Sylvie, c’est ma secrétaire, elle travaille avec moi et pour moi depuis sept ans à la suite du départ en retraite de ma précédente secrétaire, elle a quarante-deux ans à ce moment-là. Elle mesure 1m65 pour une cinquantaine de kilos, elle a les cheveux châtain coupé au carré, et les yeux verts. Pour ce qui est de ses formes, je les devine plutôt généreuses au vu des contours de ses vêtements, mais sans en savoir plus. A cette époque, je cherche une nouvelle secrétaire administrative et comptable. Je reçois des dizaines de CV, mais celui de Sylvie se détache, car elle présente un parcours atypique pour le poste. Elle a des diplômes de management, de gestion, de comptabilité et une forte connaissance du secteur du bâtiment. Théoriquement, elle peut donc diriger une entreprise comme la mienne, et pourtant cela fait quatre ans qu’elle ne travaille plus. Curieux, je la reçois donc en entretien. Elle m’explique qu’elle a occupé des postes similaires dans plusieurs grandes entreprises par le passé, à défaut d’avoir trouvé un poste de dirigeante. J’apprends également qu’à cause de la charge de travail équivalente à celle de trois personnes, qu’on lui demandait à son dernier poste, elle a fini en Burn-out et que ça lui a pris deux ans et demi pour s’en sortir. La suite de l’entretien se passe bien même si elle n’est pas très démonstrative et loquace. Je vois en elle une femme d’action plutôt que de parole. Je la convoque donc à un autre entretien ainsi que deux autres candidats. Au cours de cet entretien, j’apprends qu’elle a deux enfants de quinze et dix-huit ans, qu’elle est depuis toujours avec son mari. J’évoque ensuite des sujets propres au poste proposé et elle arrive à me convaincre de l’embaucher. Depuis, elle est parfaitement intégrée à l’entreprise dont elle est même un élément indispensable. Nous apprenons à nous connaître depuis cinq ans et je sais notamment que son mari ne la touche plus depuis longtemps. Elle me dit également qu’à ses yeux, elle ne se trouve pas belle et qu’elle ne sait pas comment se rendre attirante pour lui. Depuis qu’elle se confie à moi de façon aussi intime, je suis un peu devenu son coach en séduction. Depuis quelques mois, j’ai mis Laurine sur le coup et cela fonctionne plutôt bien. Sylvie remplace peu à peu le classique jupe et veste de tailleur par des tenues un peu moins strictes, je note également le port fréquent de talon. Elle porte aussi de la couleur et dévoile un peu plus ses formes qu’à son habitude. Je devine des formes avantageuses au vu du peu qu’elle dévoile. Pour sa part, elle connaît mon penchant pour la domination. Elle connaît également Leila ma pute soumise et Romy par la suite. Je sais que le BDSM n’est pas trop sa tasse de thé, mais qu’elle aime le sexe et que cela la frustre que son mari se refuse à elle. Depuis son arrivée, elle gère toute la partie administrative de façon exceptionnelle. Elle joue notamment un rôle important dans nos relations avec nos partenaires au Sénégal. Depuis deux ans, je pars avec Jean en Afrique, car c’est grâce à lui que nous sommes implantés sur place. Il est indispensable pour former les bases de ce partenariat. Cette semaine, Jean est indisponible, donc j’y vais avec Sylvie et cela tombe bien, car elle doit faire le point sur toute la partie administrative qui nous concerne là-bas. On y va normalement une semaine tous les deux mois. Cette semaine, on part pour faire le point sur l’avancée des chantiers en cours et discuter des chantiers futurs. Habituellement, c’est Sylvie qui gère la réservation des billets d’avion et de l’hôtel. Comme j’ai prévu que Leila vienne avec nous cette semaine, je lui dis que je me charge de tout. Je fais donc la réservation pour les billets et pour deux chambres côte à côte