Bonjour, cette histoire est réel et c’est passée il y a 5ans j’avais alors 18ans. Je m’appelle Greg, je ne suis pas très grand, 1m68, très fin, 50kg, on me dit plutôt mignon, mais je suis très timide: jusqu’à cette histoire.Sylvie, elle est une belle brune au yeux vert de 42ans. elle mesure env 1m70 pour 55kg, un 95C bien ferme pour son âge, des jambes galbé, un cul à faire péter une braguette. Elle prend énormément soin d’elle. Je sortais tout juste de mon apprentissage, et me retrouvais donc à la recherche d’un emploi. J’ai donc commencé à faire des petites bricoles (peinture, jardinage etc...) chez des voisins et des connaissances.Un jour Sylvie, une connaissance de ma mère depuis une dizaine d’année, est venue me voir pour m’occuper de sa propriété. Une belle chaumière sur un grand terrain avec de nombreux arbres. C’était un petit coin de paradis, mais il lui fallait quelqu’un pour tondre la pelouse, tailler le haies, entretenir la piscine et cette magnifique maison.Il m’était impossible de refusé quand j’ai vu son superbe sourire se dessiner sur cette bouche parfaite.. Nous primes donc rendez vous pour le lendemain en fin d’après midi chez elle. Elle m’avait dit qu’elle rentrait du travail à 17h, et que je pouvais passé à partir de 17h30. Ayant une horreur d’être en retard j’arrivais vers 17h10 17h15 et sonnais à la porte.Après quelques instants la porte s’ouvrit sur Sylvie enroulée dans une micro serviette qui avait du mal à lui recouvrir les seins et son jolie cul.je restais les yeux rivés sur cette magnifique femme mure, à moitié nue devant. — Salut Greg, tu arrives en avance, je rentre à peine du travail et comme tu peux le constater j’étais encore sous la douche. Mais vas-y entre. Il m’a fallu un temps pour redémarrer mon cerveau pour enfin pouvoir rentrer. — Je retourne finir ma douche, installe toi j’arrive. Au bout de quelques minutes à patienter, je la vis revenir mais cette fois habillée, si l’on peut dire habillée, car elle portait un mini short de sport rose qui n’arrivait pas à recouvrir ses deux magnifiques globes fessier, et d’un débardeur blanc qui devais être une taille trop petite.Elle ne portait pas de soutien gorge et je pouvais apercevoir ses seins à travers le tissu tellement celui ci était tendu. Une bosse commençait à se former dans mon pantalon: vu ce corps si peu vêtu. — Tu veux boire quelque chose?— Oui, volontiers.
— Tu veux quoi? jus de fruit? coca? limonade?— Un jus, merci. Nous nous asseyons dans le canapé pour boire notre verre et elle m’expliqua ce qu’il y avait à faire. Et décida que si mon travail était bien, je ferais l’entretien de son jardin toutes les semaines.j’avais du mal à me concentrer sur la discution, mon regard était attiré par cette belle paire de seins. Au bout d’une heure et après avoir fait le tour de la propriété, du garage pour les outils et de la maison pour les travaux d’entretien, nous nous quittâmes après avoir pris rendez vous pour le lendemain 13h pour commencer mon travail.
