Sylvette et Gérard chapitre 2 C’est samedi, cet après midi je cueille quelques belles roses pour Sylvette et je mets une bouteille de champagne au frais. Je prends une bonne douche avant de m’habiller d’un jean et d’une chemisette. Je suis un peu stressé avant d’y aller, ne sachant pas comment ça allait se passer.Enfin, il est l’heure, je sonne à la porte de mes voisins. C’est Sylvette qui m’ouvre, elle me saute au cou et m’embrasse voluptueusement avant de se reculer.— Ah, Bernard, je suis si heureuse, viens, entre.Elle me prend le bouquet et m’emmène par la main dans son salon. Gérard est là et me fait la bise, il me débarrasse de la bouteille et me fait asseoir.Je regarde Sylvette, vêtue d’une robe noire toute simple qui cache mais en même temps met en valeur ses formes. Je devine qu’elle n’a pas de soutien gorge, elle n’en a pas besoin, et ses tétons pointent fièrement sous le tissu.Gérard s’occupe de déboucher et de servir le champagne, ils ont préparé un délicieux menu, des feuilletés, des verrines au saumon, des tartelettes et autres plaisirs du goût.C’est Gérard qui fait le service tout du long et je remarque qu’il ne laisse pas vide le verre de Sylvette. Sylvette est assise contre moi et quand il est assis, Gérard vient parfois à côté de son épouse et parfois de mon côté.Nous bavardons de choses et d’autres, Gérard n’est pas trop intéressé par le foot, il est plus intello que moi mais on trouve des sujets de conversation qui intéressent aussi Sylvette.Le champagne disparaît à vue d’œil, Sylvette a les yeux brillants, elle me fait des petits baisers après chaque verre et elle frotte sa cuisse contre la mienne. Je vois que ça excite Gérard de nous voir. Je sens qu’on va passer aux choses sérieuses. J’enlace Sylvette et nous nous embrassons d’abord doucement, puis plus passionnément. Gérard nous caresse le corps tandis que nous sommes enlacés. Ensuite il descend la fermeture de la robe et il lui fait glisser par dessus sa tête, elle n’a plus que sa culotte blanche. Je lui embrasse les seins pendant que Gérard me déboutonne ma chemise puis m’ouvre mon jean. Il ne peut s’empêcher de me caresser le sexe à travers mon slip en m’enlevant mon pantalon.Sylvette se lève et m’emmène par la main dans leur chambre, elle s’allonge et m’entraîne sur elle, nous nous embrassons et nous nous caressons fébrilement.Je quitte sa bouche et je descends sur sa poitrine que je parsème de baisers, elle ronronne de plaisir, je continue sur son ventre, je m’attarde sur son nombril, elle frissonne, ses mains se posent sur ma tête et me dirigent vers son pubis. Je prends sa culotte déjà humide et je lui retire tout en l’embrassant sur son sexe brillant de cyprine. Elle gémit quand ma langue pénètre sa fente et remonte sur son clitoris qui sort de sa cachette. Quand je lui mordille le clito elle crie en faisant des bonds mais elle me bloque la tête contre son sexe.Pendant que je dévore la vulve de son épouse, Gérard, qui s’est déshabillé s’occupe à m’enlever mon slip et il me masturbe doucement.Sous l’effet des caresses que je lui prodigue, elle jouit plusieurs fois de suite, enfin elle repousse ma tête.— Viens, je te veux en moi, viens vite !Je remonte entre ses cuisses qu’elle a écarté largement et je la pénètre d’un coup.— Ah oui ! Baise moi fort !Je commence à aller et venir lentement puis plus vite, je lui donne des coups de reins par instants qui la font gémir plus fort. Gérard nous regarde en se branlant d’une main et en me caressant le cul de l’autre, puis il glisse un doigt dans ma raie et me l’enfonce dans l’anus, le salaud, il me fait jouir, j’éjacule à grands jets au fond du vagin de ma maîtresse qui jouit aussi.Nous restons un moment sans bouger en nous embrassant à nouveau avant que je me retire et me mette à côté de Sylvette.Sa vulve entrouverte laisse suinter un mélange de cyprine et de sperme, Gérard vient aussitôt lui lécher, il lui lape ses jus bruyamment en lui aspirant ses nymphes entre ses lèvres, elle râle de plaisir, enfin il remonte sur elle et il la pénètre à son tour. Je m’étais déjà rendu compte que Gérard aimait le sperme, ça me confirme. De les voir faire l’amour me redonne une belle érection, je me place derrière Gérard qui a compris mon désir, il arrête son va et vient et il se cambre, je lui mets un doigt dans l’anus, je m’aperçois qu’il s’est préparé et s’est bien lubrifié. Je présente mon gland et je pousse, ma queue pénètre presque sans effort au fond de son rectum tandis qu’il soupire de plaisir.