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Sylvaine se refuse à l'un, se donne aux autres

Chapitre 2

Parcours 6 trous

Avec plusieurs hommes
Précédemment dans « Sylvaine se refuse à l’un, se donne aux autres » : Sylvaine, jeune militante féministe, est devenue la pute d’un commercial dans la société où elle effectue un stage. Son compagnon, Luc, pour ne pas la perdre, accepte d’être « son cocu ». A son retour d’une virée nocturne, la jeune femme se fait lécher par son amoureux et lui confie une clé USB.
Luc glissa la clé USB dans la fente prévue à cet effet de son ordinateur. Il ouvrit le dossier intitulé "parcours 6 trous" et cliqua sur le premier des 7 fichiers MPEG qui s’y trouvaient.
Aussitôt, le visage de sa chérie apparut en gros plan sur l’écran, éclairé par une lumière crue. Légèrement maquillée et soigneusement coiffée, telle qu’elle était à son départ la veille au soir, elle arborait cependant un sourire un peu crispé qu’il ne lui connaissait pas. Ses narines dilatées semblaient rechercher l’air et ses yeux balayaient l’espace autour d’elle. La caméra amorça un zoom arrière, découvrant à hauteur de ses épaules une rangée de caleçons, puis, reculant encore, une autre femme à sa gauche, très belle également. Le zoom révéla enfin un plan d’ensemble où l’on voyait les deux jeunes femmes agenouillées dans une grande pièce pleine d’hommes en sous-vêtements. Certains avaient le visage découvert, mais beaucoup portaient des masques plus ou moins ridicules, plus ou moins effrayants.
Un type ventru, très poilu s’approcha de Sylvaine et posa sa main sur sa tête. Un autre qui semblait plus jeune en fit de même avec la fille à côté. Cette dernière sourit et se frotta le visage à la main du gars, l’embrassant d’une manière qui évoqua à Luc des manières canines. Voyant cela, Sylvaine se mit à l’imiter, cajolant à son tour la main du gros bonhomme comme l’eut fait une chienne. La scène provoqua une vague d’hilarité et d’applaudissements dans la salle, quelques sifflets fusèrent même.
Les filles, souriantes, semblaient accueillir l’ovation comme un compliment. Les deux types se firent un check de leur main libre avant de saluer leur public.Le gros prit la parole :
— Messieurs, bienvenue au challenge "parcours 6 trous "!
Nouvelle vague d’acclamations.
— Vous connaissez les règles: il n’y en a pas vraiment.
Rires à nouveau.
— Le premier qui aura baisé ces deux chiennes, Elena et Sylvaine (mais vous pouvez bien les appeler comme bon vous semble), par tous les trous sera désigné vainqueur. Le prix ? Une nuit entière avec les filles pendant laquelle le gagnant pourra disposer d’elles comme bon lui semble, les partager ou les garder pour lui, jouer au Scrabble ou à la poupée...
La salle surchauffée résonna de rires gras et d’applaudissements.
— Faudra juste veiller, et c’est valable aussi pour ce soir, à pas trop les abîmer. C’est nos gagne-pains et en plus on les aime bien. Vous savez ce que c’est, on s’attache... Voilà mis à part ça, tout est permis. Si vous vous foutez sur la gueule entre vous et que vous vous blessez, c’est le droit commun qui s’en occupera, ce sera pas notre problème, vous avez signé des décharges dans ce sens. Laissez-moi vous présenter maître Lardois, huissier de justice, qui sera chargé de désigner le gagnant.
La caméra se déplaça vers un type en costume qui tenait un bloc note d’une main. Le plan se resserra sur son visage luisant et ses épaules constellées de pellicules. Il sourit sans montrer les dents.
— Mesdames, veillez vous dévêtir à présent s’il vous plaît.
Sylvaine et l’autre fille, Elena, se déshabillèrent sans faire de chichi, comme pour une consultation médicale puis restèrent nues, bras le long du corps, attendant de nouvelles consignes. Certains types derrière elle avaient commencé à se toucher à travers le caleçon tandis que d’autres se branlaient carrément en les regardant.
— A vos marques messieurs ! Prêts ? Go !
Les filles disparurent au milieu d’une mêlée. La caméra tremblante, bousculée, tentait de se frayer un chemin à travers les hommes, en vain. Le gros cria par dessus le brouhaha.
