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Sylvie mon amour

Chapitre 1

Hétéro
Chapitre 1
Voilà maintenant huit ans que j’ai terminé mes études d’ingénieur, j’ai bossé très dur pour créer mon entreprise et je n’ai pas eu beaucoup de temps pour m’occuper de moi. Je m’appelle Michel D.., j’ai 36 ans, je mesure 188cm pour 84 kg, j’ai toujours consacré malgré mes nombreuses occupations un peu de temps pour l’entretien de mon corps. La course à pieds et la natation ont développé mes pectoraux et m’ont donné une silhouette athlétique.Bien que n’étant pas puceau, l’exigence que réclamait mon travail ne m’avait pas permis d’entretenir une liaison durable avec une femme. N’étant pas du genre sorteur, les occasions de faire des rencontres étaient pratiquement nulles.
L’histoire que je vais vous raconter est vraie et a commencé il y a trois ans.
J’avais pris l’habitude le soir de faire un petit cross de 8 km aller retour qui me conduisait sur la place du village où je pouvais quand cela était nécessaire, m’approvisionner à la petite épicerie du coin. Habitant une superbe villa retirée à flan de coteau, je n’étais pas très connu et je pouvais circuler sans être dérangé. J’avais remarqué lors de mes passages dans une petite rue aux vieilles maisons lépreuses, une jolie jeune fille, au visage triste qui était toujours vêtue d’une robe propre mais usée et d’un petit gilet aux manches rapiécées. Ce qui m’avait attiré, c’était ses grands yeux qui semblaient regarder dans un autre monde.
Ce soir, prétextant un point de côté, je m’arrête à deux mètres d’elle faisant semblant d’être essoufflé.
« Bon sang, c’est pas la forme aujourd’hui »
Elle me regarde, m’adresse un timide sourire et se retourne pour entrer dans la petite maison.
« Pardon Mademoiselle, pourrais-je vous demander un verre d’eau ? »
Sans me répondre, elle entre dans la maison et referme la porte. Après quelques instants, je me décide à repartir quand la porte s’ouvre. Elle réapparaît et sans un mot, me tends un grand verre d’eau. Je reviens sur mes pas prends le verre, bois une bonne gorgée et me présente.
« Merci beaucoup, je m’appelle Michel, à qui dois-je de ne pas être mort de déshydratation ? » dis-je en souriant.
Un sourire apparaît aussi sur son beau visage, ses yeux s’illuminent et d’une petite voix timide me répond :
« Sylvie, je m’appelle Sylvie ».

La glace est rompue, nous échangeons quelques banalités et je la quitte en lui demandant si elle sera là demain lors de mon passage habituel. Elle me regarde de nouveau avec ce merveilleux sourire et me dit : « Peut-être ».
Sur le chemin du retour, je revois son visage, ses yeux, son sourire, j’essaie de m’imaginer les courbes de son corps que son accoutrement cache à la perfection. Rentré chez moi, je me dirige vers la douche, son image ne me quitte pas, une douce chaleur se répand dans mon corps, mon sexe commence à durcir, il se raidit et vient battre sur mon nombril. Je descends la main, l’empoigne et me masturbe en l’imaginant nue dans mes bras. Il ne faut pas longtemps pour que je jouisse, et que j’envoie plusieurs giglées blanchâtres sur la paroi de la douche.Le reste de la soirée, elle hante toujours mes pensées et cette nuit là, mes rêves m’emportent vers elle.
Le lendemain soir, je reprends fiévreusement le chemin du village. Sera-t-elle là, pourrais-je la revoir ? Quand j’arrive à l’entrée de la rue, je l’aperçois au loin, assise sur la marche de la maison. Je ne cours plus, je vole, je ne me suis jamais senti aussi léger. Je m’approche, je lui dis bonjour, elle se lève et m’adresse son joli sourire. Je lui tends la main, elle me présente ses petits doigts que je serre doucement, je me penche vers elle et lui dépose un baiser sur la joue. Etonnée, elle recule, rougit, puis revient vers moi, tend ses lèvres et m’embrasse à son tour.
« Je suis heureux que vous soyez là, j’ai pensé à vous sans arrêt, j’avais peur de ne plus vous revoir ».
« Moi aussi j’ai pensé à vous ».