dans un hôtel de la capitale où l’on va d’habitude. Deux semaines après, nous sommes au Sénégal, comme toujours, la première journée est consacrée à faire le point entre nous sur les divers chantiers, avant les visites avec notre partenaire. Le soir, je m’occupe de ma petite pute. Je lui fais subir de délicieux sévices, j’enfile son cul bien fort et je gicle sur son visage de chienne pendant qu’elle est à genoux, la bouche ouverte devant ma bite. Dans la nuit, je la baise de nouveau deux fois. La première, je la réveille en accrochant des pinces à ses grosses mamelles, puis je fouille son intimité avec mes doigts, avant que ma langue ne s’occupe de sa chatte et de son clitoris. Je tire sur la chaîne des pinces pour rajouter de la douleur au plaisir. J’arrête de la lécher juste avant son orgasme par plaisir de la voir frustrée. La deuxième fois quelques heures plus tard. Je frotte ma bite à son visage, sa joue et sa bouche, j’arrête au moment où ses lèvres s’ouvrent pour accueillir mon engin. Je vais ensuite remplir sa chatte avec ma queue et faire des va-et-vient en alternant puissance et délicatesse tout en martyrisant son cul à coups de martinet. Je la laisse tranquille pour la fin de la nuit. Le lendemain, j’attache ma chienne nue sur le lit jusqu’à mon retour pour le déjeuner. Je retrouve Sylvie pour partir sur un chantier à trente minutes de route dans un petit village. Notre partenaire a la charge de construire une école dans un village limitrophe. Je vois que Sylvie me regarde avec gêne, et qu’elle semble fatiguée, en plus elle ne dit pas un mot. — Est-ce que votre première nuit africaine s’est bien passée ? — Les murs sont fins et j’entends tout ce qui se passe dans les chambres d’à côté. — Nous, cela ne nous gêne pas.— Que je vous entende ou vous d’entendre les autres ?— Les deux. Je sais que ça la gêne de me dire cela.
Elle me dit également qu’elle n’a pas l’habitude d’entendre des relations sexuelles qui se passent de cette façon. Elle m’explique que son mari est très vieille France et que pour lui, le sexe n’est pas forcément source de plaisir et de divertissement, si je peux parler comme ça. Pour elle et ce sont ses mots, une pratique comme celle d’hier soir est tout simplement quelque chose d’impensable pour son mari. Elle me dit que pourtant depuis le temps qu’ils sont ensemble, elle essaye de lui proposer des choses pour sortir de la routine de leurs vies. On arrive sur le chantier et je présente Sylvie à Albert, le responsable de l’entreprise partenaire. Albert est sénégalo-antillais, il a quarante-quatre ans et mesure un mètre quatre-vingt-sept à peu près. Il a un physique que je définis comme celui d’un nounours avec du charisme. Albert regarde Sylvie avec insistance, visiblement, il apprécie sa présence. On discute du chantier, des points positifs et négatifs puis on repart tous les trois vers le chantier suivant. En chemin, Sylvie me pose plein de questions sur Leila et son statut de soumise, les choses qu’elle aime et ce que je lui impose. Je lui demande à mon tour si le regard d’Albert sur elle lui fait plaisir. Elle me dit ne pas remarquer, mais qu’il est charmant. On arrive à l’hôtel et je vais retrouver ma pute dans la chambre pour la détacher, avant d’aller manger. Avant de la détacher, je lui ordonne de se mettre à genoux. J’attrape ses cheveux et je fourre ma bite dans sa bouche. Je fais des va-et-vient rapides bien profonds pour lui combler la bouche, elle bave comme la petite chienne qu’elle est et tout cela coule sur ses gros seins de salope. J’enlève mon sexe et je le remets, mes mains contrôlent sa tête pour que je lui fourre la bouche. Je mets mon sexe bien profond dans sa bouche et je recommence plusieurs fois. J’accélère le rythme, puis je viens