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Sylvette et Gérard

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Sylvette et Gérard chapitre 1
Je vis dans un quartier calme de pavillons assez anciens. Je suis seul depuis que je suis divorcé, mon épouse et moi avions trop d’incompatibilités, elle m’accusait d’obsédé et je l’accusais de glaçon.Bref ça ne pouvait pas durer, elle est repartie chez ses parents, et aux dernières nouvelles, elle est toujours toute seule. Quant à moi je suis aussi seul, n’ayant que des coups d’un soir de temps en temps. Pour un ‘obsédé’ c’est pas mal !J’ai passé quarante, j’ai un travail dans le bâtiment, la routine, quoi. Quand je suis chez moi je fais les petits travaux d’entretien habituels, dans la maison ou à l’extérieur, la pelouse, tailler les buissons.J’ai un couple d’ancêtres comme voisins d’un côté, de l’autre un couple de trentenaires qui sont là depuis peu.J’ai fait leur connaissance il y a quelque jours, ils s’appellent Sylvette et Gérard.Sylvette est une jeune femme vive et enjouée, jolie silhouette très féminine, Gérard est plus réservé, un peu en retrait des son épouse. Il y a quelque chose qui m’échappe dans leur relation.Je les ai invités à prendre l’apéro en signe de bienvenue. Nous discutons de tout et de nos boulots respectifs, Gérard est contremaître dans la grande laiterie toute proche, je suis chef de chantier dans le bâtiment, quant à Sylvette elle fait de la comptabilité chez un notaire.Sylvette s’est tout de suite montrée amicale et n’a pas hésité à s’asseoir à mes côtés tandis que Gérard est resté au fond de son fauteuil et n’a pas beaucoup ouvert la bouche. Elle portait une robe à fleurs très près du corps et à mi cuisses, qui mettait en valeur sa poitrine ferme, sa taille fine et ses jambes parfaites. Sylvette est très tactile et ne pouvait s’empêcher de poser ses doigts sur mon bras ou ma cuisse, ce qui était très gênant pour moi, face à son mari, car son toucher me faisait un certain effet, troublé par sa présence féminine à mes côtés. Surtout quand elle posait sa main sur ma cuisse. Apparemment Gérard ne réagissait pas et il souriait plutôt pendant qu’on se racontait nos vies, son épouse et moi et diverses choses concernant leur maison et la mienne. Je me rendis compte que c’était elle qui dirigeait leur ménage, Gérard ne la contredisait jamais quelque soit le sujet.Comme elle commençait à promener sa main sur ma cuisse, je dus la bloquer en posant la mienne sur la sienne, ça devenait scabreux.Enfin quand ils partirent elle me claqua une bise sur la joue mais bien près de ma bouche.
Ce samedi matin je suis en train de tailler mes rosiers, je vois Sylvette sur sa terrasse avec un balai, elle me fait un grand signe avec un sourire que je lui rends. Elle a mis une blouse pour travailler mais à ce que je vois elle n’a mis que les boutons du haut, ce qui fait qu’avec ses mouvements la blouse découvre ses cuisses et qu’à chaque souffle de vent sa blouse s’ouvre, découvrant sa culotte blanche jusqu’à son nombril.Elle ne semble pas s’en préoccuper, j’ai même l’impression que c’est volontaire et qu’elle me fait un numéro de charme, car de mon côté je sens Popaul commencer à se manifester, le bouquet c’est quand elle s’accroupit pour ramasser les balayures, face à moi, les cuisses écartées, je n’ai plus aucun doute sur ses desseins. Je pense à Gérard qui ne se doute de rien !Dimanche, je n’ai vu personne, ils devaient être sortis, quoique je ne les guettais pas.
Le téléphone n’arrête pas de sonner, me tirant de mon sommeil, qui peut bien m’appeler à cette heure, il fait encore nuit, voyons, on est lundi, il est cinq heures.Je m’extirpe de mon lit tout chaud et je décroche.— Allô Bernard, c’est Sylvette, votre porte est fermée ? Vous pouvez m’ouvrir ?— Oui, Sylvette, qu’est ce qui se passe ?— Ouvrez moi, je vous le dirai.— Oui, bien sûr, j’y vais.Je vais ouvrir la porte en pyjama, je me demande ce qu’elle veut.