Elle rougit encore, sa main n’a pas quitté la mienne, je saisi son autre main et porte les deux à mes lèvres. Elle ne les retire pas, je me noie dans ses yeux, nous restons de longues minutes à nous regarder sans un mot, nos visages se rapprochent l’un de l’autre, ses lèvres m’attirent comme un aimant, je l’embrasse doucement, la regarde à nouveau et l’embrasse encore, elle entrouvre les lèvres, j’y glisse le bout de ma langue et notre baiser devient passionné. Pendant plusieurs minutes, nos langues virevoltent, nos salives se mélangent, plus rien n’existe autour de nous.C’est une voix bourrue qui nous ramène à la réalité, Un gros homme le regard noir, avec une barbe de plusieurs jours et une chemise qui a dû un jour être blanche tonne :
« Qu’est-ce à dire Sylvie, en v’là des manières, tu vas faire la pute maintenant »
A ses mots, j’ai envie de me jeter sur ce rustre et lui faire rentrer ses paroles au fond de la gorge, mais pour elle, je me tais.
« Oh papa, c’est un ami, je te présente Michel »
« J’en ai rien a foutre, t’es comme ta mère, une traînée, fout le camp, j’ai pas besoin de pute chez moi ».
Sylvie pleure amèrement, j’avance d’un pas et assène une gifle magistrale à cet odieux personnage. En vociférant, il tourne les talons et nous claque la porte au nez.
Je prends Sylvie dans mes bras, tente de la consoler et lui dis que je l’aime. Nous restons une heure sur le trottoir, j’essaie de la calmer, elle sanglote encore un peu.
« Mon dieu, que vais-je devenir, où vais-je aller ? »
« Ne vous inquiétez pas pour cela, venez avec moi, il y a plusieurs chambre chez moi, vous pourrez y rester tout le temps que vous voudrez et qui sait peut être voudrez-vous y rester toujours ».
Sylvie me regarde, elle a peur, elle ne me connaît pas, ou si peu, je la rassure, un timide sourire soulève le coin de sa bouche, elle glisse sa petite main dans la mienne et se laisse entraîner en direction de mon logis.
Une fois rendu, Sylvie est émerveillée par mon intérieur cossu, elle s’émerveille sur le living, sur la cuisine, sur les chambres avec leur salle de bain, quand je lui montre la terrasse avec la piscine et le jardin d’agrément, elle reste bouche bée. Elle est comme une petite fille qui vient de recevoir pour la première fois une jolie poupée. Je suis fou de joie de la voir heureuse, je viens derrière elle, la prends dans mes bras et la serre très fort.
« Tu es ici chez toi ».
Je la tutoie, elle se retourne, passe sa main dans ma nuque et m’embrasse tendrement.
Nous passons le reste de la soirée à parler, elle me raconte qu’elle a vingt-deux ans, qu’elle a passé son bac mais qu’après son père n’a pas voulu lui payer des études et il l’a obligé à trouver du travail dans une grande surface où elle était ré assortisseuse avant d’être licenciée suite à une compression du personnel, que sa mère est partie vivre chez sa sour dans une ferme où elle trime dur du matin au soir. Elle ne supportait plus son père qui la battait chaque fois qu’il rentrait saoul.Il n’avait jamais touché sa fille, mais il devenait de plus en plus violent et elle en avait peur. Sylvie sanglote doucement, je la prends contre moi, elle pose sa tête sur mon épaule et après quelques minutes elle s’endort.Je la soulève dans mes bras et l’emporte dans la chambre d’ami, je la dépose sur le lit, lui enlève ses chaussures et pose le drap sur elle, j’éteins, sors de la chambre et referme la porte doucement.
Le lendemain matin, c’est samedi, je me lève vers 7 heures, fait ma toilette et pars au village pour y acheter croissants, pains au chocolat, brioches, couques diverses, j’ai assez de victuailles pour dix personnes.Je rentre, prépare la table, fait le café, le cacao, et met du jus d’orange dans une carafe. J’attends son réveil, je suis impatient comme un gosse un matin de Noël, je m’assieds, me lève, marche de long en large, je ne tiens pas en place. A 8 heures et demie, j’entends remuer à l’étage, la chasse d’eau des toilettes, le bruit de la douche, enfin, elle apparaît vêtue d’une sortie de bain, pieds nus, elle me regarde timidement. Illuminée par le soleil qui entre par la baie vitrée, elle est encore plus jolie, c’est la première fois que je la vois à la lumière du jour. Elle est belle, elle a quelque chose de magique dans le regard, sa bouche est magnifique avec des lèvres ourlées, parfaitement dessinées, ses cheveux noirs sont libres et descendent en boucle sur ses épaules. Elle reste debout, sans bouger.
