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Sylvie 2

Chapitre 1

Hétéro
Sylvie 2
Je vous ai raconté ma première après-midi avec Sylvie. Voici la suite de cette aventure.

Après les cours de dessin, nous avons pris l’habitude de nous retrouver dans un coin sombre de la zone industrielle, mais nous nous limitions à une fellation et un cunnilingus. Je suis allé plusieurs fois chez elle quelques après-midi qui, sous le couvert de cours de peinture, ont été torrides.
Début juillet, mon patron m’envoie en déplacement près de Perpignan pour deux jours, jeudi et vendredi. Sylvie étant déjà en vacances, je lui propose de l’emmener ce qu’elle accepte volontiers. Ma femme n’étant en vacances qu’en août, cela ne pose pas de problèmes. Dès le mercredi soir, je découvre avec surprise qu’elle s’est rasée. Son abricot n’est plus protégé par le fin duvet auquel je suis habitué. Elle me dit que c’est pour mieux bronzer, car elle veuxt mettre un maillot minimaliste. Le jeudi soir, je décide de me raser aussi. Sylvie m’aide efficacement, soulève mes bourses et tend la peau pour bien raser sans blesser et va jusqu’à ma rosette. Elle n’a pas de mal à faire tendre ma verge et la rase avec douceur. Pour calmer le feu du rasoir, elle s’applique à enduire ma peau de sa salive à grands coups de langue. Sylvie qui a quartier libre toute la journée et profite de la plage et du soleil et me fait admirer le soir l’évolution de son bronzage.
Nous passons une nuit agitée après une soirée au restaurant, mais pas trop, car le matin il me faut bosser.Le vendredi j’appelle ma femme pour lui dire que je participe à un forum le samedi qui se terminera par un dîner et que ne rentre que le lundi, voulant me reposer et profiter du soleil le dimanche.
Samedi nous passons l’après-midi sur la plage du Barcarès, alternant baignade et bronzage. Tout cela accompagné de séances de massages à l’ombre solaire, toujours délicats et appliqués. Les voisins de serviette n’en perdent pas une miette et nous prenons plaisir à les faire saliver. Le soir, après un bon repas en bord de mer, nous regagnons l’hôtel.
A peine arrivés dans la chambre, Sylvie me colle au mur et me roule une pelle d’anthologie. Sa main descend rapidement me palper à travers mon short. Je ne reste pas de marbre. Je la caresse de la nuque aux fesses. Après avoir repris notre souffle, nous nous déshabillons mutuellement en faisant courir nos lèvres au fur et à mesure de la chute de nos vêtements. M’agenouillant pour enlever son string, je le fais descendre lentement en effleurant ses jambes puis fais courir ma langue, lentement, depuis ses pieds en remontant vers l’objet de mes désirs. Je lèche ses pieds, ses jambes, ses cuisses puis je me rapproche de sa chatte luisante d’envie. Je fais durer le plaisir en parcourant avec ma langue les pourtours de sa vulve sans la pénétrer malgré ses demandes, lui infligeant ce supplice pour mieux la faire jouir. Je consens à lécher ses grandes lèvres puis remonte vers son clito que je n’ai pas de mal à découvrir tant il est déjà gonflé.
Après l’avoir titillé de la pointe de ma langue, je le gobe et fais tourner ma langue autour. Elle gémit et lorsque ma langue descend ouvrir ses petites lèvres, elle se met à feuler, la cyprine coule puis dans un cri elle explose, m’inondant la bouche et le visage, crispant ses doigts dans mes cheveux, remuant convulsivement son bassin et le plaquant sur ma bouche. Après voir repris ses esprits nous nous embrassons longuement, partageant le parfum de sa jouissance. Moi je suis encore en caleçon, ce qui ne dure pas longtemps. Tout en m’embrassant, elle le fait descendre lentement puis, tout aussi doucement, elle descend le long de mon corps, le couvrant de baisers léchant mes tétons qu’elle s’amuse à faire durcir, introduisant la pointe de sa langue dans mon nombril. Arrivée à mon pubis, elle contourne ma verge tendue pour me lécher les cuisses puis les bourses et les gober, essayant sans y parvenir à les faire entrer ensemble dans sa bouche.
