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Sylvie ma Mère

Chapitre 4

Inceste
Ma mère avait sa tête sur mon torse, moi allongé sur le dos, nous avons somnolé un bon moment, et lorsque j’ai repris conscience, j’ai senti la main de ma mère sur mon ventre. Elle s’était endormie, je n’osais pas bouger de peur de la réveiller.J’avais une vue plongeante sur la courbe de ses hanches et sur ses jambes. A l’idée de les caresser, j’eus une érection incontrôlable. Je patientai un moment comme ça, me délectant de cette vision érotique, lorsqu’enfin elle se réveilla.
— Je crois bien que je me suis endormie,
Et elle s’étira en se relevant, sa poitrine magnifique en avant. Mon sexe n’en demandait pas plus. Elle me dit en plaisantant :
— Oh oh, je vois que Monsieur est en forme !
Je ris de bon cœur.
— Auriez-vous l’obligeance, ma bonne dame, de vous en occuper ? Dis-je.
Elle rit à son tour :
— Mais bien sûr mon cher Monsieur, si Monsieur veut bien se donner la peine.
Et elle se retourna, se mit à genoux et m’offrit sa croupe. Elle voulait que je la prenne en levrette.
— C’est si joliment présenté, dis-je, que ce serait inconvenant de ma part de refuser !
Je me rapprochai doucement, je mis mes mains sur sa taille, et commençai à frotter mon gland sur sa fente. C’était tout humide. Elle se cambra légèrement pour s’offrir un peu plus. Ma bite allait et venait juste à l’entrée de sa chatte, puis ne pouvant plus résister à la tentation, j’ai avancé mon bassin, et ma queue s’est enfoncée entièrement. Je me mis à faire des va-et-vient de plus en plus fort, et ma mère ne pouvant retenir son excitation me dit :
— Vas-y, mets-la-moi profond, c’est trop bon.
Je continuai mes coups de boutoir, et bizarrement, je n’ai pas eu envie d’éjaculer tout de suite, j’ai résisté naturellement.Je continuai à ce rythme encore quelques secondes sous les cris de ma mère, puis elle me dit :
— Attends, j’ai envie de te sucer.— J’ai envie de ta chatte sur ma bouche moi aussi.
Elle vint se mettre sur moi et nous sommes partis dans un soixante-neuf endiablé.Elle me suçait la bite pendant que je lui léchais son gros clito et pénétrait sa chatte avec ma langue, c’était exquis.Elle dit au bout d’un temps :
— Ta bite est trop bonne, je la veux encore en moi.
Elle se mit sur le dos et écarta les cuisses, je me mis sur elle et la pénétrai d’un coup. Elle mit ses pieds sur mes fesses et appuya encore plus fort, ce qui augmenta encore plus mon excitation.
— Baise-moi !
Je posai ma bouche sur la sienne et nos langues s’entremêlèrent.J’entrai mon sexe en elle et le ressortis à vive allure, elle prit son pied bruyamment, ce qui décupla mon plaisir, et j’éjaculai en elle très fort et très profond, sans retenue.Elle me bloqua avec ses jambes au fond d’elle et me dit :
— Reste sur moi, ne sors pas.
Je restai alors immobile, sans bouger, grisé par la moiteur et la chaleur de son intimité. Nous étions tous les deux en transpiration, et au bout de quelques minutes, ma bite toute molle, je dis :
— Je vais me doucher, ma jolie dame, voudriez-vous partager ma douche ?Elle se mit à rire et dit :
— Mais c’est avec un plaisir non dissimulé, cher Monsieur, je vous suis.
A partir de ce moment-là, je ne sais pas ce qui nous a pris, nous commençâmes à nous vouvoyer de façon tacite ; comme pour exorciser cet inceste charnel, mais ô combien délicieux.Sous la douche, nous nous sommes savonnés l’un l’autre, sur tout le corps, sans retenue, frottant nos corps tout en nous caressant. Tantôt j’étais derrière elle, mon sexe contre ses fesses, je passai mes mains sur ses seins, ses tétons et sur son bas-ventre, elle ses mains en arrière me caressaient les fesses ; et tantôt elle était derrière moi, me caressant le torse, le ventre et le sexe.Il va sans dire que mon sexe retrouva une vigueur très rapidement. Elle se mit alors devant moi, se pencha en avant, et me dit :
— Monsieur voudrait-il bien m’honorer par-derrière ?
J’avais ces fesses magnifiques devant moi, et je compris ce que ma mère voulait, lorsqu’elle prit ma bite et la posa sur son anus. Elle mit un peu de crème de savon sur mon gland, et se cambra pour faire pénétrer le bout de mon sexe.A ma grande surprise, ma queue tendue au maximum se mit à progresser doucement dans son anus. J’étais très excité, et commençai à donner des coups de reins.
— Doucement, je vous prie, mon cher... vous êtes bien monté et vous risquez de me faire mal.— Oh veuillez m’excuser ma bonne dame.
Je la laissai alors imprimer le tempo, et mon sexe progressait lentement en elle, et nous gémissions de plaisir tous les deux.
— Je vous sens bien en moi, mmmhh.
Que c’est bon, encoooore...
— Vous avez des hanches de rêve, ma douce, vous m’excitez fortement......
C’est alors qu’elle s’enfonça encore un peu plus, ma bite était presque entièrement à l’intérieur. Elle accéléra son va-et-vient, je la pris fermement par les hanches, et je la pénétrai de plus en plus fort. Elle criait de plaisir, et au bout de mon excitation, j’éjaculai au fond d’elle tout mon sperme.Elle se retourna vers moi, me gratifia d’un tendre baiser et ouvrit l’eau pour me nettoyer soigneusement le sexe, avant de finir de se laver.Quel dimanche ! C’était notre troisième coït, et j’avais toujours envie d’elle.J’avais assouvi ce fantasme pour ma mère, mais j’étais sans nul doute épris d’elle et de ses charmes.
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