remplir sa bouche avec mon sperme. On va manger et je la laisse libre pour son après-midi. Je sais qu’elle a des choses professionnelles à voir cette après-midi et je lui propose de rester avec Sylvie qui doit régler de la paperasse à l’hôtel. Pour ma part, je dois intervenir sur le deuxième chantier de la matinée où il y a pas mal de paramètres à corriger.Le soir après manger, je retrouve ma pute pour une soirée en tête à tête, elle me raconte sa discussion avec Sylvie entre deux feuilles Excel. Elle m’apprend que le fait de nous entendre excite Sylvie. Elle me dit que Sylvie veut essayer la sodomie, mais qu’elle ne sait pas comment convaincre son mari. J’apprends également que le sexe lui manque, mais qu’elle ne veut pas tromper son mari. Au cours de cette après-midi, Sylvie avoue aussi à Leila qu’elle l’attire beaucoup. Nous passons la nuit tranquille, et la journée du lendemain est une nouvelle journée de visite de chantier. Le soir, je retrouve Leila dans notre chambre. Elle me dit qu’elle veut exciter Sylvie et qu’elle veut qu’on la décoince un peu. Elle me dit que la porte entre nos deux chambres est entrouverte et que le but est que Sylvie vienne regarder. Elle me demande de la défoncer bien comme il faut pour finir. On sait que ma secrétaire est rentrée dans sa chambre et on entend le bruit de la douche. Il ne reste plus beaucoup de temps avant que Sylvie en sorte. J’ordonne à ma pute de se balader à quatre pattes dans la chambre. Je la fais revenir vers moi et je lui ordonne de me sucer, elle s’exécute jusqu’à ce que je jouisse sur son visage. Je lui ordonne de rester comme cela et on se rapproche de la porte mitoyenne. Je l’attache au petit fauteuil et je commence à frapper son corps à coups de cravache. Je martyrise sa chatte avec et je la fais bien claquer contre son dos et ses cuisses. Leila se lâche totalement pour que Sylvie nous entende. J’attache ensuite des pinces au gros nibards de ma soumise et je lui ordonne de venir mettre ma queue au chaud entre les deux. Elle commence en serrant bien ses seins pour compresser ma bite, je joue avec la chaîne des pinces pour pimenter le tout. Peu après, elle me fait un clin d’œil, je devine que la porte est ouverte ou que Sylvie regarde. Je rassois ma chienne sur le fauteuil avec les cuisses écartées. Je vais chercher le womanizer et je le colle à son clito, Leila lâche totalement prise et gémit de plus en plus fort jusqu’à de grands cris dus à son orgasme. Je lui ordonne de nettoyer son visage rapidement et de revenir. Lorsqu’elle revient, je lui demande si Sylvie est toujours là, car je fais exprès de tourner le dos à la porte. Elle me confirme que oui et me dit que la porte est un peu plus ouverte qu’avant. J’ordonne à Leila d’aller la chercher, je me retourne pour la suivre du regard. Elle ouvre la porte et embrasse Sylvie sur la bouche. Celle-ci se laisse faire sans broncher, puis elle l’amène dans la chambre avec nous. Sylvie est en nuisette et démaquillée, effectivement ses formes sont généreuses, sa nuisette laisse entrevoir une forte poitrine. Je cède ma place sur le fauteuil à Sylvie et Leila lui explique qu’elle doit rester là et profiter du spectacle. On dirait que Sylvie est dans un état second, elle se laisse complètement faire, comme hypnotisée par Leila. Tel que je connais ma pute, je suis sûr que cette mise en scène est réfléchie depuis toute leur discussion de l’après-midi. Leila glisse à l’oreille de Sylvie de se laisser faire et elle commence à caresser sa poitrine. Ce spectacle me fait de l’effet et ma chienne vient me reprendre en bouche. Elle se régale de mon chibre tout en regardant Sylvie. Je reprends la main et j’attrape les cheveux de Leila et je la traîne jusqu’au lit. Je la pose sur le ventre sur le