« Bonjour Sylvie, tu ne viens pas m’embrasser ? »
A ces mots, elle vient vers moi, passe ses bras dans mon cou et m’embrasse tendrement.
« Tu as bien dormi, as-tu trouvé tout ce qu’il te faut pour ta toilette ? »
« Oh oui, merci, je n’ai jamais vu autant de flacons différents, ni de douche avec des jets partout, à la maison je me lavais dans une cuvette dans la remise ».
« Viens t’asseoir, mange quelque chose, que veux tu, café, thé, cacao, jus d’orange ? »
Sylvie s’assied sur mes jambes, prends un croissant qu’elle dévore plus qu’elle ne mange, une brioche et un pain au chocolat subissent le même sort, elle prend son café à deux mains et boit à petites gorgées.Pendant qu’elle mange, un côté du peignoir de bain s’est ouvert découvrant une jambe fuselée, une cuisse ferme, je suis comme hypnotisé, je ne peux détacher mon regard du haut de sa cuisse. S’étant aperçue du fait, elle referme son peignoir avec un petit sourire, en tirant sur le pan du tissu pour le replacer correctement, elle bombe légèrement le torse, l’échancrure s’élargit, et un sein apparaît à mon regard. Une chaleur monte en moi, je ne peux la contrôler et mon sexe se met à grossir et vient se coller contre sa cuisse. Elle se retourne vers moi, elle est rouge comme une tomate bien mûre, elle veut se soulever, mais dans son mouvement sa main se pose sur ma hampe durcie, je ne peux m’empêcher de l’embrasser avec fougue, ma langue tourbillonne dans sa bouche, elle me rend mon baiser, pose sa main dans ma nuque et me caresse du bout des doigts. Ma main se pose sur son sein, je le caresse doucement, la peau est douce et chaude, je prends le téton entre mon pouce et mon majeur et avec l’ongle de l’index je titille le bout qui se dresse et durci. Un gémissement s’échappe de sa gorge, mais elle me prend la main et la retire.
« Je t’en prie, attend un peu, ne va pas trop vite, laisse moi un peu de temps ».
Elle se lève, s’assied en face de moi, son regard est brillant.
« Je dois partir, je n’ai rien ici, pas de vêtement, pas de chaussure, si tu veux que je reste un peu je vais rentrer chez mon père et essayer de récupérer quelques petites choses ».
« Il n’est pas question que tu retourne chez ton père, j’ai une meilleure idée, nous allons faire les boutiques, je veux que tu sois belle, attirante ».
« Mais je n’ai pas d’argent ».
« Ne t’occupe pas de çà, va t’habiller, je sors la voiture et nous irons en ville ».
« Il faut que tu attende un peu, j’ai lavé ma culotte et mon soutien gorge, il ne sont pas encore sec ».
« Met ta robe, tu n’as besoin de rien d’autre, on achètera tout ce qu’il te faut »
« Mais je vais être toute nue ».
« Non puisque tu as ta robe ».
Elle fait la moue, puis me sourit et courre dans sa chambre. Quelques instants plus tard, elle me rejoint dans la voiture et nous partons en ville.
La ville est à trente kilomètres, il fait chaud, tout en conduisant d’une main, j’ai posé l’autre sur son genou et la caresse doucement, elle ne bouge pas, elle a l’air d’apprécier mes caresses, je sens que ma verge n’est déjà plus aussi sage, le fait de la savoir nue sous sa robe attise mon désir aussi j’arrête et me concentre sur la route. Arrivé en ville, nous commençons le tour des boutiques, c’est formidable ce que l’on peut faire avec une carte de banque, Sylvie court à gauche, à droite, essaye, demande mon avis, les vendeuses sont à ses ordres, quand nous sortons, elle possède des robes, des jupes, des pantalons, deux tailleurs, deux robes de cocktail, des chemisiers, des tops, j’ai veillé particulièrement à la longueur, pour que ses jambes soient mises en valeur. Nous portons le tout dans la voiture, sauf une petite jupe droite, et un bustier qu’elle a voulu garder sur elle. La petite jupe lui descend à mi cuisse, elle met ses jambes et ses fesses en valeur, sa poitrine nue moulée par le bustier attire les regards. Nous passons chez le chausseur et sortons avec une dizaine de paires de chaussures allant de l’escarpin à la mule en passant par les baskets. « Tu es contente ? »
« Oui mais c’est trop, c’est beaucoup d’argent, on rentre maintenant ».
