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Sylvie mon amour

Chapitre 2

Hétéro
Chapitre 2
Une odeur de café me réveille, je saute en bas du lit, passe à la toilette, prends une douche, j’enfile un boxer et descends dans la cuisine, la table est dressée sur la terrasse. Sylvie est dans la piscine, lorsqu’elle m’aperçoit, elle vient se coller au bord.
« Je croyais avoir le temps avant que tu ne te lève, je vais sortir, tourne toi parce que je suis nue ».
Loin de moi l’idée de me retourner, je m’approche du bord, ramasse son peignoir de bain, je l’ouvre en l’invitant à sortie de l’eau. Elle rougit, sort de l’eau et me tourne le dos pour que j’y dépose le vêtement. Elle est merveilleuse, j’ai eu le temps de voir sa jeune poitrine qui se dresse fièrement, son ventre plat qui fait ressortir son pubis et sa jolie toison qui me cache complètement son sexe. Au lieu de lui passer le peignoir, je le laisse tomber sur le sol, je ma plaque dans son dos, mes mains saisissent ses seins et les caressent doucement, mon sexe raide comme un piquet est collé contre ses fesses. Elle jette la tête en arrière contre ma poitrine, sa peau sent merveilleusement bon, nous restons ainsi sans bouger, profitant au maximum de ces instants. Après quelques minutes, je l’embrasse dans le cou, une de mes mains quitte ses seins et passe sur son ventre puis descend sur son pubis, mes doigts se perdent dans la toison épaisse et finissent par s’insérer entre ses lèvres. Sylvie pousse un petit gémissement au moment ou mon doigt trouve l’entrée de son puit d’amour.
« Michel, ne me fait pas mal, je suis encore vierge, tu es le premier qui me touche ».
Ces mots me rendent fou de joie, je la retourne vers moi, l’enlace et prends sa bouche avec un baiser passionné qu’elle me rend aussitôt. Sans que nos bouches ne se quittent, nos genoux fléchissent et nous nous retrouvons étendus sur la serviette de bain, mes mains caressent son corps qui maintenant s’offre à moi, ma bouche quitte la sienne et parcours chaque centimètre de peau, j’embrasse ses seins gonflés par le désir, lèche les tétons qui sont durs et dressés comme des petits menhirs, ma langue descend lentement vers son ventre, pénètre doucement son nombril puis descend vers son pubis. Elle a posé sa main sur ma tête, elle me caresse les cheveux et décolle les fesses du sol pour accentuer la pression de mes lèvres, doucement je tente d’insérer une main entre ses cuisses serrées, elle résiste un moment puis entrouvre légèrement les jambes, ma main posée sur son pubis descend lentement, mes doigts écartent doucement les lèvres et cherchent le clitoris. Dès que mon doigt se pose sur son capuchon, son corps se met à trembler, elle pousse des petits cris, je le saisi et le fait rouler entre le pouce et l’index, un filet de liqueur coule entre ses lèvres et se répand entre le sillon de ses fesses, j’ai envie de la boire, de connaître la saveur de son sexe, je pose ma bouche et ma langue s’active pour recueillir son nectar. Sylvie hurle, elle se tend comme un arc et un orgasme puissant secoue son jeune corps. Je continue mes attouchements, je prends son clitoris dans ma bouche, il est tendu comme une petite bite, je suce de plus en plus fort, mordille le petit bout de chair et provoque un nouvel orgasme. Ne la laissant pas reprendre ses esprits, j’enlève mon boxer, me place entre ses cuisses, présente mon gland turgescent à l’entrée de sa grotte et centimètre par centimètre la pénètre doucement. Je sens tout à coup une résistance, je m’arrête, la regarde dans les yeux, pose mes lèvres sur les siennes et d’un mouvement du bassin pénètre plus profondément d’un coup sec, elle pousse un petit cri de douleur, se crispe, plante ses ongles dans mon dos puis se relâche, écarte les jambes et jette son bassin vers moi.Ma queue est serrée entre les parois de son vagin, mon gland touche son utérus, je commence des mouvements de va et vient d’abord très lent, puis de plus en plus puissant et rapide, je sens monter en moi les signes de la jouissance, j’essaie de résister au maximum, j’attends qu’elle vienne, je la regarde, son visage est rouge, couvert de sueur, ses yeux se révulsent, ses cris sont devenus des hurlements, elle part dans un orgasme puissant, mon sexe sort de son corps, elle se met sur le côté en position de fotus, elle est parcourue de spasmes, je frotte mon gland entre ses fesses et y décharge toute ma sève. Je m’étends à ses côtés, et nous restons sans bouger pendant de longues minutes. Sylvie se retourne vers moi, son visage est resplendissant de bonheur, ses yeux sont remplis de petites étoiles, elle passe ses bras autour de mon cou, me regarde et murmure : « mon amour ».C’est simple mots me font comprendre le bonheur qui l’habite, nos lèvres se rejoignent, notre baiser est tendre et traduit le plaisir que nous ressentons. Main dans la main, nous nous levons et allons prendre une douche ensemble, un filet de sang coule entre ses cuisses, Sylvie est maintenant une femme, ma femme.