Enfin sa langue remonte le long de ma hampe, suit la grosse veine puis elle me prend en bouche, délicatement. D’une main légère, elle me décalotte puis fait courir la pointe de sa langue tout autour de la base du gland puis dans l’orifice. Je la supplie d’aller plus loin, mais elle veut me faire subir le même supplice que je lui avais fait endurer. Je presse sa tête, pousse mon bassin en avant. Elle consent à m’avaler progressivement, sa langue tournoie toujours autour de mon engin puis je l’enfonce tout au fond de sa gorge. Je cramponne sa tête, l’obligeant à un mouvement de va-et-vient qu’elle effectue en serrant fortement ses lèvres. C’en est trop. Je jouis, me vidant dans sa bouche. Elle avale toute ma semence, nettoie mon sexe puis remonte me gratifier d’un puissant baiser qui a le goût de mon plaisir.
Après un rapide passage sous la douche pour enlever quelques grains de sable résiduels, nous nous allongeons sur le côté pour récupérer tout en nous caressant calmement et échangeant quelques mots. C’est Sylvie qui déclenche le nouvel assaut. Elle me met sur le dos et me chevauche. Elle entreprend un doux massage de mon ventre, remonte à mes pectoraux pour agacer mes tétons, les caresse, les presse, les léche puis les téte, déclenchant des ondes de plaisir qui électrisent tout mon corps puis elle remonte lentement vers mon visage, colle sa vulve sur ma bouche. Sa position fait ouvrir ses lèvres. Je contemple ses chairs nacrées, suintantes qui n’attendent que ma langue. Je darde directement ma langue dans cette grotte magique et m’applique à en lécher les parois et m’introduire le plus loin possible. Avec mon nez, je branle son clito déjà érigé. Je dois m’arrêter plusieurs fois pour prendre mon souffle.
Je passe mes mains derrière ses fesses et caresse sa rosette avec mon majeur. J’entre ce doigt dans sa chatte pour l’humidifier et reprends mes caresses. Après plusieurs massages, je la sens se détendre, la corolle s’ouvre, la fleur s’épanouit. J’entre donc mon majeur lentement puis mon index le rejoint. Je les entre tous les deux délicatement jusqu’au fond. Tout ce temps n’est que douceur, calme, sérénité afin de ne pas jouir tout de suite.
Elle décide de redescendre et me demande de la pénétrer. Je lui prends les mains. Elle doit jouer des cuisses pour commencer le contact de nos sexes. Dès que je sens mon gland prêt à entrer, je donne un coup de reins. Elle est empalée et ravie de cette nouvelle trouvaille. Elle se presse sur mon corps pour me sentir au plus profond d’elle. Comme nous nous tenons toujours les mains, je soulève mon bassin pour lui permettre d’allonger une à une ses jambes le long de moi puis l’autre, ses pieds vers mon visage. Je tire sur ses bras pour m’aider à me redresser et m’asseoir, jambes tendues . Nous nous enlaçons et nous embrassons puis je l’allonge lentement en arrière. Mon sexe tendu frotte la face avant de sa cavité à la recherche du point « G ». Nous faisons plusieurs fois ces mouvements, sorte de balançoire puis elle se dégage, s’accroupit sur moi pour me remettre en elle et elle se déchaîne à grands coups afin de nous faire exploser à l’unisson.

Après cet orgasme violent et simultané dont les murs doivent conserver les cris, je me soulève, elle s’allonge sur moi et nous nous endormons dans cette position pour récupérer. Dans notre sommeil, nous nous mettons sur le côté et lorsque je me réveille trois heures plus tard (j’ai toujours sur le chevet un réveil, car j’aime voir l’heure lorsque j’ouvre les yeux), j’ai soif. Je vais donc au cabinet de toilette chercher un verre d’eau fraîche. Quelle n’est pas ma surprise lorsque que je reviens au lit de trouver Sylvie, bien éveillée, en travers du lit, au bord, les jambes relevées et écartées retenues par ses mains derrière ses genoux. Vision hallucinante et combien merveilleuse qui réveille tous mes mâles instincts. Elle me dit « VIENS ! ». Après l’avoir complimentée, je prends une gorgée d’eau et laisse mes lèvres caresser ses cuisses, son ventre, son mont de Vénus.
