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Sylvaine se refuse à l'un, se donne aux autres

Chapitre 1

La capitulation de luc

Avec plusieurs hommes
        Luc s’était déjà branlé 2 fois sans parvenir à trouver le sommeil. A 5 heures du mat, lorsque enfin il entendit Sylvaine actionner la serrure de l’appart, il bandait encore, hanté par les images obscènes qui avaient envahi son imaginaire depuis le départ de son amoureuse la veille, vers 11 heures du soir.
Sylvaine n’était plus Sylvaine. La métamorphose commencé une semaine plus tôt en avait fait une étrangère, une magnifique étrangère qui vivait encore près de lui, dormait dans son lit mais avec qui il ne pouvait pas tenir de conversation et qui, pire que tout, se refusait à lui. Alors que le jeune couple était sur une phase de déclin sexuel, la transformation de sa copine avait malencontreusement relancé les ardeurs de Luc tandis qu’elle devenait de plus en plus indifférente à lui. Souvent, le regard dans le vague de la jeune femme le traversait sans le voir, comme s’il lui était devenu invisible ou aussi peu digne d’attention qu’un meuble ou un vieil animal de compagnie. Pour son malheur, Luc la trouvait de plus en plus belle et désirable à mesure qu’elle s’éloignait de lui. De fait, elle avait complètement renouvelée sa garde robe et ne s’habillait plus que de manière très féminine alors qu’avant, tous ses efforts semblaient tendre au contraire : paraître aussi éloignée que possible des canons de beauté, « du dictât de la mode et des normes machistes colportés par les médias », comme elle le clamait si volontiers. Elle ne portait désormais plus que des jupes ou des robes plus courtes les unes que les autres, des hauts qui souvent laissaient entrevoir une partie du soutien gorge, des sous-vêtements sophistiqués et surtout, contre toute attente, l’accessoire autrefois le plus décrié en tant que « symbole de soumission au pouvoir phallocrate » : des talons aiguilles !
La semaine dernière, comme il lui faisait une scène, elle lui avait avoué ce qui se passait. Elle avait consenti à lui parler comme on se débarrasse d’une charge contingente, lui consacrant quelques minutes de son attention avant de reprendre sa rêverie, quelques minutes qui bouleversèrent la vie du jeune homme. — Écoute Luc, avait-elle commencé en se pinçant le haut du nez, nous deux c’est terminé. Tu es un gentil garçon mais moi je suis plus la même. Comme tu dois t’en douter, j’ai rencontré quelqu’un sur mon lieu de stage, voila.
Le cœur du jeune homme se tordit dans sa poitrine.
— Mais… tu l’aimes ?— Disons que je… lui appartient et que ça me plaît. Ça me comble tu comprends ? Écoute, je veux pas te faire de mal, je t’aime bien. Si tu veux on en reste là. Je crois pas que tu ais vraiment envie de savoir…— Si, au contraire je veux TOUT savoir, qui il est, quand vous vous voyez, ce que vous faites, tout !— Tu es bien sûr ?— Tout à fait sur.Luc tremblait désormais, tandis que Sylvaine le regardait avec perplexité. Elle délibéra en elle-même encore quelques secondes.— Oh après tout c’est peut être mieux que tu saches, mais c’est toi qui l’aura voulu, ne l’oublie pas.     — Oui.— Bien. Alors voila… Depuis environ une semaine, j’appartiens à un homme très viril, Pierre, un  commercial du bureau qui m’a révélée ma vrai nature de femme tu comprends ? Il m’a prise de toutes les manières possible, il m’a même fait des choses que je n’aurais jamais imaginé faire un jour.— Mais… Qu’est-ce qu’il a de plus que moi ?— S’il-te-plait n’insiste pas Luc, je ne veux pas te faire de mal.— Parle !— Ok, comme tu voudras... J’aime tout de lui, ses poils, son sexe, sa transpiration. Oh je ne devrais pas te dire ça. J’aime le goût de son sperme, je n’en ai jamais assez et j’aime aussi… Sylvaine s’était soudain enflammée, parlant avec fougue, les yeux brillants. J’aime aussi qu’il me donne à d’autres hommes, à tous ceux qu’il me désigne. Je m’offre à des tas d’hommes désormais et je ressent une espèce de fierté quand ils prennent leur pied avec moi. Je me donne toute entière à eux, presque sans limite comme mon homme le réclame. Je les contente en tout et ils peuvent me traiter comme bon leur semble.