Une fois douché, nous revenons sur la terrasse et prenons ensemble notre petit déjeuner, nos yeux ne se quittent pas, nos mains profitent de toutes les occasions pour se toucher.
« Viens près de moi mon amour, assieds toi sur mes jambes ».
Sylvie se lève, se blotti contre moi, mon sexe comprimé par ses fesses se tend à nouveau, elle se soulève, le prend entre ses doigts, le présente à l’entrée de sa grotte et s’empale lentement, c’est ainsi, soudé l’un à l’autre que nous finissons notre petit déjeuner. La journée va passer très vite, nous faisons plusieurs fois l’amour, toujours dans la position du missionnaire, le soir, après le souper, nous regardons un peu la télé, Sylvie est nue contre moi, ma main caresse le haut de sa cuisse, elle pose pour la première fois sa main sur mon sexe, le caresse, puis laisse glisser sa tête sur ma poitrine et vient donner de petits baisers sur mon gland. Mon érection ne se fait pas attendre, Sylvie serre mon pénis et commence des va et vient, elle le décalotte et passe sa langue sur le frein puis du bout de la langue vient titiller le méat. Je saisi ses seins et joue avec les bouts, elle pousse quelques petits gémissements puis avale mes vingt centimètres, ma bite vient frapper le fond de sa gorge, elle éructe mais tient bon, sa bave recouvre l’entièreté de ma queue, elle me suce avec ardeur, je commence à jouir, d’un coup, mon gland se gonfle et j’éjacule au fond de sa gorge. Sylvie avale mais il y en a trop, ce qu’elle n’arrive pas à avaler coule sur son menton et tombe sur ses seins, des deux mains elle étale mon sperme sur sa poitrine. A la voir cambrée, les seins en avant recouverts d’une fine pellicule brillante, je bande de nouveau, je passe derrière elle, la fait mettre à quatre pattes et la prend en levrette. C’est la première fois que je la prends ainsi, elle a l’air d’apprécier, elle pousse son bassin vers moi, mes bourses viennent cogner contre ses fesses, je suis au fond d’elle, taquine sa matrice, elle pousse des petits cris.
« Oh oui mon amour vas-y, plus fort, qu’est ce que tu me fais jouir, ouiiiiiiiiiii, encore, pousse, oohhhhh ouiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii oh mon dieu ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Sylvie s’effondre sur le divan, je suis le mouvement, couché sur elle, je libère ma semence et tapisse les parois de son vagin. Je m’étends à ses côtés et tentons de refaire surface.
Après plus de dix minutes, nous émergeons, Sylvie s’assied et glisse la main entre ses cuisses et la retire couverte de mon sperme et de ses sécrétions intimes, je me redresse, lui prends la main et la nettoie avec ma langue. Elle me regarde faire puis prend ma bouche et vient goûter la saveur de nos liqueur mélangées.
« Je t’aime mon amour, je veux te rendre heureuse, je voudrais que tu deviennes ma femme, je veux crier mon amour à la terre entière, répond-moi, je t’en prie ».Sylvie me regarde, ses jolis yeux sont remplis de bonheur, sa respiration s’est accélérée, elle passe sa main dans mes cheveux, dépose des petits baisers sur tout mon visage.
« Moi aussi je t’aime, je t’aime depuis la première minute ou je t’ai vu, oui je suis à toi, oui je veux faire ton bonheur, oui je serais ta femme ».
Je la prends dans mes bras, la serre contre moi et je l’emporte dans ma chambre, je la dépose sur mon lit et me couche près d’elle. Tendrement enlacé nous savourons cet instant merveilleux et lentement nous nous laissons bercer par nos mots d’amour et nos baisers, nous tombons dans un sommeil profond et réparateur.