Je repends une gorgée et appose ma bouche sur la vulve ouverte, j’envoie l’eau fraîche au plus profond de sa grotte ce qui lui déclenche des cris de stupeur et d’extase. Je m’amuse à faire tourner cette eau dans son sexe avec ma langue puis bois ce mélange d’eau et de sécrétions intimes. Ma langue se réchauffe à ce brasier d’amour. J’entreprends de titiller son œillet qui ne demande qu’à s’épanouir. Progressivement j’y pousse ma langue, revenant recueillir sa sève pour mieux humecter l’objet de mes désirs. Je me relève, appose mon gland sur sa rondelle puis pousse délicatement. Je n’ai aucune difficulté à entrer au fond sans lui faire mal, car ayant mes yeux dans les siens, je n’y vois que de la joie. J’entreprends donc de lents allers-retours puis accélère mon mouvement. Je ressors pour entrer dans son con d’où, après plusieurs mouvements je ressors pour reprendre son fourreau étroit.
Après de longues minutes à limer les deux trous alternativement, je réinvestis sa chatte, prends ses jambes et les colle à mon cou ce qui resserre son antre. Elle contracte ses muscles internes pour me serrer encore plus et c’est ainsi que nous jouissons une nouvelle fois à l’unisson. Je rampe jusqu’à sa bouche pour lui faire goûter le mélange de nos saveurs. Nous nous rendormons, moi derrière elle, mon sexe entre ses fesses, une main sur ses seins et l’autre sur son ventre. C’est ainsi que le soleil nous éveille.
Les yeux encore fermés, nous reprenons nos caresses langoureusement, faisant monter lentement le désir. Se mettant face à face, elle lève une jambe pour me permettre de la pénétrer. Elle est déjà humide et m’accueille facilement et nous restons ainsi à nous cajoler, en restant (presque) immobiles, ne faisant agir que nos muscles internes. Quel bon moment ! Après une douche commune où les sels de bain accentuent la douceur de nos caresses, n’oubliant aucune partie de nos corps, nous passons à table puis à la plage pour profiter des derniers rayons de soleil avant de prendre la route du retour.
Tout le long du trajet, j’ai ma main droite entre ses cuisses et sa main gauche sur mon sexe, ne voulant pas nous lâcher. Elle s’assoupit, un sourire de bien-être illuminant son visage. Lorsqu’elle s’éveille, elle me dit :
— Je suis bien avec toi. Tu m’as redonné le goût de vivre, de faire l’amour. J’aimerais que ça ne s’arrête pas. Prends le temps de réfléchir, mais j’aimerais poursuivre ma vie avec toi.
Cette déclaration d’amour me transit à tel point que je m’arrête au premier parking pour reprendre mes esprits. Je demande un délai de réflexion. En arrivant chez elle, nous faisons l’amour et avons du mal à nous séparer.
Nous nous revoyons aux cours de peinture (et après), n’évoquant ni l’un ni l’autre la suite possible des événements. Enfin, un jour je me décide à lui dire que je ne veux pas divorcer. Nous continons nos relations et nos ébats puis elle me dit :
— Pour toi c’est merveilleux, tu conserves ta vie officiellement rangée, tu as ta maîtresse à disposition. Mais moi, quel est mon avenir ?— Effectivement, ma position est égoïste. Je n’ai pas le droit de t’empêcher de refaire ta vie.
Nous nous mettons d’accord pour qu’elle s’inscrive sur un site de recherche de partenaire. Elle me tirent régulièrement informé de ses contacts. Certains vont jusqu’à un repas au restaurant, mais elle me réserve toujours ses faveurs. Puis un jour, elle me dit :
— Débrouilles-toi pour te libérer un week-end.
Je m’organise donc prétextant un déplacement professionnel. Elle m’annonçe qu’elle pense avoir trouvé celui qui lui convient, mais veut qu’on fasse une dernière fois l’amour ensemble. Nous faisons l’amour comme des bêtes tout le week-end et rentrons exténués. Puis elle me dit qu’elle part en voyage avec son mec.Je ne l’ai plus revue. J’ai été longtemps avant de tenter une quelconque aventure lors de mes déplacements, mais l’appel de la chair est le plus fort et j’ai repris mes incartades. Désormais, j’ai repris ma vie monotone, entrecoupée de déplacements en laissant Sylvie profiter de sa nouvelle vie.
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