— Les gars, les gars, laissez passer la caméra, priorité à la caméra !
Une bagarre avait éclaté sur la gauche et un type au nez en sang traversa soudain devant l’écran, détournant un instant vers lui l’attention des autres. Le cameraman poursuivait sa progression vers le centre de la tempête en criant « caméra ! Caméra ! ». On s’écartait à contrecœur et bientôt la caméra n’avança plus du tout. Élevée à bout de bras au-dessus de la foule, elle montrait une forêt de têtes dirigées vers un point central où régnait une intense agitation sans qu’il soit possible d’en distinguer plus.
— Écartez-vous, bande de cons ! Ceux qui ne laisseront pas passer la caméra seront éliminés d’office !
Les hurlements du gros eurent pour effet de fendre la cohue devant le cameraman qui, s’avançant dans ce mince couloir, rejoignit bientôt l’œil du cyclone. Le gros poilu était sans doute très près, car on l’entendit rigoler et souffler à voix basse : « Putain, j’suis Moise les gars, j’ai fendu la mer Noire ! »Enfin, les filles réapparurent. Luc focalisa son attention sur Sylvaine qui était prise en sandwich entre un obèse avec un masque de Mikey qu’elle chevauchait et un gars aussi poilu que le yéti qui l’enculait en lui tirant les épaules en arrière. Un troisième lui baisait la bouche sans aucune retenue, les doigts crispés dans sa chevelure. Luc reconnut son voisin, ce salopard aux regards concupiscents et agressifs. Il semblait prendre une revanche, grimaçant, suant de grosses gouttes qui parfois tombaient sur la figure de Sylvaine.
Suivirent des gros plans : d’abord sur la chatte et le cul, pilonnés alternativement à la manière de pistons dans un moteur puis plus anarchiquement lorsque l’enculeur fut remplacé par un autre. Pendant la seconde que dura la transition, Luc aperçut l’anus dilaté de son amoureuse formant un trou sombre parfaitement rond qui n’eut pas le temps de se refermer avant d’être à nouveau envahi.
La camera se déplaça ensuite vers le visage de Sylvaine, déformé par la queue qui lui défonçait la gorge. Son cou épaissi par la présence étrangère semblait se prolonger jusqu’au menton sur lequel battaient les énormes couilles du voisin. Le petit nez délicat disparaissait par intermittences dans la toison épaisse du type. Sans doute encouragé par la caméra, il s’enfonça plus loin encore, écrasant la figure de Sylvaine contre son bas-ventre et l’y maintenant pendant d’interminables secondes avant de la tirer en arrière, libérant brusquement une queue si considérable que Luc se demanda comment il avait pu la faire avaler en entier à sa chérie. Cette dernière happait l’air, bouche toujours grande ouverte. La caméra monta vers la figure du voisin qui lança un clin d’œil et montra un pouce levé au-dessus de son poing avant d’en faire de même avec son majeur, qu’il mit sous le nez de Sylvaine avant de le plonger au fond de sa bouche.
Elle le suça jusqu’à ce qu’il le retire, la gifle et la repousse. Avec une brutalité et une force incroyable, il contourna Sylvaine, délogea le type qui l’enculait en le faisant tomber puis se substitua à lui, s’enfonçant d’une traite jusqu’à la garde. Le cri de Sylvaine fut presque aussitôt étouffé par une nouvelle bite qui envahit sa gorge.
La caméra s’attarda sur un tatouage sur les reins de Sylvaine. En lettres cursives, pleines de fioritures kitchs était inscrit : « Je suis féministe, enculez-moi ! » au-dessus d’une flèche en arabesques qui désignait la raie de ses fesses.
Le voisin s’y employa avec la même joie rageuse qu’il avait manifestée en lui baisant la bouche. Agrippé aux fesses de Sylvaine, il enfonçait son énorme bite et la retirait presque en entier à chaque mouvement. La caméra 4k s’approchant rendait à merveille les détails du membre veineux et des grosses couilles qui battaient contre la bite de l’obèse. A un moment, le voisin se retira et sans chercher à déloger l’homme qui prenait la chatte, entreprit de l’y rejoindre. L’intrusion fit crier cette dernière qui cependant s’en accommoda très vite. Sa bouche à nouveau occupée n’eut de toute manière plus le loisir d’objecter, seulement capable de produire d’obscènes borborygmes. Ici encore, le voisin s’enfonça jusqu’à la garde et les deux bites pilonnèrent ensemble un moment la chatte ultra-dilatée de Sylvaine.