Les jours ont passé, les semaines aussi, j’ai emmené Sylvie chez l’esthéticienne, chez le coiffeur, elle a fait plusieurs séances de banc solaire, ses jambes ont été épilées, ses aisselles aussi, sa toison a été réduite à un petit triangle qui indique l’entrée de sa grotte, elle a pris quelques leçons de maquillage, une conseillère en soin du corps l’a aidé dans le choix de ses produits de beauté. En trois mois, elle est devenue une vraie femme du monde, je lui ai offert une bague de fiançailles composée de douze petits diamants disposés en forme de cour. Moi qui était plutôt casanier, j’accepte maintenant les invitations à diverses soirées et ce uniquement pour montrer mon amour, ma Sylvie. Partout où elle passe, je vois les regards envieux des hommes et la jalousie des femmes, elle est vraiment merveilleuses, ses jambes fuselées, surmontées par ses jolies fesses fermes et galbées, son ventre plat, sa jolie poitrine mise en valeur par ses décolletés plongeants me rendent fou d’elle.Un mercredi soir, en rentrant d’une soirée, elle vient se blottir contre moi et me dit :
« Je voudrais voir maman, mais c’est loin et je ne sais pas comment faire pour y aller ».
C’est la première fois depuis que nous sommes ensemble qu’elle me demande quelque chose, je me renseigne sur l’endroit, après avoir écouté ses explications, je prends une carte routière et constate que c’est à plus de 600 kilomètres.
« J’ai trois gros contrats qui sont en cours, fin de cette semaine ils seront signés, dès vendredi nous pourrons partir, je vais réserver un hôtel dans les environs et nous pourrons y passer une semaine. Il te reste deux jours, pourras-tu préparer nos bagages ? »
« Oh bien sûr, merci mon chéri, si tu savais le plaisir que tu me fais »
Elle me tend ses lèvres et je l’embrasse amoureusement, ma langue virevolte dans sa bouche, elle me suce puis m’enfonce sa langue pour que je la lui suce aussi. Mes mains caresse son corps, je fais glisser les bretelles de sa robe, découvre ses seins les pétris, je passe ma langue sur les bouts qui se dressent immédiatement, la robe glisse et tombe à ses pieds, je passe la main sur le devant de son string, il est trempé.
« Mais c’est qu’elle est excitée ma petite puce, elle a envie d’un gros câlin ? »
Dit sur le ton de la plaisanterie, elle se jette sur moi, enlève ma chemise, baisse slip et pantalon et me pousse sur le divan. Elle prend ma queue entre ses mains, la malaxe vigoureusement, elle me chevauche, dirige mon gland violacé entre ses lèvres et s’empale descendant sur ma hampe jusqu’à ce que ses fesses se pose sur moi. Elle ouvre la bouche et me fait « ohhhhhh que c’est bon », elle se soulève la fait sortir à moitié puis se laisse retomber, elle a posé les doigts sur son clitoris et se masturbe en même temps, je passe un doigt entre ses fesses et l’enfonce dans son petit trou lubrifié par sa cyprine, elle pousse un petit cri, augmente le frottement sur son clitoris et tout à coup explose. Son anus enserre mon doigt, un jet de mouille et d’urine se répand sur mon ventre et déclenche ma jouissance, mon sperme est projeté avec force et déclenche chez elle un nouvel orgasme. Elle s’affale sur moi dans une demi inconscience.
Deux jours plus tard, au volant de mon cabriolet, je roule en direction du village où réside sa mère, il fait très beau, près de 30°, j’ai l’impression de partir en vacance, j’ai rentré le toit rétractable, Sylvie les cheveux au vent admire le paysage, du coin de l’oil je la regarde, elle est splendide. Elle a revêtu une minijupe blanche plissée qui met en valeur ses jambes fuselées, un chemisier vert tendre dont elle a volontairement omis de fermer les boutons pour le nouer sous sa poitrine laissant deviner ses mignons petits seins et voir son ventre plat et musclé. Je m’arrête sur le bas côté de la route, elle se tourne vers moi et je lui dis :
« J’ai envie de t’embrasser, de te caresser, mon dieu, comme je t’aime, comme je te désire ».
Elle ne répond pas mais continue à me regarder avec ce regard si profond qui pénètre en moi et me donne des sensations indéfinissables, elle se met à genou sur le siège, prend ma tête entre ses mains et m’embrasse fougueusement. Ma main s’est glissée sous sa minijupe, entre ses cuisses, je caresse sa chatte au travers de sa culotte, elle est trempée, je passe deux doigts sous le liseré et écarte ses grandes lèvres. Je la doigte ainsi pendant plus d’une minute, descendant vers son petit trou plissé pour le titiller et remonter vers son clitoris qui bande comme une petite verge. Je le prends entre mes doigts, le fait rouler, Sylvie se cabre, serre ma tête entre ses seins, j’ai peine à respirer, elle serre ses cuisses sur ma main et pars dans un orgasme violent. Elle se laisse retomber sur son siège, pose sa tête sur mes jambes, ouvre ma braguette, sort ma bite turgescente et l’aspire au fond de sa gorge. Je ne peux et ne veux résister à cet assaut, je ferme les yeux, pose la main sur sa tête et après plusieurs va et vient j’éjacule de longues giglées de sperme au fond de sa gorge. Sylvie avale tout, sans en perdre une goutte, elle laisse ma queue mollir dans sa bouche et la suce pour recueillir les dernières gouttes. Elle se redresse, remet mon sexe en place, referme mon pantalon et après m’avoir donné une petite tape sur le renflement me dit en souriant:
« Humm, merci pour ce petit arrêt buffet, c’était vraiment délicieux mon chéri »
En me disant cela, elle passe avec gourmandise la langue sur ses lèvres. Je la regarde, caresse sa joue de mes doigts, elle les prends en main y pose ses lèvres et les sucent l’un après l’autre d’une manière érotique.