Elle entre, elle est en peignoir, elle me saute dessus.— je n’en peux plus, il y a trop longtemps que j’ai envie de toi, prends moi maintenant !Elle fait glisser son peignoir, elle a juste une nuisette sur le corps qui cache à peine son petit trésor, je glisse ma main entre ses cuisses, elle n’a même pas de culotte. Je vois qu’elle est complètement épilée. Je lui fouille le con avec deux doigts, elle est trempée. Aussitôt elle me prend le sexe dans mon pyjama d’une main, de l’autre elle me prend par le cou et elle m’embrasse. Elle n’a pas de mal à me faire bander car j’avais déjà la trique quand elle m’a réveillé.Je ne cherche pas à réfléchir, elle me veut, elle va m’avoir !Je fais tomber mon pyjama, je l’adosse au mur et je l’enfile aussitôt, ma bite la pénètre jusqu’au fond.— Ahhhhhhhhh ! Ouiiiii ! Vas y !Je commence à la ramoner, elle gémit à chaque coup de reins que je lui donne.Elle accroche ses bras autour de mon cou et elle vient nouer ses jambes autour de mes reins, je la baise sauvagement debout puis je la soulève par les fesses, je me redresse et je la porte vers la chambre toujours bien emmanché.Nous nous vautrons sur le lit qui proteste sous le choc et je continue de la baiser durement. Elle couine de plus en plus fort, je vois dans ses yeux le plaisir monter, elle jouit dans un grand cri tandis que j’éjacule de nombreuses giclées au fond de son vagin.Je fais encore quelques va et vient plus lentement tout en l’embrassant puis nous nous désunissons pour reprendre notre souffle. Nous avons chaud et nous finissons de nous déshabiller après cette baise sauvage.Nous restons côte à côte un moment sans bouger.
— Et Gérard ?— Il est parti travailler, il est posté du matin cette semaine.— Il est au courant ?— On en a parlé, il est d’accord.— Explique moi. Il n’est pas jaloux ?— Bon, on est un peu en crise en ce moment et nos rapports sont espacés, Gérard n’est pas un foudre de guerre et il a parfois du mal à me satisfaire. Puis nous avons fait ta connaissance et il a remarqué que j’avais une attirance pour toi alors il m’a dit que j’étais libre.— Tu sais, je ne veux pas briser votre couple.— Je suis d’accord, tu sais c’est lui que j’aime et je ne veux pas le quitter.Nous recommençons à nous caresser, Sylvette joue avec ma bite et mes testicules tandis que je lui caresse les seins et le ventre. Nous nous bécotons en même temps sur le visage et le cou.A force de se caresser je sens mon érection remonter, je la fait mettre sur le côté et je me place derrière elle, j’ai ses fesses contre mon pubis, elle plie un peu ses jambes et je la pénètre doucement, elle ronronne tandis que je commence à aller et venir tout en douceur cette fois. Elle frissonne quand je l’embrasse dans le cou.Nous faisons l’amour longuement, j’accélère à peine mes va et vient, elle me fait des contractions avec son vagin qui m’obligent à me retenir. Ses gémissements augmentent, je sens qu’elle va jouir, je vais un peu plus vite, elle halète et pousse un soupir énorme, je me lâche et je jouis de nouveau en elle.Quelques minutes après elle se lève et va dans la salle de bains puis elle se rhabille.— Il faut que je parte avant qu’il n’y ait pas trop de monde dans la rue, dit elle en riant.— Si tu reviens me voir, je vais te donner une clé.Nous nous embrassons encore avec passion avant qu’elle me quitte.Après son départ, je me pose quand même des questions, je ne suis pas sûr que son mec soit au courant, si elle m’avait raconté des craques ?Bon, pour moi il est temps que je me prépare à aller au boulot. Durant la journée je n’y repense plus guère et quand je rentre je sais que son mari est là. Ce soir je me couche de bonne heure.
Je me réveille, j’ai une érection comme souvent le matin, mais j’ai une drôle de sensation autour de mon sexe, j’ouvre les yeux, et je vois Sylvette nue, entre mes cuisses, qui me prodigue une fellation digne d’une professionnelle. Je sens sa langue se promener sur mon gland tandis qu’elle me masse les testicules. Quand elle voit que je suis réveillé, elle me pompe plus fort, faisant aller sa tête de bas en haut, je ne peux résister et je lui fait signe que je vais éjaculer mais elle continue de plus belle et je suis réduit à lui arroser les amygdales. Elle déglutit difficilement vu la dose que je lui ai envoyé.Elle quitte ma queue et remonte sur moi pour m’embrasser, je dois partager mon sperme avec elle, nous jouons un jeu d’échange de langues et de salive tout en nous caressant partout. Tout ça me fait rebander et elle me chevauche et s’empale sur mon sexe dressé. Alors commence une séance au trot au début, qui se transforme en galop, elle fait claquer ses fesses sur mes cuisses, ma bite est soumise à rude épreuve mais elle mouille tellement que mon sexe coulisse facilement dans son vagin brûlant.Ses seins dansent devant mes yeux, je les prends à pleines mains et je lui pince les tétons, elle gémit fort mais ne cherche pas à m’enlever mes mains.Il ne faut pas longtemps pour qu’elle jouisse et s’écroule sur moi tandis que je lui injecte ma semence contre son utérus.Nous soufflons un peu puis elle me dit qu’elle ne reviendra pas le lendemain, Gérard lui a demandé, elle ne sait pas si c’est par jalousie mais il lui a dit gentiment. Bon, d’accord, nous verrons bien.