Elle attrapa le bras de Luc et le regarda dans les yeux.
— Tu n’imagines pas comme c’est bon d’être le jouet des hommes, leur salope, comme c’est bon d’entendre leurs injures, de boire leur foutre, de se livrer sans réserve aucune…— Mais… comment… enfin… tu veux dire que tu t’offres à des hommes ?— Oui Luc, je fais la pute pour mon homme. Je suis une pute désormais, et contente de l’être.
Luc, blême, restait coi.
— Écoute, poursuivit Sylvaine, je vais partir si tu veux et te laisser l’appart. J’ai juste besoin de quelques jours pour me retourner, trouver un nouveau logement et…— Non, Sylvaine ! Je t’en supplie, ne me quitte pas. Je suis fou de toi. Je… Je vais te sauver ! Je vais te sortir des griffes de ce maquereau, je vais aller à la police et…— Non ! Non, Luc, tu n’a pas écouté. Je suis consentante. Je suis à lui parce que je me suis donnée à lui. Ça me plaît qu’il fasse de moi ce qu’il veut.— Tu est d’accord pour que cet homme te prostitue !!!— Oui, je t’ai dit, je suis sa pute et j’aime ça. Tu vois bien qu’il faut qu’on se sépare, Luc, on va pas en faire un drame, c’est la vie et on peut, enfin si tu me méprises pas trop, rester bon copains…— Mais arrête ce cirque Sylvaine. C’est pas toi ça, toi tu es une militante féministe, une femme libre ! Tu n’es pas… ça !
Il désigna la jeune femme en tendant les bras devant lui. Elle portait ce jour là une jupe moulante qui laissait apparaître le liserai des bas, un chemisier largement échancré et des escarpins rouges.
— Au contraire Luc, je ne me suis jamais aussi senti moi-même que depuis que je suis devenue une pute docile. J’ai l’impression… comment dire… d’avoir trouvé le bonheur dans l’esclavage…— Putain c’est pas possible… C’est un cauchemar.— C’est comme ça Luc, allez on va pas en faire un histoire, je vais chercher un appart et…— Non ! Reste ! Je te veux près de moi, tu es mon amour !— Mais enfin Luc, tu ne peux pas accepter ma nouvelle vie, tu vois bien l’état dans lequel ça te met mon chou.
Le mot doux fit monter une émotion qui submergea Luc. Fondant en larmes, il se jeta aux pieds de Sylvaine et lui enserra les genoux.
— Je t’en supplie Sylvaine, ne me quitte pas, je t’accepte telle tu es, je ne te demanderai rien, tu feras ce que tu voudras. Reste avec moi, par pitié...— Tu veux dire que tu accepteras que je fasse la pute pour le compte d’un autre homme ?— Oui, si c’est ce que tu veux.— Que je me fasse prendre de toutes les manières possibles par pleins de mecs tandis que toi, tu ne pourras plus jamais me toucher ?— Mais... pourquoi je ne pourrai plus te toucher ?— Pierre a été très clair. Dès le départ il a bien spécifié que je ne pourrai plus coucher qu’avec des hommes qu’il aura choisi pour moi et surtout pas avec toi. Je suis désolée mon chérie, conclut Sylvaine en caressant la tête de Luc.
Ce dernier, profitant de la caresse, se blottit contre ses cuisses, dissimulant une douloureuse érection, surpris d’éprouver en même temps qu’une profonde tristesse une excitation comme il en avait rarement connu.
— Ça ne fait rien, mon amour. Reste. Je n’exigerai rien de toi. Je veux juste que tu sois là, près de moi.— Tu es bien sûr Luc ?— Oui ma chérie, je suis sûr.
Depuis ce jour, Luc admirait son amoureuse quand elle s’habillait le matin et attendait dans une grande impatience le moment où elle rentrait du bureau et lui accordait un petit baiser sur les lèvres. Le parfum délicat qu’elle exhalait le matin avant son départ était recouverte le soir à son retour par une puissante odeur musquée qui ne lui appartenait manifestement pas.  
La veille de ce soir là, elle avait demandé à Luc de l’aider à se préparer pour aller « en soirée ». Ils connurent un moment de complicité comme peuvent en avoir deux bonnes copines, à ceci près que Luc bandait comme un âne et ne devait rien en montrer, sachant qu’il aidait son amoureuse à se faire belle pour d’autres. Elle portait un ensemble de lingerie noire composé d’un tanga et d’un soutif à balconnets qui rehaussait son imposante poitrine. Elle s’enveloppa ensuite dans une robe tube écrue, bien entendu très courte, qui ne dissimulait aucune de ses formes. Ses cheveux relevés en chinions laissaient libres quelques mèches qui encadraient délicatement son visage encore juvénile. C’est une toute autre femme qui rentra à 5 heures du matin et s’affala sur le lit près de Luc. Décoiffés, ses cheveux semblait collés par endroits et sa peau pleine de rougeurs dégageait une forte odeur de transpiration et de sperme.