IL chercha du regard l’huissier et quand il l’eut trouvé, cria « Et de 3 ! », puis il se retira précipitamment et entra dans la mêlée d’à côté, et avec la même brutalité dont il avait fait preuve précédemment, rejoignit l’autre femme.
Non loin de cette dernière, un homme agenouillé suçait la queue de deux autres. La sienne était prisonnière d’une sorte de petite cage qui la maintenait inclinée vers le bas. La caméra revint sur Sylvaine qui toussait tandis qu’un type jouissait manifestement dans sa gorge, au plus profond qu’il le pouvait. Certains semblaient se hâter de profiter du morceau qu’ils avaient attrapé, incertains d’en retrouver un autre de sitôt et convaincus de ne pas remporter le challenge. L’obèse sous Sylvaine tenta de l’enculer après que le voisin se fut retiré, mais son remplaçant l’en empêcha, investissant immédiatement le rectum béant. Le gros bonhomme tenta alors vainement de jouir dans le con de la jeune femme, peut-être trop distendu par la double pénétration qu’il venait de subir. L’enculeur souleva Sylvaine, volant son orgasme à l’obèse et amena la jeune femme face à un noir qui l’empala. Le sandwich vertical généra un bruyant mécontentement, car il rendait la bouche inaccessible.
Les deux hommes apparemment complices furent rapidement expropriés et la jeune femme, manipulée comme une poupée de chiffon, se retrouva vite à cheval, assise sur la bite d’un type tandis qu’un autre prenait sa chatte et un troisième sa bouche.
Sylvaine était radieuse, son corps exultait, elle se tordait, cherchant le meilleur angle de pénétration, accompagnant les mouvements de ses amants, prenant l’initiative souvent d’enfoncer plus loin leurs bites en elle.
Fou d’excitation devant ce spectacle, Luc se branlait du bout des doigts, craignant de jouir trop vite : il lui restait encore 6 fichiers MPEG à ouvrir. La suite de la vidéo se focalisait sur l’autre femme, Elena, qui subissait à peu près le même traitement que sa chérie, à ceci près que son cocu de mari, toujours à proximité, se prenait des bites, y compris dans le cul désormais de la part de types encagoulés pour la plupart. Luc, ainsi qu’il venait de l’accepter, avait le même statut que ce pauvre type qui se trouvait peut-être juste à un stade plus avancé...
Cette identification, curieusement, l’excita au-delà de ce qu’il imaginait et, alors qu’il accélérait les passages où apparaissait Elena afin de retrouver ceux dont Sylvaine était la vedette, il relâcha le bouton avance rapide pour se branler doucement en regardant le cocu en train de se faire enculer sous un flot d’insultes. L’orgasme prit Luc par surprise. Soudain et irrépressible, il monta de ses couilles comme un bouchon de champagne et gicla jusque sur son visage. Une goutte de sperme atterrit sur ses lèvres et il la lécha machinalement tout en se reprochant de n’avoir pas su se retenir de jouir.
Il était 6h30 du matin. Une vague de fatigue le submergeait enfin. Il claqua l’ordinateur et revint dans la chambre où il trouva Sylvaine étendue sur le ventre, un genou remonté, offrant une vue dégagée sur son con et son cul. Elle respirait paisiblement l’atmosphère chargée effluves de sperme et de transpiration qui saturaient la pièce, un sourire enfantin à ses lèvres.
Quand il se fut couché à côté, elle marmonna dans un demi-sommeil : « Ça t’a plu ? »
— Oui ma chérie, beaucoup.— Tu as vu qui a remporté le parcours 6 trous ?— Non, je n’ai pas tout regardé...— Ah.— Bah, dis-moi qui c’est ?— C’est notre voisin.— Notre voisin ?— Oui, il passera demain profiter de son lot.— Son lot ?— Oui, moi. C’est moi son lot, enfin Elena et moi. Il veut commencer par moi. Il veut que ce soit toi mon chéri qui me prépares et qui ailles lui ouvrir quand il sonnera.— Il va venir... ici ?— Oui. Il a voulu que ça se passe chez nous. Tu lui ouvriras et je l’attendrai dans le salon... à genoux.
Cette histoire est un hors série de la saga « Elena à genoux ».
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A bientôt !
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