— Oui, enfonce la bien, c’est bon !Nous prenons un rythme synchronisé, quand ma bite le pénètre, la sienne ressort à moitié du sexe de Sylvette, elle crie sa jouissance tandis que Gérard la besogne et que je besogne Gérard.Nous accélérons notre cadence et bientôt Gérard bloque son sexe au fond de sa femme et décharge en grognant, et je ne tarde pas à en faire autant dans l’intestin de son mari.Nous nous désunissons et restons allongés afin de reprendre des forces. Je crois que j’ai somnolé mais à un moment je me rends compte qu’il se passe quelque chose au niveau de ma queue.Quand j’ouvre les yeux je vois que Sylvette et Gérard sont de chaque côté de moi, ils ont pris mon sexe en main et ils me lèchent de la base jusqu’au gland chacun d’un côté. Sylvette me branle et ils me sucent aussi chacun leur tour, inutile de dire que je bande de nouveau à fond. A chaque fois qu’ils arrivent ensemble au bout de mon gland, ils en profitent pour s’embrasser et échanger leur langue ce qui me fait bander encore plus.J’avance mes mains et je fouille Sylvette tandis que je branle Gérard, ça les excite encore plus et ils me sucent et me branlent plus fort. Je grogne pour les prévenir et j’éjacule une grande giclée sur le visage de Sylvette, aussitôt Gérard me prend en bouche et je lui envoie la suite au fond de la gorge.Quand j’ai fini de décharger, ils me nettoient à coup de langue puis Gérard lèche le sperme qui dégouline sur la figure de Sylvette.Avec les manœuvres du couple, je ne débande pas et il me vient une nouvelle envie de baise.J’allonge Sylvette et je m’allonge à côté d’elle, je l’attire contre moi, je l’embrasse et je la pénètre en même temps, ma bite n’a aucune difficulté pour entrer dans son conduit gluant et je commence à la besogner lentement, à la paresseuse. Elle aussi se serre contre moi et fait onduler ses reins pour m’accompagner.Gérard vient se coller derrière moi et il glisse sa queue entre mes cuisses, il ne cherche pas à me sodomiser, il me baise simplement entre les cuisses et je sens son gland venir frapper mes couilles à chaque coup de reins.Nous faisons l’amour tout en douceur, mes lèvres soudées à celles de Sylvette et Gérard qui m’embrasse dans le cou tandis qu’il a passé une main entre nos corps pour nous caresser.Je vois dans les yeux de Sylvette le plaisir venir, je vais un peu plus vite, elle gémit en jouissant et je la remplis de nouveau de ma semence. Juste après moi je sens Gérard m’inonder les cuisses et les bourses de son sperme épais.Nous restons collés ainsi sans bouger et nous finissons par nous endormir tous les trois.Ce fut une expérience merveilleuse et nous nous promettons de la reproduire de temps en temps, il faut espacer ces choses pour ne pas tomber dans la routine. Maintenant nous continuons nos rencontre à deux, soit que Sylvette me rejoigne ou que j’aille chez elle, par contre mes rapports avec Gérard se déroulent toujours chez moi.Il adore que je l’encule et depuis peu il m’a appris à apprécier la sodomie, il est très attentionné quand il me pénètre et nous passons des moments délicieux ensemble. Enfin après quelques semaines, j’apprends que Sylvette est enceinte, au grand plaisir de Gérard.Il ne veut pas savoir qui est le géniteur, l’essentiel est que ça fait plaisir à ses parents !
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