Lorsque j’arrivai, elle était déjà en bikini à bronzer dans son jardin. Elle était allongée sur un transat, huilée avec du monoï qui la faisait reluire avec ce soleil. Son bikini était vraiment minuscule, des triangles de 5x5x5cm pour cacher ses seins et un autre triangle de 5cm de large par 10cm de haut pour caché sa chatte. Elle portait aussi des lunettes de soleil. Je m’avançais vers elle, en détaillant son corps de la tête au pieds:plus je m’avançais vers elle plus je me trouvais à l’étroit dans mon caleçon. C’est une fois arrivé à environ 2 mètres d’elle, qu’elle se releva et me dit bonjour. Ca faisait plus une heure que je travaillais à remettre en état des volets, mais mon attention était attiré par cette belle créature allongée à quelques dizaines de mètres de moi.Je la vis se lever et ce diriger vers la maison, jusqu’à présent j’avais vu le coté face et là je découvrais le coté pile. Une simple ficelle d’à peine 1cm découpait ses deux magnifiques globes fessier, ne faisant plus du tout attention à ce que je faisais en plus de mon cerveau qui commençait à manquer de sang, je m’entaillais la main avec un ciseau à bois. Après quelques minutes, j’arrivais enfin à arrêter le saignement à l’aide d’un chiffon. Je me dirigeais vers la maison pour me soigner convenablement et mettre un pansement. Je rentrais à l’intérieur, mais ne la trouvant pas, je montais à l’étage pour aller dans la salle de bain, arrivé sur le palier j’entendis de petits gémissements venir de derrière une porte.Celle-ci étant légèrement ouverte je décidais d’y jeter un œil, et quelle fut ma surprise: de voir Sylvie à 4 pattes sur son lit, les seins sortis de son haut de bikini et la ficelle du bas décalée sur l’une de ses fesses, une main s’affairant sur ses seins et l’autre à caresser sa chatte.Etant de dos j’avais une vue parfaite sur ce cul qui s’offrait à ma vue, mais en contre partie, elle ne pouvait me voir.Je ne saits ce qui m’a pris, mais je décidais de rentrer en silence et je m’avançai vers elle. Je restais quelques instants à regarder ce spectacle qui s’offrait à moi jusqu’à ce que ma bite me face mal, enfermée dans cette prison de tissu.Toujours en silence je décidais de sortir ma bite et de commencer à me branler. C’est au même moment qu’elle enfourna deux doigts d’une traite au fond de son puits. Toujours sous l’effet de cette folie qui s’était emparée de moi, je m’avançais encore plus d’elle. Elle avait les yeux fermés et son visage rayonnait. Je continuais et m’avançais jusqu’à arriver à la hauteur de sa tête, elle ouvrit le yeux et tomba nez à nez avec mon sexe. Elle eut un sursaut en me voyant. — Que fais tu là?? tout en essayant de cacher son intimité.— Je me suis blessé, je voulais te demander de quoi me soigner mais j’ai trouvé mieux.— Tu n’as pas honte?— Du tout! et toi à me chauffer depuis que je suis arrivé avec ton micro bikini?— Heu... je n’ai rien fait de tel!— Désolé mais je ne suis qu’un homme, et il ne me faut pas plus d’une superbe créature dans un micro bikini et huilée pour me chauffer, regarde mon état! C’est à ce moment qu’elle regardait ma bite fièrement dressée pour elle. Elle n’arrivait plus à décrocher ses yeux de cette bite de 18cm de long et 7cm de large qui se trouvait à peine à un mètre d’elle. J’avançai encore un peu plus vers elle et d’un ton autoritaire je lui dis:— Suce moi!Elle ne répondit pas, et ne bougea, je m’approchais encore jusqu’à avoir ma bite à quelques centimètres de sa bouche. Je posais mes mains sur sa tête et l’obligeais à avancer celle-ci. Au moment ou mon gland entra en contact avec ses lèvres, elle ouvrit la bouche et enfourna ma bite. Elle commença d’elle même à imposer un rythme assez rapide.Jamais auparavant on m’avait fait une telle pipe, mais je voulais plus, je lui imposais à mon tour un rythme plus soutenu et plus profond, je cherchais à mettre ma bite au plus profond de sa gorge, mais je n’arrivais pas à aller plus loin que les 3/4 de ma bite.Au moment ou je me suis senti venir je lui ai maintenu la tête pour lâcher la purée dans sa bouche. Elle eut un moment de recul lorsqu’elle a senti la première giclée s’écraser au fond de sa gorge, mais mes mains sur sa tête l’ont obligé à garder ma bite en bouche. Jamais de ma vie j’avais ressenti une jouissance aussi forte et d’une telle quantité. j’avais tellement craché, qu’elle n’arrivait pas à tout contenir dans sa bouche, et des gouttes perlaient au coins de ses lèvres. — Avale!!Elle fit signe de la tête non.