« Arrête, sinon nous ne repartirons pas de sitôt, et dire que nous n’avons encore fait que cent kilomètres, à ce rythme là, nous n’arriverons pas à destination avant demain ».
« Bon, je suis sage, mais je te signale que c’est toi qui t’es arrêté »
« D’accord, mais c’est toi qui m’excite tellement tu es belle »
Mon compliment lui plaît, elle me regarde tendrement, s’assied sagement, tire sur sa jupe pour la remettre en place et nous repartons.
Quatre heures plus tard nous arrivons à destination, je demande à un passant le chemin de la ferme, il me dit que c’est à la sortie du village, à trois kilomètres.
Quand nous arrivons dans la cour de la ferme, je suis étonné par la crasse qu’il y a autour de nous, il fait vraiment sale, en plus il pue, une grosse femme, les seins lourds et les fesses pendantes, en pantalon de toile bleue et chemise à carreaux vient vers nous.
« Oui c’est pourquoi M’sieur dame ? »
« Bonjour ma tante, je suis votre nièce Sylvie, je viens voir maman »
« Ah, c’est toi, j’ t’avais pas r’connue dans c’te belle auto ». Elle hurle « Josiane, ta fille est là, amène ton cul »
De la grange, je vois sortir une femme, les cheveux cachés par un foulard, elle porte aussi une chemise à carreaux et un pantalon de toile bleue, mais à la différence qu’elle les portent avec une certaine recherche. Je constate quand elle s’approche de nous qu’elle n’a aucun point commun avec sa sour mais qu’elle ressemble à s’y méprendre à sa fille, le même regard, le même sourire, la même silhouette. Sylvie est descendue de la voiture et s’est jetée dans les bras de sa mère, celle-ci la serre très fort contre elle et la couvre de baiser, Sylvie sanglote, sa mère s’est mise à pleurer, mais se sont des larmes de bonheur, bonheur de pouvoir enfin après plusieurs années serrer sa petite fille chérie contre son cour.
Sylvie me présente à sa mère, lui dit que nous sommes fiancés, lui montre sa bague, Josiane veut tout savoir, Sylvie lui raconte tout en détails, notre rencontre, la conduite de son père, la protection que je lui ai donné, enfin l’amour qui nous unit. Josiane s’approche de moi, pose sa main abîmée par le travail, sur mon bras et m’embrasse sur la joue.
« Merci Monsieur, merci pour tout »
J’esquisse un petit sourire, bredouille quelques banalités et laisse la mère et sa fille en tête à tête. La sour s’est éclipsée, ce qui n’est pas plus mal car elle ne me revient pas du tout, je regarde vers Sylvie et sa mère, elle ne se lâche pas, des idées se bousculent dans ma tête, je ne peux tolérer cette situation, après avoir cogiter pendant plus de quinze minutes, ma décision est prise.
Je m’approche des deux femmes, elles se tournent vers moi et Sylvie passe son bras autour de ma taille. Sa mère à l’air ravie du bonheur de sa fille, à la façon dont elle me regarde, je me demande ce qu’elles se sont racontées.Je prends mon courage à deux mains et me lance :
« Madame, je suis heureux du bonheur de votre fille, je voudrais vous demander sa main, mais je voudrais aussi vous demander de repartir avec nous, ma maison est très grande, vous y serez chez vous et je crois que votre fille en serait ravie ».Sylvie me regarde, ses yeux sont pleins de larmes, je sais que ce sont des larmes de bonheur, elle est heureuse de retrouver sa mère, heureuse à l’espoir de ne plus la quitter.
« Oh oui maman, revient avec nous, ta place n’est pas ici, pourquoi t’y es tu enterrée dans ce bled ? »
Je ne lui laisse pas le temps de répondre, je la prends par la main, l’attire vers la voiture et la fait monter à l’arrière. Sa sour qui est sortie dans la cour lui crie qu’elle doit rester, qu’il y a du boulot, qu’il y a toutes ses affaires.
« Gardez-les, jetez-les, vendez-les, on s’en fou » lui criais-je.
Sylvie s’est assise à mes côtés, je démarre la voiture et nous partons.
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