« Non ma chérie, il te manque le principal, tes dessous et tes tenues de nuit ».
Je l’entraîne dans un autre magasin, la remet entre les mains de la vendeuse en lui disant que je veux que ma femme soit sexy.
Sylvie me regarde, s’approche de moi et m’embrasse, je crois que la façon dont je me suis adressé à la vendeuse en l’appelant ma femme l’a surpris et ravi. La vendeuse lui demande la taille de soutien, j’apprends que c’est du 85C, je ne sais pas ce à quoi cela correspond, mais je m’en fous, ce que je sais c’est que ses seins sont magnifiques, en forme de poire et bien fermes. Elle passe dans la cabine, après quelques minutes elle m’appelle, j’écarte légèrement la tenture et je la vois en face de moi, en string et soutien en dentelle qui laisse apparaître ses aréoles brunâtres et ses magnifiques boutons. Entre ses cuisses, les poils pubiens débordent de partout, je string n’arrive pas à les contenir, je devine son importante toison. Je reste là un certain temps, immobile, figé, bouche bée. Qu’elle est belle, elle pourrait faire la couverture des plus célèbres magazines de mode.
« Comment me trouves-tu ? »
« Euh, je, euh, tu es merveilleuse ».
Je n’arrive pas à m’exprimer tant je suis tombé sous son charme. Elle rit, me donne un baiser sur le bout du nez et en me repoussant referme la tenture. J’ai ensuite droit à l’essayage des pyjamas vaporeux, des nuisettes transparentes, à chaque fois elle m’appelle pour avoir mon avis, je tente de dissimuler la grosseur qui gonfle mon pantalon, la vendeuse s’en est aperçue et me regarde en souriant passant la langue sur les bords de ses lèvres. Une demi heure plus tard, nous reprenons la voiture, mon sexe me fait mal, je n’ai pas encore arrêté de bander, en s’asseyant, sa jupe est remontée un peu plus sur ses cuisses, et laisse apparaître un des strings qu’elle a gardé. Je ne peux m’empêcher de porter la main sur le devant de mon pantalon, j’appuie fortement sur mon sexe ce qui me fait un bien fou et calme un peu mon excitation. Je démarre, me concentre sur la route pour rentrer.Une fois à la maison, Sylvie vide la voiture, monte le tout dans sa chambre puis revient sur la terrasse. J’ai ouvert une bouteille de rosé bien frais et je lui tends un verre.
« Humm c’est bon, je n’en ai jamais bu ».
Elle vide son verre d’un trait et me le tend, je le remplis et elle le boit avec la même rapidité.
« Attention, c’est de l’alcool, tu en bois habituellement ? »
« Non, jamais »
Au troisième verre, la tête lui tourne, elle se lève, retombe dans le fauteuil, sa jupe remonte sur le haut de ses cuisse, je vois une tache sombre entre ses jambes, c’est son sexe, elle a dû retirer son string dans sa chambre, je bande à nouveau, je l’aide à se lever et la conduis dans sa chambre. Sans s’occuper de ma présence, elle enlève ses vêtements et se jette sur le lit. Elle est nue devant moi, couchée sur le dos les jambes légèrement écartées, son sexe est dissimulé dans l’épaisse toison qui couvre son pubis et descend jusqu’à l’anus. Ses petits seins en forme de poire se dressent fièrement tandis que les bouts s’érigent comme deux petites tétines.Mon sexe me fait mal à force d’être tendu, je quitte la chambre ne voulant pas profiter de son état, je me déshabille et me jette sur mon lit, j’empoigne ma queue, fais quelques va et vient de plus en plus rapide et je décharge une quantité impressionnante de sperme qui est projeté sur mon ventre, ma poitrine et jusque mon cou.
Il est dix-sept heures quand Sylvie réapparaît, elle est passée sous la douche, la tête lui fait un peu mal, nous dînons, regardons un peu la télé et vers 22 heures, elle me souhaite une bonne nuit et monte dans sa chambre.
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