elle pourrait. Sakura luttait, d’abord contre la douleur, puis contre la réaction en chaîne. Tout son corps semblait se briser comme le monde qu’elle tentait de sauver, malgré tout elle tenait bon, respirant profondément entre plusieurs coups de boutoir qui repoussaient les limites de ses orifices, elle avait mis sa vie en jeu et elle comptait bien aller au bout. Lorsqu’assez de ki s’était accumulé pour renverser la situation, elle en appela encore au printemps, à la vie, à l’amour, à leurs nuits, à leurs jours, à l’éternel retour de la chance et cette chance fut de leur côté car le phénomène fit machine arrière et l’apocalypse cédait, encore et encore. « Ça y est ! » comprit Fran, elle qui avait aussi bataillé pour se contenir et ne pas faiblir après tant de force vitale sacrifiée pour son amie, elle pouvait enfin tout lâcher et c’est un geyser de sperme qui jaillit au plus profond des entrailles de celle dont elle partageait la vie, l’appartement et le travail depuis des mois. Toutes deux se rejoignirent dans leurs cris et dans leurs orgasmes, les cheveux collés à leurs corps en sueur et les yeux clos, l’une agrippée aux hanches de l’autre, chancelant sur le matelas les bras tremblants.
Lorsque le calme revint, tout était fini, dans un éclat de lumière et d’effets spéciaux
très joliment faits parce que nous, on fait pas bosser h24 six jours sur sept les gens qui bossent dessus et en plus on les rémunère à la hauteur de leurs talents
, les dernières zébrures dimensionnelles se colmatèrent et les visions omineuses du néant firent place à la cave tout ce qu’il y a de plus banale de la maison de banlieue. Les deux femmes s’écroulèrent de fatigue sur la paillasse trempée de transpiration, de cyprine et de sperme sous le regard incrédule des quatre spectateurs qui ne revenaient pas du spectacle auquel ils avaient assisté. « C’était… intense, déclara Antoine pour briser le silence.
Et hallucinant !
renchérit Alexandre.
— Et excitant, rajouta Adrien dont la main caressait négligemment les fesses d’Hélène, qui répondit avec une autre caresse un peu plus appuyée sur l’érection de son collègue qui s’effondra sous la douleur.— Et on fait quoi maintenant ? interrogea cette dernière.— J’en n’ai pas la moindre idée, répondirent les deux encore debout en chœur. »
Devant eux, le scintillement n’avait pas encore disparu. Au contraire, il s’était intensifié et brillait de plus en plus. Inquiet, Antoine voulut consulter son appareil afin de savoir s’il y avait encore des risques mais dans un boum qui brisa presque le mur du son, une onde de choc propulsa violemment le quatuor contre celui de la pièce, les assommant par la même occasion.
Dans le froid de ce sous-sol, six personnes inconscientes. Pourtant, l’écho de bruits de pas que personne ne pouvait entendre résonnait dans l’immobilité de cette cave. Un homme entra par la porte entrouverte et balaya son regard sur cette scène et chacun de ses protagonistes. Il examina brièvement l’équipe de choc et murmura pour lui-même
Et pour le lecteur aussi
« Ils sont en vie, mais ils auront une migraine carabinée quand ils se réveilleront. Je doute qu’ils se souviennent de quoi que ce soit. »

Puis il se dirigea vers les deux héroïnes qui sauvèrent deux mondes en une fois. Accroupi devant leurs corps fatigués et tout juste vivants, il frotta son crâne chauve et desserra encore plus sa cravate déjà à moitié défaite. « On vous en doit une belle les filles ! dit-il en retirant sa veste pour couvrir Sakura qui avait le plus morflé. Il vaudrait mieux que vous ne soyez plus là quand les flics débarqueront par grappe de douze pour savoir ce qu’il s’est passé ici. »
Sur ces mots, Vintho attrapa Access, sur l’épaule gauche, Fran sur l’épaule droite et quitta la bâtisse en laissant les autres pour la rue déserte où il avait garé sa voiture. Il installa les demoiselles à l’arrière et repartit chercher leurs vêtements qu’il empaqueta dans un sac de sport. Puis il s’installa au volant, le sac posé sur le siège passager et alluma le contact. Au loin, on pouvait entendre résonner des sirènes dans ce quartier fantôme, mais lorsque le tumulte et le vacarme sera là, lui n’y sera plus. Il aura ramené ses deux passagères dans leur appartement, où elles prendront un repos bien mérité, dans leurs futons moelleux, drapées d’épaisses couvertures.
Fin.
À suivre dans Swallow Kamen : Swallow Kamen Holiday Special - Première partie. Donc, là, normalement c’était pour un concours mais comme j’ai galéré pour finir tout, ce sera pas dans le concours mais comme j’ai commencé à le faire, je le finirai quand même et ça arrivera plus tard, ce sera le premier OAV de cette série. Si vous ne savez pas ce que c’est, Un OAV, ou Original Animation Video est un épisode spécial ou un petit film rattaché à un animé mais qui ne fait pas partie de son canon. Cela peut-être des épisodes de même longueur ou plus courts présents en bonus sur un DVD ou même un film sorti au cinéma ou directement dans les rayons
Pour le différencier du direct-to-VHS ou direct-to-DVD américain qui est rarement de bonne qualité et ne cherche qu’un profit immédiat avec des coûts de production moindres, il suffit de regarder Le retour de Jafar ou Mulan 2 pour s’apercevoir que c’est moche et mal torché.
. Dans le cas d’un film, comme un filler, il n’est pas canonique et soit personne ne mentionne ce qu’il s’y passe, soit tout le monde oublie magiquement ce qu’il s’est passé. Voilà, j’espère que cette explication vous aura éclairé. Sur ce, à bientôt pour de nouvelles aventures !
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