— Heu… Ça va ma chérie ?— Oui… je suis juste épuisée.— Qu’est-ce-que... Qu’est-ce-qu’il s’est passé ?— Et bien… j’étais conviée à un « parcours 6 trous ».— Un parcours… Quoi ? Un golf nocturne ?— Non, pas un golf mon chéri. Un parcours 6 trous, je l’ai découvert ce soir, c’est une soirée avec deux filles où chaque homme présent doit au moins une fois pénétrer chacun de leurs orifices. Le premier qui a terminé a gagné. Une invention de mon homme.— Heu… Ah bon, mais ce doit… Violent…— Heu… oui, plutôt. Quand le départ a été donné, ça a été la ruée. J’ai été un peu … bousculée.— Il y avait beaucoup d’hommes ?— Oh oui, beaucoup, vraiment beaucoup. Je ne saurais pas dire combien au juste.— Il  y en avait que tu connaissais ?— Oui, bien sûr, presque la moitié. Pas mal de mecs du lieu de stage et des camarades de ma promo que Pierre a contacté, un prof même.— Des gens d’H.E.C ?— Oui, et aussi notre voisin, tu sais, celui qui me regarde toujours bizarrement…— Putain je le crois pas Sylvaine… C’est horrible.
Luc se retourna, autant pour cacher ses larmes que son érection persistante. Sylvaine lui passa la main dans les cheveux.
— Ecoute Luc, j’ai demandé à Pierre si je pouvais te laisser profiter un peu de moi, et j’ai une bonne nouvelle, il est ok pour que nous ayons une relation sexuelle.
Luc se retourna, rayonnant de joie soudain.
— Ah bon mon amour ? tu veux bien que je te…— Il est d’accord pour que tu me lèches la chatte et le cul si tu ne te touches pas en même temps.
Elle souleva alors son bassin pour remonter sa jupe au niveau de sa taille et découvrit une vulve rouge et gonflée.
— Je t’avoue mon chéri que ça me ferait du bien un peu de douceur, une langue apaisante sur mon intimité car je suis un peu irritée, de partout.Elle souleva ses cuisses écartée et révéla un trou du cul écarlate et légèrement entrouvert sous la chatte luisante.— Ça me ferait d’autant plus plaisir que je n’ai pas le droit de me laver avant d’avoir dormi… Viens mon chou, donne moi ta bouche !
Luc n’eut pas le temps de réfléchir et se retrouva, entraîné par son amoureuse, le visage dans son entrejambe, face à la fente tant convoitée. Il se mit à lui laper le sexe et les fesses, insistant sur la chatte fondante dans laquelle sa langue s’enfonçait comme dans du beurre.
— Hummm, ça fait du bien mon chéri. Heureusement que je t’ai. Tu es vraiment un ange… Tu aimes le goût de ma chatte ?— Oui je l’aime.— Tu sais qu’elle est pleine de foutre…— Oui je sais…— Lèche aussi le cul, il y en a plein là aussi.— Oui mon amour.— Ahhhh, ce que ça soulage ! Tu es très doué pour ça, tu sais…— Merci mon amour, dit Luc, redoublant de douceur en glissant sa langue au plus profond du cul lésé de Sylvaine.— J’ai quelque chose pour toi mon chou.— Oui ?
Elle sortit de son petit sac à main une clé USB.
— La séance de ce soir a été filmée. Tu veux la voir ?— Oh oui ! Les mots jaillirent de la bouche humide de Luc.— Tu pourras même te branler en regardant si tu veux, tant que tu voudras.— Oui, oui, oui, dit Luc en donnant de grands coups de langue.— Il y a juste une petite condition, rien de très sorcier tu vas voir.— Quoi ?— Il faut juste que tu reconnaisses que tu es mon cocu. Oh, c’est pas compliqué, et ça ne t’engagera  qu’à faire régulièrement ce que tu fais déjà, à l’instant et peut-être à rendre quelques menus services à mes amants, me préparer pour eux, etc... C’est juste une officialisation en quelques sortes de ta condition...  — Ah bon ? Mais pourquoi… enfin… heu... Ça rime à quoi ?— Ben écoute, voila, en fait, nous sommes deux putes dans l’entreprise et l’autre, Elena, a un petit avantage sur moi, elle a un cocu qui la sert elle et ses amants, un gars vraiment très dévoué, qui va jusqu’à sucer certains hommes qui le réclament pour les préparer… Bien sûr, on ne t’en demande pas autant mon chéri. Mais Pierre est jaloux de Tom, le propriétaire d’Elena et aimerait bien lui aussi que sa pute ait un cocu. Ça le met en colère contre moi que j’en ai pas. Tu sais comment sont les hommes. Alors voila, si tu veux voir ce film et m’éviter des ennuis, il fadrait juste que tu dises haut et fort face à la caméra: « moi, Luc Lançon, m’engage à être le cocu dévoué et obéissant de Sylvaine, pute de monsieur Pierre ».
Luc regardait la clé USB, comme fasciné.
— Heu… oui, d’accord.— Super ! T’es vraiment un amour ! Reste à genoux au pied du lit, c’est parfait. Regarde moi.
Sylvaine pointa son portable vers le jeune homme :
— Vas y mon chéri.
Le visage encore luisant de mouille et d’autres fluides, Luc déclama :
— Moi, Luc Lançon m’engage à être un cocu dévoué et obéissant pour Sylvaine… pute de monsieur Pierre.— Génial, merci mon amour !
Elle envoya le fichier vidéo à Pierre et posa un baiser tendre sur les lèvres de son amoureux en glissant la clé dans sa main. Accoutumé maintenant à l’odeur et au goût du foutre, il ne le reconnu pas dans le souffle de sa chérie, pourtant chargé.   

Cette histoire est un hors-série de la saga « Elena à genoux ». Elle aura sans doute ses propres suites.

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