Finalement je l’ai pas revue de la semaine, j’espère que c’est passager, je commençais à y prendre goût.Vendredi après midi, on sonne, c’est Gérard.— Bonjour, Gérard, entre.— Bonjour Bernard.— Viens t’asseoir, tu veux une bière ?— Oui, merci.Nous commençons à siroter notre mousse sans rien dire, puis Gérard se décide.— Je sais que Sylvette est venue te voir.— Oui, je ne peux pas dire le contraire.— En fait elle a une attirance envers toi et je l’ai laissée libre. Elle a du tempérament, hein ?— Oui, c’est vrai, elle me l’a montré.— C’est pour ça que je l’ai laissée venir te voir. Je sais que de mon côté je ne la satisfais pas souvent.— Tu as un problème ?— Oui, en fait, un gros. En fait je me suis marié surtout pour complaire à ma famille et principalement à mon père. Ils est très intolérant vis à vis des penchants sexuels et comme j’ai des préférences vers les hommes, c’était un sujet de conflit permanent. Alors j’ai épousé Sylvette, au début ça allait, puis avec le temps mes pulsions ont repris le dessus.— Oui, je comprends bien ton problème.— Et toi, comment tu considères les gens comme moi ?— Moi, je suis complètement neutre sur ce sujet, et je n’ai aucune animosité à leur égard.— Tu as déjà eu des rapports homos ?— Oui, ça fait un bail, j’ai été initié par mes cousins, et j’avoue que je n’ai rien contre. Je crois que si j’aime les femmes, j’ai déjà eu des désirs pour des hommes.— Alors il faut que je t’avoue quelque chose : si Sylvette a un penchant pour toi, tu ne me laisses pas indifférent non plus. Je veux bien que tu fasses tout ce que tu voudras avec Sylvette mais si tu veux bien te partager un peu avec moi. Qu’en penses tu ?— Ah, voilà une déclaration surprenante ! Et une proposition inattendue ! — Je ne t’en voudrai pas si tu refuses, je peux le comprendre.— Non, non, c’est simplement surprenant.Comprenant que je rejette pas son idée, il se rapproche de moi. Il pose sa main sur ma cuisse qu’il commence à caresser, je ne sais pas quelle attitude adopter, finalement je le laisse faire, ça me rappelle des vieux souvenirs, sa main se promène le long de ma cuisse et vient progressivement vers ma braguette, de le sentir ça me fait bander, il s’en aperçoit, il me la tâte à travers mon pantalon, je l’aide à ouvrir mon futal, il me la sort et la prend en main.— Sylvette m’avait dit que tu étais bien monté, elle n’avait pas menti, tu as une belle bite.Aussitôt il se penche et il me gobe ma queue, il me branle en me pompant, il a des dons pour ça et il me fait grogner de plaisir. J’allonge ma main et j’essaie à mon tour de lui ouvrir son pantalon. Il m’aide de sa main libre et je lui enlève ainsi que son slip. Je lui attrape la bite, il a une superbe érection bien que sa taille soit un peu inférieure à la mienne. Il est entièrement épilé, ce qui lui donne un air de féminité, en dehors de ses attributs masculins. Je le masturbe d’une main et je lui caresse les fesses de l’autre, je parcours sa raie, je lui titille sa rondelle et il pousse son cul contre mon doigt. Je lui rentre doucement mon doigt dans son anus qui frétille.— Oh oui, vas y mets tes doigts, dit il avant de reprendre ma queue en bouche.Je lui branle un peu l’anus d’un doigt avant d’en entrer un deuxième, je lui baratte un peu le cul, je l’entends gémir quand j’accélère mes masturbations de sa bite et de son cul.De son côté il me pompe encore plus fort tout en me branlant en me tenant les bourses. Je crie.— Ahh Gérard ! Je vais jouir ! Ouiii !Il ne m’a pas lâché et je lui remplis la gorge de bonnes giclées de sperme qu’il déglutit aussitôt.Puis il me nettoie la bite à coups de langue pendant que je continue de le branler. Il joue des reins au rythme de mes mains, il respire plus fort et plus vite, puis pousse un cri en me remplissant la main de foutre épais. Je cesse de le masturber, il se redresse, me prend la main et il lèche son sperme étalé dessus, enfin il embrasse ma main. — Il y a longtemps que je n’avais pas joui autant ! Je me sens revivre, merci !— Tu m’as bien sucé aussi, c’était parfait.— Tu va pouvoir t’occuper de Sylvette, chez toi ou chez moi, et j’aimerai bien participer, si je suis là.— Ne t’inquiète pas, tu ne seras pas oublié.— A propos, viens donc demain soir, on fera un apéritif dînatoire.— OK, je serai là.
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