rebord du lit et je lui demande ce qu’elle veut maintenant. Elle me supplie de la défoncer comme elle aime. Je ne me fais pas prier et je rentre directement dans sa chatte pour la pilonner bien violemment. Je tire ses cheveux pour forcer sa cambrure et je continue de prendre sa chatte bien fort. Je vois que son regard ne quitte pas celui de ma secrétaire et je vois Sylvie la main sur sa chatte en train de se frotter. Je m’arrête et j’attrape un œuf vibrant que je fourre dans la chatte de Leila et je l’allume à fond. Cela lui fait de l’effet, car elle commence à gémir de plus en plus. Je colle ma bite à l’entrée de son petit trou et j’attrape ses épaules, puis je la tire fort en arrière, ce qui lui arrache un grand cri. Je viens la fourrer bien profond et bien fort, et je vois que Sylvie est carrément en train de se doigter. Leila dans un état second me dit qu’elle va jouir et me supplie de continuer bien fort. Puis elle lâche un grand cri que j’accompagne par quelques coups de reins supplémentaires avant de m’arrêter. Elle s’allonge ensuite sur le lit et propose à Sylvie de venir la rejoindre. Après un temps d’hésitation, celle-ci commence à s’approcher. Leila lui indique de se mettre à quatre pattes sur le lit. Sylvie me demande de profiter du fait qu’elle est excitée avant qu’elle change d’avis, et elle me demande d’y aller délicatement. Leila va me chercher une capote et du lubrifiant. Elle verse du lubrifiant sur la petite rondelle de Sylvie puis elle commence à y introduire un doigt délicatement. Celui-ci fait directement de l’effet à ma secrétaire. Après plusieurs minutes d’échauffement pour le cul de Sylvie, je prends le relais et je me mets à l’entrée de celui-ci. J’indique à Sylvie de se pencher vers l’arrière doucement et mon gland commence à rentrer dans son petit trou. Une fois rentrée, je la laisse gérer les premiers va-et-vient, elle pousse quelques gémissements de douleur qui se transforment assez vite en gémissement de plaisir. Leila lui tient la main, elle me regarde également pour me signaler que tout se passe bien. J’attrape les hanches de Sylvie et je commence à accompagner le mouvement de son corps, avant de prendre la main dessus, elle gémit de plus belle. Je m’empale en elle délicatement, mais en profondeur. Leila et Sylvie se regardent et commencent à s’embrasser. Comme j’ai toujours la télécommande en main, je redémarre l’œuf dans la chatte de ma pute et je les vois s’embrasser et se caresser les seins mutuellement. J’accélère un peu le rythme de ma queue dans le petit cul de Sylvie et celle-ci est beaucoup plus loquace. Les gémissements se transforment en vrais cris et elle m’annonce qu’elle va bientôt jouir et qu’elle est trop heureuse de jouir du cul. Je continue de la pilonner jusqu’à son orgasme puis je l’aide à s’allonger sur le lit pour récupérer. J’ordonne à ma pute de venir et je commence à lui claquer les seins pour la punir et la remercier d’avoir manigancé ce moment. Ces deux beaux mamelons se balancent de droite à gauche en se cognant l’un l’autre et je vois sur son visage qu’elle aime cela. Enfin, je lui ordonne d’ouvrir la bouche, je crache dedans pour nettoyer sa bouche et je fourre mon sexe bien profond d’un coup. J’attrape sa tête et je commence à lui baiser la bouche de nouveau, excité par le petit trou de Sylvie juste avant, je ne mets pas longtemps à déverser un torrent de foutre dans la bouche de ma belle petite chienne. Je remercie mes partenaires pour ce moment et Sylvie nous remercie avant de rejoindre sa chambre. Le reste de la semaine se passe de façon professionnelle entre visite de chantier et réunion et point administratif avec Sylvie, mais aucune allusion à cette petite incartade.
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