— Avale je te dis! sinon la prochaine fois je collerais mon gland tellement profond que tu n’auras pas d’autres choix! Elle fut étonnée d’entendre mon ton sec et calme, avec lequel je venais de lui parlé, alors qu’une heure auparavant elle me connaissait comme un jeune timide.mais après une légère hésitation elle ce mis enfin par tout avaler. Puis sans un mot je partis dans la salle de bain pour me soigner la main.Elle me suivit et me demanda si je voulais de l’aide, que j’acceptais.Je remarquais que son bikini avait retrouvé sa place.Elle me fit m’asseoir sur le rebord de la baignoire, sortit le nécessaire pour me soigner et vint se placer accroupie devant moi.Mon regard s’attarda quelques secondes sur sa poitrine avant de descendre entre ses cuisses, ou je remarquais une belle trace de mouille sur son petit triangle bleu qui cachait son puits.Cette pipe l’avait, apparemment excitée.Sans même m’en rendre compte je me suis remis à bander rapidement, et au vu de sa position impossible pour elle de ne pas le remarquer. Elle finit les soins, posa ma mains sur ma cuisse, et fit glisser la sienne sur ma bite qui déformait une fois de plus mon pantalon. — J’aimerai bien qu’elle me donne du plaisir différemment cette fois-ci, me dit elle me fixant droit dans les yeux.Il me fallut quelques secondes pour réagir et comprendre ce quelle venait de dire.— Alors retire toi ce bikini et positionne toi à quatre pattes!mon ton l’a encore une fois surprise et a vrai dire moi aussi. Je ne sais se qu’il se passait, mais j’avais envie de la dominer, d’en faire une chienne, ma chienne et comme par enchantement, je n’étais plus ce jeune homme timide que tout le monde connaissait, mais devant elle j’étais sur de moi et de ce que je voulais.Nous nous déshabillâmes, pour elle ce fut très rapide, et elle se positionna comme je lui avais demandé.Une fois à mon tour nu, je me positionnais derrière elle et sans préavis particulier lui enfournais ma bite au plus profond d’elle. Elle lâcha un petit cri de surprise quand elle me sentit buté au fond de sa chatte.Sans un mot je me suis mis à la ramoner comme un dingue, elle n’arrivait pas à rester en place sous mes coups de reins, il fallait toujours qu’elle se déstabilise.— Arrête de bouger!Je lui attrapais les cheveux de la main droite en les tirant vers l’arrière et de ma main gauche son épaule.C’est à ce moment qu’un orgasme la traversa, qui la fit s’écrouler au sol. Encore sur son nuage elle se retourna sur le dos et j’en profitais pour lui relever les jambes et glisser ma tête entre celle-ci.Sa chatte ne comportait pas un seul poil, elle sentait et avait un goût divin, je la parcourus de haut en bas sans oublier le moindre millimètre carré, y faisant pénétrer ma langue le plus loin possible que je le pouvais, je descendis sur sa rosette pour récupérer les quelques gouttes de cyprine que j’avais laissé échapper.Au moment ou ma langue ses posait sur ce petit anneau je la sentis ce contracter. — Personne n’a osé défoncer ce petit trou?— Mon ex si, mais il s’y ait toujours mal pris et me faisait mal, mais j’aime que l’on me le bouffe et de temps en temps m’y insérer un doigt.— Pour cette fois je vais m’occuper à bien défoncer cette chatte, mais plus-tard je m’occuperai bien correctement de lui.Je vis dans ses yeux de la peur mélangée à de l’excitation lorsqu’elle m’entendit prononcer ses mots. Je m’allongeais entre ses jambes, fis frotter mon gland à l’entrée de sa grotte, et pris ses tétons dans ma bouche.Je jouais avec ses tétons par alternance, tantôt je les suçais, léchais et mordillais. Je continuais à faire frotter mon gland contre sa chatte pour lui faire monter son excitation.Son téton droit entre mes dents, je le serrais plus fort d’un coup sec, un cri de surprise sortit de sa bouche et j’en profitais pour plonger ma bite au fond d’elle d’un coup sec également. La pénétration lui coupa la respiration pendant 2 à 3 seconde sous le coup de la surprise. J’avais la ferme intention de maintenant prendre mon pied après lui avoir donné un orgasme.je collais mes lèvres contre les siennes, c’est elle qui força ma bouche de sa langue, je sentais la contraction de son ventre se faire de plus en plus forte et je n’allais pas pouvoir continuer encore longtemps.Elle se mit à crier sa jouissance dans ma bouche et je ne pus me contenir plus longtemps, je me relevais, approchais ma bite de son visage, et jouis sur celui-ci.Alors même que quelques minutes auparavant j’avais joui dans sa bouche, un flot énorme de sperme alla s’écraser sur ce visage émerveillé par un orgasme. Après quelques minutes à reprendre mes esprits, je me levais, m’essuyais la bite avec du PQ avant de me réhabiller.Une fois habillé, je la regardais encore allongée au sol le visage maculé de sperme et lui dit:— Merci, bonne soirée et à demain.je quittais la pièce et la maison sans même me retourner.
